(#) Sujet: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Ven 8 Nov - 9:54
party for the rest of my life.
Un coup de klaxon me tira de mon sommeil. Instinctivement, ma main parcouru la place sur ma droite, comme je le faisais tout les matins depuis presque un mois, David était là, paisiblement endormis à mes côtés, un sourire sur les lèvres. Je regardais l'heure : sept heures. Bon sang ! Les gens sont cons, on a pas idée de donner un coup de klaxon un samedi matin à une pareil, surtout dans une zone résidentielle. Je sortie du lit après avoir déposer un baiser sur le front de mon petit ami. Encore un truc que je faisais tout les jours en me réveillant, qu'il soit endormis ou réveiller, il n'y échappait pas. Je crois que ce geste me rassurais. Et David sait très bien que ces dernières semaines, j'en avais eut besoin. Cela faisait tout juste un mois que j'avais perdu mon frère. Sa maladie avait finit par l'emporter, à tout juste 29 ans. Josh, contrairement à moi, est né avec une malformation au niveau du cœur, et seule une greffe aurait pu le sauver, malheureusement, il n'avait pas pu en bénéficier : groupe sanguin trop rare. Et voilà qu'il n'était plus là, laissant un vide immense dans mon cœur. Ironie du sort, la mort de mon frère avait permis à mes parents d'ouvrir les yeux. Au bout de 23 ans, ils percutaient enfin qu'ils avaient une fille, seulement moi, je ne voulais rien savoir. C'était trop tard, et je trouve abuser de leur part de se tourner vers moi, maintenant que Josh n'est plus là. Je n'ai donc pas repris contact avec eux depuis l'enterrement, préfèrent consacrer mon temps entre David, ma grand-mère, et la famille de David.
Je quitte la pièce, et me rends dans la cuisine, afin de préparer un bon petit déjeuner. J'ai finis par me mettre à la cuisine et malgré quelques essais catastrophique, je commence à mieux me débrouiller. Au moins, je sais faire cuire des pâtes et le pain grillé du petit déjeuner n'est pas complètement brûler. Je donne une caresse à Harry, le chat de mon frère, que j'ai recueillie. En plus de son impressionnante collection de livres, que j'ai récupéré, me faisant emménager définitivement dans la chambre de David, enfin ! J'ai récupéré son chat. Un matou roux, persan, prénommé Harry. Josh avait dévoré les Harry Potter et avait souhaité baptiser le chat du nom de son héro. L'animal avait dix ans, il était gras comme un cochon et faignant comme c'est pas permis, mais je l'adorais, et je crois que David l'aime bien lui aussi.
En parlant de David, nous n'avions pas reparler de ma bêtise, le jour même, en allant voir ma grand-mère, elle avait deviner. Aussi simple que ça, un truc dans le regard. Finalement, on avait fait comme j'avais dit, même si ce n'était pas dans les bonnes circonstances. Depuis, David n'en parlait pas. Soit, il n'y pensait plus, soit il le gardait dans un coin de sa tête pour me le resservir, un jour ou l'autre. Quoiqu'il en soit, je ne ferais pas ma mauvaise tête, après tout, c'était normal qu'il m'en veuille. Depuis presque un mois, je faisais tout mon possible pour réparer ma bêtise, et à défaut de lui offrir ce que j'avais en tête au départ, j'avais décider de réfléchir à une possible reprise d'études, parce que je savais que cette idée lui plairait, même si je ne savais pas pourquoi il y tenait autant. Sans le lui dire, j'avais pris rendez-vous avec une conseillère d'orientation et j'avais découvert une vocation pour les métiers de la coiffure et de l’esthétique. Ma formation commencerait après les fêtes de Noël et s'étalerait sur l'année au complet. Une semaine de travail en institut, une semaine de cours, et ainsi de suite. J'avais eut confirmation de l'école la veille et avait décider de lui en faire la surprise, alors je posais l'enveloppe en évidence devant sa tasse de chocolat, un chocolat fait à sa façon, un verre de jus d'orange, un tartine de beurre/confiture et j'apportais le tout dans la chambre.
Dernière édition par Emily Holloway le Sam 16 Nov - 8:41, édité 1 fois
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Ven 8 Nov - 13:04
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
J'ai passé le dernier mois tranquille, sans vraiment attendre quelque chose de la part d'Emily, sauf ses crises de larmes. Ce que je comprend tout à fait. Nous ne perdons pas à tous les jours la personne que nous aimons le plus. Pour elle, s'était maintenant et pas dans 10 ans. Emily venait de perdre son frère, ce dernier venait de perdre son combat. Pour la rassurée... je ne sais pas trop ce qui est arrivé, mais j'ai essayé de rester près d'elle, de toujours être à l'écoute au cas où elle aurait quelque chose à dire, à me révéler ou, tout simplement, pour se vider le coeur. Depuis environ un mois, nous partageons la même chambre, le même lit, mais je ne lui ais plus retouché, de peur qu'elle puisse le prendre mal, avec tout ce qui venait d'arriver. Enfin, avec tout ce qui était arrivé la première fois. Une journée qui aurait dût commencé en amoureux, quelque chose d'extraordinaire. Au lieu de tout ça, un drame et un voyage chez la grand-mère d'Emily, pour réaliser que tout était bien vrai, que Josh était vraiment parti pour un monde meilleur, disent-ils. Je crois que sa grand-mère a compris à ce moment là pour sa petite fille et moi, puisque je ne l'ai pas lâché d'une semelle, lui tenant la main et, une seule fois, posant mes lèvres sur les siennes, lorsque j'ai dut m'absenter un moment pour appeler ma mère, lui indiquant notre problème. Je n'ai pas eut le courage de parler à la grand-mère d'Emily. Je savais que ce que je voulais lui demander n'était pas vraiment opportun. J'allais devoir attendre et je comprenais tout à fait. Lors de l'enterrement de Josh, je n'ai aucunement porté attention à mes beaux-parents. De toute manière, je crois que ceux-ci ne me connaisse pas vraiment. En parlant d'eux, ils ont finalement compris qu'Emily existait, mais je crois qu'elle, les as oublié. Et je la comprends tout à fait. Moi-même, je ferais pareil, voir pire.
Samedi matin, près de 7 heures et un... comment rester poli... un abruti, un cinglé, un débile, une personne sans jugeote, un être sans coeur, une personne immonde, vient ici je vais te tuer... enfin, quelqu'un qui n'a aucune allure a décidé de klaxonner directement sous la fenêtre de notre chambre. L'espèce de con... Je me suis retourné, faisant dos à Emily, espérant que celle-ci ne soit pas réveillée. J'aurais bien aimé savoir si oui ou non, elle avait les yeux ouverts, mais ces derniers temps, elle dormait si peu que lorsque j'en avais l'occasion, je la laissais aller. Je n'avais pas envie, si jamais elle dormait toujours, de la réveiller et de lui imposer ma présence. De toute manière, elle allait devoir m'endurer pendant un certain temps encore, puisque je refusais de retourner à la boutique de mon grand-père, tant qu'Emily ne se sente pas mieux. Je ne voulais pas la laisser seule, de peur qu'elle puisse faire une connerie. Je ne sais pas trop laquelle, mais bon. Emily se leva, se qui me fit soupirer. Finalement, elle ne dormait pas assez fort, dommage. Elle fit le tour du lit, s'approcha de moi et m'embrassa au beau milieu du front, comme elle le faisait depuis le tout début. J'ai fait semblant de dormir, espérant qu'elle puisse revenir se coucher près de moi. Si tel était le cas, j'allais finir par venir me coller tranquillement, lui procurant toute la chaleur que je pouvais lui donner par la même occasion.
Ma douce décida de sortir de la pièce, j'ai donc dut remonter la couverture jusqu'à mon cou, complètement gelé. Pour une raison inconnue, depuis deux ou trois jours, je commençais à éternuer, à tousser et tout le reste. Probablement un commencement de grippe, ce qui était inutile, puisqu'Emily avait tellement besoin de moi. Je devais rester fort pour elle et toujours pouvoir l’accueil, si elle avait besoin d'aide et de parler. J'entendis des pas dans la chambre, ce qui me fit ouvrir les yeux. ''Tu ne te recouches pas quelques minutes?'' Emily se tenait là, près du lit, avec mon petit déjeuner entre les mains. ''Je crois que tu as oublié le tien en route, non?''
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Ven 8 Nov - 15:34
party for the rest of my life.
Lorsque je suis revenue dans notre chambre, David était réveiller, malgré ma peine, je ne pu m’empêché de lui sourire, en fait, il était la seule personne à parvenir à m’arracher un sourire et de temps en temps un rire. Il avait toujours compté pour moi, mais maintenant, c’était pire, il m’aidait à ne pas sombrer. Je sais bien que passé mes journées à pleurer et à hurler contre tout et n’importe quoi ne fera pas revenir mon frère, mais parfois, la douleur est trop vive. Heureusement, je commence peut à peut à me faire à l’idée qu’il est bien mieux là ou il se trouve, au moins, il ne souffre plus et je me dis aussi qu’il ne voudrait pas que je sois triste indéfiniment, alors voilà, je retrouve le chemin de l’apaisement, tout doucement, grâce à David. Et de le voir, de l’entendre, me fait du bien, alors, je lui souris et en deux pas, je suis à ses côtés. Il a remarqué le plateau entre mes mains et me demande de le rejoindre, tout me questionnant sur le fait que je n’ai apporté qu’un seule plateau. Je pose ce dernier sur la table de nuit, avant de l’embrasser tendrement sur les lèvres. « Deux petites minutes, je vais chercher mon bol de céréales, je ne voulais pas tout emporter et tout flanquer par terre, comme l’autre jour ! » Dis-je, avec un nouveau sourire. « Je reviens vite ! » Et je quitte la pièce pour aller chercher mon bol. Je n’avais pas tellement faim, mais je sais bien que David insisterait pour que je mange, et il à raison, alors je me force un peut. Encore une fois, ne plus me nourrir ne servirait à rien, c’est comme la nuit. Je dors peut, parce dès que je ferme les yeux, je repense à tout ce que j’ai manqué de la vie de mon frère, à cause de nos parents et ça m’empêche de me reposer. J’attrape le bol ainsi qu’un petit paquet destiné à David, je voulais attendre nos trois mois pour le lui offrir, et finalement, je pense que c’est le moment. Lorsque je le rejoins dans la chambre, je pose mon bol sur ma table nuit et rejoint mon petit ami dans le lit, bien confortablement blottie dans ses bras. « Ah ! Comme ça, c’est beaucoup mieux ! » Dis-je, en me tournant vers lui. « Tu es tout pâle … » Constatais-je alors. Il n’avait pas l’air d’aller bien et ses mains étaient glacées. Je lui ai tout de même donné le petit paquet, ainsi que l’enveloppe. « Le cadeau, c’est juste pour te remercier d’être un petit ami aussi merveilleux. Je voulais te le donner pour nos trois mois, mais je ne peux plus attendre. Ces dernières semaines, je n’ai pas été franchement la petite amie idéale et j’en suis désolée. Je voulais te dire que je suis très heureuse de t’avoir dans ma vie, que ta présence me fait un bien fou et que c’est grâce à toi que j’arrive à surmonter tout ça. Tu le sais déjà, mais je t’aime et tu es ce qu’il m’est arrivé de mieux. Je te promets que je vais aller mieux et redevenir la fille joyeuse dont tu es tombé amoureux. Dans l’enveloppe, c’est … Il y a quelques temps, tu m’as demandé, sans me l’imposer de réfléchir à la possibilité de reprendre mes études. Et donc j’ai réfléchis, j’ai vu une conseillère et en janvier prochain, je commence une formation en alternance. »
Dans le paquet, il y a ... ce que tu veux ! Je n'avais pas d'idée, je voulais juste qu'Emily face un cadeau à David, alors c'est un truc mignon et qu'il vas aimer, mais choisit ce que c'est
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 3:39
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
En quelques secondes, Emily était déjà repartie, à la recherche de son petit déjeuner. J'ai regardé le mien un instant, avec de grimacer. Pas question que j'avale quoi que ce soit. Il allait rester sur la table de nuit, quoi qu'il arrive. De toute manière, j'étais trop gelé pour sortir du lit et aucunement question que je déjeune ici. La dernière fois que nous l'avions fait, soit de prendre un petit déjeuner au lit, on avait fini par ramasser le contenu au grand complet des deux plateaux dans le lit. Je préférais donc faire attention, surtout que je savais très bien que j'étais capable de tout saccager en quelques temps et Emily aussi. Cette dernière revient avec un bol de céréales et pris place à mes côtés. Je me suis forcé à sourire un instant, lorsque vint se coller contre moi. Sa chaleur me faisait un bien fou. « Tu es tout pâle … » Je lui ais fait uniquement un signe de la main, pour lui indiquer que tout allait bien, de ne pas s'en faire. Emily me donna alors un petit paquet, ainsi qu'une enveloppe. ''Tu sais que maintenant je me sens coupable de ne rien t'offrir? Lorsque j'irais mieux, tu viendras avec moi faire les boutiques et tu choisiras ce qui te fait plaisir.'' Pour l'enveloppe, je l'ai simplement ouverte, tandis qu'Emily me disait ce qui se cachait à l'intérieur. J'ai levé les yeux vers elle un instant, ne sachant pas quoi lui répondre sur le moment. Et puis, tout en ouvrant l'enveloppe, j'ai compris qu'elle ne blaguait pas, qu'elle allait vraiment reprendre ses études. ''Est-ce que tu... enfin....'' J'ai simplement remis la feuille dans l'enveloppe, avant de la lui rendre. ''Je croyais que nous devions en parler ensemble avant, non? C'est combien de temps tes cours? 1 an, 2 ans? Et.... Tu vas partir loin d'ici?'' Bon... Maintenant je commençais à paniquer. ''Je croyais qu'on... C'est juste que... Je suis content pour toi, vraiment.''
J'avais un peu de difficulté à comprendre le tout. J'ai posé mes yeux sur la surprise qu'Emily venait de m'offrir, sans toute fois l'ouvrir. Avait-elle pensé que le tout serait plus facile à avaler avec un cadeau? ''Je croyais que tu voulais une famille Emily....'' Mes paroles étaient devenues paisibles, sans vraiment de force. Je n'avais pas envie de m'en prendre à elle et encore moins de lui dicter sa vie. De toute façon, elle avait été clair sur bien des choses, comme sur le fait qu'elle souhaitait attendre avant d'avoir des enfants. Génial... Tu mets quelque chose dans la tête de ton petit ami et finalement, tu décides de faire autre chose, empêchant que le reste n'arrive. C'est gentil. Très gentil. ''Tu renonces à une vie de famille alors?'' Je voyais mal Emily devoir continuer ses études, tout en essayant d'avoir des enfants par la même occasion. Et je me voyais mal devoir attendre qu'elle puisse terminer ses études et ensuite, la voir travailler comme une folle. ''C'est juste que j'avais pensé qu'on... J'avais fini par me faire à l'idée que j'allais avoir la mienne dans quelque temps, c'est tout.'' Tout en parlant, j'avais fini par m’asseoir dans le lit, mais maintenant, après avoir mentionné mes derniers mots, je me suis recouché quelques secondes avant de me retourner et de déposer le cadeau qu'Emily m'avait offert par terre, sans l'ouvrir encore une fois. ''Tu croyais qu'en m'offrant quelque chose ça passerait mieux, c'est ça? Pourquoi est-ce que tu... tu me mets certaines choses en tête et ensuite, tu fais tout pour que je les oublies? Pourquoi est-ce que tu...'' Non, je n'avais pas le droit d'agir ainsi avec elle. Elle venait de perdre son frère, il y avait de cela environ un mois et moi, je m'empressais de lui reprocher certaines choses. ''Merci pour le déjeuner, mais je n'ai pas faim.'' Bien, et maintenant, je changeais de sujet.
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Spoiler:
Ha ha, j'ai pas ouvert le paquet Tu chercheras quoi m'offrir
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 9:09
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Cela commençait mal, pensais-je, en voyant son sourire forcé tandis que je me blottissais contre lui. « Non, ce n'est pas la peine. Je t'ai offert ça parce que j'en avais envie, pas pour avoir quelque chose en échange ! » Ai-je répondu lorsque David m'a dit que maintenant, il se sentait obligé de m'offrir quelque chose et que quand il se sentirait mieux, il m’emmènerait faire les magasins afin que je choisisse ce qui me ferait le plus plaisir. Je ne voulais rien en échange, sa présence me suffisait. J’attendais donc avec impatience qu'il découvre sa surprise, mais il préféra ouvrir l'enveloppe tout en écoutant mes explications. Là, je m'attendais à un sourire de sa part, puisqu'il m'avait dit vouloir que je reprenne mes études afin de faire autre chose de ma vie, au lieu de ça, j'eus le contraire en voyant son visage se décomposer. Qu'avais-je encore fait ? Voilà qu'il me reprochait de ne pas lui en avoir parlé avant, je n'allais pas lui en parlé puisque c'était censé être une surprise ! Il me demanda combien de temps cela allait duré et si j'allais devoir partir loin, avant de terminé en disant qu'il était content de mon choix. « Pas la peine de me mentir, je vois bien que ça ne te plait pas. » Dis-je, peinée, et cette fois, ce n'était pas à cause de la disparition de mon frère adoré. « Un an, et je ne part pas, l'école est au bout de la rue, tout comme le lieu de travail ! » J'ai tout de même répondu à ses questions, même si ma voix partait dans les aiguës, signe que j'étais mal à l'aise. J'avais voulu bien faire, réfléchir à sa proposition, me renseigner et finir par admettre qu'il avait raison, au lieu de ça, je le décevais, encore.
Je compris alors ce qui n'allait pas ... La famille. Oui, c'est vrai, j'avais dit que j'en voulais une, avec lui, mais dans ma tête, c'était pas tout de suite, dans un an ou deux, au moins, parce que pour être honnête, je me sentais pas encore prête, j'étais bien trop gamine dans ma tête, mais j'avais le sentiment que i je disais ça, il allait mal le prendre. Mieux valait ravaler ma colère et abandonner mes projets, tant pis si j'avais mis toute mon énergie là dedans. Je repris le document, en lui arrachant presque des mains et entreprit de le déchirer en mille morceaux pour en faire des confettis. « Tu crois vraiment que je suis aussi peste que ça ? On peut très bien concilier les deux. Mais bon, peut être qu'un jour ... Laisse-tomber, oublie les cours, je vais les appeler pour leur dire que j'abandonne, et dans la foulée, je démissionne de l'hôpital ! » Dis-je, en me levant brusquement. Alors que j'allais passé la porte, je l'entendis me dire qu'il n'avait pas faim. « Moi non plus ! » Et je quittais la pièce, furieuse. Tellement furieuse que rendu dans la cuisine, je me rendis compte que 'javais oublier les plateaux des petits déjeuners. Je retournais donc dans la chambre pour les récupérer, dans un regard pour mon petit ami, en revanche, j'avais remarqué qu'il avait poser son cadeau par terre, sans l'ouvrir. Très bien, si il n'en voulait pas, je le balancerais à la poubelle, mais alors, je peux vous dire que le jour ou il se pointe avec un cadeau, il sera bien reçu !
Une fois dans la cuisine, la totalité des petits déjeuner se retrouva dans la poubelle, et dans mon empressement, la vaisselle et les couverts s'y retrouvèrent aussi. Je fus donc obligé de plonger mes mains dans les ordures afin de les récupéré et de les laver. Quand se fut fait, j'entrepris d'enlever une par une mes pilules de la plaquette avant de balancer le tout dans les toilettes et de tirer la chasse. Voilà, maintenant, je n'avais plus de contraceptif, on pouvait la fonder, sa famille ! Quoique pour ça, il faudrait encore qu'il arrive à me toucher, pensais-je. C'était à s'arracher les cheveux ! Rien de ce que je faisais ne lui convenait. Il me demande de reprendre mes études et quand je le fait, il ne veut plus. Si ça trouve, dans quelques mois, lorsque je serais enceinte, il changera encore d'avis, sauf que là, il sera question d'un être humain, je pourrais pas annulé en déchirant un papier ou en composant un numéro. J'allais ensuite dans la salle de bain, histoire de prendre ma douche et une petite dizaine de minutes plus tard, vêtue d'un peignoir de bain, je retournais dans notre chambre.
David n'avait pas bouger. Et contrairement à ce qu'il m'avait assuré, il n'allait pas très bien. Pas bien du tout même. Il était livide, il tremblait de froid, et pourtant de grosses goûtes de sueur perlait sur son front. Inquiète, j’abandonnais l'idée de m'habillé et m'approchais de lui. « Tu es brûlant, » constatais-je en posant une main sur son front. « J'appelle un médecin ! » Et sans attendre qu'il ne proteste, j'attrapais mon portable sur ma tablette de nuit et composais le numéro de mon généraliste. Il était de bonne heure, il pouvait donc passé de suite. Je le remerciais et raccrochais. Ma colère s'était envolée. Ce n'était qu'une simple grippe, mais je n'aimais pas le voir dans cet état. Il semblait si vulnérable. J'ouvris la commode et en sortie une couverture supplémentaire afin de la lui mettre le dos.
Oh que non ! Si David ne l'ouvre pas, Emily le jettera, elle en est capable :( Mais elle attendra que tu soit guéris !
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 15:11
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Une drôle de matinée
''Je veux juste qu'on discute, pas que tu déchires tout en morceaux.'' Cependant, Emily ne m'écouta pas. Elle mentionna même qu'elle finirait par quitter son travail à l'hôpital! Je l'ai regardé un moment, sans broncher. Me disait-elle le tout sur le coup de la colère ou était-elle vraiment sérieuse? Je l'ignorais et je n'avais pas vraiment l'intention de me pencher sur le sujet dans l'immédiat. De toute manière, elle ferait à sa tête, encore une fois. Elle se leva et se dirigea vers la porte d'entrée, mais lorsque je lui fis mention que je n'avais pas faim, elle me cria presque ses mots, avant de me refermer la porte au nez. C'était quoi son problème? Au départ, lorsque je lui avais dit que je ne voulais pas d'enfants, elle était prête à y renoncer, uniquement pour me faire plaisir. Après y avoir réfléchis un peu, j'avais fini par changer d'idée, trouvant même que c'était une bonne idée. Mais maintenant, elle n'avait plus l'air aussi certaine d'elle. Plus certaine du tout.
Emily revient dans la chambre quelques secondes après. Tout sourire, j'ai essayé de me redresser pour lui parler, pour essayer de lui fournir des explications, mais aucun regard de sa part. Elle attrapa uniquement les plateaux et disparue aussi vite qu'elle était arrivée. Sincèrement, c'était à ne plus rien comprendre. Elle était heureuse et puis, soudainement, elle ne l'était plus. La mort de son frère y était pour beaucoup, je le savais. Et je comprenais tout à fait. Par contre, elle devait se mettre un truc dans la tête... Que moi, j'étais toujours là pour discuter avec elle et pas uniquement pour avoir son air bête et l'entendre me mentionner je ne sais quoi en guise de paroles méchantes. Ou encore, un semblant de regard, l'embrassade du matin qui ne voulait plus rien dire et un boucan infernal de la cuisine ensuite. J'entendais ses allées et venues, sans cesse. Salle de bain, cuisine, salle de bain, salon, cuisine, l'eau qui coule à la cuisine, salle de bain, la chasse d'eau, retour au salon.... Qu'était-elle entrain de faire au juste? J'étais tenté de me lever et d'aller vérifier, mais encore une fois, j'ai préféré rester de marbre, sachant qu'elle allait certainement me mentionner que tout allait bien. Comme si tout ceci pouvait être vrai. Le silence se fit quelques minutes, elle devait être sous la douche, vu l'eau coulante qui se faisait entendre.
Soudainement, la porte de la chambre s'ouvrit sur une Emily... un peu énervée? Disons que c'est l'impression qu'elle me donnait. J'ai préféré rester sous la couverture et fermer les yeux un moment, espérant qu'elle puisse disparaitre calmement et me laisser seul quelques minutes encore. Et pourquoi pas toute la journée aussi? Voyant qu'elle ne partait pas, j'ai fini par ouvrir à nouveaux les yeux. Emily déposa la paume de sa main sur mon front et décida d'appeler un médecin. J'ai ouvert la bouche pour lui répondre que ce n'était pas nécessaire, mais encore une fois, elle fût trop rapide pour moi. Lorsqu'elle revient près du lit et déposa une couverture de plus sur mon corps, j'ai fini par lui dire ma façon de penser. Peut-être que ce n'était pas le temps, mais peu importe. ''Pourquoi il faut toujours que tu décides pour moi? Ton médecin, je ne veux rien savoir. JE VAIS BIEN! Je te le répète sans cesse... J'ai juste besoin de dormir et que tu arrêtes de prendre toutes mes paroles au sérieux. Des enfants, pas pour le moment, aucun problème. Et pourquoi pas jamais aussi! Je suis partant pour revenir sur mes anciennes paroles. Prends tes études et soit heureuse dans ce que tu fais. Je ferais pareil de mon côté.'' Lentement, j'ai commencé à repousser la deuxième couverture qu'Emily m'avait donné. Pas la peine de le mentionner, mais j'avais de la difficulté à le faire. J'ai donc décidé de faire comme si de rien n'était, me retournant vers Emily. ''Tu peux, s'il te plait, appeler ton médecin et lui mentionner que c'était une fausse alerte? Je vais bien, c'est uniquement un petit rhume... Fais-moi confiance.''
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 15:36
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« Puisque tu vas si bien que ça, tu n'as qu'à l'appeler toi ! » dis-je, en lui jetant le téléphone à la figure. La barbe ! Quand il s'occupait de moi, je me laissais faire, je ne disais rien de travers et l’inverse, il ne fallait surtout pas, à croire que sous prétexte qu'il est un mec, il ne doit pas avoir d'intention de ma part. Et bien, puisqu’il allait aussi bien, qu'il se débrouille tout seul. Avant de sortir, j'ai attrapé rapidement de quoi m'habiller et je l'ai planté là. Honnêtement, je n'y comprenais rien. Il me faisait passé pour la méchante, encore une fois. Qui avait complètement paniqué lorsque j'avais exploser le miroir de ma commode sous le coup de la colère ? Lui ! Allant même jusqu'à croire que je voulais me suicider. Et quand lui n'allait pas, je devais le laisser souffrir sans rien dire ? Je m'excuse, mais je ne vois pas pourquoi je ferais ça. Appeler un médecin était la meilleure chose à faire, mais puisque Monsieur allait soit disant bien, et bien qu'il se débrouille, c'est tout. En attendant, le jour ou moi, je me sentirais mal, si il me fait un coup pareil, il sera bien reçu ! Je pouvais avoir un caractère de chien quand je le voulais.
Toujours aussi furieuse, j'ai quitter la pièce afin de m'habiller dans la salle de bain. Pour le reste, je ne savais pas du tout quoi faire de ma journée. J'étais du goût de retourner le voir, parce que mine de rien, même si j'étais furieuse contre lui, j'étais inquiète. Je ne voulais pas le perdre comme j'avais perdu mon frère. Alors, je tendais l'oreille, j'écoutais, de temps en temps, je m'approchais de la porte de la chambre, sans me montrer, silencieuse, juste pour voir si comme il me le soutenais, il allait bien. Qu'il le veuille ou non, si ça n'allait pas, il allait m'avoir sur le dos.
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 16:39
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
Lui dire de me faire confiance était peut-être de trop finalement. C'est le combiné du téléphone que je reçu au visage, sans aucune excuse de sa part. Uniquement quelques mots dit vite fait, comme quoi que je devais moi-même appeler SON médecin pour annuler le rendez-vous QU'ELLE avait pris. ''Merci, trop gentil.'' Je n'étais même pas certain qu'elle aille entendu mes mots, puisqu'elle avait refermé la porte aussitôt, probablement en colère contre moi. J'ai simplement regardé le téléphone un moment avant de me mettre à pleurer. Bon d'accord, je m'explique. Trop de choses c'était passé dernièrement, je venais uniquement de comprendre que trop, c'était trop. L'amour d'Emily, me faisant comprendre que je ne serais plus jamais seul et ensuite, la mort de mon beau-frère, l'apparition de mes beaux-parents et maintenant... Emily qui refusait de s'expliquer et qui préférait me faire la tête. J'ai tout bonnement, sur un coup de tête, lancé le téléphone au travers la pièce. Ce dernier se fracassa sur la porte, avant de tomber sur le sol. Je savais très bien qu'Emily l'avait entendu, elle devait certainement écouter sur le bord de la porte, probablement l'oreille collée, espérant que tout aille bien. Je n'allais certainement pas lui donner la chance qu'elle puisse comprendre que non, ça allait mal dans ma vie et encore plus ce matin.
Lentement, je me suis levé, avant de m'essuyer grossièrement les yeux et de commencer à m'habiller. Je voulais lui montrer que tout allait bien, que ce n'était pas uniquement un peu de température ou encore, sa mauvaise humeur matinale qui allait me détruire la vie. Je suis sorti de la chambre, trainant des pieds, avant de me diriger vers la cuisine, espérant pouvoir me faire un café. Depuis quand je prenais du café? Aucune idée, mais j'avais bien l'intention de m'en faire un. Et avec quoi? Je suis resté quelques secondes dans mes pensées, tasse vide en main, en pleins milieu de la cuisine. Je savais bien qu'Emily était tout près et qu'elle me regardait, mais peu importe. J'ai tout simplement rebrousser chemin avant de remettre la tasse sur le comptoir et de prendre appui sur ce dernier. ''Je suis désolé.'' Lentement, j'ai relevé les yeux vers elle, espérant qu'elle puisse comprendre que je l'étais pour de vrai. ''Tu peux... Je suis vraiment heureux pour toi. Pour tes études, c'est une bonne idée. Tu vas les prendre en quoi, finalement?'' Je croisais les doigts pour qu'elle ne me mentionne pas qu'elle avait décidé de tout laisser tomber, que finalement, elle préférait continuer sur ce qu'elle m'avait dit, soit de tout laisser tomber. ''J'ai pas le... le numéro de ton médecin. Si jamais ça s'aggrave, je vais aller moi-même aux urgences, d'accord? J'ai pas envie qu'on fasse de moi une victime, c'est tout. Et je sais que tu ne fais pas ça pour être méchante, au contraire. Mais je vais bien. D'ici demain, je vais être le premier à me lever et à courir comme un gamin dans tout l'appartement, c'est promis.''
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 17:05
party for the rest of my life.
Lorsqu'il s'est excusé, je n'ai rien répondu, j'étais encore trop remontée contre lui pour baisser les armes. Je n'ai pas non plus répondu quand il m'a parlé de mes études. De toute façon, c'était terminé, j'avais déchiré le document et envoyer un email à l'école. J'ai un énorme défaut, je suis quelqu'un d'impulsif et quand quelque chose ne vas pas, qu'on me contrarie, je jette tout et je le regrette ensuite. J'allais regretter mon geste, c'est certain, pour l'heure, j'étais encore top en colère pour m'en soucier. Moi qui pensais passé une journée en amoureux parce que je me sentais mieux, c'est raté. « Je vais préparer une thèse pour sur 'comment être moins stupide en 20 leçons', peut être que ça me sera utile, vu que tout ce que je fais, c'est nul. » Ai-je répondu sans lever les yeux de mon livre. Quand il m'indiqua qu'il n'avait pas le numéro de mon médecin, je fut tenté de lui répondre de se débrouiller, puisque, comment avait-il dit déjà ? Ah oui, je décide tout à sa place. Au lieu de ça, j'ai ravalé mes paroles « Regarde sur le petit carnet rose à côté du téléphone, normalement, il est sur la page principale, la première. » Par contre, quand il parla d'aller de lui même aux urgences si jamais ça s’aggravait, je trouvais ça grotesque de sa part. « Tu ne veux pas qu'on fasse de toi une victime ? C'est pourtant ce que tu fais avec moi. Dès que j'ai mal à la tête ou que je me casse un ongle, tu accourt avec la trousse de secours. Pour autant, je ne m'en plain pas, je suis heureuse que tu le face. Alors pourquoi quand c'est moi qui veut prendre soin de toi, tu le prend mal ? Tu préférais que je te laisse te débrouiller tout seul et souffrir en silence ? Je suis désolée, mais ça, je ne peux pas. Je ne peux pas rester sans rien faire quand je te vois avec cette là ! »
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 17:34
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
Une thèse pour qu'elle puisse être moins niais? Je savais qu'il existait un livre intitulé: Comment comprendre les femmes pour les nuls. Je crois que j'allais me l'offrir, dans quelques heures. Ou du moins, lorsque je serais capable de sortir de l'appartement, sans avoir peur de tomber par terre. J'ai relevé les yeux un moment vers Emily, tout en lui demandant la numéro de son médecin. Lorsqu'elle me mentionna que ce dernier se trouvait dans son carnet, j'ai fermé les yeux un moment, de peur de recevoir ce dernier par la tête, encore une fois. Jamais un sans deux et deux sans trois. Enfin, quelque chose ressemblant à ça. Tu ne veux pas qu'on fasse de toi une victime ? C'est pourtant ce que tu fais avec moi. Emily avait raison, je devais la laisser tranquille quelques temps. ''J'ai peur de te perdre, c'est tout.'' Mes mots étaient bas, je ne savais pas si mon amie avait fini par les entendre ou non. J'espérais seulement que si jamais elle les avaient compris, qu'elle pouvait me mentionner que tout irait bien, comme je le lui avais mentionné, bien des fois avant. ''Selon certaines personnes, je ne prend pas assez soin de ceux que j'aime. Je voulais seulement... Je vais te laisser tranquille, c'est promis.''
Si c'était pour qu'elle se sente mieux, j'allais m'éclipser un peu, la laisser respirer un moment. Tout ce que je voulais, était de lui faire comprendre que j'étais présent près d'elle, quoi qu'il puisse lui arriver. C'est bien à ça que ça sert un petit ami, non? Enfin, si ce dernier n'est pas capable de vous rendre heureuse, alors pourquoi continuer de la sorte. ''J'ai... j'ai parlé avec ta grand-mère hier. Elle m'a dit de ne pas t'en parler, que ça serait mieux pour toi.... Je... Je m'en veux pour Josh. Tu voulais aller le voir le soir avant sa mort pour passer la fin de semaine avec lui. Et moi, à la place, je t'ai forcé à rester avec moi et Anaïs. Si j'aurais fait à ma tête, tu aurais été près de lui. Il ne serrait pas parti seul et toi, tu aurais pu passer un peu de temps avec lui avant qu'il ne parte ailleurs. Je suis désolé d'être aussi égoïste, de penser qu'à moi sans cesse et non à ton bien.'' J'ai fini par prendre place à table, assis sur une chaise, regardant devant moi quelques secondes, avant de me tourner vers Emily. ''Ça ne peut plus durer Mily... À chaque fois que je pose les yeux sur toi, j'ai l'impression que ça te déplais. Et... tu commences sérieusement à me manquer.''
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 17:59
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« Moi aussi. » Ai-je répondu lorsque David m'a indiquer qu'il agissait ainsi parce qu'il ne voulait pas me perdre. « Je ne t'ai jamais reprocher d'être présent David, au contraire. J'aime quand tu fais tout ça pour moi, je me sens en sécurité. Ce que je voudrais, c'est que de temps en temps, tu me laisse faire la même chose pour toi, c'est tout. Alors ne me laisse pas tranquille, parce que c'est quand tu es près de moi que je me sens le mieux. » Je l'ai regardé un moment, certaine qu'il allait protesté, me dire que je n'avais pas à m'inquiété pour lui, que ce n'était pas mon rôle. Le genre de paroles typiquement masculines. Il m'avoua ensuite qu'il avait parlé à ma grand-mère la veille, que cette dernière ne voulait qu'il m'en parle, mais qu'il tenait à le faire ensuite. Il m'indiqua alors qu'il se sentait coupable pour mon frère, parce que je voulais passé la soirée avec lui, et qu'il avait insister pour que je reste. Je sentie mes yeux se brouiller de larmes. « Ne te sent pas responsable David, tu n'y est pour rien, moi en revanche ... Il était malade, tu peut me dire pourquoi moi j'ai pas eut cette maladie ? Pourquoi j'ai pas pu l'aider ? » Je mis à renifler bruyamment, très sexy tout ça. « Et tu n'es pas égoïste ! » Ajoutais-je en m’essuyant les yeux du revers de la main. Il s'est ensuite assis en face de moi, m'avouant par la même occasion qu'il avait l'impression de me déplaire chaque fois qu'il posait les yeux sur moi, que ça ne pouvait plus durer et que je lui manquais. J'espère qu'il ne voulait pas me quitter, parce que là, ça serait la fin de tout. « Toi aussi tu me manque. » Dis-je, d'une petite voix. « Tu veux bien me prendre dans tes bras ? »
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Sam 9 Nov - 23:50
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
D'accord, j'allais resté près d'elle, mais dorénavant, j'allais devenir beaucoup moins collant. Elle allait avoir une grippe, tant mieux pour elle! Elle tomberait dans un escalier, pauvre petite... Plus question de courir à son secours, j'avais compris le message. Elle paniquerait à la vue d'une guêpe? J'allais applaudir. Elle tomberait dans une cage remplie de lion? J'apporterais du maïs soufflé pour le spectacle! Elle allait se faire poursuivre par un tueur en série? J'allais filmer la scène. Tout comme le bon petit ami que j'étais. Et tout ça, toujours en gardant le sourire. Ça, c'était ma soeur qui me l'avait appris. Si tu fais le mal, fait le bien. Il fallait croire que c'était de famille, toutes ces belles valeurs. Pour abréger ses souffrances avant que je ne décide de m'ouvrir la trappe et que je lui mentionne quelques petites idées que j'avais en tête, j'ai commencé à lui parler de Josh. Tiens, je venais de me rendre compte que son frère avait eut un charmant prénom. Tout mignon, en plus. ''Tu n'as peut-être pas eut sa maladie, je te l'accorde, mais tu en a eut une autre. Et elle est debout devant toi.'' D'accord, ce n'était peut-être pas nécessaire de me traiter de maladie et tout le patelin des conneries, mais bon. Lorsqu'elle me mentionna que je n'étais pas égoïste ''à d'autre'', j'avais l'impression de me répéter sans cesse. Je me suis assis devant Emily, le souffle court. J'avais l'impression que si jamais je lui disais un mot de travers, j'allais finir par recevoir autre chose que le téléphone au visage. Et peut-être ailleurs, par la même occasion.
Au moins maintenant, une chose était certaine, je lui manquais aussi. Je n'avais peut-être pas été le meilleur petit ami collant que la Terre est pu engendrer ces derniers temps, mais au moins, j'avais été présent pour l'entendre pleurer et pour l'épauler. Je me voyais mal commencer à lui faire des reproches, lui mentionner que je voulais un peu d'attention de sa part, avec tout ce qui venait de se passer dernièrement. Pour seule réponse, lorsqu'elle me demanda si je pouvais la prendre dans mes bras, je lui fis un mince sourire avant de tirer la chaise vacante à mes côtés, essayant de lui faire comprendre qu'elle n'avait qu'à venir s'installer près de moi. ''Pas de problème, mais plus d'embrassade. Je ne veux pas que tu attrapes ce que j'ai en ce moment. On ne sera pas d'avance si tu tombes malade toi aussi. Et... est-ce que tu savais que tu m'avais fait mal tout à l'heure avec le téléphone? L'espace d'un instant, je me suis senti comme Evan Peters avec Emma Roberts! Tu sais... elle bat son petit ami...'' Je suis resté en silence quelques secondes, essayant de trouver autre chose à lui mentionner. ''Ou comme Rihanna avec Chris Brown... À non, ça ne fonctionne pas ça... Comme Miley Cyrus alors? Pauvre Liam! Quand on y pense comme il faut. Moi, si j'étais à la place de son amie... tu sais, la grande blonde qui se prend pour je ne sais qui... chose là.... À oui, Jessica Laronde, j'irais lui dire ma façon de penser. Ou sinon, si j'étais l'autre là, tu sais, la jolie bombe sexy qui joue le rôle de Peeta... et bien, j'irais lui brasser les oreilles à cette Miley idiote.''
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Dim 10 Nov - 9:02
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Que pouvais lui répondre ? Il se décrivait comme si il était la plus mauvaise chose qui me soit arrivé, alors que c'était faut. Je crois que j'aurais beau protesté et lui assurer pendant des heures qu'il était loin d'être comme il le disait, ça ne servirait à rien. Je ne comprenais pas ce besoin qu'il avait d'être méchant avec moi, d'accord, je m'étais emportée, mais c'était uniquement parce qu'il n'avait pas eut la réaction à laquelle je m'attendais et j'étais prête à mettre ma main au feu que si ça avait été l'inverse, lui aussi se serait mis en colère, ni plus, ni moins. J'ai donc une nouvelle fois dit qu'il n'était pas égoïste, mais sa réponse me fit froid dans le dos. « Si toi tu es égoïste, alors moi je suis un monstre et j'aurai du partir à la place de mon frère. » Ai-je répondu, le cœur lourd. De toute manière, à part une ou deux personnes, je n'aurais manquer à personnes et au vu des circonstances, je pense que David en aurait été soulagé.
Au moins, lorsque quelques minutes plus tard, je lui ai demandé si il pouvait me prendre dans ses bras, il n'a pas refusé, malgré le fait qu'il ne voulait pas m'embrassé, soit disant à cause des microbes. J'avais envie de dire, et alors ? Parce que très honnêtement, je me fichais pas mal d'être malade, mais j'avais cette mauvaise impression que ça l'arrangeait bien d'avoir une sorte de grippe, comme ça, il s'évitait la corvée de me toucher. Je me suis tout de même levée pour avoir mon câlin, j'en fut pour mon frais. Oui, il me prit dans ses bras, mais ça se sentait qu'il n'en avait pas vraiment envie. Je suis donc resté blottie contre lui une ou deux minutes, avant de m'écarté pour l'écouter. « Je suis désolée, je ne n'aurais pas du m'emportée comme ça, excuse-moi. » Ai-je répondu lorsqu'il m'indiqua que je lui avais fait mal en lui lançant le téléphone à la figure. C'était comme lorsque j'avais brisé le miroir, un acte irréfléchis, sauf que cette fois, ce n'est pas moi que je visais. je n'aurais pas du et je m'en était voulu aussitôt. Mais j'avais du mal à comprendre son mode de fonctionnement, il voulait que je sois présence pour lui, comme il l'était pour moi, et lorsque je le faisais, il s'emportait, disant qu'il ne voulait pas être traité comme tel et c'était à n'y rien comprendre. Il voulait quoi au juste ?
Après m'être excusé, je l'entendis me parlé de personnes que je connaissais pas, peut être des amis à lui ? Je ne posais toutefois pas la question, de peur de passé pour une imbécile, j'approuvais seulement d'un signe de tête, puis j'allais chercher mon carnet afin d'appeler le fameux médecin, pour annulé. Ce dernier avait complètement oublié, ça tombe bien. J'avais parlé fort, pour que David m'entende. Je suis retournée dans le salon, en le regardant, puis le cœur lourd, j'ai décidé d'aller un moment dans notre chambre. Lorsque j'y suis entré, le petit paquet, toujours parfaitement emballé était posé sur le sol, j'ai ravalé mes larmes et je suis ressortie le poser sur la table. Il ne devait plus être amoureux de moi sinon, il aurait ouvert mon cadeau au lieu de le laisser traîner. Je suis retourné dans la chambre et je me suis écroulé sur le lit, en larmes. Je pleurais pour tout et n'importe quoi, pour mon frère, mais aussi pour David, parce que j'avais peur de le perdre. J'ignore combien de temps je suis resté ainsi, mais j'ai finis par m'endormir. Un sommeil lourd, sans rêve. Quand j'ai ouvert les yeux, il était presque 17 heures. Mince ! J'avais dormis toute la journée, pour autant, je n'étais pas vraiment reposée.
Je suis sortie du lit, les cheveux dressés sur la tête, les yeux bouffies de sommeil, et encore rouges des larmes qu'ils avaient versés, bref, un monstre. Telle que je m'étais décrite en fait. Je suis sortie de la chambre et lorsque je vis David, assis dans le canapé, mon cœur à fait un bon. Pour autant, je me suis figée, incapable de marché, de parlé, en proie à une panique silencieuse. Mes jambes tremblaient tellement que j'ai du m'agrippé à la poignée de la porte pour ne pas tomber. Le petit paquet que j'avais posé sur la table avait disparu, mais j'ignore ce qu'il en avait fait, intérieurement, j'espérais qu'il ne l'ai pas jeter. Timidement, j'ai réussis à faire un pas, puis deux, et j'ai finis par m'approcher du canapé ou je me suis assise, près de lui.
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Dim 10 Nov - 14:39
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Une drôle de matinée
« Si toi tu es égoïste, alors moi je suis un monstre et j'aurai du partir à la place de mon frère. » Ok, maintenant, c'était trop. J'ai soupiré bruyamment un moment, espérant que mon amie puisse comprendre qu'elle commençait à me taper sur les nerfs et ce, royalement. Toujours entrain de se démolir, toujours entrain d'essayer de faire pitié pour que je lui mentionne que non, elle avait tort et que je l'aimais. Désolé, mais pas cette fois-ci. Je l'ai simplement regardé, sans lui répondre, espérant qu'elle puisse comprendre d'elle-même. Je n'avais pas la force de commencer à lui dire qu'elle avait tort, qu'elle devait arrêter de toujours tout ce mettre sur le dos et qu'un jour ou l'autre, cette façon de voir les choses allait la tuer. Mais j'espérais qu'avec le regard que je lui lançais présentement, elle serait bonne pour comprendre le tout par elle-même. Lentement, j'ai déposé mon menton au creux de ma main, cherchant une manière de m'expliquer pour ce qui était arrivé dans la chambre à coucher. Je ne savais pas trop comment aborder le sujet, mais une chose était certaine, j'aimais je ne lèverais la main sur elle. Pour ce qui était de son côté, je l'ignorais un peu, j'avais l'impression qu'avec ce qui était arrivé, tout était possible désormais. Je ne suis pas quelqu'un qui aime la bagarre et jamais je ne toucherais à une fille. Par contre, si jamais Emily continuait de la sorte, je ne pouvais pas vraiment savoir ce qui allait se passer ensuite. Une chose était certaine, c'est qu'elle pourrait faire tout ce qu'elle souhaitait de moi, jamais je n'allais me lever pour me défendre. Je ne suis pas comme ça, vraiment pas.
Un simple câlin glacial, quelque chose de cruel probablement. J'ai même senti Emily se contracter, trouvant probablement que je restais froid envers elle. Et c'était un peu le cas. Je ne savais pas vraiment comment agir avec elle, car même si elle s'excuserait, ses mots et ses gestes n'étaient pas sorti de ma mémoire. Et même lorsque j'ai souhaité faire un peu d'humour avec certains acteurs et chanteurs, elle a simplement approuvé, comme si ce que je disais ne lui ferait rien. C'était la seule manière que j'avais trouvé pour lui expliquer qu'elle m'avait fait peur, quelques minutes auparavant. Mais bon, si elle ne comprenait pas la situation, j'allais simplement me taire et laisser les choses continuer ainsi. Que pouvais-je faire d'autre? Me révolter? Je ne suis pas un maitre face à ce genre de situation, je préfère encaisser et me taire, au lieu de combattre. Emily se leva et décida d'appeler elle-même le médecin qui était censé venir me voir, dans les prochains instants. À l'entendre, ce dernier avait complètement oublié le malheureux que j'étais. Ça ne lui prenait pas grand chose pour devenir quelqu'un d'autre et tout oublier, on aurait bien dit. Probablement une tasse de café et un feuilleton et bye bye rendez-vous. Emily revient vers moi quelques instants, je me suis forcé à sourire. Un petit sourire de rien du tout, mais pas de remerciement, avant de reporter mon attention sur la table de la cuisine. Mais lorsque j'ai essayé de reposer mes yeux sur elle, Emily avait disparu et revient quelques instants plus tard, déposer le cadeau qu'elle m'avait offert sur la table, avant de retourner vers la chambre à coucher. À entendre ce qui se passait dans la pièce, Emily devait être entrain de verser toutes les larmes que son corps avait pu garder depuis longtemps. Rongé par la culpabilité, je me suis simplement levé, pris le cadeau d'une main et dirigé vers la cuisine, essayant de me préparer une tasse de thé.
Je n'ai pas entendu Emily pendant des lustres. Elle a finit par arrêter de pleurer et c'était probablement endormie. Enfin... L'entendre me brisait le coeur, mais j'avais l'impression que si jamais je faisais un pas vers elle, j'allais finir par essuyer un refus de sa part. Je ne sais pas trop pourquoi, mais c'est l'impression qu'elle donnait sur toute cette histoire. J'étais resté quelques instants au salon, avant d'aller chercher le carnet d'adresse d'Emily et faire un téléphone. Peut-être ainsi, j'allais finir par comprendre ce qui se passait. Je n'ai pas été très bien accueillis par la personne qui me répondit et visiblement, elle ne me connaissait pas. Ça me faisais un peu mal au coeur, mais comment lui en vouloir, la mère d'Emily n'avait jamais été présente pour elle. Jamais, jamais. J'ai fini par raccrocher et lentement, j'ai fermé les yeux un moment, essayant de trouver un peu de sommeil avant qu'Emily finisse par se lever et venir me voir. Ce qui arriva, quelques instants plus tard. Mon amie sortit de la chambre, regarda un moment à la cuisine et lorsqu'elle me vit assis au salon, elle essaya de trouver quelque chose à faire. Probablement n'importe quoi pour ne pas me parler, pour ne pas s'expliquer, comme tout à l'heure. Mais après quelques instants qui me parurent une éternité, elle décida, finalement, de s'approcher de moi et de s'assoeir à mes côtés, toujours en gardant le silence. J'ai finit par interrompre le silence gênant qui c'était installé quelques secondes plus tard, ne voulant pas rester le reste de la soirée ainsi, à se demander qui allait finir par faire le premier pas vers l'autre. ''J'espère que tu ne m'en voudra pas, mais j'ai appelé ta mère tout à l'heure. Elle aimerait bien nous voir demain après-midi, pour discuter et prendre un café au petit restaurant du coin. Je crois que vous avez beaucoup de choses à vous dire. Et elle aimerait que je sois présent également... Pour être sincère, elle n'était pas vraiment enchantée de toute la situation, mais j'ai fini par la pousser à accepter une rencontre, rien qu'entre nous trois. Et j'aimerais vraiment que tu acceptes. J'ai passé tout l'après-midi à me faire critiquer et à me faire dire des insultes par elle, uniquement en espérant qu'elle finirait par m'accorder quelques minutes le lendemain. Et j'ai réussis... Et merci pour la montre, c'est super gentil.'' J'avais fini par ouvrir son cadeau, sachant que lui faire la tête n'allait rien arrangé du tout. Je pouvais passer le restant de ma vie à la bouder et à lui faire la tête, mais je savais qu'Emily était encore plus têtue que moi, ou peut-être pas non plus, mais une chose était certaine, c'est que je ne voulais pas passer le restant de ma vie à regretter mes paroles et mes gestes passés. Ce que je voulais? Continuer de rêver à deux et continuer de faire des projets de couple, pas seul de mon côté.
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Dim 10 Nov - 19:30
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Timidement, j'ai réussis à faire un pas, puis deux, et j'ai finis par m'approcher du canapé ou je me suis assise, près de lui. Je suis restée silencieuse, j'avais énormément de choses à dire, mais les mots restaient bloqués dans ma bouche. Impossible de parlé, je ne voulais pas prendre le risque de faire encore une fois une connerie. J'en avais assez fait, trop fait, il me semble. C'est David qui bris le silence qui s'était installé entre nous. Il m'avoua avoir appeler ma mère pendant que je dormais. Pourquoi avait-il fait ça, je l'ignorais, mais apparemment, celle-ci voulait nous voir. J'étais surprise de l'apprendre. D'après lui, nous avions beaucoup de choses à nous dire, elle et moi. Je n'étais pas d'accord. Je regrette, mais elle ne s'est jamais soucier de mon bien être, et maintenant que mon frère est mort, elle se réveille et il faudrait que je fasse comme si de rien n'était ? Pour autant, je ne voulais plus me disputer avec David, c'était trop éprouvant, je voulais le retrouver, pas qu'on s'égare. Alors, tant pis si je n'avais aucune envie de la voir, je le ferais. Pour lui. « Je ne sais pas si ça vas servir à grand chose, mais si tu es là, je veux bien la rencontrer. Par contre, si jamais elle le lève le tond et qu'elle s'en prend à toi, on répare aussitôt. Qu'elle se fiche de moi, qu'elle me rabaisse, c'est pas grave, j'en ai l'habitude, mais qu'elle s'en prenne à toi. Non. » Ai-je répondu en le regardant dans les yeux. Il me remercia ensuite pour la montre, il avait donc finit par l'ouvrir. Tout compte fait, il tenait toujours à moi. J'étais soulagée. « Je suis contente qu'elle te plaise. Je ... David, je suis vraiment désolée. Pour ne pas t'avoir parlé de mon projet d'études, pour avoir appeler le médecin sans ton accord, pour le téléphone, pour mon caractère à la con, pour ma grand-mère, pour tout en fait. J'espère qu'un jour tu pourra me pardonné, parce que ce que je tiens vraiment à toi et que j'ai pas envie de te perdre. » J'avais finis par déballer ce que j'avais sur le cœur et que même mes larmes, n'avaient pas réussit à faire disparaître. « Tu te sent mieux ? » Ajoutais-je, pour finir.
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Dim 10 Nov - 20:06
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
« Tu te sent mieux ? » ''Pourquoi, je devrais? Uniquement parce que tu viens de t'excuser d'avoir un comportement complètement immature avec moi? Tu pensais quoi? Que j'allais finir par te regarder avec un sourire en coin et rigoler comme un malade? Laisse tomber.'' Je me suis retourné un moment, regardant par la fenêtre un instant. D'accord, elle venait d'accepter pour sa mère, mais pour le moment, je n'avais pas vraiment envie d'en parler. Je voulais uniquement qu'elle finisse par comprendre qu'en vouloir à certaines personnes étaient inutiles et de faire la tête à ceux qui nous aime, c'est encore plus moche. Comme pour moi. Je faisais mon possible et soudainement, si jamais je disais une petite chose qui n'allait pas, j'avais droit à une crise de larmes, à du boudin pour toute la journée et ensuite, un simple 'je suis désolée' et tout était oublié et pardonné? J'avais l'impression de n'être qu'une sorte de pion dans son jeu de rôle, comme si je devais faire tout ce qu'elle souhaitait et que finalement, je n'avais pas le droit de faire ce que moi, j'avais envie. Comme pour l'histoire des enfants. Pour ne pas l'entendre pleurer et qu'elle me fasse la tête, j'avais fini par accepter. Comme pour l'histoire de la première et la seule relation que nous avions eut ensemble. Tout pour ne pas lui faire de peine. ''Fais comme tu veux, ça m'est égal.'' Je parlais de ses études et de tout ce qu'elle désirait. J'avais l'impression que, de toute manière, elle avait déjà tout planifié de son côté et que du mien, je n'avais qu'à approuver ses choix et continuer à être gentil avec elle. ''Et cesse de dire que tu finiras par me perdre, c'est complètement faux. Je vais toujours être présent. C'est promis... Je voudrais juste que... que tu comprennes certaines choses. Josh est mort et j'en suis profondément désolé, mais pas moi. J'existe toujours et je suis toujours là pour toi. Il faudrait juste que tu y penses, de temps en temps. J'ai l'impression qu'on s'éloigne tranquillement tout les deux et ça me fait peur. Je voudrais juste que maintenant, tu m'aides à apprendre à te connaitre. Je crois que je ne sais même pas qui tu es vraiment. Tu me surprends toujours, et pas tout le temps de la bonne manière. Comme pour Harry... Je crois que je suis allergique. Tu pensais probablement bien faire les choses, mais je ne sais pas quoi faire avec lui maintenant. Dès qu'il s'approche de moi, c'est la folie furieuse. Je l'ai surpris, hier soir, couché en boule sur mon oreiller. Je n'ai pas dormi de la nuit, les yeux m'ont brûler tout le temps. J'ai... Je ne sais pas quoi te dire.''
J'avais fini par me retourner vers Emily, espérant qu'elle puisse comprendre le fin fond de mes pensées. ''Je voudrais juste qu'on arrive à se parler comme lorsque nous étions amis, lorsque nous pouvions parler pendant des heures et tout se confier. J'ai l'impression qu'on s'éloigne depuis que tout est arrivé. Et je ne parle pas de la mort de ton frère, il n'y est pour rien dans toute cette histoire, mais bien d'autre chose. C'est vraiment entre toi et moi... J'ai l'impression que tu crois que lorsque tout va mal, un simple je suis désolé, va tout réparer. Je croyais aussi, mais j'en souffre, tu n'as pas idée. J'ai... Ça me fait mal.'' Ce n'était probablement pas le moment de lui parler de tout ça, mais sinon, quand? Lorsque nous allions nous retrouvez devant sa mère, le lendemain? Pas question. Si jamais cette dernière finirait par se pointer au rendez-vous, nous allions, Mily et moi, devoir être forts pour surmonter cette femme, je le savais. ''Je t'aime et j'ai pas envie de continuer sur cette voie, ne sachant pas si ce que tu ressens pour moi est réel ou non. Peut-être que tu t'es trompée dès le début... Si c'est le cas, je préfère le savoir immédiatement et que nous redevenions amis tout les deux avant qu'on continue ainsi. Puisque... honnêtement... j'ai l'impression que tu es entrain de me tuer à petit feu.''
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Dim 10 Nov - 21:21
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Magnifique ! Mes excuses ne servaient à rien. Je me demande encore à quoi ça pouvait bien servir. Il attendait des excuses de ma part, non ? Ou alors quoi ? Je devais me mettre à genoux ? Le supplier ? Que fallait-il que je fasse ? A l'entendre, j'étais bel et bien un monstre, une fille capricieuse et sans cœur. Oui, je n'avais pas eut le bon comportement, mais lui non plus il me semble. Ce matin, je m'étais levée en pensant que cette journée allait superbe. J'étais bien décider à redevenir la fille souriante dont il était tombé amoureux, au lieu de ça, dès que j'avais ouvert la bouche, j'en avais pris la tronche et j'avais rien compris. Là, c'était pareil, je n'y comprenais rien. C'est comme lorsqu'il disait qu'il serait toujours là pour moi, vu sa façon de me parlé, j'avais du mal à le croire. J'écoutais silencieusement ses reproches, parce j'avais cette impression que si je parlais avant qu'il n'ai terminé, ça allait être pire. Pour ma reprise d'études, je ne savais plus quoi faire. J'avais agis de cette manière parce qu'il m'avait dit que ça lui ferait plaisir que je les reprenne, pourtant, aujourd’hui, il n'était pas d'accord. Je devais faire quoi ? Je faisais tout de travers apparemment, je veux bien faire et ça se termine en catastrophe. Encore une fois, j'avais pensé que m'excusé, de manière sincère, serait suffisent, au lieu de ça, c'est comme si je n'avais rien fait et cette envie de pleurer était encore plus vive, je voulais tout simplement disparaître. Seulement, je n'en avais pas le droit, Josh était mort, mais David avait raison, lui, il était là et j'avais tendance à l'oublier. « Je sais, je fais tout de travers. Je veux faire les choses correctement, en écoutant mon cœur, mais à chaque fois, c'est le contraire qui se produit. Je crois que ... Je crois que je ne vais plus rien faire du tout comme ça au moins, je ne détruirais pas tout ce que je touche. » Ai-je dis, lorsqu'il m'a indiqué que je le surprenais toujours mais en mal. J'allais devoir fermer ma bouche, et laisser les autres décider pour moi, peut être qu'ainsi, en étant docile, sage, bien dressée, on arrêterait de tout me reprocher.Il m'a ensuite parlé du chat, qu'il pensait en être allergique. Qu'allais-je faire ? C'était la seule chose qui me raccrochait à mon frère. « J'ai eut raison de ne pas t'offrir un lapin, alors. J'ai plus qu'à le laisser dans un refuge, en espérant que quelqu'un veuille bien le recueillir. » Dis-je, tristement. C'est bête, mais j'avais le sentiment de perdre mon frère une seconde fois. Ensuite, il m'expliqua qu'il avait l'impression qu'on s'éloignait tout les deux, ce qui me fit l'effet d'un coup de poignard dans le cœur dans j'avais peur qu'il me dise qu'il voulait me quitter. Mais non, il m'indiqua simplement qu'il voulait mieux me connaître, j'en était surprise, on se connaissait depuis l'enfance, non ? Donc suffisamment ... Mais pas assez pour lui, apparemment. « Je ... D'accord, mais que veux-tu savoir ? Et je sais que tu es là David, j'en ai conscience et je t'en suis reconnaissante. J'ai conscience d'être une mauvaise personne en ce moment, pas celle que tu as connue, mais j'ai du mal en ce moment, parce que je pense sans cesse à mon frère. Je voudrais pensé à autre chose, mais je n'y arrive pas. C'est pour ça que je voulais essayer de faire autre chose, mais je me suis trompée, encore une fois. » J'étais persuadé qu'il allait encore mal prendre mes paroles, le reste de son discours acheva de m'en convaincre. Je l'entendis me dire qu'il voulait qu'on arrive de nouveau à se parlé comme lorsque nous étions amis, et que tout avait commencer la première nuit que nous avions passés ensembles. Enfin, la matinée plutôt. Il ne l'a pas dit de cette façon là, mais c'est ce que j'ai compris. Je pris ses mots comme une gifle, comme si, pour lui, il fallait tout arrêter. Si c'était ce qu'il voulait, alors je crois que j'irais me foutre par la fenêtre. « Tu sais, ce matin, lorsque je suis venue avec le plateau du petit déjeuner, j'avais dans l'idée de passé une belle matinée avec toi, et une journée aussi. Pour rattraper le fait que depuis un mois, je ne suis pas vraiment là. J'ai simplement voulu suivre tes conseils, si j'avais su que que finalement, ce n'était pas ce que tu voulais, je n'aurais pas fait toutes ses démarches. Je voulais seulement ... Je voulais seulement respecter la promesse que je t'ai fait, tu sais, lorsque tu m'a dit de reprendre les études, après que je t'ai indiquer que tu pouvais me demander n'importe quoi, je le ferais. Enfin, je ne sais pas pourquoi je te parle de ça, puisque c'est à cause de ça que tout à dégénérer. Je sais bien que mes excuses ne changeront rien, même si elles sont sincères. Pourtant, je t'aime David et j'ai pas le sentiment de m'être trompée en te choisissant toi. »
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Dim 10 Nov - 22:09
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
Je crois que je ne vais plus rien faire du tout comme ça au moins, je ne détruirais pas tout ce que je touche. ''C'est pour ça que tu n'as jamais osé poser tes doigts sur moi, c'est ça?'' Ce n'était peut-être pas le moment de s'aventurer sur ce terrain, mais je trouvais tout de même important de le lui mentionner. ''Je sais que tu fais des efforts avec tout ce qui arrive en ce moment, que c'est compliqué pour toi avec l'histoire de ton frère, mais... fais attention, c'est tout ce que je te demande. Tu sais, l'amour, ce n'est pas un jeu. Ne joue pas à aimer...'' Mes paroles étaient tranquilles, sans vraiment d'émotions dans la voix. Je ne savais pas quoi lui ajouter de plus, sauf peut-être que de mon côté, j'avais fini de jouer dès la première fois que je l'avais embrassé. ''Laisse tomber pour Harry. C'est à ça que ça sert des médicaments contre les allergies. De toute manière, je ne suis pas certain que c'est à cause de lui. C'est peut-être aussi à cause de... je sais pas moi, hier soir, j'ai mangé un morceau de caramel. C'est peut-être le caramel le problème? Pas la peine de tout mettre sur le dos du pauvre petit chat, je l'aime bien. Et puis, c'est comme si on perdait Josh une seconde fois, pas vrai? Et je ne crois pas que tu as besoin de ça sincèrement. Je vais juste essayer de ne pas trop m'approcher de lui, de me tenir le plus loin possible de lui et que si jamais il finit par s'endormir sur mon oreiller... Refaire le lit au complet ou encore, échanger ton oreiller contre le mien.'' Et voilà, premier sourire de ma part, un vrai cette fois-ci, depuis un bon bout de temps.
Pourtant, je t'aime David et j'ai pas le sentiment de m'être trompée en te choisissant toi. Je me suis éclaté de rire avant de reprendre mon sérieux pendant un moment, toujours avec un sourire aux lèvres. ''Tu sais, tu n'avais pas vraiment le choix de me choisir... Faut dire que si tu m'aurais mentionné que tu aurais préféré qu'on reste amis, je crois que j'aurais fini par devenir harcelant. Le genre de gars qui peut t'appeler 20 fois en 5 minutes, uniquement pour entendre ta voix au téléphone. Celui qui t'aurais suivit comme un vrai petit chien, espérant que tu finisses par tomber amoureux de lui. Celui qui serait devenu ton ombre, tellement il aurait tenu à être près de toi. Je me fou complètement de ce qui c'est passé ce matin, des mots qu'on a pu échanger et tout. C'est tout oublié. Peut-être pas la marque que je vais garder au front pendant un certain temps à cause du téléphone, mais le reste oui. Reprends tes études, fais ce que ton coeur te dis, écoute le. Je suis certain que Josh serait fier de toi. Non, pardon, il est très fier de toi, c'est sûr... Et moi aussi.'' Lentement, je me suis rapproché d'Emily, avant de déposer une main sur sa joue, caressant tranquillement sa peau. ''Je ne voulais pas te faire de la peine ce matin et encore moins avoir ce genre de discussion avec toi ce soir. Tout ce qui me ferais plaisir, c'est de te voir sourire, d'accord. Et que tu fasses sérieusement ce qui te rendrais heureuse. Si c'est recommencer tes études, je t'encourages à le faire.'' Lentement, j'ai posé mes lèvres sur celle d'Emily, espérant qu'elle puisse accepter ce mouvement de ma part. D'accord, cela allait faire des jours que je ne l'avais pas embrassé de la sorte, de peur qu'elle ne me repousse. J'avais attendu un certain temps, qu'elle finisse par me faire comprendre que j'étais important pour elle, mais bon... au moins, il me semble, elle avait finit par me dire qu'elle m'aimait toujours. C'était un bon début à tout.
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Lun 11 Nov - 10:57
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« Non. C'est parce que j'avais peur d'être maladroite et de te déplaire. » Lui ai-je répondu lorsqu'il m'a demandé si le fait que je n'ai jamais osé poser les doigts sur lui était à cause du fait que je ne voulais plus rien faire parce que je détruit tout ce que je touche. C'était d'ailleurs complètement idiot comme réaction, mais j'avis peur de le décevoir, parce qu'il y avait eut d'autres filles dans sa vie, avant moi et en conséquence, j'avais peur de le décevoir, qu'il me trouve insignifiante, une pâle copie des autres. Toutefois, je ne disais rien, parce je ne pense pas qu'il approuverait mes dire et je ne voulais pas me disputer encore une fois avec lui. « Je ne suis pas en train de jouer David. Mes sentiments sont sincères, pourquoi est-ce tu crois ça de moi ?» Ai-je, demandé, peiné qu'il s'imagine que je jouais avec lui. Si c'était vraiment ce qu'il croyait, alors il me connaissait vraiment mal, de plus, pourquoi me dire ce genre de choses ? Si il y réfléchissait, il se rendrait compte que c'est grotesque et complètement faux. J'étais amoureuse de lui de puis des années, et alors qu'il prenait un malin plaisir à me pourrir la vie, moi je restais là, à attendre qu'un jour il me voit autrement, ce qu'il avait finit par faire, alors pourquoi est-ce que je gâcherais tout en jouant avec lui, comme il semblait le croire ?
Quand il a commencer à parlé du chat, qu'il faisait une réaction allergique à cause de lui, j'ai pâli. Donner le chat, c'était comme perdre encore une fois mon frère, inconcevable. David à du s'en rendre compte car il à aussitôt parlé de médicaments pour soigner son allergie, et que peut être ce n'était pas à cause de lui. « On peut aussi l'empêcher de venir dans la chambre en la fermant, qu'on soit dedans ou non ? » Je lui ai souris quand j'ai compris que finalement, il ne voulait pas qu'il parte. On arrivait quand même à se comprendre, tout compte fait et j'en était soulagée. Il n'aimait pas que je pense ça, mais c'est vrai, j'avais peur de le perdre. De toute façon, j'avais beau adoré les animaux, ça place n'était pas sur le lit. Là journée, il était dans son panier ou en vadrouille à travers l'appartement, alors il n'avait pas à venir dans notre chambre.
Soudain, alors que je disais à David que je savais que j'avais fait le bon choix en le choisissant lui plutôt qu'un autre, il se mit à rire. Je n'avais pas compris sur le moment jusqu'à ce qu'il me dise que je n'avais pas vraiment le choix, car il n'aurait fait que de me coller et de me suivre partout. J'ai alors rit à mon tour. Un premier rire depuis des semaines et ça faisait du bien. « Je sais que ces derniers jours je ne l'ai pas vraiment montré, mais tu peut faire tout ça, j'aime quand tu es près de moi et que tu m'appelle 20 fois en cinq minutes, juste pour entendre le son de ma voix, je trouve ça mignon. » Ai-je dit, tandis qu'il enchaînait sur autre chose, à savoir ce qui s'était passé ce matin, j'étais tellement soulagée qu'il préfère tout oubliée et me pardonné, d'un coup, la boule de stress que j'avais dans le vendre s'envola. Je me sentais mieux, plus légère. « Je peut te mettre un peut de pommade si tu veux ? Pour empêcher la bosse de grossir. Je me sent vraiment stupide d'avoir fait ça. » Vous remarquerez que je lui ai demander la permission de lui mettre de la pommade, si il ne voulait pas, et bien tant pis, mais je ne le ferais pas sans son accord.
Il me parla ensuite de mes études, que si c'était ce dont j'avais envie, je devrais le faire, qu'il serait fier de moi et Josh aussi. Je ne savais pas trop si je le voulais toujours, mais j'allais prendre le temps d'y réfléchir, de toute manière, je ne commencerais pas avant janvier. Les choses pouvaient changer, d'ici là. « Et bien, la formation débute en janvier. Je vais y réfléchir encore un peut. Enfin, nous allons y réfléchir encore un peut. Je ne le ferais pas sans ton accord, c'est promis. » Quand il posa sa main sur ma joue, je ne me suis pas dérobée, j'ai simplement fermer les yeux afin de profiter de sa caresse sur ma joue. Je l'a ensuite remercier pour ses paroles, ça me touchais. « Moi aussi, je ne voulais pas te faire de la peine. » Lui ai-je alors répondu et quand il à poser ses lèvres sur les miennes, je me suis aussitôt blottie dans ses bras pour prolonger son baiser. Le premier vraix baiser que nous échangions depuis des semaines.
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Lun 11 Nov - 15:01
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Non. C'est parce que j'avais peur d'être maladroite et de te déplaire. ''À Bon.'' Je suis resté un moment à regarder à l'extérieur, avant de me retourner vers Emily pour lui faire face. ''Tu AVAIS peur ou tu AS peur? Tu sais, c'est différent. Enfin, moi je vois une différence énorme et... ça m'aiderais à te comprendre si je le savais.'' Ce n'était qu'un simple mot, Mily n'avait probablement même pas compris ce qu'elle venait de dire. Il était probable également qu'elle ne me réponde rien, ce qui serait encore pire finalement. Si elle me mentionnait le mot 'avais', c'était terminé. Aussi simple, aussi rapide que tout. Disons uniquement si elle avait peur de me déplaire dans le passé, alors pourquoi elle continuait de la sorte? ''Et pourquoi est-ce que tu aurais peur de me déplaire? Je t'ai dit quelque chose qui aurait pu te laisser croire ça? J'ai fait quelque chose sinon?'' J'avais un peu de la difficulté à la suivre. Elle était peut-être charmante et tout ce qui allait avec, mais des fois, elle me perdait complètement, comme présentement. D'accord, la suite de la conversation était peut-être étrange, mais peu importe. Mentionner à Emily de ne pas jouer avec moi... disons qu'elle me coupa immédiatement pour me dire qu'elle ne jouait pas, qu'elle était sincère envers moi. ''Je ne sais pas trop, c'est l'impression que tu donnes ces derniers temps. Comme si j'étais de trop dans une pièce ou encore, dans ta vie.'' J'ai haussé les épaules un moment, avant de reposer mes yeux dans les siens. ''Je ne sais pas trop.'' C'était probablement les regards qu'elle me lançait ou encore, sa façon de me parler, je ne pouvais pas vraiment le dire. Tout ce que je savais, était qu'elle commençait à me décevoir tranquillement et que j'avais vraiment l'impression d'être de trop dans sa vie au grand complet. Si j'avais fait quelque chose de mal, j'aurais bien aimé pouvoir le savoir et discuter avec elle. Depuis le tout début de notre relation, soit depuis environ 2 mois, je faisais des efforts pour rattraper les fautes que j'avais commises dans le passé. Depuis la mort de Josh, tout avait bêtement basculé, je le confirme, mais il fallait uniquement que j'arrête de trop penser et de trop parler. Sinon, je ne donnais plus très cher à notre couple.
Et l'histoire du chat, je trouvais l'idée d'Emily assez simple, mais je ne savais pas trop si tout fonctionnerait. ''Et tu crois qu'il va accepter de dormir loin de nous?'' J'ai regardé Harry un moment. Ce dernier était couché dans son panier, beaucoup plus loin de nous. ''Je ne sais pas si tu as remarqué, mais dès que nous allons nous coucher, il vient directement nous rejoindre. Tu ne crois pas qu'il va piquer une crise si jamais on ferme la porte?'' Entendre rire mon amie me soulagea un peu. J'avais peur de ne plus jamais l'entendre le faire. Normalement, je l'aurais regardé pendant un moment, mais j'ai préféré lui expliquer la raison de mon fou rire, avant qu'elle ne finisse par croire que je riais d'elle. ''Si tu veux, à partir d'aujourd'hui, je vais t'appeler sans cesse, uniquement pour t'entendre et raccrocher ensuite. Si ça peut te permettre de rire et de sourire, je vais le faire. Et tout est correct pour mon front, ce n'était qu'une façon de parler. Tout va bien. C'est sensible un peu, mais je ne crois pas que ça paraitre.'' Je ne voulais pas commencer à lui faire des yeux doux pour qu'elle commence à me soigner. Si elle le faisait, elle s'autorisait à mentionner qu'elle m'avait vraiment blessé et maintenant, pas uniquement avec des mots. Et ça, je ne le souhaitais pas. Je ne voulais pas lui montrer que oui, elle avait fini par me faire peur ce matin, mais contrairement à d'autre personne, je ne voulais pas partir. Disons que présentement, pour garder son amour, j'étais prêt à faire n'importe quoi, me pliant à ses exigences. ''Tu n'es pas stupide...'' J'ai soupiré un moment, ne voulant pas m'aventurer sur ce genre de conversation. Elle me dirait que oui, je lui répondrais le contraire et une nouvelle dispute éclaterait.
Pour ce qui était de ses études: ''Non non, c'est TA vie. Fais ce que tu veux. Je n'ai aucun droit de décider pour ce que tu veux faire et ce que tu veux accomplir. Fais comme toi, tu le souhaites, ce que tu crois être la meilleure solution. J'ai... j'ai trop parlé, c'est tout. Je ne voulais pas te décourager et encore moins te dire quoi faire. Tu n'as qu'à reprendre tes études et faire ce qui te plais.'' Était-ce suffisant? Lui ajouter que je ne voulais pas lui faire de peine également, à eut l'effet que je désirais. Elle m'a laissé l'embrasser un moment, avant de venir se blottir contre moi pour prolonger ce dernier.
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Lun 11 Nov - 15:47
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« J'ai peur de déplaire, je me suis mal expliquée. J'ai ... Tu as eut plusieurs copines avant moi. Ce que tu as fais avec elles, ça ne me regarde pas, et d’ailleurs je ne t'en parlerais pas, ce qu'il y a, c'est que je me sens gamine et j'ai peur de faire quelque chose ou de dire quelque chose qu'il ne faut pas, simplement parce que à part toi et ce qui m'est arrivé, je n'ai pas du tout d'expérience dans ce que tu sais. C'est ridicule. » Répondis-je, morte de honte. Si avec ça, il ne partait pas en courant, j'avais de la chance. « Et tu n'as rien dit de tel, c'est moi qui m'imagine des trucs. » De mieux en mieux Emily. Par la suite, il m'indiqua qu'il pensait que je jouais avec lui, mais quand j'ai signalé que non, il ne semblait pas me croire. J'eus de nouveau envie de parlé. C'est simple, rien de ce que je pouvais lui dire ne semblait le convaincre de la véracité de mes sentiments. Je n'en pouvait plus, et je me demandait ce qu'il faisait avec moi, si il me prenait pour une menteuse. « Et bien, tu te trompe. Je sais que ces derniers jours, je n'ai pas été la petite amie idéale, mais toi qui à perdu quelqu'un, je pensais que tu comprendrais. » Quand son père à eut son accident, David m'a fait la tête pendant des semaines, pour autant, je ne lui ai jamais reproché d'avoir jouer avec toi, jamais. « Je voudrais que tu me crois David, que tu me fasse confiance, mais je ne peux pas t'y obliger. Mais je ferais n'importe quoi pour ça. Demande-moi ce que tu veux, je le ferais. Tout plutôt que de t'entendre me dire que je ment. » J'avais encore plus que tout à l'heure. Si il ne me croyait pas et bien, je n'aurais plus qu'à faire mes valises et retourner chez ma grand-mère, et contrairement à ce que je lui avais dit, je ne saurais pas redevenir son amie, ça serait trop dur.
Nous avons ensuite parlé du chat, j'ai alors proposé de le laisser dormir dans une autre pièce, sur le canapé ou ailleurs, mais de fermer la porte de notre chambre. « Et bien il devra s'y habitué, c'est tout. » Dis-je, sans ajouté que je ne céderais pas, mais David avait du le comprendre. Il m'a ensuite fait rire et lorsque je lui ai indiqué que si il le voulait, il pourrait m'appeler dix ou vingt fois par jours, j'en serais simplement ravie. Il me prit au mot, disant que si cela pouvait me rire ou sourire, il le ferait sans hésité. Il me rassura ensuite pour son front, je lui ai simplement sourit, préférant éviter d'en rajouté. De toute façon, il pourrait me traiter de folle, je ne dirais rien, je ne voulais plus me disputer avec lui. Je me contenterais d'encaisser et d'attendre d'être seule pour ruminer. Nous avons ensuite parlé de mon projet d'études, j'ai voulu lui dire qu'on en reparlerait tout les deux en temps voulu, il n'était pas d'accord. Je n'ai donc rien dit, on verra bien d'ici la fin du mois. Je me suis ensuite laissée embrassé, avant de venir me blottir dans ses bras, assise sur ses genoux. « Je t'aime. » Lui ai-je dis, dans le creux de l'oreille.
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Lun 11 Nov - 16:38
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C'était donc ça la source du problème, soit toutes celles avec elle. Je savais bien qu'un jour ou l'autre, j'allais me le faire reprocher. Je n'étais peut-être pas vraiment la bonne personne pour parler d'amour, puisque je tombais trop souvent pour les yeux d'une fille, mais je suis quelqu'un de fidèle. Si je suis avec quelqu'un, pas question d'en regarder une autre. À moins que cette autre soir Emily. Je comprenais exactement ce qu'elle voulait mentionner, ce qui me faisais grand peine au final. Me reprochait-elle d'avoir trop d'expérience dans ce domaine? Si c'était le cas, je ne pouvais rien faire. Lentement, je me suis mordu la lèvre inférieur, en guise de simple réponse, avant de poser mes yeux vers le sol. Quoi lui expliquer face à ça? Lui mentionner que tout était correct? Ben oui, j'allais passer pour quoi exactement? Lui dire de ne pas s'en faire et que tout ceci n'avait pas d'importance? Oui, mais jusqu'à quand exactement? J'ai posé ma main droite au visage, me frottant les yeux un moment, avant de me retourner vers Emily, essayant de lui sourire une seconde. ''C'est pas ridicule du tout, c'est juste que... Qu'avec le temps... On ne peut pas revenir en arrière et je regrette certaines choses qui c'est passé avec d'autres. Enfin, je ne sais pas si tu me comprends.'' Je t'en pris, comprend par toi-même, ne me force pas à m'expliquer. Mais toi qui à perdu quelqu'un, je pensais que tu comprendrais. ''Ne mêles pas mon père à nos histoires, il n'y est pour rien. Et oui, je te comprends parfaitement. J'essayais uniquement de... De faire comme j'aurais aimé que ceux qui étaient près de moi lorsque c'est arrivé... Disons que j'aurais aimé pouvoir en discuter dans le passé et pas uniquement pleurer devant toi et essayer de me montrer fort devant les autres.'' J'avais fait la tête à Emily pendant une éternité, lorsque mon père est décédé. Mais maintenant, lorsque je regardais derrière moi, je voyais que j'avais mal agis. Je paniquais devant elle, lui disant n'importe quoi et ensuite, j'essayais de rester fort devant ma mère et ma soeur, pour ne pas les blesser d'avantage. J'avais probablement fait plus de mal à ceux que j'aimais de cette manière, mais encore une fois, on ne peut pas revenir en arrière. Le mal était fait et je ne pouvais le réparer. Pour ce qui était de la confiance: ''J'ai entièrement confiance en toi, sinon, je ne serais pas ici à essayer de m'expliquer. J'ai déjà fait pire pour moins que ça et... Je ne leur parle même plus. J'essaie juste de comprendre, c'est tout. Je me suis dis que tu avais probablement fini par comprendre que ce n'était que de l'amitié, entre toi et moi, mais que tu ne savais pas comment me l'expliquer, de peur de me faire de la peine, c'est tout. Je suis heureux de savoir que ce n'est pas le cas. Je suis même plus qu'heureux.'' J'aurais aimé pouvoir la prendre dans mes bras et l'embrasser, mais je ne souhaitais pas l'effrayer. Pas tout de suite, du moins.
Parler d'Harry était quelque chose d'important également. Si j'en étais vraiment allergique, il fallait trouver une solution. Je l'aimais bien, mais je n'allais certainement pas risquer ma vie pour lui. Enfin, non, c'était le contraire. Je pourrais offrir ma vie au chat, si ce dernier rendait heureuse Emily. Mais bon, si je trouvais un autre moyen, j'allais finir par céder. Et bien il devra s'y habitué, c'est tout. Discuter avec Emily? Pas possible. J'ai préféré ne rien dire, sachant que tout ceci n'allait servir à rien. Je disais oui, elle allait dire non et si jamais j'insistais un peu, elle allait finir par me dire oui, uniquement pour ne pas recommencer une nouvelle querelle entre nous. ''On verra...'' Mes paroles étaient sèches, mais pas trop fortes. Si c'était pour punir le chat, pas question. Il n'y était pour rien, ce n'était pas de sa faute. Pour le reste, tout ce passa sans vraiment trop de problèmes, enfin, je crois. Pour ses études, je savais que ceci allait être une autre paire de manches. Si elle souhaitait se consacrer à une vie professionnelle au lieu de familiale, aucun problème. Au départ, j'étais même ravie, mais plus les jours passaient, plus je m'imaginais en compagnie d'enfants et faire réellement ma vie avec quelqu'un. Et puis, Emily avait fini par brûler ce rêve, qui avait fini par tomber en cendre, entre nos prises de becs et nos disputes. J'ai tout de même fini par enlever l'espace d'entre nous, en allant poser mes lèvres sur les siennes. Rien de bien déplaisant, uniquement pour lui montrer que je tenais toujours à elle. Emily fit quelque chose qui me laissa sans voix pendant quelques instants, elle finit par venir se blottir contre moi, mais pris tout de même position sur mes genoux. Gêné, je l'ai regardé un moment sans parler, lorsqu'elle rompit le silence, en me mentionnant qu'elle m'aimait. Le souffle qu'elle émit en me parlant près de l'oreille fut assez pour me faire soupirer une seconde. Était-elle entrain d'agir ainsi à cause de ce que je lui avais fait mention quelques minutes avant, soit qu'elle n'osait pas me toucher de peur de me décevoir ou quoi? ''À quoi tu joues?'' Je me suis mis à sourire un moment, avant de reprendre mon sérieux. ''Tu sais ce qui me ferais vraiment plaisir? C'est qu'on arrête de se prendre la tête pour un petit rien. J'ai mal agis, tu as pris mes mots au sérieux et je suis désolé. Ne laissons pas un mal entendu faire de nous des personnes malheureuses, d'accord?''
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Lun 11 Nov - 17:08
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« Je sais bien que tu ne peux pas revenir en arrière et je le comprends. » Ai-je répondu, en espérant que cela serait suffisent. J'ai ensuite tenté de parlé d'autre choses, de lui faire comprendre que je n'étais pas en train de jouer avec lui et que comme il a déjà perdu quelqu'un, je pensais qu'il comprendrais. Au lieu de ça, je me fis à moitié engueuler, comme quoi, je n'avais pas à lui parlé de son père. J'avais encore perdu une bonne occasion de me taire, si cela continuait ainsi, je n'allait plus desserrer les dents en sa présence et simplement répondre par oui ou par non, peut être qu'ainsi, il évitera de se braquer à chaque paroles que je prononce. Je l'ai simplement regardé, sans répondre, je ne savais pas quoi dire d'autre. J'ai baisser les yeux, j'étais fatiguée à force de pleurer et de voir chacune de mes tentatives de réconciliation partir en fumer parce que j'étais trop maladroites dans mes propos. Au fond, je me dis que si il me connaissait vraiment, il comprendrait qu'en disant ça, je ne cherche pas la bagarre.
Il avait finit par comprendre que je l'aimais vraiment et que je ne jouais pas avec lui. Ma fois, il était temps. Je ne l'ai pas dit, bien sûr, j'ai simplement eut un grand sourire lorsqu'il m'a indiquer que de le comprendre, de le savoir, le rendait vraiment heureux. J'aurais aimer qu'il m'embrasse, mais il ne fit pas, préférant me parlé du chat. Encore une fois, j'aurais mieux de me taire, vu sa façon sèche de me répondre. Il aurait voulu quoi ? Que je fasse passé le chat avant lui en le laissant dormir seul ? Au fond, peut être que c'est ce qu'il voulait. Qu'il en avait plus qu'assez de devoir dormir avec moi et qu'il avait compter sur la présence d'Harry pour me virer ? Si tel est le cas, son 'tu joue avec moi' est de très mauvais goût, parce qu'il fait exactement la même chose. Je n'ai pas insister, au lieu d'arranger les choses, je ferais encore plus de dégâts, il valait mieux pour moi que je me taise.
La conversation prit ensuite un ton plus léger et nous avons finis par nous embrassés. Sauf que lorsque j'ai essayer d’être un peut plus tendre en venant me blottir dans ses bras, David à mit fin à notre étreinte. Qu'avais-je encore fait ? Je l'ai écouté me demander à quoi je jouais, avant de me dire qu'il avait mal choisit ses mots et que je l'avais prit au pied de la lettre. En d'autres termes, j'étais maladroite et mes gestes lui déplaisaient. Je me mis à rougir de honte, et je baissais les yeux. « D'accord. J'aimerais qu'on fasse des choses tout les deux. Des dîners en amoureux, un weekend à deux, ce genre de choses. Tout ce que tu voudra, pour qu'on se retrouve. »
(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Lun 11 Nov - 17:29
Tu es l'ange de mon coeur L'élue de ma vie La gardienne de mon bonheur La princesse de mes envies Tu m'enivres de passion À en perdre la raison Quand à la douceur de tes lèvres sur mon corps Je ne peux te dire que encore Je te veux plus que tout Je t'aime
Une drôle de matinée
''Je... Je ne veux pas te faire de peine Emily, mais je ne comprends pas vraiment de quoi tu parles. Tu as l'impression qu'on s'est perdu tout les deux?'' C'était peut-être ça le problème? Peut-être qu'en sortant avec moi, elle avait fini par s'imaginer toutes sortes de choses et, finalement, je ne lui en donnait même pas la moitié. ''Pourquoi est-ce que tu rougis sans cesse et que tu baisses la tête ainsi? Je te gêne ou quoi? À moins que tu ais encore mal interprété mes paroles, c'est ça?'' J'avais un peu de difficulté avec elle, ces derniers temps. Ce n'était pas méchant, bien au contraire, mais de temps en autre, j'avais l'impression de mal agir, comme si j'étais quelqu'un de maladroit et qui cherchait uniquement une façon de se sauver. Ce qui n'était pas le cas, au passage. ''Je n'ai pas envie que tu partes, je n'ai pas envie de te voir triste, je n'ai pas envie qu'on se dispute et je n'ai pas envie de devoir avoir ce genre de conversation devant ta mère demain. Je sais qu'elle me déteste complètement, elle me l'a dit quelques fois tout à l'heure et... aussi que j'étais un salaud, mais bon. Je crois que je vais avoir besoin de toi pour ne pas lui démolir le visage demain après-midi, d'accord. Mais pour l'instant, je voudrais juste passer quelques minutes avec toi, une soirée à écouter un film ou encore, à rien faire, juste te regarder dans les yeux et te mentionner que tu es magnifique.'' Si j'avais mis fin à notre étreinte tout à l'heure pour lui parler, je n'avais plus l'intention de le faire pour un petit moment. J'ai passé mes mains dans les cheveux d'Emily, de manière à ce qu'elle puisse se blottir encore plus près de moi, avant de l'embrasser à pleine bouche, sans vraiment faire attention à ce que tout ceci pouvait bien laisser paraitre. Quelques secondes plus tard, tout en quittant sa bouche, j'ai commencé à l'embrasser au niveau du cou, même si je savais qu'elle finirait par trouver le tout comique.
made by pandora.
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(#) Sujet: Re: Une matinée comme les autres ... ou presque (hot) Lun 11 Nov - 17:59
party for the rest of my life.
« Non, ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, je me suis très mal expliquée. J'ai simplement envie qu'on passe du temps tout les deux. Tu vois ce que je veux dire ? » Répondis-je, d'une voix douce, avant de me mettre à rougir et de baisser les yeux lorsque, après l'avoir embrassé, il mit fin à notre étreinte en croyant que j'agissais ainsi uniquement parce qu'il m'avait dit que j'avais peur. En réalité, c'était moi qui l'avait admit, mais il pensait sûrement que je voulais lui montrer que je pouvais être comme les autres, ce qui était faut. « Pas du tout. » Et je mis à rire en comprenant qu'en fait, nous étions aussi maladroit et gêner l'un que l'autre. « Pardon. Désolée de rire sans raison, mais je viens de comprendre un truc ... On est pareil tout les deux. Il ... J'ai été un peut gênée quand tu m'a interrompu tout à l'heure, quand je t'ai embrassé. J'ai eut l'impression d'être maladroite, et maintenant, je comprends que tu ressent la même chose. Alors, je vais te dire une chose. Tu n'es pas maladroit, tu est même tout le contraire, dans tes bras, je suis heureuse comme jamais. Et si je rougie, c'est parce que lorsque tu me regarde, je me sens jolie. » J'espère que cette fois, on avait réussit à ce comprendre. Au font, on était juste de grands maladroits tout les deux, pas habitué à avoir cet intention dont on avait toujours rêvé, alors en voulant bien faire les choses, on se retrouvait vite gêner, avec cette envie de disparaître sous taire. Et c'est vrai, dans le regard de David, je me trouvais jolie, un vrai scoop ! « C'est pareil pour moi, tu sais. Je n'ai plus envie qu'on se dispute, je veux t'entendre rire aux éclats, parce que j'aime ton rire. Je veux pouvoir me perdre dans tes yeux et m'endormir dans tes bras. Et si maman est désagréable avec toi, je lui dirais ma façon de penser. De toute manière, ma famille, ce n'est pas pas elle, c'est toi. » Et je pensais sincèrement qu'il voyait dans mes yeux que je ne mentais pas. Il était ma famille désormais, qu'on est ou non des enfants un jour, mon avenir, c'était lui. « Quelques minutes seulement ? » Dis-je, pour le taquiner, car je savais bien que ces quelques minutes étaient en réalité des heures. « C'est aussi ce que je veux, et pas seulement aujourd'hui ! » Et quand il m'attira dans ses bras, je me laisser complètement allé, à moitié écrasé contre lui, pour mieux le sentir contre moi. Je répondis vivement à son baiser et du retenir un rire lorsqu'il glissa jusque dans mon cou.