IT'S TIME TO SPREAD YOUR WINGS.
   i'm coming out of my cage and i've been doing just fine

Birmingham, Angleterre.

La salle à manger était plongée dans un silence de cathédrale. Une femme d’une cinquantaine d’année, tirée à quatre épingles, se tenait debout  en plein milieu de la salle et brisait enfin le silence pesant « Bénissez-nous, Seigneur, bénissez ce repas, ceux qui l'ont préparé, et procurez du pain à ceux qui n'en ont pas. Ainsi soit-il ! ». Les jeunes filles, installées derrière leurs assiettes, se tenaient les mains et fermaient les yeux, en répétant soigneusement le bénédicité, comme chaque soir. Un « amen » fut prononcé en chœur par le corps enseignant et les pensionnaires, qui purent enfin commencer à manger. Au milieu de ces jeunes filles, se trouvait une petite tête brune entrain de fixer le mur d’en face, sans même toucher à son assiette. « Mademoiselle Deakins, vous ne mangez rien. Le menu ne vous plait pas ? », demandait la quinquagénaire, interloquée. Olivia levait la tête et répondait timidement, appréhendant sa réaction « Si, madame. Mais je me sens pas très bien, alors je n’ai pas très faim. ». Madame Montgomery haussait les sourcils et toisait la jeune fille, avant de lui répondre sèchement « Vous ne vous sentez pas bien ? Et bien mangez, ça vous passera. Bon nombre d’enfants tueraient pour avoir ce que vous avez dans votre assiette. Si vous ne voulez pas être de corvée ce soir, avalez moi tout ça. Je veux voir votre assiette briller. Petite ingrate. ». Liv se pinçait ses lèvres tremblantes qui trahissaient son envie de fondre en larmes. Madame Montgomery fichait la trouille à plus d’une gamine, avec son gros chignon, sa mâchoire carrée, ses sourcils épais et son regard qui avait le don de vous pétrifier si vous le croisiez. Elle ne pouvait pas supporter Olivia, et elle se faisait un malin plaisir à l’humilier dès qu’elle en avait l’occasion. C’était une sorte de dictatrice et en y repensant, elle n’aimait pas grand monde. Souvent, Olivia et ses camarades se demandaient comment une femme aussi croyante et si pieuse pouvait être aussi cruelle avec ses semblables. Cette surveillante traumatisait tout le monde et les premières années de la jeune Deakins furent encore plus difficiles au sein du pensionnat. Les parents d’Olivia étaient très occupés et craignaient de ne pouvoir élever leur fille comme ils le souhaitaient. C'est-à-dire de manière stricte, très encadrée, tout en lui faisant suivre une éducation religieuse, afin de la protéger des tentations destructrices de l’adolescence. Elle s’était donc retrouvée, à l’âge de dix ans, enfermée dans un pensionnat catholique, avec des petites filles riches comme elle, qui avaient des parents peu présents. Elle pouvait voir ses parents uniquement le week-end et au début, c’était douloureux. En franchissant le portail immense du pensionnat, où elle suivait ses études et résidait, elle avait fondu en larmes. Elle était le genre de petite fille toujours sage, collée aux jupons de sa mère ou posée sur les épaules de son père. Même si ses parents étaient très occupés, ils trouvaient le temps de mener leur parfaite petite vie de famille, et Olivia aimait ses parents, très fort même. Alors voilà, elle se retrouvait à leur écrire tous les soirs, sans forcément envoyer toutes les lettres, juste pour se rassurer et pour faire comme si elle tenait une conversation avec eux. Les pensionnaires n’avaient le droit  qu’à un coup de fil durant la semaine, sachant qu’elles rentraient à la maison le week-end –pas toutes, en revanche.

Olivia suivit donc une éducation très stricte, basée sur la lecture de la Bible et le respect de celle-ci. L’excellence était obligatoire, que ce soit au niveau des connaissances religieuses ou de la culture. L’échec n’était pas une option, et malgré la pression, Liv se fit très vite à ce rythme quasi militaire et très dur pour n’importe qui arrivant en cours de route. Ses copines d’enfance qui n’étaient pas dans un pensionnat et qui venaient la voir le week-end avaient l’habitude de lui dire « Je sais pas comment tu fais Liv ! Ca doit être l’enfer ! », et elle répondait « Oh, pas tant que ça. C’est pour mon bien, et je m’y suis fait. On rigole bien vous savez ». On lui disait à tout va que c’était bien pour elle d’être dans ce pensionnat, de prier, d’apprendre toutes ces choses… Que cela la rendrait meilleure. Et la gamine crédule qu’elle était ne pouvait que boire les paroles de ses parents. A part ça, oui, Olivia était sérieuse : les filles arrivaient à s’amuser. Bon, elles ne pouvaient pas faire trop de folies, sous peine d’être sévèrement réprimandées mais quand même, elles riaient beaucoup. Disons que c’est une question d’habitude. Grandir dans un environnement aussi dur lui semblait normal, mais cela eut des répercussions sur sa personnalité. Elle était devenue calme, s’écrasait trop facilement lorsqu’on s’en prenait à elle, et était quasiment soumise. En grandissant, ses amies partaient une par une du pensionnat, et elle restait là, seule… Liv était taciturne. Silencieuse et observatrice, elle devenait un peu trop sauvage et ne supportait plus les changements perpétuels autour d’elle, que ce soit au niveau du corps enseignant ou des filles du pensionnat. A quinze ans donc, Liv quittait le pensionnat pour toujours. Adieu. C’était non sans un pincement au cœur qu’elle avait quitté les lieux, après cinq longues années. Grâce à ces cinq années, elle avait apprit la rigueur, l’organisation et que travailler dur était la clé du succès. Et qu’elle pouvait compter sur Dieu dans les moments difficiles… Bon, vu son existence presque parfaite, elle n’avait pas eut besoin de lui demander grand-chose ou de l’implorer, elle devait plutôt le remercier en permanence pour la chance et les coups de pouces qu’il lui filait. Des parents qui s’aiment, une grande maison, beaucoup d’argent, des copines et des copains, la santé… Pas un nuage. Pas une vague. Rien. Le calme plat.

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Elève modèle au lycée, Liv ne montrait pas grand intérêt pour les garçons. Eux, en revanche… Si la brune était intelligente et bien élevée, elle était également charmante. Plus le temps passait, plus il l’embellissait. Je vous laisse imaginer l’état des adolescents en chaleur en voyant la jolie Liv se pointer. Elle ne se préoccupait que de ses études, et un peu de sa vie sociale, puisque le statut de ses parents la forçait à sortir et à se montrer dans des réceptions et des soirées… Mais des soirées avec ses parents, attention. Hors de question pour elle d’aller à des fêtes chez des camarades ou quoi que ce soit. Tout devait se passer à la maison et sous surveillance. Naturellement, elle disait oui à tout, et même si cela ne l’arrangeait pas, elle se taisait et acquiesçait. C’était déjà mieux que rien après tout. Ce n’est qu’à l’âge de dix-huit ans que Liv a commencé à s’intéresser aux garçons… et à un en particulier : Finn. Olivia n’avait pas eut beaucoup d’amis masculins, ayant été élevée exclusivement avec des filles, dans un pensionnat stricte dans lequel il était normal d’apprendre aux jeunes filles que le sexe avant le mariage, c’était une mauvaise idée. Je vous passe les cours de féminisme des professeures aigries et encore célibataires à cinquante ans… Dites vous bien que personne ne la traitait de coincée ou de religieuse en voyant son comportement distant avec les garçons, et son côté fille intouchable. Non, du tout. Les gens étaient plutôt du genre à se dire dans la cour, pendant la pause « je suis sure qu’elle cache bien son jeu » ou alors « celui qui la fera craquer, il aura tout gagné ». Elle était fraîche, belle, drôle, timide juste comme il fallait, un peu naïve, mystérieuse et riche… Bref, la fille parfaite et la proie idéale pour les garçons. Seulement, personne n’avait réussi à la toucher (émotionnellement, pas physiquement bande de pervers), à part Finn. Finn, il était arrivé comme ça, sans prévenir. Elle ne s’était pas attendu à prendre une telle claque en le voyant emménager près de chez elle en cour d’année. Liv l’avait observé longuement par la fenêtre durant son emménagement, de manière très discrète pour ne pas se faire repérer et se taper la honte. Se sentant observé, Finn avait tourné la tête un jour, pour regarder la maison à côté de la sienne… et il avait aperçu une Liv hypnotisée, un sourire béat sur ses lèvres roses. En se rendant compte qu’elle était à découvert, elle s’était bêtement cachée en se baissant, ce qui avait fait rire le jeune homme. Intérieurement, elle se maudissait d’avoir été aussi idiote et savait qu’elle avait été punie car le reluquer de la sorte était mal.

Quelques jours plus tard, des gens furent invités à la maison. Olivia ignorait totalement qu’il s’agissait de Finn et de ses parents, qui étaient des amis de longue date de son père, Martin. Elle était presque tombée à la renverse en le voyant arriver et avait bafouillé quelques mots incompréhensibles à sa mère, qui l’avait tout de suite envoyée promener en lui disant de se taire. « Salut, moi c’est Finn », Liv s’était contentée de rougir et de lui sourire. Le pauvre Finn attendait désespérément qu’elle lui réponde, et en voyant qu’elle n’était pas prête à le faire, il avait lancé en riant « Toi c’est Olivia, c’est ça ? ». La brune avait hoché la tête rapidement avant de lâcher dans un souffle « Liv. ». Pendant tout le repas, les deux jeunes avaient beaucoup discutés, Liv s’ouvrant petit à petit et se sentant très à l’aise avec lui. En apprenant qu’il allait entrer dans le même lycée qu’elle, elle lui avait proposé de l’aider à rattraper son retard et de lui faire visiter les lieux. C’est ainsi qu’ils devinrent amis… Et que Liv fut obligée de refouler son attirance et ses sentiments pour lui pendant de longs mois avant que Finn ne se lance, après avoir lui aussi attendu un moment avant de lui avouer ses sentiments, de peur de la brusquer. Ils se mirent donc en couple, pour le plus grand bonheur des Deakins, qui voyaient en Finn Nightingale un gendre idéal. Croyant, bien élevé, drôle, intelligent… puis il venait du même milieu favorisé et très aisé. C’était parfait, Liv allait être choyée et heureuse. L’officialisation de leur relation fut le déclencheur d’un marathon pour se montrer à tout le monde, pour montrer à quel point ils étaient amoureux et parfaits ensemble. Tout le monde était persuadé qu’ils finiraient leur vie ensemble, chose à laquelle ils pensaient souvent, eux aussi… mais d’une manière plus saine que leurs parents. Peu de temps avant la remise des diplômes, Liv avait entendu ses parents parler du métier d’actuaire. Voir leur seule et unique fille exercer ce métier difficile et très stressant semblait être leur plus grand souhait.  Elle s’était donc lancée dans des études très scientifiques, dans une filière bourrée de chiffres, de calculs et d’un tas de choses qu’elle détestait. Cependant, elle le faisait pour ses parents. Elle voulait les rendre fiers, faire quelque chose qu’ils approuvaient et qu’ils estimaient bien pour elle. Elle était sure de gagner beaucoup d’argent, de garder son emploi quoi qu’il arrive et d’être une personne importante… Alors une fois de plus, elle avait donné raison à papa et maman, s’oubliant complètement et négligeant ses propres envies, notamment son envie de faire des études d’art, pour se concentrer sur sa passion pour le théâtre. Finn, quant à lui, étudiait pour devenir juriste. Le couple étudiait à Cambridge et vivait dans son appartement, ayant déjà emménagé ensemble au bout d’un an et demi de relation. Malgré quelques disputes et des emplois du temps chargés, impossible pour le jeune couple de battre de l’aile. Ils étaient sur la même longueur d’onde, se comprenaient en un regard, passaient la plupart de leur temps à rire et à profiter de leur jeunesse… Bref, un véritable conte de fée.

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White Oak Station, Alberta, Canada

Après six ans de vie commune et une fois leur diplôme universitaire en poche, Finn fit sa demande à Liv et deux mois plus tard, ils sortaient de l’église, mari et femme. Si au départ ce mariage avait été parfait à célébrer et leur union si formidable, rendant heureux les deux époux, un an plus tard, Liv commençait à se poser des questions. Elle réfléchissait énormément, chose qu’elle ne faisait jamais avant de déménager ici avec Finn, s’éloignant donc de ses parents qui prenaient toujours toutes les décisions pour elle afin de l’empêcher de faire un faux pas ou de vivre sa vie comme elle l’entendait. Elle venait de franchir un cap important de sa vie de femme : elle s’était mariée. Qui dit mariage, dit famille donc enfants… Finn lui en parlait souvent. Pas pour lui mettre la pression, mais pour partager ses projets d’avenir avec la femme de sa vie et lui promettre que leur bonheur durerait et qu’il serait le meilleur père au monde. Olivia ne trouvait jamais rien à lui répondre, alors elle se contentait de lui sourire et d’acquiescer. Si autrefois la belle brune avait rêvé de fonder une famille, aujourd’hui, elle n’était plus sure de le vouloir. Malgré l’amour que lui portait Finn et son amour pour lui, elle  n’était pas heureuse. Elle avait suivi son mari au Canada sans broncher, parce qu’il voulait se rapprocher de ses origines, alors que Liv devait elle s’en éloigner. Très bien, une petite concession par amour ce n’était pas grand-chose. Elle travaillait dans un milieu qui ne lu plaisait pas, qui la rendait même malade. Tous les matins, elle avait la nausée, se sentait mal et allait au travail à reculons. Liv avait énormément de mal à se détacher du boulot une fois à la maison, ayant pas mal de responsabilités et de travail à chaque fois. Peu de vacances, toujours le cerveau entrain de se torturer en pensant au lendemain, au moment où elle allait pénétrer dans le bâtiment où elle travaillait…

Sa rencontre avec une troupe de comédiens après une sortie au théâtre avec une amie avait terminé de convaincre Liv. Son amour pour le théâtre et la comédie était bien trop fort pour continuer à le refouler de la sorte. « Finn, je pense que je devrais prendre des congés ou démissionner… J’ai envie de prendre des cours de théâtre pour améliorer ce sur quoi j’ai travaillé au lycée. », Finn s’était quasiment étouffé en entendant cela. « Comment ça démissionner ? Liv, mon cœur, tu ne peux pas quitter ton boulot sur un coup de tête. », elle soufflait « Ce n’est pas un coup de tête, c’est important pour moi, j’y réfléchis depuis longtemps... ». Finn lui avait prit la main pour l’embrasser et lui dire de manière dure pour la faire redescendre sur terre « On ne vit pas de ce genre de hobby, Liv. Tu vas avoir 25 ans, tu ne peux pas perdre ton temps et démissionner comme ça. Tu es une adulte maintenant… On ne fait pas toujours ce qu’on veut dans la vie… ». Une bise sur le front et son mari s’en allait au travail, laissant Liv déprimée à table.  Deux heures plus tard, alors qu’elle était censée travailler, Liv avait le regard perdu, fixant le paysage derrière sa fenêtre. Elle pleurait à chaudes larmes en repensant à ce que son mari lui avait dit. 25 ans… Elle avait bientôt 25 ans et elle avait se sentiment de n’avoir jamais vécu. Pas d’enfance à proprement parlé, pas d’adolescence, pas d’erreurs, pas de folies, pas de souvenirs mémorables avec des amis, pas de peines de cœurs, pas une vague, pas un événement marquant, rien. C’était comme si elle était née, qu’on l’avait enfermée quelque part, et qu’on la réveillait pour l’en sortir à seulement 25 ans. Liv réalisait qu’elle ne pouvait pas continuer à vivre comme ça. Toute sa vie elle avait été raisonnable, toute sa vie elle avait laissé les autres penser et décider pour elle sans jamais broncher. Finn avait dit qu’on ne faisait pas toujours ce qu’on voulait dans la vie… Elle, elle n’avait jamais pu faire ce qu’elle voulait, même jeune. Jamais elle n’avait pu ne serait-ce qu’imaginer faire ce qu’elle souhaitait. Jamais.  

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Peu de temps après son 25ème anniversaire, Liv se métamorphosa. Elle ne laissait plus son entourage la démoraliser, et elle commençait à s’affirmer doucement. Un doux vent de révolte soufflait sur les familles Deakins et Nightingale. En arrêt, Liv refusait de remettre un pied à son travail, se focalisant sur sa dépression à soigner et sur ses autres projets : profiter de la vie et prendre des cours de théâtre. Plus elle passait de temps dans les théâtres avec des comédiens et des metteurs en scène, plus elle se sentait heureuse et libre. Parler de sa passion était désormais source de dispute, même avec Finn, qui reconnaissait de moins en moins sa femme, celle qui était si raisonnable. Sa rencontre avec un certain Keenan y était pour beaucoup dans son envie de s’émanciper et de se libérer de ses chaines. Keenan, c’était le guitariste rencontré dans la rue, par pur hasard. Liv n’avait pu s’empêcher de s’arrêter pour l’écouter, appréciant son jeu. Elle était restée un bon moment à le contempler, avant d’aller vers lui pour discuter. En faisant connaissance avec lui, Liv s’était prit une gifle monumentale. Keenan, c’était la bouffée d’oxygène dont elle avait besoin dans sa vie si calme et triste. Il dégageait quelque chose qui lui avait tout de suite plu. Si on lui demandait ce qu’il dégageait, Liv serait incapable de l’expliquer… Keenan se laissait porter, vivait comme il l’entendait et c’était un artiste. Il avait vécu, lui. Il était libre, Keenan. Il était spécial… Un peu comme la véritable Liv, celle que tu n’avais jamais pu laisser sortir pendant vingt-cinq longues années. Même si tu ne le connaissais pas depuis longtemps,  il te comprenait mieux que ton propre mari et tu n’avais pas honte de lui parler de ce qui te rendait heureuse et de tes rêves.  Tu l’admirais et chaque minute passée avec lui te rendait plus heureuse et te donnait envie de continuer à te battre.

MI AMOOOOOOOOOOOOOOR                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          
t'es belleuuuh et t'es à moi alors voilà, je le montre, je t’enchaîne, te menotte à moi
que je t'aime, que je t'aime, que je t'aimeuuuh sinon bah courage pour la fin de ta fiche babe, je crois en toi et en ta concentration

Félicitations, tu es officiellement validé(e) !
ce personnage est une pure merveille et je ne mâche pas mes mots , sincèrement, j'aime beaucoup ta façon d'écrire j'ai vraiment hâte de lire les rps Liv/Keenan

Selon le questionnaire, tu te retrouves dans le groupe Seize the day.
Tu peux désormais te rendre dans la catégorie Gestion du personnage pour faire les diverses demandes, tu peux aussi recenser ton personnage, ou bien rechercher des liens. Ensuite, tu peux aussi aller créer un ou plusieurs scénarios ou des bandes. 50 points t'ont été ajoutés pour ta validation, tu retrouveras d'ailleurs plus d'informations sur le système de points à cet endroit. Enfin, pour faciliter ton intégration, n'hésites pas à participer à la loterie des rps.

Bref, tout le staff te souhaite la bienvenue sur Feels Like Tonight !