~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE?
    La vie au lycée ? C’était le pied ! Maxym n’était pas forcément populaire mais elle avait des amis sur qui elle pouvait compter. C’est aussi à cette période qu’elle a rencontrée son petit-ami, qui fut son premier amour. Enfin, le premier qui comptait puisqu’elle en a eu un lorsqu’elle était à l’école primaire et ils ne se sont arrêtés qu’au bisou. Maxym avait de bons résultats scolaires, et elle se débrouillait très bien dans plusieurs matières. Certes, elle en garde de bons souvenirs, mais elle était tout de même contente que cette période de sa vie se soit terminée. Les années qui ont suivis étaient bien meilleures, et Maxym s’est beaucoup plus éclatée après. Certes, elle a perdu contact avec beaucoup de ses amis, mais sa vie est à White Oak Station maintenant. Rien ne l'empêche d'aller passer des vacances à Londres non plus, alors elle pourra peut-être reprendre contact avec eux.

      ~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT?
    Etre heureux ? Qu’est-ce que ça veut dire, au fond ? Il y a plusieurs sens et ils se rejoignent tous, c’est une personne à qui la chance sourit. Est-ce que Maxym peut dire que la chance lui sourit ? Dans certains cas plus que d’autres oui. Elle a eu la chance de rencontrer des personnes extraordinaires qui ont données un sens à sa vie. Mais la brune a aussi perdu son père, il y a sept mois, et elle a beaucoup de mal à s’en remettre. Certes, on lui dit qu’elle est jeune et que ce sont des choses qui arrivent, malheureusement, qu’elle trouvera le métier de ses rêves et qu’elle arrivera peut-être à se poser définitivement à White Oak Station. Maxym peut dire qu’elle est heureuse et elle peut avoir le sourire au bout des lèvres, mais ce n’est pas pour autant qu’elle l’est. C’est n’est qu’un sourire après tout, on ne sait pas ce qui se cache derrière.

      ~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS?
    Dans dix ans ? C’est une très bonne question. Franchement, Maxym n’en a aucune idée. Elle a rompu, récemment, avec son petit-ami, et forcément elle se remets en question depuis. La brune préfère se concentrer sur ses études et son blog de mode. Profiter un peu de présent, plutôt que de décider d’un avenir tout tracé pour elle. Elle était pourtant ainsi auparavant, mais il faut croire que les épreuves de la vie font qu’elle ait changée d’avis sur ce point. Maxym est depuis cinq ans à White Oak Station, et rien ne prouve qu’elle sera encore ici dans dix ans, elle peut très bien retourner vivre à Londres, là où elle a connu ses plus belles années. Et qui sait, peut-être que dans dix ans, elle aura signer pour publier sa propre ligne de vêtements et elle aura ouvert son magasin.

PRÉNOM ET/OU PSEUDO: Marion. ÂGE: 24 ans. PAYS: France. PRÉSENCE: Connectée tous les jours, et j’essaye de répondre aussi souvent que possible.  COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Par mes deux autres comptes : Sawyer Chesterfield et Magdalena Everdeen.  PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? Magnifique scénario de Louys. AUTRE CHOSE À AJOUTER? Je vous aime.

l'accent anglais
Depuis quelques années, Maxym avait pris cette habitude de contacter, par téléphone, une de ses plus anciennes amies qui vit encore à Londres. Elle a peut-être perdu de vue un bon nombre de connaissances, mais pas elle, pas Scarlett. C’est un peu comme si elles étaient sœurs toutes les deux, tellement elles peuvent se ressembler, autant au niveau du leurs habitudes et mimiques, que par leur caractère. Scarlett, c’est sa meilleure amie ainsi que son pilier. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elles ont décidées de se téléphoner, au moins une fois par semaine, pour prendre des nouvelles l’une de l’autre. Les six heures de décalage horaire ne sont pas toujours évidentes, mais elles font au mieux pour réussir à se contacter. Maxym sortait de son dernier cours, et il était à peine midi. Elle hésita deux voir trois minutes avant de s’emparer de son téléphone et de composer le numéro favoris où se trouvait un raccourci vers le portable de Scarlett. Une sonnerie, puis une seconde ne tarda pas à retentir avant que Maxym ne tombe sur le répondeur de sa meilleure amie. Pas de chance. « Scarlett, c’est moi. Maxym. J’espère que t’as pas oublié notre rendez-vous hebdomadaire. Bref, j’ai terminé les cours et j’vais surement aller m’acheter un truc à manger. Je t’appelle sur le chemin du retour, et tu réponds hein ? Bisous. Tu me manques. » Elle soupira un instant, avant de presser la touche pour raccrocher. On ne peut pas nier qu’elle était un peu déçue de ne pas avoir réussi à la contacter. Elle avait envie de lui parler, et surtout de lui demander des conseils. Notamment sur des choses que la brune ne peut pas vraiment aborder avec ses proches ici, à White Oak Station. Encore moins avec son frère, d’ailleurs. Après réflexion, c’était peut-être un peu trop tôt, il est tout de même tôt à Londres. Elle allait faire un autre essai un peu plus tard, mais avant, il faut qu’elle aille s’acheter un sandwich à l’épicerie du coin. Un basique hein, elle ne va tout de même pas se prendre la tête pour le choix d’un sandwich. Jambon beurre, ce sera parfait. Elle acheta une bouteille d’eau en plus du sandwich, avant de payer et de prendre la route à pied, pour rentrer à son appartement. Maxym ouvrit l’emballage du sandwich avant d’en prendre un morceau dans sa bouche, tout en sortant son téléphone de sa poche pour pouvoir tenter une nouvelle fois de contacter Scarlett. Une sonnerie, puis une seconde.  « Allez, réponds ! » Et c’est à la troisième sonnerie que son amie répondit. Grand soulagement. « C’est pas trop tôt, tu faisais quoi tout à l’heure ? » « J’étais dans le métro, j’captais rien du tout, tu connais les joies du métro londonien. Désolée ma chérie. » Bien évidemment, elle était pardonnée dès l’instant où elle a répondue à son appel. « Alors, qu’est-ce qui a de nouveau sur le continent américain ? » Maxym ne put retenir un sourire, face à cette remarque. « Rien de bien intéressant, en soit. On est au milieu du mois et mon compte est déjà à découvert. Situation toute à fait normale, quoi. Et toi ? » « Ne m’en parle pas, ma coloc’ a oublié de payer le loyer ce mois-ci. Et quand c’est pas le loyer, elle a oublié d’aller faire les courses. Tous les mois, les mêmes problèmes. » Un silence s’installa, et Maxym en profita pour avaler un autre morceau de son sandwich. Elle se demande d’ailleurs si un sandwich est suffisant, vu qu’elle meurt de faim. « Tu crois que tu pourrais m’héberger cet été ? » « La question se pose même pas, tu le sais bien. Et puis, tu pourras bosser un peu ton accent américain, parce qu’on entend encore des consonances anglaises. Ca doit pas être facile pour draguer, non ? » Maxym ne put s’empêcher de rire face à cette remarque. Ce qu’elle peut être con !


l'amour d'un frère
« Et toi, c’est quand que tu te pointes ici, à White Oak Station ? » Oui, parce que Maxym veut bien économiser un peu pour s’acheter un billet d’avion pour Londres, mais Scarlett n’est pas venue une seule fois, au Canada. Maxym peut comprendre parce que ce n’est pas forcément évident de mettre une bonne partie de ses revenus dans un billet d’avion pour un aller-retour pour un autre continent. « Tu sais bien que ton frère, c’est pas un cadeau. On finirait par s’entretuer. » C’est vrai qu’ils ne se sont pas vraiment entendus tous les deux, ce qui était un peu dérangeant tout de même, parce que son frère est important pour elle, très important. C’est surement dû au fait que treize mois les sépare l’un de l’autre. « On vit pas ensemble, tu sais. » « Quoi ? Tu vis pas avec Louys ? » Pas besoin d’être une lumière pour se douter qu’elle utilisait un ton sarcastique. Le frère et la sœur sont tellement proches. On les considère parfois comme des jumeaux, ce qui a l’habitude de les faire rire tous les deux. Eux, ça les amusent, et ils en jouent. Ils s’éclatent même d’ailleurs. « Vous étiez pourtant si proches, quand vous viviez encore à Londres. » Maxym ne put s’empêcher d’esquisser un sourire, avant de mettre à la poubelle l’emballage de son sandwich. « On l’est encore, tu sais. C’est pas parce qu’on ne vit pas ensemble, qu’on s’éloigne l’un de l’autre. Au contraire, ça nous rapproche plus qu’autre chose, même. » Ils ne vivent pas dans le même quartier et ils ont tous les deux quitter la maison de leurs parents, et pourtant, ils sont encore aussi proches, si ce n’est plus qu’auparavant. Du fait qu’ils ne vivent pas ensembles, ils passent beaucoup de temps ensembles, dès qu’ils ont un peu de temps libre en fait, entre leurs études et leurs petits boulots à côté. « Et puis, avec le départ de Londres, on a dû s’entraider aussi. On arrivait dans une nouvelle ville, on ne connaissait personne. On était que nous deux, rien que nous deux. » Ils ont un lien tellement fusionnel entre eux, que peu de personnes peuvent réussir à se mettre entre eux deux. Quand Louys s’est inscrit dans l’équipe de basket, au lycée, Maxym est venue le supporter à chaque match. On était sûre de trouver la brune dans les gradins, en train de crier, à ne plus avoir de voix. « Alors, en plus de ton accent à chier, t’as ton frère qui est encore plus sur ton dos. Tu ne peux vraiment pas draguer alors. » Un nouveau rire s’échappa de la bouche de Maxym, avant que celle-ci ne prenne la parole, une nouvelle fois. « Pourquoi tu dis ça ? » Oui, elle avait tout de même un peu de mal à comprendre pourquoi elle sous entendait que son frère pouvait poser un problème dans ses relations amoureuses. « Ton frère est un frein  à ta vie sentimentale. Il est tout le  temps derrière ton dos, et si le mec avec qui tu sors ne lui plait pas, tu le largues dans la minute qui suit. » « Arrête, tu dis des conneries. » « Prends le temps de réfléchir à tes anciens copains et on en reparle. » Un nouveau silence s’installa et Maxym prit vraiment le temps de réfléchir à ce que venait de lui dire sa meilleure amie. « Oh, merde. Putain t’as raison. » Et là, elle vient de se rendre compte que Scarlett avait raison. Louys et Maxym peuvent se montrer terriblement jaloux lorsque l’un s’intéresse à quelqu’un. Ils sont comme ça, fusionnels, et un peu trop d’ailleurs.


le perte d'un père
« Et ta mère, comment elle va ? » On peut dire que c’était, un peu, une question difficile à poser. Elle n’y répondit pas tout de suite à cette question, se laissant un peu de temps pour trouver les mots. « Elle va bien. On dine un soir par semaine chez elle, pour ne pas la laisser seule. » « C’est bien que vous soyez présents pour elle. Ta mère en a bien besoin. » Oh oui, elle en a besoin. Sept mois ont passés depuis le décès de son père. Il s’est battu contre la maladie pendant plus de six mois. Quand ils ont décidés de l’annoncer à leurs enfants, la situation avait empirée et plus aucune solution n’était envisageable. Maxym en a beaucoup voulu à ses parents, parce qu’elle n’a pas pu vraiment profiter de son père avant qu’il ne parte. La brune a très mal vécue ces deux dernières semaines avec lui, parce qu’elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi. Il était assistant dans une entreprise de finance. Il avait une femme et deux enfants pour qui il aurait tout donné. Il ne fumait pas et buvait très rarement de l’alcool. C’était une bonne personne et il a fallu que ce soit lui. Maxym s’est posée pleins de questions depuis son décès et elle n’arrive pas à comprendre pourquoi son père est partit bien trop vite. « Comment tu vas, toi ? » C’est dur, très dur. C’est une situation épouvantable et elle n’arrive pas à s’en remettre. Perdre son père à vingt-et-un an, c’est impensable. C’est ce qu’elle aurait aimé lui dire, mais Maxym doit se montrer forte. « Ce serait tout de même plus simple si tu étais à mes côtés. » Maxym s’est montré très forte après la mort de son père. Elle est autant touchée que sa mère et Louys, mais on aurait pu croire que cette disparition ne l’affectait pas autant que les autres membres de sa famille, tellement elle ne souhaitait pas montrer ses sentiments. Elle ne voulait pas se montrer faible, encore moins devant des personnes si insignifiantes pour elle. L’important, c’était que sa mère et son frère sachent qu’elle était là pour eux, et qu’ils pouvaient sur elle. « J’ai perdu mon père à vingt-et-un an. J’ai dû m’occuper de préparer l’enterrement parce que ma mère n’arrivait pas à quitter sa chambre. J’te parle même pas de mon frère, il s’est tellement renfermé. Il était beaucoup plus proche de mon père, que je ne pouvais l’être. » Un silence s’installa dans la conversation entre les deux amies. Scarlett ne savait pas vraiment où se mettre, mais elle prit tout de même la parole au bout de quelques minutes. « Je suis vraiment désolée de ne pas avoir été très présente ces derniers temps. Mes cours m’ont pris pas mal de temps. » « Je sais, ne t’en fais pas. J’avais besoin d’être un peu seule aussi. » Elle a craquée, un peu comme elle a pu craquer quelques temps après l’enterrement de son père. Ca avait été trop de pression, et surtout bien trop d’émotions durant cette période, et elle s’est montrée tellement forte qu’elle a dû craquer à un moment donné. C’était trop pour elle. « Dis-toi que tu n’as pas à être seule. Tu as ta mère, ton frère, et des amis à White Oak Station. On vit peut-être plus dans la même rue, et plutôt à de centaines de kilomètres l’une de l’autre, mais ce n’est pas pour autant que notre amitié est affaiblie. En ce moment, on trouve plus forcément le temps de se parler toutes les semaines, comme avant, mais au moins on a plus de choses à se raconter. » Scarlett savait trouver les mots, les bons mots, pour la consoler. «  Et puis, t’as plutôt pas intérêt à me remplacer. » Maxym ne put s’empêcher de sourire, avant de lui répondre. « T’es con ! T’es irremplaçables Scarlett. » Elle a peut-être des amies  à White Oak Station mais rien qui ne peut être comparé à son amitié avec Scarlett.


les changements
De nombreux changements se sont présentés dans sa vie depuis qu’elle a quittée Londres, mais encore plus ces dernières semaines. « Oh, si. On s’est séparé avec Henri. » « Nooon ! Mais c’est la nouvelle du siècle, ça. Tu t’es rendue compte qu’il avait un sale prénom et du coup, t’as rompu ? » Maxym ne put se retenir de rire, en entendant la remarque de Scarlett. « C’est lui qui a décidé de rompre. » Et avant même que Scarlett ait pu lui demander les raisons de cette rupture, Maxym prit les devants et reprit la parole pour lui expliquer un peu toute la situation. « Ca devenait trop sérieux pour lui, et il a eu peur. Alors, il a préféré mettre un terme à notre relation. » « C’est une couille molle, quoi. » Bon sang, ce que Scarlett pouvait lui manquer. Elle se dit que si elle était présente à White Oak Station, elles auraient passé toute une soirée ensemble, rien que toutes les deux et elles auraient pu dire du mal sur Henri. Il ne faut pas s’inquiéter, elles ne se seraient pas livrées à une expérience vaudou pour le blesser. Mais ça aurait pu être une soirée toute simple où elles auraient pu faire un feu de joie et Maxym aurait pu brûler toutes les photos qu’elle peut avoir d’eux deux. « Non mais par contre, il sait pas du tout ce qu’il a perdu. Tu vas pouvoir draguer à fond, t’es jeune, profite-en. » C’est vrai qu’elle a seulement vingt-et-un an donc elle peut s’amuser un peu, sans pour autant se mettre en couple. Son petit-ami a rompu avec elle, et elle était vraiment investie dans cette relation. Elle en a souffert, et elle en souffre encore un peu. C’est normal, après tout. « J’ai plus envie de me concentrer sur mes études de stylisme, en ce moment. » Ce qui est très perturbant, c’est que même si un océan sépare les meilleures amies, Scarlett arrive très bien à comprendre Maxym, et elle sait remarquer quand il y a quelque chose qui se trame dans la tête de sa meilleure amie. « Toi, tu me dis pas tout. » « Tu me connais trop bien. » Elle ne pouvait rien lui cacher, c’est chiant. Maxym fit exprès de ne pas lui répondre tout de suite, laissant Scarlett pester à l’autre bout du téléphone pour lui demander plus de détails. Pendant que son amie pestait, Maxym empruntait les escaliers de son immeuble, pour rentrer chez elle. Elle devait passer voir son frère qui n’avait pas cours cet après-midi, mais elle voulait en profiter un peu pour passer par chez elle avant, et déposer ses cours. Elle en profitera pour se refaire une petite beauté aussi, bien que ce soit tout de même très naturel chez elle. Un petit coup de brosse dans ses cheveux, un trait noir sur le bas de son œil, et ça fera l’affaire. Maxym a toujours été naturelle, et elle est très bien ainsi, comme elle est. « Maxym Piper Keegan, accouches. » La brune sait très bien que si elle ne répond pas à son amie, cette dernière ne lâcherait tout de même pas l’affaire. « J’ai, peut-être, quelqu’un en vue. » Il ne fallut que quelques secondes à Scarlett pour hurler au bout du téléphone, brisant un peu, les tympans de Maxym, au passage. « C’est qui ? Je veux savoir. Dis-moi tout. Absolument tout. » « C’est… compliqué. » Bien évidemment, Scarlett demanda plus d’explications à sa meilleure amie. « Je t’avais parlé de Julian, qui jouait dans la même équipe de basket que Louys ? Tu sais, son colocataire. » Scarlett n’a pas eu besoin de confirmer puisqu’elles ont surement dû parler de lui, dans une de leurs précédentes discussions, dans le sens où il est ami avec Louys. Scarlett compris tout de suite que c’était lui, que son amie avait en vue. « On s’est pas mal rapprochés ces derniers temps, tous les deux. Mais j’peux pas, c’est le pote de mon frère. » « C’est bon, tu vas pas te retenir de sortir avec quelqu’un, à cause de ton frère. Ouais, ils sont potes et alors ? Profite-en, et tu vois bien où ça va vous mener. » « On verra bien. J’te laisse, j’dois passer voir Louys, il a un truc hyper urgent à m’annoncer. » « Il s’est peut-être trouvé un cerveau. Tu m’tiens au courant, en tout cas, hein ? » « Mais oui. Bisous ma belle. » Maxym attendit quelques instants avant de raccrocher et de se préparer pour aller retrouver son frère.