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| alec ▲ the show must go on. | |
| Auteur | Message |
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| (#) Sujet: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:29 | |
| alec summerson attend que la mort nous frôle.PRÉNOMS ET NOM: ses deux prénoms sont alec et isaïa, son prénom summers. SURNOMS: il déteste les surnoms, n'essayez pas de lui en donner un. ÂGE: il a vingt-trois ans et toutes ses dents. NATIONALITÉ: il est américain. ORIENTATION SEXUELLE: il a un faible pour les femmes, les vraies. STATUT CIVIL: actuellement, il est fraîchement célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: il est cascadeur pour les films d'action, mais suit des études de droit qui ne l'intéressent pas à côté. SITUATION FINANCIÈRE: il est issu d'une famille pauvre mais grâce à son travail, il s'en sort parfaitement bien. AVATAR: logan lerman. CRÉDIT: tumblr. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Le lycée, c'était plutôt un passe-temps. Alec détestait y aller, parce que rien ne l'y intéressait spécialement. En fait, c'est l'école en général qui ne l'intéresse pas. Mais si il se forçait à y aller, c'est bien parce que c'était là-bas qu'il rencontrait des gens, qu'il se faisait des amis, qu'il pouvait draguer les filles le plus facilement. Et puis il n'a jamais été un mauvais élève, au contraire. Alors il faisait un effort. Au fond, Alec ne garde qu'un bon souvenir de ses années lycée, lorsqu'il met de côté les longs et épuisants cours qu'il s'est efforcé de suivre, visage tourné vers la fenêtre.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Oui, Alec est heureux. Il y a toujours des obstacles qui se dressent devant lui, des contrariétés ... Mais dans l'ensemble, il a ce qu'il veut et ce dont il a besoin, alors il se sent bien. Sa famille est en vie, sa soeur est heureuse et vit avec lui, il a un boulot et fait de bonnes études, il a des tas de potes avec qui passer des soirées mémorables ... Comment ne pas être heureux ainsi ? Sa liberté il en profite, sa liberté il l'exploite, il teste sans cesse ses limites. Cependant, seule tâche d'ombre au tableau : l'amour. Ne lui parlez pas de l'amour, il va se mettre à pleurer.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Difficile à dire. Aux yeux d'Alec, l'avenir est totalement incertain. Mais il espère être avec la femme qu'il aime, continuer à travailler dans le cinéma et peut-être avoir un poste à mi-temps dans un cabinet d'avocat, au cas où. Il espère être encore entouré de ses amis, que sa soeur aille bien. Mais il espère aussi avoir fait le tour du monde, et pourquoi pas vivre dans un autre pays. L'Asie le fascine. Il est peut-être difficile, mais Alec n'est pas du genre à voir l'avenir avec pessimisme. Eternel optimiste, il fera tout pour vivre et ne rien regretter. Alors si il a effectivement vécu ça dans dix ans, ce ne serait pas très étonnant.
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff, il est possible de revoir cette décision ensemble. Pour indiquez votre réponse, il suffit de la mettre en italique ou de barrer celles qui ne correspondent pas. - Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total[i]. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › [i]En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: Justine/Alaska. ÂGE: 18 ans dans deux semaines. LOCALISATION: Rhone-Alpes. PRÉSENCE: 3/7j, le reste du temps je suis à l'internat. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Facebook je crois ! AUTRE CHOSE À AJOUTER? Je veux des liens avec tout le monde.
Dernière édition par Alec Summers le Dim 31 Mar - 17:59, édité 6 fois |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:29 | |
| c'est ma vie.on accepte l'amour qu'on pense mériter. Mes parents m'ont obligé à aller voir un psy alors que j'ai vingt-deux ans. Vous vous rendez compte de la honte que je suis en train de subir ? Assis dans la salle d'attente, j'attends qu'on appelle mon nom. Dix fois, vingt fois, cinquante fois, j'hésite à me lever et m'enfuir. Mais là ce n'est pas chez le psy qu'ils m'enverront, c'est à l'hôpital psychiatrique. Oh rassurez-vous je ne suis pas fou, loin de là. Immature et inconscient sont des mots qui me correspondent mieux : je ne prends jamais la tête et je n'obéis à personne. Je vais en cours quand ça me chante, je trompe les filles, je bois, je fume, je m'amuse. Mais il parait que c'est mal. En quoi est-ce que c'est mal ? Je n'en ai aucune idée, et c'est bien pour cela que je suis là aujourd'hui. Pour qu'on m'explique pourquoi je suis un "attardé mental" qui préfère vivre plutôt que se forcer à mener l'existence qu'on lui a imposé. Quand enfin on appelle mon nom, je ne me lève pas et je fais l'air de rien, comme si ce n'était pas moi. Quand je pense avoir réussi mon coup, je remarque que je suis seul dans la salle d'attente et que ça ne peut être que moi, Alec Summers. Je soupire, je me lève, tend la main, suit la femme dans son bureau. Elle a de jolies jambes, le rendez-vous en valait peut-être la peine.
Elle me demande de raconter ma vie, je réponds que j'ai la flemme. Quand elle me demande pourquoi j'ai la flemme, je réponds que je n'en ai aucune idée. Alors elle commence une théorie sur le refus de s'exprimer et je l'arrête bien vite, car encore plus que de raconter mon histoire, j'ai la flemme d'écouter ses raisonnements vaseux de femme un peu trop coincée. Je commence par ma naissance et mon enfance. Ma mère était femme au foyer et mon père pompier, ma famille ne roulait pas vraiment sur l'or. Et puis il faut dire que nous sommes deux enfants, des jumeaux. Ma soeur me ressemble beaucoup, avec ses cheveux bruns et ses yeux bleus. Alors nous avons déménagé pour un petit appartement miteux. Et comme si cela ne suffisait pas, mon père a eu un accident de travail et a été amputé. C'était vraiment moche à voir, je me souviens que ma soeur se mettait toujours à pleurer quand elle regardait sa jambe. Il est tombé dans la dépression, s'est mis à boire et à me taper dessus. Il n'a jamais touché les femmes de la maison, heureusement. Je ne l'aurais pas supporté. Qu'on me fasse du mal d'accord, mais à ma soeur et ma mère. Pourtant elles-même me menaient la vie dure. Peu importait. Ma mère elle, a trouvé un travail dans un supermarché pour qu'on arrive à manger. On a souvent mis sur le compte de la naissance de Mary et moi tous nos problèmes, mais je ne me suis jamais senti coupable. Pourquoi ? Ils n'avaient qu'à se protéger ce jour là. J'y peux rien si nous étions indésirable ! Ils m'ont donné pour deuxième prénom le nom Isaia, qui était le prénom du père de ma mère. Celui là je ne l'ai jamais vu parce qu'il habite à Rome, mais il parait qu'il a de l'argent. Je ne sais pas, je n'en ai rien à faire.
Depuis tout petit j'ai donc toujours eu une certaine liberté, et au moindre problème je me faisais tabasser mais ça ne m'empêchait pas de continuer. Quand je voyais la situation financière et sentimentale de mes parents, je n'avais qu'une envie : fuir. Fuir ce monde qui était le mien. Alors j'ai commencé à déconner sévère : j'ai bu mon premier verre d'alcool à treize ans, j'ai fumé ma première cigarette à 14 ans et couché avec une fille cette même année. A quand la drogue direz-vous ? Ça ne m'intéresse pas, je connais mes limites et je ne veux pas les franchir. Et malgré ce choix de vie, j'arrivais à rester un excellent élève, quand je daignais aller à l'école. Je faisais parfois un effort, car c'était là-bas que je me faisais des amis et que je rencontrais des filles. J'avais conscience que ma vie était pathétique ainsi, mais je n'arrivais plus à vivre autrement. C'était ma façon à moi de me protéger de la réalité, d'une famille d'ivrognes et de dépressifs dont j'étais le bâtard indésirable, d'être le frère d'une gamine qui souffrait en silence et se montrait plus courageuse que moi, ma façon d'oublier qu'à cause du manque d'argent, je pourrais très bien finir dans un supermarché comme ma mère. Ainsi, j'avais également l'impression d'être un garçon comme les autres. Lorsqu'à la fin du collège tout le monde a hâte d'intégrer les lycées les plus prestigieux, qu'on parle déjà de la voiture qu'on va conduire, c'est difficile à vivre pour quelqu'un qui doit attendre de savoir si il aura droit aux bourses ou non.
Ma vie n'a en rien changé depuis. L'évènement le plus marquant de ma vie, c'est sans doute le jour où j'ai failli mourir, assassiné par un arbre. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, j'ai trouvé un équipement de parapente dans les affaires de mon père, je suis monté en haut d'une falaise et j'ai sauté. Le grand frisson vous comprenez, celui où l'on a l'impression d'être immortel. Bon bien sur je ne savais pas m'en servir de l'équipement, et j'ai foncé droit dans un arbre une centaine de mètres plus bas. Mes parents ont pris ça pour une tentative de suicide. J'ai eu beau leur expliquer que je n'avais pas besoin de tout ça pour mettre fin à mes jours, ça n'a servi à rien. Franchement, une boite de médicaments aurait suffit ! Quand on connait mon flegme légendaire en plus ... Et voilà que j’atterris ici, et que je regarde autour de moi sans écouter la blonde qui me sert de psy. Était-elle pom-pom girl pendant ces années au lycée ? Je lui coupe la parole et lui demande. La réponse est oui et j'ai réussi, elle est agacée.
Elle me demande alors de lui parler d'elle. Elle touche le point sensible, mon cœur se serre. Je n’ai pas envie de parler d’elle. Je sors mon paquet de cigarette, elle me dit de le ranger, je parle du temps qu’il fait dehors. Mais devant son insistance, je m’exécute. Je lui raconte comment je me suis fait berner, comment elle m’a brisé le cœur. Cette fille, c'était ma première fois. Enfin, pas sexuelle, mais mon premier amour. Le vrai. Le pur. Celui qui m'a permis de croire que je pourrais être heureux. Mais elle se moquait visiblement de moi. Après six mois de relation, je l'ai retrouvée dans les bras de mon meilleur ami. Je l'ai larguée sur le champ. Et quand deux mois après elle est venue me voir en me disant qu'elle était enceinte de lui, j'ai cru mourir de chagrin. Elle m'a supplié de l'écouter et la pardonner en disant que ce n'était rien, mais je n'ai pas voulu la croire. Je ne suis pas le genre de personne qui se fait avoir et répète ses erreurs sans cesse. Non, je ne l'ai pas écoutée, je lui ai tourné le dos et je suis parti. Quand j’ai fini de raconter, j’ai envie de m’achever. De boire, de fumer jusqu’à planer, de ne plus m’écouter. Je la hais. Pourquoi dois-je raconter ça ? C’est une telle honte ! Alors je raconte comment est ma vie avec ma soeur : nous avons quitté nos parents pour un appartement beaucoup plus grand et beau, que nous payons grâce à nos petits boulots à côté de nos études. Moi je suis cascadeur, c'est terriblement excitant. Et puis ça rapporte. Notre relation s'est considérablement adoucie, même si nous sommes très différents. Mary me reproche souvent de sortir, de fumer, de boire, mais je sais qu'elle m'aime et je l'aime aussi. Ah oui, j'ai oublié de préciser : on est partis parce qu'on a appris que notre père avait eu une autre fille, alors qu'il était bien évidemment avec notre mère. Ca a été la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Je sors du bureau d'un pas triomphant, la dame de l'accueil me demande la façon dont je vais régler la consultation. Je lui demande de contacter mon agent. Quel agent ? Je paye, débité de verser les pauvres dollars difficilement gagnés au cours de ma courte existence. Puis je sors. La vie ne fait que commencer.
Dernière édition par Alec Summers le Dim 31 Mar - 21:37, édité 5 fois |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:31 | |
| Welcome parmi nous :D Bon courage pour ta fiche :) |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:33 | |
| Merci beaucoup Tamara |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:33 | |
| Bienvenue Logan |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:34 | |
| Je plussoie Hope .. Logan *_* il est trop chou ce mec ^^ |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:39 | |
| bienvenue sur feels like tonight, et merci de ton inscription. si tu as la moindre question, n'hésites pas à contacter le staff. :) (et, jme trompe ou t'étais inscrit sur WAN il fut un temps? ) |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:40 | |
| Merci Candice & Candice, ce sont des canons aussi Meeerci Tobias Noooon, tu te trompes pas ! Tu étais qui ? |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:42 | |
| bienvenue, excellent choix d'avatar |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:42 | |
| j'étais (et je suis toujours) Alicya. |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 16:49 | |
| Bienvenue sur le forum, j'espère que tu vas te plaire parmi nous. Logan est un très bon choix et j'adore le métier, c'est original. Bref, bonne chance pour ta fiche! |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 17:08 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 17:34 | |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 17:37 | |
| Han, la belle Seyfried ! Je comptais en faire un scenario, j'avais pas vu qu'elle était prise ! Garde moi un lien alors, pitiez. Merci beaucoup ! |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 18:23 | |
| pas de soucis, y a toujours de la place pour les liens |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 18:52 | |
| Welcome ! |
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. Dim 31 Mar - 18:54 | |
| Meeeerci. |
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› inscription : 16/03/2013 › pseudo : charney (rose) › avatar : melissa benoist. › crédit : charney (ava).
› statut civil : célibataire. › quartier : dans un petit appartement, sur downtown area. › occupation : étudiante en droit, spécialisation en crime familiaux. barmaid au old pub.
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| (#) Sujet: Re: alec ▲ the show must go on. | |
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