(#) Sujet: there are so many beautiful reasons to be happy. Lun 28 Déc - 17:16
aela danae bell bat toi pour ce qui te plait même si ça signifie être seul.
prénom(s) et nom › aela danae bell. surnoms › aela c'est pas assez court? âge › quinze décembre mille-neuf cent quatre-vingt quinze, soit vingt ans. nationalité › canadienne. orientation sexuelle › hétérosexuelle. statut civil › célibataiiiiire. emploi/études › étudiante en arts, par correspondance. situation financière › aisée, vive papa et maman. avatar › aurora mohn. crédit › tumblr is my bf.
~ question une à quoi ressemblait ta vie au lycée? ta vie au lycée ? bien qu'elle n'ait pas duré bien longtemps, elle se résumait à quelque chose de plus ou moins basique malgré ta phobie scolaire qui t'a peu à peu rattrapée. même si ton frère jumeau, Kian, était là pour t'encourager, t'aider, t'épauler, tu n'as fait que la moitié de ton année de seconde en lycée et a poursuivi le reste de ta scolarité par correspondance, chez toi. chose qui ne t'a pas empêchée d'obtenir ton bac haut la main bien loin de là.
~ question deux es-tu heureux présentement? heureuse. ouais, tu l'es. enfin, t'as connu mieux toutefois. t'as tout pour être heureuse, t'es une gosse de riches, t'as un frère jumeau en or avec lequel tu es plus que fusionnelle. une mère d'une gentillesse exceptionnelle. le seul souci, c'est ton père. encore et toujours. tu n'as pas de souci avec lui, toi. non. c'est avec Kian que tout va de travers. c'est sur lui que repose l'avenir de la clinique que ton père gère, lui qui est supposé prendre la suite. et combien de fois les as-tu entendu s'engueuler, combien de fois t'es-tu interposée alors que ton père sortait de ses gonds et était à deux doigts de lever la main sur lui. heureusement, aujourd'hui, ton frère et toi avez pris votre indépendance, vous avez votre appartement, vous pouvez presque vivre comme bon vous semble.. qui sait, un jour peut-être..
~ question trois où te vois-tu dans dix ans? tu rêves de voir d'autres horizons que White OS, tu aimerais voyager. peut-être pas partir définitivement d'ici car tu as tes racines, ta famille. dans dix ans, peut-être auras-tu des enfants, peut-être pas. une chose est sûre, tu veux travailler dans l'art, gérer une galerie par exemple, ça te plairait à coup sûr. rester proche de ton frère, car comme on dit : on n'sépare pas l'inséparable, et quoiqu'il arrive tu seras toujours là pour lui, c'est une évidence.
le questionnaire (pour la répartition des groupes) :
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff. Pour indiquez votre réponse, il suffit d'ajouter « checked » juste après le « name="question" » correspondant à votre réponse (n'hésitez pas à nous faire signe si vous avez de la difficulté).
Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener:
Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir :
hors-jeu citation
prénom/pseudo › retrieval/anaïs. âge › 17 ans. pays › France. présence › 2j/7 en période scolaire. comment tu as connu le forum › bazzart. personnage inventé/scénario › inventée. autre chose à ajouter? › .
Dernière édition par Aela Bell le Mar 29 Déc - 14:54, édité 11 fois
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(#) Sujet: Re: there are so many beautiful reasons to be happy. Lun 28 Déc - 17:16
Si nos chemins se sont croisés c'est parce qu'à ce moment là l'un de nous avait besoin d'une épaule pour pleurer, et l'autre de quelqu'un sur qui s'appuyer. i need a sunshine in the darkness
15 décembre 1995. c'est en ce jour de décembre quatre-vingt quinze que t'es née, quelques minutes après ton frère jumeau, Kian, à l'hôpital de White Oak Station. Le jour que ta mère décrit comme le plus beau de sa vie. En même temps, si pendant la grossesse ton jumeau et toi étiez d'aussi gros morfales qu'à vos seize ans, pas étonnant qu'elle est été heureuse d'être enfin libérée d'un poids pareil. juin 2000
« attends-moi Kiaaan ! » t'écris-tu avant de te lancer à la poursuite de ton jumeau, en éclatant de rire. Tes cheveux blonds flottant dans les airs tandis que tu traverses le salon à un rythme effréné afin de rejoindre Andreas dans sa chambre, où il est sans doute parti se réfugier, et de sauter sur le lit de ce dernier, à ses côtés. Vous vous regardez comme deux idiots, avant de rire aux éclats.
septembre 2005.
t'entends la porte d'entrée claquer. Tu n'as aucune idée de l'heure, tu sais juste qu'il est tard. Tu sais que c'est ton père, il est parti bien avant le dîner. Du haut de tes -presque- dix bougies, t'es loin d'être bête pour une p'tite blonde. T'as tout prévu, et t'as bien remarqué que ton jumeau est plus fragile que toi (bien que tu le sois déjà pas mal aussi), c'est pourquoi t'as fait en sorte que ton frère soit avec toi ce soir-là, histoire de lui éviter un coup de stress, seul dans son coin. Protectrice avec ce dernier ? Oh oui, malgré ton jeune âge, tu l'es énormément. On n'touche pas à Kian, ça a toujours été ainsi. T'entends qu'il monte, ton frère s'est réveillé mais n'a pas décroché un mot, tu l'sais parce que tu le sens venir se blottir contre toi dans un mouvement de panique. Tu lui murmures que tout va bien, qu'il ne va rien se passer. T'en es pas sûre toi-même, mais tu comptes pas le laisser dans un état pareil.
février 2008. l'estomac noué, l'envie de tout foutre en l'air. tu trembles. Cette fois, ce n'est pas toi qui rassure ton frère, c'est lui qui fait tout pour te rassurer, en vain. T'as les larmes aux yeux, ta respiration s'est accélérée, tu n'as qu'une envie : te mettre en boule, te recroqueviller sur toi-même et essayer d'oublier tout ça. C'est pas la première fois que ça arrive. ça arrive même que tu sèches des cours à cause de ça. C'est pas toi qui veux ça. C'est ce foutu sentiment de peur qui gagne de plus en plus de terrain. Ah. Que c'est chiant. Blottie contre ton jumeau, tu laisses aller, sans t'en rendre compte, tes larmes. « je veux pas y aller.. » tu lèves doucement les yeux vers lui, et les baisse aussitôt. Tu te sens tellement mal de le lâcher de cette manière...
Septembre 2010. le verdict était tombé après quelques consultations seulement. Phobie scolaire. Le médecin avait conseillé que tu arrêtes d'aller en cours et qu'au lieu de ça, tu fasses tes études par correspondance. Etait-ce le manque de confiance en toi qui t'avait peu à peu bouffée ? Tu n'sais pas. T'as du laisser Kian affronter le reste de l'année scolaire seul, et tu t'en voulais énormément. « comme si on avait besoin de ça! » s'était exclamé ton père en apprenant la nouvelle. C'est pour ton frère que t'as quand même voulu essayer d'aller au lycée, faire une année de seconde comme les autres. Tu veux pas l'abandonner, le laisser seul. T'as pris sur toi les premières semaines, t'as essayé du moins. Petit à petit, ça a repris. T'arrives peut-être plus à prendre sur toi, qui sait. C'est votre mère qui t'a poussée à repasser aux cours par correspondance plutôt que de te rendre malade et te forcer à aller au lycée. Encore l'effet d'une belle claque dans la gueule, qui te laisse un goût amer.
Août 2012.
« tu iras en médecine, que tu le veuilles ou non, Kian. c'est comme ça et pas autrement. » Toi qui as toujours eu l'habitude de défendre Kian, tu essaies de prendre sur toi. De ne pas te mêler de la conversation. Tu restes silencieuse dans un premier temps, mais lorsque tu vois ton frère baisser les yeux et hocher la tête sans plus rien ajouter, t'es en rage intérieurement. Tu relèves les yeux vers ton père, le fixe droit dans les yeux. « pourquoi tu le forces ? Laisse le faire ce qu'il veut, merde. » Tu vois le regard de ton géniteur s'assombrir, d'un seul coup t'as comme l'impression que t'aurais du fermer ta gueule. « de quoi tu te mêles toi ? T'as pas été foutue de suivre une scolarité normale et tu l'ouvres. » Tu prends sur toi, tu te retiens de lui balancer le fond de ta pensée. Qu'est-ce qu'il a le don de t'énerver. « mais je m'en fous d'avoir suivi une scolarité normale ou pas, arrête d'être con et de penser qu'à toi ! » Sans demander ton reste, tu te lèves. Kian te lance un regard interrogateur, tu lui réponds par un faible sourire. Et sans que tu t'y attendes : paf. Tu viens de te manger une baffe monumentale. Tu relèves les yeux. « reparle moi comme ça et j'te jure que tu t'en souviendras, sale gamine. »
Décembre 2014. c'est véritablement une fois votre dix-neuvième anniversaire passé que t'as vu à quel point ton père déraille. Bourré qu'il en peut plus, il sort des conneries aussi grosses que lui. Il trompe ta mère depuis quelques temps, mais elle est trop gentille, pour elle c'est juste une mauvaise passe. Elle lui pardonne tout, même les claques dans la gueule qu'il vous flanque à ton frère et toi à la moindre contrariété. Alors c'est vrai, depuis quelques temps, tu te tais. Tu te renfermes sur toi-même en réalité, il n'y a qu'avec Kian que tu restes la même. Tes parents te dégoûtent clairement, t'as juste hâte d'avoir un jour les tripes de faire tes valises et embarquer ton jumeau adoré avec toi. oui, il est hors de question que tu partes en le laissant dans cette merde. En attendant, t'assistes à la descente aux enfers de ton père. Même si toutefois tout le monde continue de le considérer comme un homme respectable, il faut croire que peu d'entre eux connaissent la vraie face de cet homme répugnant, orgueilleux, alcoolique et méchant.
Juillet 2015. les grandes vacances bien entamées après un séjour à New York, te voilà de retour à White Oak Station. T'es plutôt contente d'être rentrée car ce voyage a été comme les autres : Kian et toi, du haut de vos dix-neuf ans, vous êtes retrouvés livrés à vous-mêmes dans la grande ville qu'est New York. Vous êtes rentrés seuls, les parents ayant voulu profiter et rester quelques jours de plus là-bas. En échange, vous avez eu l'autorisation d'inviter des amis et faire une soirée, sans trop abuser. Ainsi, t'as laissé Kian inviter ses amis avec qui il traine depuis le lycée, et avec lesquels tu t'entends plutôt bien. Faut dire que l'un d'eux retient particulièrement ton attention. Ce n'est pas celui que tes parents voient d'un bon oeil, mais c'est la première fois qu'un garçon t'"intéresse" ne serait-ce qu'un peu. Alors, t'as aidé ton frère à préparer tout le bordel nécessaire pour une soirée films. (...) T'éclates de rire à l'une des énièmes blagues pourries d'un des amis de ton jumeau. Toutefois, ton regard s'arrête sur Elias. Tu le fixes longuement dans les yeux, avant de baisser timidement les yeux. (...) « noooon, Elias! pas les glaçons, j'rigolais j'te juuure! » C'est généralement comme ça que ça finit. En fight international. Tu cours aussi vite que tu peux, tout en riant comme une idiote. Ton premier réflexe est de monter les escaliers à toute vitesse pour aller t'enfermer dans la salle de bain, ou dans ta chambre sauf qu'en tant que douée que tu es, ça ne se passe pas comme ça. Te voilà entrain de glisser et te ramasser comme pas permis sur le pauvre jeune homme. Littéralement affalée sur lui, ça ne vous empêche pas de partir dans un fou rire sous les regards de ton frère et les deux autres gars. Octobre 2015. une énième engueulade. Une énième engueulade qui a éclaté, entre ton père et ton frère, même si ton frère ne riposte pas des masses. T'as pas eu le temps de réagir, tout ce que t'as vu c'est la gifle partir. Il a osé. Encore. Cette fois c'est trop, il faut trouver une solution : vous n'pouvez plus vivre ainsi. (...) Ca y est, après maintes recherches et de l'aide de ta mère - qui eut cru -, t'as enfin trouvé un appartement spacieux à White Oak Station. Au moins, même si vous ne vous éloignez pas totalement, vous vous libérez de l'autorité parentale, de l'emprise paternelle. Vous pourrez enfin respirer. Décembre 2015. vous avez donc déménagé il y a un mois désormais. Vous avez quitté le domicile familial pour enfin avoir votre indépendance, même si côté financier vous dépendez toujours de vos parents. Etonnament, votre mère a tout fait pour vous épauler jusqu'à maintenant. Désormais, tu ne te consacres qu'à tes études et ton frère. Quoique certaines choses -personnes- risqueraient de s'ajouter. La situation avec Elias évolue peu à peu, même si aucun de vous deux n'a le courage de dire à l'autre ce qu'il pense, ressent. Qui sait..
Dernière édition par Aela Bell le Jeu 31 Déc - 0:42, édité 16 fois
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(#) Sujet: Re: there are so many beautiful reasons to be happy. Lun 28 Déc - 17:31
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche! ~
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(#) Sujet: Re: there are so many beautiful reasons to be happy. Lun 28 Déc - 17:39
(#) Sujet: Re: there are so many beautiful reasons to be happy. Ven 1 Jan - 17:45
Félicitations, tu es officiellement validé(e) ! elle est attachante ta belle aela. j'aime beaucoup la relation entre les jumeaux et j'ai hâte d'en savoir plus sur ce elias.
Selon le questionnaire, tu te retrouves dans le groupe Memories don't go, mais je pense que Looking forward pourrait bien correspondre aussi. Qu'est-ce que tu en penses? Tu peux désormais te rendre dans la catégorie Gestion du personnage pour faire les diverses demandes, tu peux aussi recenser ton personnage, ou bien rechercher des liens. Ensuite, tu peux aussi aller créer un ou plusieurs scénarios ou des bandes. Enfin, pour faciliter ton intégration, n'hésites pas à participer à la loterie des rps.
Bref, tout le staff te souhaite la bienvenue sur Feels Like Tonight !
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(#) Sujet: Re: there are so many beautiful reasons to be happy. Ven 1 Jan - 19:21
Bienvenue :) un lien s'impose
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(#) Sujet: Re: there are so many beautiful reasons to be happy.