Aujourd’hui pas de cours, ni d’heure de travail avec Micah, juste une journée rien que pour moi, rien qu’une journée pour profiter de moi et vivre ma passion à fond. Il est 14h et me voilà en tenue de danse, je m’enferme dans ma chambre, seule avec mon miroir et ma musique. La musique à fond m’entraîne dans mon monde, je me mets alors à danser sans vraiment m’en rendre compte, me voilà en train de virevolter dans ma chambre, essayant alors un saut du haut de mon lit, j’atterris alors mal sur mon pied et me voilà allonger par terre. Ma cheville est rouge, elle me lance et me fait vraiment mal, j’espère un truc, ne pas avoir d’entorse sinon ça serait une pause en danse et Dieu seul c’est combien je ne peux pas vivre sans danse. Cheville cassé ? C’est le pire, je devrais dire adieu à ma carrière de danseuse car ma cheville serait devenue trop fragile. Bien sûr, comme par hasard, il n’y a personne à la maison, je prends mon portable posé sur ma table de chevet puis envoi un message à la seule personne qui pourra vraiment m’aider et faire quelque chose, Raphaël… « Raph, j’ai besoin de toi ! Dis-moi que tes disponible & si oui fonce directement chez moi… » Bien sûr, pas besoin de lui envoyer l’adresse il la connaissait déjà. Je sors alors de ma chambre avec beaucoup de mal en essayant de ne pas m’appuyer sur ma cheville puis m’assois dans le canapé du salon en attendant une réponse e Raphaël sachant très bien que je ne pourrais pas aller plus loin toute seule…

Heureusement que je connais un médecin, sinon j’aurais du appeler le SAMU pour une simple chute qui me faisait mal certes, mais je n’aurais pas pu les appeler. J’aurais très pu appeler mon frère, mais celui-ci n’aurait pas bougé ses fesses aussi rapidement que Raphaël je le sais. Pourquoi j’ai directement pensé à Raph ? Je n’en sais rien. Mon portable vibra, une réponse de Raphaël, soulager je posai mon téléphone sur la table basse ou mon pied était poser. Dix minutes passèrent, j’entends frapper, tellement j’ai mal je ne peux même pas ouvrir la bouche pour crier un simple « entrer ! » Heureusement Raphaël à eu l’idée d’entrer sans réfléchir, pour une fois qu’il fait quelque chose de bien sans réfléchir celui-là. Je fis alors un sourire en coin en le voyant avant qu’il ne vienne me rejoindre. « Bah écoute… Je me suis mise à danser, j’ai voulu faire un saut, mais je suis mal retomber… » Les larmes aux yeux à cause du mal que me lançais ma cheville, je commençais à me poser des questions, deux fois que je tombe sur ma cheville, j’espère juste que ce n’est rien de grave, car je ne veux pas arrêter la danse, ça serait m’ôter la vie ! « Raphaël fait quelque chose j’en peux plus là… » Je le regardai alors avec mes yeux rouge.

Je me laissai faire par ses gestes, le laissant faire en toute confiance. Il ramena un sac de surgelé du congélateur et me le posa sur le cheville, je dégageai un petit gémissement à cause du froid puis me cala bien comme il fallait dans le canapé tout en laissant ma cheville surélevée comme l’avais prescris monsieur le docteur.

« Tu me fais rire à me dire qu’il me faut du repos t’as pas vue ta tête ! »

Je me moquais de lui histoire de me remonter le moral et de penser à autre chose qu’à ma cheville. C’est vrai qu’il avait quand même une sacré tête, je suppose qu’il devait s’être tapé une garde interminable et moi je l’avais appelé pour qu’il vienne à mon secours… J’avais pas du tout pensé à ce qu’il pouvait bien faire, j’aurais peut-être du appeler le SAMU à la place, en plus ça m’aurais paru plus simple puisque face à Raphaël c’était comment dire… Bizarre. En fait, je n’arrive pas à le regarder dans les yeux, ce mec à un pouvoir sur moi, le pouvoir de me déstabiliser, mais je ne sais pas pour il me rend comme ça… J’aimerais être plus forte que lui, au moins lui montré que je suis plus forte.

« Tu veux te reposer tu as mon lit tu sais, je peux être une vraie doctoresse moi aussi pour prescrire du repos ! Et tu en as vraiment plus besoin que moi là ! »

« Et bien tu serais un mauvais docteur qui plus être vraiment méchant puisque tu ne servirais à rien ! »

Je fis un large sourire avant de penser. J’étais toujours vierge, et oui j’ai beau avoir 22 ans je ne me suis jamais donner à un garçon, en fait je ne suis jamais tombé amoureuse, j’ai souvent été attiré par des garçons, mais ça n’a jamais été plus loin. Soit je ne leurs plait pas vraiment ou alors je me dis qu’ils veulent juste me sauter et voilà ça s’arrête là, c’est sans doute ce qui m’as poussé à ne faire confiance qu’à moi et à ne jamais aller trop vite avec les hommes, ils sont simplement de bons copains quoi. Sauf que même si je parle d’amitié avec Raphaël, j’ai l’impression que c’est plus que ça, non pas de l’amour, je le sais, même si je ne l’ai jamais vraiment ressenti. Mais il y a comme un jeu de séduction entre nous, un truc qui fait qu’on ne peut pas tout se dire ni tout faire ensemble. Je ne sais pas comment je peux réagir face à lui, mais je sais qu’il sera toujours là pour moi pour me protéger et prendre soin de moi et c’est ce qu’il me plaît chez lui, son côté protecteur.

« Sers-toi, fais comme chez toi, non merci je ne veux rien. Si tu veux prendre une douche va si, je ne risque pas de t’espionner je ne peux pas bouger… »

Je fis alors un sourire en coin alors qu’il se trouvait dans la cuisine puis ferma mes yeux histoire de me reposer un peu et d’atténuer la douleur rien qu’avec la pensée et le repos complet.

J’aimais le taquiner, en fait c’était presque instinctif et je le faisais vraiment sans réfléchir, c’est que vraiment je me sentais bien avec lui et je n’avais aucune intention derrière la tête. Seulement, je jouais la carte de la fille mystérieuse et lui embrouillais la tête comme il embrouillait la mienne. Je savais très bien au fond de moi ce qu’il voulait, coucher avec moi, il ne l’avait jamais vraiment dit, mais je le devinais dans son regard, il n’était pas le premier à porter ce regard sur moi, mais j’étais bien décider à m’amuser encore un peu, jusqu’au jour où peut-être cela deviendra sérieux. Et puis rien pour faire patienter un mec, je serais capable d’y dire que je veux attendre le mariage, rien que pour voir s’il m’aime vraiment pour ce que je suis ou si son amour vient seulement une fois qu’il a baisé celle qui lui plait.

« M’amputer ? Ose faire ça et moi je te castre, au bout du gland ou directement à la base ? Tu pourrais également avoir une belle prothèse. »

Oui, je lui répondais comme ça, sans gêne et avec vulgarité, mais c’était comme ça entre nous au moins on se comprenait et on n’avait pas besoin de mâcher nos mots pour faire comprendre certaines choses. Pas besoin de tourner autour du pot 300 heures pour en venir à une seule chose. Il alla alors à sa douche, oui je lui prêtais ma salle de bain, je pouvais bien faire cela il était quand même venue pour ma cheville. J’espérais juste que mon frère ne rentrait pas à l’improviste, car il se serait poser une tonne de question. Je refermai alors mes yeux une fois que Raphaël se trouva dans la salle de bain. Quand j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir, j’ouvris les yeux et fut surprise de la tenue de Raphaël.

« Je te rassure tu aurais pu sortir sans serviette ça aurais été beaucoup mieux ! »

Je fis alors un large sourire avant d’exploser de rire.

J’avais envie de rire à mes conneries, j’avais envie d’exploser de rire carrément. Je n’avais jamais raconté autant de connerie en si peu de temps dans ma vie avec la même personne, d’habitude d’une nature réservé, là je découvrais une autre facette de ma personnalité grâce à lui. Je le vis alors se retourner et comme par magie, la serviette qu’il portait autour de la taille glissa puis tomba par terre. Je le sentais venir ce coup là.

« Oh oui c’est parfait ! »

Je pensai alors une seconde à Alec ou ma colocataire, d’une seconde à l’autre ils pouvaient arriver et ça me fit encore plus sourire. Je me demande alors comment ils réagiraient, quelles questions ils se poseraient en assistant à une telle scène.

« Bon aller c’est bon, cache moi ses horreurs, Alec peut rentrer d’une minute à l’autre, tout comme ma colocataire et puis je te rappelle que tes venue pour ma cheville, pas pour me séduire ! »

Je m’arrêtai net, le sourire sur mon visage s’enleva d’un coup, je venais de dire des mots de trop, une phrase qui pouvait nettement porter à confusion…

Raphaël s’amuse alors à me tourner autour en mettant en avant ses belles formes, ses belles fesses, chose que je ne lui avouerais bien sûr jamais. Morte de rire en le voyant s’amuser à contracter et décontracter ses fesses, Raph me suivit alors dans mon fou rire.

« Tu sais, tes fesses sont les premières que je vois, enfin sans compter celle de mon frère… »

Et oui, là c’était l’aveu que je n’aurais peut-être pas dû lâcher, du moins pas tout de suite… Mais c’était sans le vouloir que j’avais lancé cette réplique, sans trop me rendre compte de l’impact de l’importance de cette phrase… Comme pour la gaffe que j’avais faite sur le mot séduction. Pourquoi me séduire alors que je le suis déjà ? C’est vrai que sur ce coup là il n’avait pas tord… Mais je ne pouvais lui avouer, ayant trop peur de le perdre, de perdre la complicité que l’on a… Trop peur qu’il finisse par me mettre dans son lit juste pour s’amuser. Il revint alors tout naturellement, de nouveau habiller. Je me laissai faire sans gémir, sans faire attention à la douleur que je ressentais.

« Oui, les bandes sont dans le meuble à droite du lavabo dans la salle de bain, enfin pas besoin de te montrer le chemin, tu sais où sait ! »

Rassurer de ne pas avoir à être plâtrer et à devoir me désinscrire de l’école pour cause de fracture, rassurer que ce ne soit qu’une petite foulure de rien du tout, qui m’avait tout de même fait un mal de chien.

Oui j’étais vierge, oui je n’avais jamais touché d’homme, embrassé bien sûr que si, mais je n’ai jamais été plus loin qu’un baiser, qu’un simple câlin. Tout simplement, car je ne suis jamais tombé amoureuse, certes beaucoup de garçons m’ont déjà plus, mais je n’ai jamais eu un battement de cœur près à sortir de ma poitrine, j’en conclu donc que je ne suis jamais tombé amoureuse. Pourtant non je ne suis pas lesbienne, je suis bien faîte pour vivre avec un homme, mais je ne suis toujours pas prête à tomber amoureuse il me semble, enfin je suppose. Disons que je n’ai pas envie d’être déçue de ma première relation amoureuse, je n’ai pas envie de regretter ma première fois, en fait j’ai tout simplement peur de tomber amoureuse et d’être détruite. J’ai peur de devenir comme mon frère.

" Puisque tu en parle… Tu veux bien rester avec moi cette nuit ? "

Oui je n’avais pas dis soirée, ou bien même ce soir, mais j’avais bien parlé de nuit, une nuit en sa compagnie, non pas pour faire quelque chose, juste pour faire quelque chose ensemble, enfin s’amuser quoi, bien parler, qu’on apprenne à se connaître un peu mieux… Je venais de lui proposer un rendez-vous, un rendez-vous non pas galant, plutôt amical… En fait, je savais pas du tout ce que j’avais demandé, je savais pas du tout l’importance de ma phrase, encore une fois je ne savais comment réagir… Il me trouble.

Si je n’étais plus vierge, j’aurais pris ce que je viens de lui dire comme une invitation à venir squatter mon lit et à essayer de faire des bébés tiens ! Et puis, je le fais parce que je sais très bien qu’il ne se passera rien entre nous, du moins j’espère. Je pense que je peux lui faire confiance, qu’il a compris qui j’étais et j’espère qu’il ne gâchera pas notre complicité juste pour tremper son biscuit. De toute façon, il prend un coup dans les bijoux de famille et puis ça va le calmer net ! Quand il me dit qu’il reste comme ça il va pouvoir me surveiller, je fis alors un grand sourire, contente de rester près de lui.

- Comme tu reste seulement pour me surveiller alors je pense que tu peux partir !

Oui j’avais très envie de danser, je sais très bien que s’il n’était pas resté en ma compagnie ce soir et bien j’aurais eu l’envie de danser, mais je me serais retenue juste pour la douleur que ma cheville m’envoie. Il me demande alors ce que j’aimerais faire ce soir, comment dire… Je peux pas bouger donc ça va être dur de faire un truc fantastique !

- Bah je crois que l’on va se contenter d’un film et d’un bon repas préparer par tes soins oui !

Je lui fis alors un énorme sourire avant de prendre la télécommande de la télévision pour aller dans le menu et regarder ce qu’il y a sur le disque dur de l’appartement, oui le disque dur on le partage à trois, donc pas forcément des films que j’aime moi.

Il se reprit alors suite à ma remarque, je fis un léger sourire en coin avant qu’il ne parte dans la cuisine se prendre un autre café, pendant ce temps je faisais le tour sur mon disque dur pour voir un peu ce que j’avais de beau à proposer.

- Alors moi je te propose Titanic ou un film où y a des mariages. Non je rigole, un film d’action ou d’horreur ? Je te laisse le choix, je ne suis pas très difficile en film ! Et je sais à quoi tu penses, mais non je ne regarderais pas un film pour adultes parce que tu es là, tu rêve jeunot.

C’est pas comme si je commençais à le connaître par cœur mais un peu, je sais que dans le fond il désirait regarder un film de cul, mais je ne pouvais accepter sachant que j’étais encore vierge, je ne voulais pas être choqué pour finir à être vierge toute ma vie, je veux quand même des enfants et connaître le goût du sexe avec quelqu’un que j’aime je précise. Le regardant regarder le film je me posai plusieurs questions, il m’intriguait énormément… Il était beau… Non Ali, tu ne tomberas pas amoureuse d’un gars comme lui !

- Sinon pour ce qui est de manger fais-moi ce que tu veux, je ne peux pas danser alors un truc gras, frais ou léger, ça change rien.

J’étais plutôt fine alors je pouvais me permettre de manger gras de temps en temps, pour ce qui est des aliments léger et frais et bien j’en mangeais assez durant mes semaines de cours pour danser, il fallait être légère et se sentir bien dans sa peau… Foutaise !

J’étais devenue idiote, pire que naïve, en fait non, je sais que je l’étais déjà d’avance, mais il me rendait encore plus comme ça, jouant un jeu dangereux avec lui, me poussant à réagir et à jouer encore plus. C’est alors qu’il me parla de faire notre propre film d’adulte, ce coup-ci je ne réagis pas, je ne voulais pas dire quelque chose que je regretterais, je resta de mon côté, toujours dans la canapé. Il me parle alors d’Inception.

- Pourquoi pas, on part sur ça et puis quelque chose me dit que tu t’endormiras devant alors !

Il fit un petit sourire en coin puis vint me faire un bisou sur la joue, j’étais bien tenter de dire quelque chose, mais si c’est comme le coup de la serviette en sortant de la douche, je risque d’avoir encore des surprises, il n’a peur de rien celui-là, c’est quand même incroyable. Il continuait de jouer avec moi, j’aimais ça, mais dans un autre sens je commençais un peu à avoir peur de la suite de la soirée, qu’allait-il arriver ? Oui, je commençais à penser au pire, ce qui n’était pas bon, mais enfin bon… Je verrais bien comment il est.

- Bah il est beau le cuisinier !

Le voilà qui part chercher des pizzas, pour un mec qui veut me préparer un bon petit plat c’est rater, question drague il perd des points ! Ah le pauvre, il ne sait pas à quoi il s’engage à rester la soirée avec moi… J’espère qu’ensuite on se reverra, sans pour autant que je me fasse mal. Bon bah je ne bouge pas quoi, je l’attends, tranquillement tout en regardant une chaîne à la télé, enfin regarder, elle sert juste en bruit de fond puisque je suis totalement plonger dans mes pensées sans m’occuper de ce qu’il se trouve autour de moi.

Le revoilà après dix minutes, enfin même un peu plus, mais je vais pas faire ma chieuse, même si j'aime bien l'embêter... Je le garde comme carte, des fois que... Un sourire aux lèvres, il déposa le sac sur le comptoir puis vint me retrouver en me faisant un bisou sur le front.

- Comme je peux pas bouger, j'ai pas essayer.. Même si ça aurait été un bon prétexte pour que...

Je me tue d'un coup et n'espérait pas qu'il reprenne suite de ma phrase, j'allais encore regretter cette phrase je le sens. Je replongea mon regard dans l'ordinateur quand celui-ci parti dans la cuisine chercher tout ce qu'il fallait pour manger, il est vraiment parfait quand il veut celui-là! Il me dit alors qu'il a acheter des bières, Alec va surement se demander comment elles sont arriver ici, mais bon, il ne dira rien puisqu'au final il va toute se les boire, ou alors sera aider de parfait amis. Dormir avec moi... C'est vrai que je l'avais inviter à dormir, mais que je n'avais pas penser au fait qu'il dormirait avec moi... Bon Dieu Ali, tu pouvais pas réfléchir pour une fois ? Tant pis... C'est fait, à voir comment la soirée se passe...

- Pourquoi pas, après tout ça ne peut que me faire du bien.

Et en une fraction de seconde je me retrouva avec une bière à la main, sans trop réfléchir j'avais encore accepter une chose qu'auparavant je n'aurais pas accepter aussi facilement... C'est lui aussi, il a un don, je sais pas, il m'envoûte... Faut m'expliquer parce que là je comprend pas trop ce qu'il se passe..

Des questions commençait à se poser dans ma tête... J'étais décidée à profiter de la situation et du fait qu'il soit fatigué pour mettre mes questions sur le tapis, il fallait que je sâche des choses, il fallait qu'il réponde à toute mes questions... Peut-être pas toute mais au moins les plus importantes. J'étais là comme une gamine à découvrir le monde, à découvrir de nouveau sentiment, jamais ressenti auparavant, c'était totalement bizarre... Mais incompréhensible. Il me sorti alors de mes pensées quand il parla de la pizza... C'est drôle comme j'avais pas faim là maintenant tout de suite... Enfin bon, il avait fait l'effort d'aller la chercher et de la faire cuire alors... Je fis simplement un sourire en guise de réponse puis attendis qu'il amène la pizza. Tout mignon, il déposa une part dans mon assiette et me donna l'assiette. Il prit alors mes jambes et les posa sur ces genoux... Aller une approche de plus, des questions supplémentaires dans ma tête, je me demande si c'est pas pareil de son côté... Je commença alors à manger, puis il me suivit, elle était trop bonne, mais bon je pouvais pas lui dire il se serait venter!

- Raphaël ?

J'allais me lancer, j'étais prête, quitte à perdre gros, à me prendre un gros vent ou une réponse stupide, j'étais prête, je pris une autre bouchée de ma pizza, soit dit en passant énorme avant de finir ma part, pour que ma question soit poser le plus tard possible...