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| #1278 (drance) it's time to begin, is in it ? | |
| Auteur | Message |
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› inscription : 16/03/2013 › pseudo : charney (rose) › avatar : melissa benoist. › crédit : charney (ava).
› statut civil : célibataire. › quartier : dans un petit appartement, sur downtown area. › occupation : étudiante en droit, spécialisation en crime familiaux. barmaid au old pub.
| (#) Sujet: #1278 (drance) it's time to begin, is in it ? Jeu 15 Mai - 19:34 | |
| Plusieurs semaines s'étaient écoulées depuis le soir où tu étais parti en douce pour rejoindre Ellie chez elle. Vous aviez bu, vous vous étiez embrassés et c'est là que tu avais compris que jamais plus les choses ne seront comme elles étaient. Tu avais finalement compris - et accepté - qu'entre Constance et toi, la flamme s'était éteinte et qu'il ne restait plus que les mauvaises habitudes et la routine déchirante. Après avoir été passé quelques heures chez Ellie, tu avais fini par retourner chez toi et c'est avec une énième dispute que t’accueillit ta femme. Tu le méritais sans aucun doute, mais cette fois-ci ça te passait bien cent pieds par dessus la tête. Tu étais un homme amoureux, désormais. Tout ce qu'il te restait à faire était de trouver comment faire pour vivre au grand jour cet amour naissant que tu ressentais pour la jeune Cartwright.
Après cette nuit assez mouvementée, tu décidas de prendre les devants de d'offrir à Ellie et à toi un petit moment de répit. Alors que tous croyaient que tu partais en solitaire pour assister à un concert à Vancouver, tu étais en réalité à Whistler, dans un resort de luxe, avec Ellie. Ce voyage avait plutôt bien clôturer le mois de mars et il t'avait grandement éclairé quant à tes sentiments, ta vision de l'avenir et ce genre de chose. En revenant de là-bas, tu avais pris ta décision. Tu remplirais des papiers de divorce et les ferait signer à Constance. Elle pouvait garder la maison, garder la voiture, prendre tout ton compte en banque... Tu t'en moquais. La seule chose que tu voulais c'est d'être enfin heureux dans une relation amoureuse.
Tu avais pris tout le mois d'avril à attendre que les papiers n'arrivent par la poste. Tu avais revu Ellie quelques fois, mais tu ne lui avais toujours pas dit que tu comptais divorcer officiellement. Elle aurait peut-être pensé que tu faisais ça dans le seul intérêt de pouvoir mieux l'amadouer, qui sait... Mais au fond de toi tu savais que c'était la meilleure chose à faire, dans tout les cas. S'il y a quelques années tu étais fou amoureux de Constance, maintenant c'était bien différent. Et c'est ce soir que tout se jouerait.
Tu avais fini plus tôt aujourd'hui. Tu t'étais donc rendu chez le traiteur et avait prit des plats à emporter. La cuisine n'est pas ton fort, mais tu souhaitait quand même bien accueil ta soon to be ex-épouse. Tu dressas donc la table convenablement avant d'aller te doucher et te changer. Tu enfilas une chemise noir, des jeans foncés et un bracelet en guise de seul bijou. Tu portais toujours ton alliance, mais elle n'avait plus la même signification à tes yeux. Tu redescendis à la salle à manger et plaça les papiers sur la table. Tu avais peur de la réaction de Constance, or tu savais que c'était le mieux à faire. C'était la seule solution... Tu t'installas donc sur une chaise, attendant qu'elle arrive... ~ |
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| (#) Sujet: Re: #1278 (drance) it's time to begin, is in it ? Lun 26 Mai - 18:53 | |
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Constance avait passé son temps à réfléchir. Pendant que son mari était parti pour un concert, elle s’était posé des tonnes de questions sur leur couple et ce qu’il fallait faire. Elle avait passé son temps à se demander des tas de choses. Elle avait commencé à admettre qu’elle pouvait s’être trompée sur l’amour. Elle avait fini par se poser des questions, par se remettre en question, remettre leur couple en question. Bien sur qu’elle avait aimé son mari, mais maintenant ? Elle s’en était posé la question. Elle avait réfléchit et pleuré, elle avait demandé à être seule durant cette période. Elle n’avait invité personne chez elle. Elle avait voulu être seule et prendre le temps réfléchir à tout ça. Peut-être devrait-elle lui proposer le divorce. Elle voyait bien aussi que son mari était devenu un autre homme, elle avait l’impression que son mari était différent depuis cette dispute et se demandait ce qui c’était passé.
Voilà un mois qu’elle avait réfléchis à tout ça, qu’elle s’était posé sérieusement la question, qu’elle s’était dit qu’elle devrait lui en parler, lui demander, le questionner. Elle avait du mal à passer à l’étape suivante, c’était concrétiser le fait que cela ne marche pas. Aujourd’hui, au réveil, elle avait fini par se décider. Elle attendrait le soir. Elle avait eu du ma durant ses cours de la journée, ne supportant même pas les enfants. Elle devait le faire, elle était sortie des cours, s’était assise dans la voiture, s’était surprise à avoir envie de se mettre à fumer, de trouver quelques choses pour lui faire perdre du temps. Elle avait fini par rentrer, prenant un chemin plus long que d’habitude et finalement avait franchi la porte et avait vu le repas et les papiers.
Lorsqu’elle vit la table, elle espéra que tout n’était pas perdu, elle sourit à son mari et puis, elle vit les papiers et une étrange boule se fit au creux de son ventre. Elle lui fit une bise sur la joue, la seule chose dont elle se sentait capable là tout de suite. Elle semblait si fatiguée tout d’un coup. Sans un regard, elle prit les papiers, les lu… Elle prit une grande respiration et les déposas sur la table, encore plus fatiguée sur jamais. Elle se dit qu’elle ne s’était pas trompée là ou elle aurait tant voulu le faire.
- Je crois qu’enfin nous sommes arrivés à un commun accord… Je crois qu’il faut avouer… l’échec.
Sa voix se brisa. Le dire à voix haute était si dure. C’était tellement douloureux. Elle voulu lui demander pourquoi, comment, ce qui c’était passé, si son intuition de femme et d’épouse ne l’avait pas trompé mais pour une fois, elle ne su pas parler, la colère était partie et tout ce qu’il lui restait, c’était la fatigue et une étrange boule dans le ventre, un dégout… pas de lui, d’elle… elle estimait que c’était de sa faute s’ils en étaient arrivé là. Tout ce que su faire Constance, ce fut de pleurer, les larmes coulèrent malgré elle, elle ne voulait pas. C’était d’ailleurs une des rares fois ou ses émotions prirent le dessus. Elle n’arrivait pas à s’arrêter, à se calmer, elle voulait parlait mais les sons restaient bloqué dans sa gorge. Elle s’était trompée sur l’amour. |
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