| (#) Sujet: (M/LIBRE) NICOLAS SIMOES Mer 30 Juil - 17:41 | |
| jayson "jay" peacock with no one else to blame PRÉNOM(S) ET NOM: Jayson Peacock. ÂGE: vingt-deux ans. NATIONALITÉ: canadien. ORIENTATION SEXUELLE: hétéro. STATUT CIVIL: célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: DJ dans la discothèque de la ville. AVATAR: nicolas simoes. CRÉDIT: tumblr. ~ DESCRIPTION DU PERSONNAGE.
Les points importants dans son histoire : ≈ Jayson a toujours été très proche de sa famille, jusqu'à la mort de son père alors qu'il avait treize ans. ≈ Il a suite à la mort de son père commencé à fréquenter des drôles de personne et à consommer des drogues durs. ≈ La mère Peacock se remaria ce qui n'a pas plu à Jay qui devenait de plus en plus détestable. ≈ Il a quitté le domicile familial précipitamment à son dix-huitième anniversaire, alors qu'il a frappé son beau-père qui a levé la main sur sa mère.
Le reste de la vie de Jay entre ses dix-huit et vingt deux ans est libre, mais il doit être à White Oak Station depuis un bon moment déjà et il continue à se droguer. ~ LIEN AVEC FRANKIE PEACOCK Jay apparaît dans l'intégralité de ma fiche, ici :
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chapitre un ~ I'm not the type to get upset and cry 'cause I never leave my heart open « Papa, s'il te plaît ne m'abandonne pas, je veux que tu restes auprès de moi, c'est pas toi qui me disait qu'un bon général n'abandonne jamais ses troupes, alors ne me laisse pas, par pitié. » C'était les pleurs et les cris déchirants d'une enfant d'à peine une dizaine d'année. Francesca savait que c'était trop tard, mais elle voulait continuer à croire que son père reviendrait, qu'il allait se relever d'une minute à l'autre et qu'il la prendrait dans ses bras avant de l'emmener au parc pour qu'il s'amuse ensemble au football américain comme il faisait toujours le week-end en compagnie de son grand frère, lorsqu'il était à la maison. Le père de Frankie était général et comme tout bon général, il était plus souvent avec sa deuxième famille qu'était l'armée, plutôt qu'avec la vraie, mais il essayait de passer tout ses week-end en compagnie de ses enfants et sa femme, les seuls trésors qu'il avait en ce monde. Il n'était pas mort au combat, il avait perdu la vie en voulant sauver celle de sa fille. Il sortait du cinéma, tous les quatre, on pouvait lire sur leurs visages le bonheur d'une famille unie et heureuse, pourtant, le destin voulu séparer ces êtres. Un déséquilibré qui tenait un cutter s'approcha dangereusement de la petite Frankie, un peu trop prêt au goût de son père qui s'interposa et dans l'altercation, le père de Francesca se pris un coup de cutter qui lui fut fatal. Frankie est très vite passé de tristesse à colère, une colère qui aujourd'hui encore ne c'est pas estompé. la jeune fille avait tout du garçon manqué parfait. Son père avait toujours eu l'habitude d'avoir un garçon, c'est pourquoi il éleva Frankie comme si elle était un petit garçon, mais c'était tout aussi plaisant pour cet homme qui pensait qu'en temps que militaire, il n'aurait jamais de vie de famille. Malgré tout, Frankie ne fut pas plus proche de sa mère pour autant, elle suivait son père partout. Elle adorait le basketball ou le football américain, regardait souvent en compagnie de son paternel un match de lutte à la télévision, ne se laissait jamais faire par les petits garçons de sa classe, car on la jugeait comme la caïd de son école primaire, se battait avec son grand-frère, elle détestait aussi porter des robes et des jupes et par dessus tout, elle haïssait profondément la couleur rose. Si elle aurait pu choisir son sexe à la naissance, elle aurait sans aucun doute choisi d'être un bonhomme plutôt qu'une demoiselle. La mort de son père avait été synonyme chez elle d'un esprit beaucoup plus mature, mais aveuglé par la colère. Elle devenait de plus en plus agressive envers les personnes qui l'entouraient, dont sa mère qui en plus de sa propre tristesse et propre dépression, devait essayer de canaliser les colères de ses enfants, car si Frankie était perturbée, elle n'était pas la seule à subir la mort d'un père. Jayson, trois ans son ainé avait eu lui aussi beaucoup de mal à supporter la disparition de son père. A ses treize ans, il se mit à fréquenter des types pas très nets et beaucoup plus âgé que lui qui l'influencèrent beaucoup dans le mauvais chemin. Il commença alors à consommer des drogues dures et en devint dépendant au point de vendre les bijoux de sa mère pour pouvoir se payer sa drogue. On peut donc dire qu'il n'y avait donc plus aucune relation familiale au sein de cette famille jusqu'à l'arrivé du beau-père. La mère des deux têtes brunes se remaria alors que Frankie était âgé de quatorze ans et Jay de dix-sept, ils n'acceptèrent pas ce remariage, surtout que le beau-père n'hésita pas à faire montrer son vrai visage une fois installé dans la famille. Francesca n'avait pas spécialement de problème avec lui, disons juste qu'elle n'appréciait pas qu'un homme remplace son père au bout de six ans seulement, mais du côté de Jay c'était bien plus que ça. Une haine immense se créa chez le jeune garçon qui n'acceptait simplement pas la présence de son beau-père qu'il jugeait incapable de rendre heureux sa mère. C'est le jour des dix-huit ans de Jayson qu'il vit vraiment le vrai visage du beau-père. Tout commença au sujet d'une discorde sur la fête d'anniversaire que voulait organisé Jay, le beau-père s'énerva et envoya une claque à la mère de Jay qui témoin de la scène eut une réaction lui aussi très violent, sauf que Frankie arriva à ce moment là et ne comprit pas vraiment. « Arrête Jay, tu vas le tuer, lâche-le ! » cria-t-elle en essayant de pousser son frère avec l'aide de sa mère ce qui fit enrager le jeune homme. « Allez tous vous faire foutre, je me barre d'ici. » Et sans laisser le temps à Frankie le temps de comprendre la situation, il se rendit dans sa chambre où il remplit un sac de vêtement et de ses effets personnels avant de quitter la maison sans se poser de question et sans écouter les lamentations de sa mère. C'est la dernière fois qu'ils eurent des nouvelles de Jay et à partir de cet instant, Frankie dû compter seulement sur elle-même.
chapitre deux ~ To say the things I won't in the daylight « Va t'en ! Pars de cette maison et n'y remets plus jamais les pieds ! » Frankie tenait son sac en bandoulière contre elle, faisant volte face à cette homme qu'elle avait tant détesté au fils des années passés à vivre sous le même toit que lui. Elle fixa sa mère qui lui bloqué le passage, attendant une réaction de sa part, mais il semblait qu'elle préférait se taire comme à chaque fois. Il y avait bien longtemps qu'elle était du côté de cet homme et non dans celui de sa fille. Francesca était à bout, elle saturait, elle poussa donc sa mère sur le côté et passa la porte d'entrée, marchant d'un pas déterminé vers sa voiture où l'attendait déjà deux valises ainsi que sa planche de surf sur le toit. Se retournant une dernière fois vers la maison qui abritait les derniers souvenirs de son père, elle croisa le regard de sa mère qui se pressa de les baisser, honteuse ainsi que les yeux remplis de colère de son beau-père qui avait le visage rouge après avoir reçu un coup de poing de la jeune femme, dispute qui avait été à l'origine de la mise à la porte de la jeune femme. Il avait osé levé la main sur elle alors qu'elle avait refusé de lui ramener sa bière comme il lui demandait souvent. Il c'était toujours montré violent avec la mère de Francesca lorsqu'elle était absente, mais cette fois ci il avait voulu montrer un cran au dessus sauf que Frankie était comme son frère, assez impulsive et qu'elle n'hésitait pas à cogner lorsqu'elle trouvait que la situation le demandait. C'est pourquoi après avoir croisé le regard de cette homme qu'elle haïssait tant, elle se disait que finalement les souvenirs de son père n'étaient plus dans cette demeure depuis bon nombre d'années et elle se contenta alors d'offrir son majeur en signe d'adieu et démarra la voiture sans trop savoir où se rendre. Finalement, c'est au bout de quelques heures de route qu'elle s'arrêta sur une plage déserte et qu'elle se mit à surfer pour que toutes ses pensées négatives s'évadent tout comme elle. Alors qu'elle remettait les pieds sur la plage, son téléphone se mit à sonner et elle vu le nom de l'ancien meilleur ami à son frère ce qui eu pour effet de la surprendre. « Qu'est ce que tu veux Zac ? » « Je viens d'apprendre que la deuxième Peacock a été foutu à la porte de sa demeure, ça me rappelle juste quelqu'un. » « Et alors qu'est ce que ça peut bien te faire ? » « Écoute, ton frère m'a demandé de veiller sur toi et c'est ce que j'essaye de faire depuis plus de cinq ans. » « Écoute, il c'est tiré sans me laisser la moindre nouvelle, donc pour notre relation fusionnelle il repassera d'accord. C'est gentil de ta part, mais j'ai besoin de personne. » Et après un blanc qui parut interminable pour Frankie, l'ami de Jay repris la parole. « Toujours aussi têtue, vous avez bien le même caractère. » « Si t'as finis, je raccroche. » « Attends ! Je sais pas si tu vas prendre en considération ce que je vais te dire, mais sache qu'il appelle régulièrement pour prendre de tes nouvelles, il s'inquiète pour toi, surtout quand t'as eu ton diplôme et qu'au lieu de continuer tes études, tu as commencé à travailler dans ce putain de fast-food dégueulasse. » Francesca n'eut pas la force cette fois de répondre, baissant la tête un instant pour fixer le sable, pensive. « Il est a White Oak Station. Je t'envoie l'adresse par sms, t'en fais ce que tu veux après, t'es libre de tes choix, mais réfléchis bien. » Puis il raccrocha, laissant une Frankie plus perdu que jamais ne sachant que faire. Retourner chez son frère serait pour elle une preuve qu'elle avait besoin de quelqu'un dans la vie et ça elle ne l'accepterait jamais, mais d'un certain côté, elle avait quand même besoin de lui. Elle n'avait pas les moyens avec le salaire qu'elle touchait de se payer ne serait-ce qu'un studio et elle ne se voyait pas rester dans la même ville que sa mère et son beau-père. C'est ainsi qu'elle mit presque une journée en voiture pour attendre la ville de son frère. Une fois sur place, elle trouva rapidement l'adresse de son frère. Elle sonna à la porte et là, elle eut presque du mal à reconnaître Jay. Lui par contre ne mit pas longtemps, au point qu'elle pensait que les yeux de son frère aller sortir de ses orbites tellement il était surpris de la voir. Elle eut du mal à se dire qu'il s'agissait de son frère, lui qui était si propre sur lui à l'époque ressembler presque à Kurt Cobain. « Frankie ? Qu'est ce que tu fais là ? … Tu veux bien attendre une minute ? » Et ce fut à Frankie d'être surprise, puisqu'il referma la porte sous son nez. Elle resta là, mal à l'aise d'être dans une telle situation, puis une trentaine de seconde plus tard, il rouvrit la porte laissant sortir une femme blonde, à peine habillée et tellement vulgaire dans sa façon d'être. Il ne fallut pas longtemps à la jeune femme pour comprendre de quel genre de fille il s'agissait. Le regard qu'elle lui lança ne plaisait pas à Frankie. « Ne t'inquiètes pas, je compte pas te remplacer, je suis pas une salope moi, je suis sa sœur. » Et c'est sur ses mots, qu'elle rentra dans l'appartement de son frère qui était dans un état épouvantable. Il essaya de se débarrasser des seringues, mais c'était sans compter sur la brune qui avait l'œil partout. « Tu tapes encore dans cette merde ? » lui demanda-t-elle croisant les bras, fixant son frère d'un air autoritaire ce qui le fit rire. « Moi aussi je suis content de voir que ta pas changé petite sœur. Alors qu'est ce qui t'amènes dans cette ville ? » Frankie qui se sentait déjà très mal à l'aise devint honteuse et elle fit alors volte face. « Tu sais quoi, j'aurais pas du venir. » Et alors qu'elle prenait la direction de la sortie, ouvrant la porte d'entrée, le bras de Jay lui bloqua le passage, tandis qu'il claqua la porte. « Fais pas l'idiote petite sœur. T'as pas fais tout ce chemin jusqu'ici pour rien me dire. » Elle baissa alors les yeux n'osant pas regarder son frère droit dans les yeux. « Il a essayé de me taper et je lui ai juste rendu la pareille. Je pense qu'il a pas apprécié. » Elle n'avait toujours pas dit clairement qu'elle avait été mis à la porte, mais Jay n'était pas idiot, il avait bien compris et connaissait bien cette fierté qu'il possédait lui aussi. « Allez viens, je vais faire un chocolat chaud version Peacock, ça doit faire longtemps que tu n'en as pas bu. J'ai une chambre qui me sert à rien, t'as qu'à la prendre. » Et c'est ainsi que la vie de Frankie à White Oak Station commença.
chapitre trois ~ So help me heal these wounds they've been open for way too long « Regarde, y a le type plein aux as qui vient de s'installer en ville qui a poser une annonce. Il recherche une femme de ménage. » Un mois. Un mois jour pour jour que Francesca vit chez son frère. L'ambiance n'est cependant pas celle qu'elle aurait pensé. Les disputes se font nombreuses, Jayson organise des soirées où l'alcool et la drogue coulent à flot ce qui dérange un peu la jeune femme qui n'aime pas voir son frère se détruire peu à peu, mais elle a du mal à lui dire ça calmement et ils finissent toujours pas se disputer. Frankie a aussi ce défaut de ne vouloir rien faire de sa vie et donc ne pas chercher du travail, c'est pourquoi Jayson essaye de la motiver tant bien que mal. « Tu rigoles ou quoi, ce type ce doit être le sosie de DSK, pas question je m'embarque dans cette aventure, surtout qu'il est écrit qu'il faudra gérer une gosse de treize ans, c'est pas pour moi ça. » Frankie chiffonna alors le papier que lui tendait Jayson et le jeta à travers la pièce directement dans la poubelle. « Putain, tu crois que c'est un squat ici ? C'est ton problème si t'as décidé d'arrêter les cours et que ton rêve c'est de devenir une putain de surfeuse, en attendant faut que tu fasses quelques choses de ta vie, parce que là ça fait pitié. » Et bien sûr Frankie ne manqua pas de s'en prendre violemment à son frère. « Ah, parce que toi tu penses que ta vie est meilleure que la mienne. T'es un putain de junkie qui bosse en tant que dj dans une discothèque pourrie tout ça pour te payer tes doses et le loyer de ce taudis. Bravo, en effet, tu as réussi ta vie. » Et là sans crier garde, Jay la poussa en arrière contre le mur et tapa du poing à quelques centimètres de sa tête, ce qui eut le dont de la faire sursauter. « Ferme-là ! Tu fais chier. » Et après avoir soupiré, il recula de sa jeune sœur attrapant sa veste et sortit de l'appartement. Frankie savait très bien où appuyé pour faire mal, mais jamais son frère n'avait jamais voulu lever la main sur elle comme il venait de le faire. Elle fit donc profil bas et reprit le papier qu'elle avait jeté ce disant qu'après tout elle pouvait bien essayé un petit mois. Elle se rendit donc à l'entretien, mais elle sentit vite qu'elle faisait tâche. Tandis que toutes les autres postulantes étaient en tailleur et qu'elles avaient toutes un cv bien rempli, la brunette d'à peine dix-neuf ans était en jean's sans la moindre motivation. Alors qu'elle s'attendait à voir un vieil homme, elle tomba sur un bel homme qui essayé de faire les entretiens à l'aide de sa fille qui ne semblait pas prête à embaucher une bonne qui serait par la même occasion la nounou. « Mademoiselle Peacock, quelles sont vos références ? » lui demanda-t-il alors qu'elle se tenait face à eux deux, sans trop savoir ce qu'elle foutait là. « Je n'en ai pas vraiment, j'ai jamais fait ça. » « Je vois ... » Et avant même qu'il ait le temps de lui poser une autre question, sa fille le coupa. « T'écoutes quel genre de musique ? » « Thaïs ! » « Non, ne vous inquiétez pas, ça ne me dérange vraiment pas de répondre à cette question. Et bien Thaïs, c'est bien ça ? J'écoute surtout du rock : 30 second to mars, the kills, good charlotte et imagine dragons principalement. » « Trop cool, papa embauche-là ! » Frankie souriait, elle qui n'avait jamais la côte avec les gosses, voilà qu'elle avait su se mettre dans la poche la fille de son possible futur employé. « Chaque chose en son temps ma puce … Est-ce que vous avez déjà dû vous occupez d'une aussi grosse maison et d'une adolescente de treize ans ? » « Mais on s'en tape ! Est-ce que vous avez des tatouages ? Votre plat préféré et qu'elle est votre passion ? » Et avant même qu'il est eu le temps de dire quoi que ce soit à sa fille, Francesca prit de nouveau la parole, soudain très décontractée. « J'en ai trois. Un derrière l'oreille, un à la cheville et un autre un peu trop intime pour le dire tout haut. Mon plat préféré ... Hm ... Des bonnes frites plein de fromage fondu et puis j'adore le surf. D'ailleurs je deviendrais surfeuse même si c'est pas trop possible de s'entraîner dans ce patelin paumé. » Et c'est après ses termes qu'elle fit un clin d'œil à la jeune fille devant le regard effaré de son père. « Écoutez mademoiselle Peacock, je pense qu'on ferait mieux d'arrêter l'entretien ici. Je vous rappelle dès que mon choix sera fait. » Frankie avait très bien compris ce que cela signifiait, elle qui avait l'habitude qu'on l'envoie baladé à chaque fois qu'elle cherchait un emploi. Elle se leva alors avec violence attrapant son sac qu'elle jeta sur son épaule. « Vous fatiguez pas, j'ai compris où vous voulez en venir. Tchao ! » Elle savait de toute manière que cet entretien n'allait mener à rien, elle ne se voilait pas la face et préféra retourner chez son frère qui fit comme si de rien n'était par rapport à la violence dont il avait fait preuve quelques heures auparavant. « Alors, ça été ? » « Sans commentaire. » Et elle claqua la porte de la chambre qu'elle occupé en soupirant. Du côté de chez Thaïs et son père, il devait supporter les crises de sa fille qui ne voulait embaucher personne d'autres que Francesca. Il céda donc en disant qu'il acceptait seulement avec une période d'essai et qu'à la moindre boulette, il n'hésiterait pas à la mettre dehors. Il l'appela alors le lendemain. « Mademoiselle Peacock ? » « Ouais, c'est moi, c'est qui ? » « Ici monsieur Westherfield. J'ai bien réfléchi avec Thaïs et elle pense … Enfin nous pensons que vous serez parfaite pour ce poste. » « Vous fatiguez pas, je me doute qu'elle a dû vous faire une crise pour que vous m'embauchiez. Je commence quand ? » « Euh … Lundi si possible, mais je vous assure que ... » « Ça marche à lundi. » Et sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle raccrocha. Il se demandait s'il n'était pas en train de faire un mauvais choix et en voyant Frankie on pouvait comprendre pourquoi.
Jay et Frankie avaient une excellente complicité avant qu'il s'en aille. Frankie, un peu garçon manqué se battait toujours avec son frère et n'avait pas besoin de lui pour se protéger, sauf à la mort de son père. Ils sont restés ensemble jusqu'à ce que son frère s'éloigne suite à la drogue, puis dès qu'il a disparu, Frankie a ressenti un grand manque. Elle est devenue le nouveau bouc émissaire de son beau-père et elle en voulait à son frère de l'avoir abandonné avec cette famille de fou. Lorsqu'elle a été mise à la porte et suite au coup de téléphone de l'ancien ami à son frère, elle a pris la route jusqu'ici pour le retrouver. On ne peut pas dire qu'il y a eu d'énorme retrouvaille, ce fut même assez bizarre pour les deux de se retrouver et aujourd'hui vivre ensemble. Frankie reproche à son frère de se détruire avec sa drogue et lui, lui reproche de ne rien faire de sa vie, mais ils ont tout les deux ce même caractère fier et explosif, si bien que ça fini toujours en dispute. Et lorsqu'un des deux essaye d'arranger les choses, c'est bien pire. Ils s'adorent, mais ils ont un gros problème pour exprimer leurs sentiments. |
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| (#) Sujet: Re: (M/LIBRE) NICOLAS SIMOES Mer 30 Juil - 18:44 | |
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Alors déjà je tiens à dire que le personnage de Jayson est très très important pour moi, si vous êtes là c'est parce que vous êtes intéressé par mon scénario, sache que rien que pour ça, je vous aime déjà Il y a certains points qui sont négociables et d'autres moins : › PSEUDO - je dois vous avouer que j'aime beaucoup le prénom jayson rien que pour le surnom jay, mais si vraiment vous le trouver repoussant, il est négociable. Le nom bien sûr ne l'est pas.› AVATAR - Nicolas Simoes, c'est vraiment lui que j'ai vu dans ce rôle, mais encore une fois si vous détestez sa petite tête (alors là je ne vous comprends pas ) il est tout à fait négociable, mais j'aimerais quelqu'un dans le même genre, qui est un look assez destroy.› PRÉSENCE - que vous ne soyez pas là tout les jours, je peux le comprendre, mais je demande quand même une bonne activité, alors deux réponses par semaine, ce n'est pas la mer à boire.› LE LIEN - il n'est bien sûr pas négociable. Ils sont frère et sœur, ils s'adorent, mais ils ne savent pas comment se le dire, voilà en très très gros leur relation. J'aimerais bien sûr la développer sur le forum.Pour toute question, suggestion, idée, envie sur ce scénario, n'hésitez pas à me contacter par MP, j'adore ça et plus il y en a, mieux ce sera. Je tiens aussi à dire que la personne qui se décidera à prendre ce scénario aura le plus belle accueil qu'on lui est fait un jour dans sa vie, même le jour de sa naissance ne sera rien à côté de l'accueil que je lui prépare
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