identité du personnage. prénom(s) et nom: moi c'est nahuel, ni plus ni moins. j'ai bien dean comme second prénom mais rares sont ceux qui le connaissent. sinon je fais partie de la famille fergusson. deal with it. surnoms: on me surnomme de temps en temps djali, vestige de mon adolescence, mais c'est mon unique surnom. âge: j'ai vingt-et-un ans. nationalité: je suis d'origine écossaise bien qu'un peu de sang amérindien coule dans mes veines. désormais, j'ai la double nationalité canadienne. orientation sexuelle: j'aime les femmes. théoriquement. mais... j'en sais rien, ces derniers temps tout de vient si compliqué. statut civil: je suis (trop) célibataire. emploi/études: je suis des études de dramaturgie et techniques du cinéma. situation financière: modeste. très modeste.  avatar: sassa masta from doncasta.

histoire du personnage. je suis né en écosse au sein d'une famille très unie. j'avais mes grands-parents, mes parents et mon frère aîné terrence, et tout allait bien dans le meilleure des mondes. puis il y a eu cette histoire de livres, ces légendes, le loch ness, puis la mort de grand-père. à partir de là terry a pété un câble et n'a plus jamais été le même. mais j'ai appris à vivre avec. je suis devenu un de ces adolescents fêtards et sans peur, jusqu'à ce qu'on me fasse ingérer du ghb. je ne garde aucun souvenir de cette soirée, qui fut ma dernière. comme si ma vie n'était déjà pas assez merdique, mes parents sont morts dans un accident de voiture et moi j'ai voulu me foutre en l'air. après tout je n'avais plus rien, et je ne pouvais en aucun cas compter sur mon aîné alcoolique et violent. à partir de là grand-mère nous a pris sous son aile et on s'est barré dans un coin pommé de l'arizona. vous me direz, y a pas grand chose en arizona de toutes les façons. puis parce qu'elle voulait qu'on mène une vie un tant soit peu normale, elle nous a amenés à white oak station où nous vivons désormais.

évolution du personnage. le manoir est étrange, il dégage quelque chose de tellement néfaste que ça me donne envie de vomir. je sais pas pourquoi. mais je semble être le seul que ça dérange. + j'ai rencontré carter à l'université. c'est un chouette gars, j'espère que notre amitié durera. + je me suis acheté un vieux van volkswagen tout pourri mais comme ça je pourrais le rénover, et une fois comme neuf, il sera bien mieux que mon vélo actuel. + j'ai rendu visite à azel à la clinique. sa petite fille malia est née. elle est si mignonne. j'en suis tout ému. + je crois que les choses vont s'améliorer avec terry. on a eu un discussion dépassant le stade des quatre mots. on s'est expliqués. je crois qu'il a compris. croisons les doigts.

terrence fergusson mon grand frère. du moins c'est ce qui est écrit sur notre livret de famille. terrence et moi, c'est une longue histoire. compliquée, somme toute. à l'époque, on était que deux gamins innocents, toujours prêts à faire des conneries, à plaisanter et à se serrer les coudes. puis un jour, tout est parti en couille. lui, il n'a plus jamais été le même et par conséquent notre lien en pâtit. les rares mots que nous échangeons désormais sont généralement grossiers et pas très agréables. si seulement je savais ce qui ne va pas. si seulement je pouvais y faire quelque chose.

dylan le lien qui nous unit est vraiment particulier. je ne saurais le décrire en quelques mots. on s'est rencontrés le premier jour de cours à l'université, on est dans la même section mais il est dans l'année supérieure. dylan m'a tout de suite intrigué, fasciné voire même obsédé car il me paraissait si différent, si unique. par la force des choses nous sommes devenus amis et je dois avouer qu'à l'heure actuelle je me pose bien des questions sur nous, sur la relation que nous entretenons et mes sentiments à son égard. car j'ai constamment besoin de lui, il me fait me sentir bien, il me redonne le sourire, et ce n'est pas donné à tout le monde.

andrea m. eliassi j'ai rencontré ce gars il n'y a pas si longtemps que cela. un type plutôt porté sur la clope et toutes ces merdes. le problème, c'est que quand je suis avec lui je peux pas m'empêcher de faire des conneries. je me suis remis à fumer à cause de lui ! mais je l'aime bien ce type, avec ces airs de bad boy et ses tatouages. il me rappelle le mec que j'étais avant que ma vie fiche le camp. j'étais con. mais j'étais insouciant. et bordel que c'est bon de se sentir à nous veau comme ça.

azel novak j'ai croisé le chemin de la jolie blonde alors qu'elle se rendait dans l'échoppe de grand-mère. apparemment, l'endroit lui a tout de suite plu. c'est sur moi qu'elle est tombée en premier, moi qui l'ai renseignée et c'est ainsi que nous avons engagé la conversation. j'ai remarqué son petit ventre qui m'a fortement surprit, tout comme sa franchise déconcertante. après un bout de discussion est apparue grand-mère avec qui azel a commencé à tisser des liens. elle se rendait souvent au manoir boire du thé avec grand-mère. moi je les laissais, n'osant pas trop les déranger. puis un jour grand-mère m'a invitée à la discussion et à force nous avons finis par tisser des liens avec azel. parce que, l'air de rien, on a pas mal de points en communs. désormais, nous entretenons une amitié enfantine basée sur l'innocence et la joie de vivre. c'est si bon, car je ne pensais pas ressentir ça un jour.

louys keegan j'ai rencontré louys en allant faire du footing tous les matins. on a vite compris qu'on suivait à peu près le même itinéraire et par conséquent on a décidé de faire un bout de chemin ensemble tous les matins. en plus, nous sommes tous les deux à l'université alors bien sûr, on se sert les coudes à l'approches des exams. non, louys est vraiment un type bien.

grand-mère (pnj) elle est tout pour moi. pour la bonne et simple raison qu'elle nous a sauvé la vie, avec terrence. elle est la seule à être venue nous chercher alors qu'on était dans la merde, au fond du trou. je sortais de ma tentative de suicide et terry buvait de plus en plus, se faisait de plus en plus de mal. on n'avait plus rien, pourtant elle nous a bougé notre cul et au final nous a amenés ici, à white oak station. et si maintenant j'arrive à entrevoir un semblant d'avenir, c'est bien grâce à elle. cette grand-mère a toujours été celle avec qui je m'entendais le mieux. j'aimais l'écouter me raconter des légendes amérindiennes et de temps en temps je lui demande de m'en raconter des nouvelles. j'adore boire du thé avec elle, préparer des gâteaux, l'aider dans la boutique... elle me redonne en quelques sortes mon enfance perdue.

rps en cours


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rps terminés


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rps abandonnés


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