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| Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE | |
| Auteur | Message |
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| (#) Sujet: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 10:24 | |
| Kaitlyn Pandore CadiganS’inquiéter n’effacera pas les problèmes de demain, cela ne fait qu’enlever la paix d'aujourd’hui. PRÉNOM(S) ET NOM: Kaitlyn Pandore Cadigan SURNOMS: Kate ÂGE: 26 ans NATIONALITÉ: Canadienne & Parisienne. ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle STATUT CIVIL: Célibataire EMPLOI/ÉTUDES: Galériste en art contemporain SITUATION FINANCIÈRE: Moyenne. AVATAR: Candice Accola. CRÉDIT: Tumblr. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Pas terrible du tout, j'ai quitté Standford Alley pour me rendre à Paris avec ma mère. Je n'avais pas énormément d'amies là-bas et restait souvent toute seule, après un peu de temps je me suis tout de même ouverte aux autres et j'ai fini par avoir des amies, petit à petit. Nous étions un groupe de 5 filles et nous passions du temps ensemble. En fin de compte, au début tout allait bien je n'avais pas droit à de multiples moqueries, j'étais une fille "passe partout" pas une qui cherche les emmerdes, ni à collectionner le plus de petit copain en une année. J'étais discrète et moi-même. Puis tout à coup tout à changé, je suis devenue la bête noire de cet endroit. Tout le monde me détestait, surtout les filles snobs et hautaines qui se moquaient perpétuellement de ma condition d'humaine. J'ai terminé le lycée à l’hôpital ...
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Cette question est difficile, la réponse l'est encore plus. Je suis épanouie, je pense même pouvoir dire que je suis heureuse. Je fais ce que j'ai toujours voulu faire, j'ai des contacts et j'adore organiser les soirées dans les galeries à ma façon. Le seul petit soucis, est que je n'ai personne dans ma vie pour le moment, je suis en manque de cette personne pour partager ma vie. Je sais que je suis très indépendante, que je n'ai besoin de "personne", enfin c'est plutôt ce que je dis mais il n'est pas faux que j'aimerai avoir quelqu'un dans ma vie pour partager tout ces moments.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Je pense ne plus bouger d'ici, j'aime cet endroit. Il est mon passé, mon présent et mon futur, du moins je l'espère. Je me vois mariée et avec des enfants, en espérant trouver quelqu'un qui me convienne parfaitement d'ici là. Je pense que je garderai le même emploi, avec la même motivation et le même sourire car j'aime ce que je fais. Et n'est-ce pas ça le plus important en fin de compte ?
Pour la répartition des groupesCe questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff. Pour indiquez votre réponse, il suffit d'ajouter checked juste après name="question" correspondant à votre réponse (n'hésitez pas à nous faire signe si vous avez de la difficulté).Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener:
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Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir :
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hors-jeuPRÉNOM ET/OU PSEUDO: Ambroise ÂGE: 21. PAYS: Belgique PRÉSENCE: 3/7 (appart sans internet). COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Bazzart. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? Inventé. AUTRE CHOSE À AJOUTER? Votre forum est trop beau .
Dernière édition par Kaitlyn P. Cadigan le Mar 9 Sep - 17:32, édité 10 fois |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 10:25 | |
| Why'd you only call me when you're high?Croire en soi, c'est déjà presque réussirMa vie commence assez banalement. Je suis née pendant la nuit du 31 mars au Canada. Etant enfant unique, j’étais très attendue par mes parents. Ma naissance fût donc un heureux événement. A vrai dire, toute mon enfance l’a été, plus ou moins. J’ai grandi paisiblement dans un petit appartement situé à White Oak Station. Ma famille était très aimante, mais les sentiments étaient rarement exprimés à haute voix. Ils se manifestaient par des gestes et des sourires. Il y a toujours eu cette certaine pudeur chez nous, mais cela ne nous a jamais dérangé. C’était comme ça, c’est tout.
Mes parents faisaient partie de ce que l’on peut appeler la « classe moyenne ». Mon père, professeur d’histoire à l’université, est un canadien de « pure souche » comme on dit. Ma mère quant a elle est parisienne. Ils se sont rencontrés quand ils avaient 25 ans, alors que ma mère venait d’accepter une mutation au Canada. Elle travaillait pour une multinationale. Entre eux, ce fut le coup de foudre. A la suite de cette idylle, ma mère décidai de rester vivre avec mon père dans la cette ville. J’ai donc eu la chance d’apprendre le français agrémenté d'un joli accent canadien dès ma naissance.
Mon enfance fut heureuse et paisible. Ma famille n’était peut être pas riche, mais je n’ai jamais manqué de rien. Je n’étais pas une enfant capricieuse alors je me suis toujours contentée de ce que la vie m’apportait. J’aimais écouter les histoires de mon père sur le passé du Canada, et les récits de ma mère sur son enfance dans la banlieue parisienne. J’ai eu la chance de visiter plusieurs fois la France afin d’aller rendre visite à ma famille maternelle. Grâce à mes parents, je pense donc avoir développé une certaine culture et ouverture d’esprit. J’aimais apprendre, découvrir, et j’aime toujours ça.
Et puis un jour, mes parents se sont séparés. Sans grosses disputes ni tout ce qui aurait pu montrer comme preuve qu'apparaissait de plus en plus une séparation. J’avais 15 ans à l’époque. Je ne me suis presque pas rendue compte qu’ils avaient l’intention de divorcer. C’est arrivé comme ça, je pense que tout les deux ont compris au même moment qu’ils devaient à partir de ce moment là prendre des chemins différents. Je ne dis pas que cela ne m’ait pas affectée, bien au contraire. Voir mon modèle de couple idéal se séparer a été très difficile, car c’était un de mes repères dans la vie. Cependant, j’ai compris assez vite qu’il valait mieux que les choses se passent ainsi, dans la bonne entente, et que chacun poursuive sa vie comme il le souhaite. Je souhaitais tout simplement le bonheur de mes parents.
Ma mère souhaitait retourner en France. Paris et ses habitants lui manquaient. Elle avait besoin de se ressourcer et de réfléchir auprès de sa famille. Je l’ai donc suivie, un peu sous la contrainte. Je ne voulais pas quitter White Oak Station, une ville qui était si chère a mon cœur. Cette ville qui abritait tout mes souvenirs, mes amis et mes petites habitudes. De plus, j’étais en pleine adolescence, ce qui n’a pas facilité les choses. J’aurais pu rester avec mon père, mais à ce moment là, je sentais qu’il était plus raisonnable de partir avec ma mère. Je retournai voir mon père pendant les vacances et certains weekends.
On m’inscrivit donc dans un lycée français. Heureusement pour moi, je maîtrisais bien la langue. Je suis donc entrée en seconde, dans une ville dans laquelle je me sentais totalement étrangère. Mon caractère timide et discret n’arrangea rien : je me renfermai encore plus dans cet environnement inconnu. J’eu du mal à m’intégrer, surtout dans ma classe de 30 élèves. Les filles s’examinaient entre elles de la tête aux pieds, se jugeant sans cesse les unes les autres. A cette époque, je me souciais assez peu de mon physique, privilégiant plutôt le confortable à l’esthétique. Je n’étais pas particulièrement jolie non plus : les garçons ne se retournaient pas sur moi, j’étais du style passe partout. Je passais donc mon temps libre à dessiner ou a lire, ce qui n’aidait pas vraiment à faire des rencontres. Je vous mentirais si je disais que je n’ai fait aucune rencontre pendant cette première année : je me suis tout de même bien entendue avec certaines filles de ma classe. Au moins, j’avais quelqu’un avec qui m’asseoir en classe ou manger le midi. J’aurais même presque pu les qualifier d’amies. A la fin de la seconde, j’avais même réussi à m’intégrer dans un petit groupe de filles, nous étions cinq au total.
C’est en première que les choses ont changé. J’entrai alors en section économique et sociale. Les filles paraissaient alors plus hautaines, plus snobs. Les garçons tout aussi immatures. Je ne retrouvai aucune des filles avec qui j’avais pu sympathisé l’année précédente. J’étais seule, et bizarrement, j’en souffrais plus que normalement. Le regard des filles était plus dur, plus accusateur.
Et puis un jour, sans réelle explication, des rumeurs circulèrent sur moi. On disait que je me droguais, que j’avais de mauvaises fréquentations. « Bah oui, pourquoi elle serait si seule si elle avait pas un problème cette fille ? ». Il y avait surement une raison derrière cet acharnement, mais je n’en avais aucune idée. Plus tard, j’eus droit aux petites humiliations en public. Une bousculade, une remarque blessante. Malgré ce mal-être, je n’en parlais pas autour de moi. Je ne voulais pas faire de la peine à ma mère, qui avait du mal à se remettre de son divorce et qui bizarrement, semblait ne plus tellement se plaire dans cette vie à la française. Mon père était loin de moi et je ne voulait pas trop l’inquiétait, de peur que la distance n’aggrave les choses. Mes amies de seconde et moi semblions avoir coupés les ponts. Peut être que je n’avais jamais réussi à tisser de vrais liens avec elles. Et puis ne parlons pas du personnel du lycée, qui soit fermait les yeux, soit ne remarquait rien. J’entrais et je sortais de l’établissement avec une boule au ventre quotidienne.
J’avoue que cette période fut assez noire pour moi, car je pensais plusieurs fois au pire. Il faut dire que je me sentais loin de mon pays, loin de mes habitudes, loin de mes proches.
En terminale, ce fut à peu près pareil. La classe ne changea pas beaucoup, et puis les grandes gueules du lycée m’avaient déjà fait une réputation. Plus je me renfermai, plus l’on m’accusait de me renfermer. Alors je finis par accepter cette situation. Pire, je me disais que si tout le monde agissait comme ça avec moi, c’était que j’avais réellement un problème. Certes, certaines personnes tentèrent de s’approcher de moi, mais par peur d’être embêtées à leur tour, elle ne devinrent jamais de vrais amis.
Je pouvais supporter cette situation malgré le fait qu’elle me blesse au quotidien. Seulement, un jour, quelque chose de plus grave arriva, et ça, je ne pouvais pas le laisser passer. Un soir, alors que je rentrai chez moi à pied, je senti une main m’attraper et me plaquer contre le mur. Puis des coups, des gloussements, et encore des coups. Ensuite, plus rien, le vide.
Quand ma mère vint me voir à l’hôpital, il fallait que je lui dise. Elle pleura beaucoup, et moi aussi. Mon père prit le premier avion. J’avais peur des représailles. Le personnel du lycée fit comme s’ils n’étaient au courant de rien et me demandèrent même si je n’exagérais pas la situation, voir même si je ne l’avais pas un peu cherché. Mes parents décidèrent donc de me retirer de l’établissement dès la fin de l’année, qui approchait heureusement. Je passai donc le bac, et je m’envolais à nouveau pour retourner aux sources. Mes parents, apparemment ressoudés au moment de mon agression, se redonnèrent une chance. J’avais du mal à croire à ce « happy end », mais apparemment tout était vrai.
Je m’inscrivis à l’université, en histoire de l’art. Malgré ma première, je compris que l’économie et le commerce n’étaient pas vraiment fait pour moi. L’art avait toujours été une passion pour moi. Les musées de Paris m’étaient familiers. Je rêvais d’avoir un jour une oeuvre exposée dans un de ces bâtiments, mais il fallait que je me rende à l’évidence : mes gribouillages n’étaient pas suffisants. Mes années de fac se passèrent très bien. Je me disais que c’était l’occasion où jamais de prendre un nouveau départ. J’eu la chance de rencontrer des gens très sympathiques, et de me faire quelques amies. Le temps et la distance ont fait que je ne suis plus beaucoup en contact avec elles, mais elles ont compté pour moi pendant ces années.
Le temps avait également été clément avec moi : je suis devenue plus belle, plus « femme ». Je me suis intéressée davantage à la mode, et j’ai commencé à prendre soin de moi. J’ai vu le regard des gens changer. Les garçons ont commencé à s’intéresser à moi, les filles étaient plus gentilles. Certaines qu’on pourrait qualifier de « populaire » venaient même de parler de temps en temps. C’est à cette époque que je connus mes premières histoires de cœur, sans jamais trouver mon âme sœur. Malgré tout, cette période m’a aidée à reprendre confiance en moi et à me rendre compte que j’avais droit au bonheur.
Après un cursus de plusieurs années, je devins enfin galériste, dans une galerie d’art contemporain. J’organise désormais des vernissages, des expositions et je communique avec les artistes et les clients. C’est un métier qui a permis de m’ouvrir, de m’exprimer plus facilement. Ma timidité s’est donc peu à peu essoufflée, même si je reste discrète aux premiers abords. Dans ma vie professionnelle, je n’ai pas de problème à aller vers les gens. C’est du côté personnel que j’ai toujours du mal à m’intégrer ou à forger de vraies relations. Malgré mon envie de rester parmi les gens que j'aimais, mon premier emploi se trouvait à Manchester. J’ai donc vécu deux ans là-bas, en tant qu’apprenti. Là-bas, j’ai pu apprendre les bases du métier. J’ai tout de suite su que c’était ce que je voulais faire de ma vie.
J’ouvre depuis peu ma propre galerie d’art à White Oak Station. C’est pour ça que je reviens dans la ville qui est si chère à mon cœur. Aujourd’hui, j’ai 26 ans et je repose mes bagages ici. Cette ville m’a énormément manqué. Je me sens plus forte, plus confiante que jamais. Mes blessures du passé seront a jamais gravées en moi, mais elles m’ont permises et me permettront d’avancer. J’ai appris à avoir plus de caractère, à dire non, et surtout, à m’assumer telle que je suis. J’espère ne plus jamais quitter cette ville. Standford Alley, i’m back !
Dernière édition par Kaitlyn P. Cadigan le Mar 9 Sep - 19:18, édité 3 fois |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 11:09 | |
| Merci beaucoup Je m'en vais en changer ! EDIT : Modification terminée et fiche terminée |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 11:22 | |
| Bienvenue belle blonde ! Super choix d'avatar ! |
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kill em with kindness
› inscription : 21/08/2013 › pseudo : shiver./sarah. › crédit : spleen ocean/tumblr.
› statut civil : célibataire. › occupation : serveuse au madison grill & mannequin à ses heures perdues.
| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 13:29 | |
| Bienvenue sur flt Candice |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 13:46 | |
| Bienvenue, j'adore ton histoire! |
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lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 16:30 | |
| bienvenue. j'espère que tu te plairas sur flt très bon choix d'avatar, d'ailleurs je m'occupe de ta fiche dans quelques minutes, en attendant n'hésites pas si tu as la moindre question! |
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lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 16:59 | |
| alors ton histoire est intéressante et tu écris très bien, le petit souci c'est que tu n'as pas trop saisi toute la géographie d'flt (pour parler avec des grands mots )... l'histoire de kaitlyn est tournée autour de londres, alors que le contexte se passe à white oak station (une ville inventée), au canada. stanford alley, que tu cites à deux reprises (une autre chose que je n'ai pas compris; tu la cites en tant que ville, celle où elle habite, alors que tu dis que kaitlyn vit à londres), est en fait un quartier de white oak station. donc je ne peux pas te valider tant que tu n'as pas fait ces modifications. |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 17:41 | |
| Voilà, j'ai fait des modifications Honte à moi, j'ai regardé un autre forum juste avant et j'étais persuadée que le contexte était à Londres, je suis vraiment désolée que tu aies du lire ma fiche pur rien Azel . Merci pour tout vos bienvenue sinon |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 17:47 | |
| bienvenue sur FLT |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 18:03 | |
| ici azelpas de soucis! par contre, je vais être chiante, mais il reste encore des incohérences. tu parles encore de londres, dans le premier paragraphe de ta fiche, alors que tu dis bien que kaitlyn est née au canada. et de même, tu dis que son père est un anglais pure souche, et ensuite qu'il aimait bien lui parler des histoires du canada... n'hésites pas à citer le nom de white oak station, aussi, pour plus de clarté. |
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE Mar 9 Sep - 19:20 | |
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lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
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| (#) Sujet: Re: Kaitlyn Pandore Cadigan ✽ STOLEN IN PARADISE | |
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