(#) Sujet: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 14 Nov - 4:37
sven felix bezarious-oksanen Le murmure assourdissant et permanent, comme un bruit parasite à l'intérieur, qui t'épuise et qui souffle à l'oreille de chacun : "T'es mauvais, bon à rien, tu s'ras jamais assez bien", qui t'répète "T'es comme ça ou tu devrais, ça changerait rien si tu changeais". - FAUVE -
PRÉNOM(S) ET NOM: Sven. Etymologie: jeunesse en scandinave. C'est histoire de me rappeler que j'vivrai pas vieux. Felix, pour l'ironie, parce que ça veut dire heureux, en latin. Mes parents avaient de l'humour, au moins. C'est bien tout ce qu'ils avaient. Puis Bezarious, un nom qu'personne connait, un nom qui veut rien dire, qu'a aucun sens. Oksanen, pour ma pute de mère, la finlandaise. Je me fous de c'que ça veut dire, j'parle pas finlandais. SURNOMS: Fel, pédale, la pute de Zef, et tant d'autres encore. ÂGE: Vingt piges. NATIONALITÉ: Américain. ORIENTATION SEXUELLE: Homosexuel. J'l'assume, au moins. J'aime les hommes, leur queue, leur corps, leurs visages anguleux, leur virilité. Il m'arrive de glisser entre les reins de demoiselles, parfois, quand j'ai trop bu. STATUT CIVIL: Seul, seul, seul, seul, seul et abandonné. EMPLOI/ÉTUDES: Artiste de rue, le genre de p'tit con qui fait des marionnettes, qui crache du feu, qui jongle, et qui mendie. J'suis pigiste aussi, mais ça paye pas beaucoup, d'écrire des conneries pour des journaux qu'en ont rien à foutre de toi. Alors pour arrondir les fins de mois, j'traine dans les clubs illégaux de boxe, et j'frappe, ou j'me fais casser la gueule, mais j'ai tellement l'habitude. Tellement l'habitude d'en prendre plein la gueule. SITUATION FINANCIÈRE: Dans la dèche, mais on fait avec. AVATAR: Cole Mohr. CRÉDIT: tumblr.
~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Le lycée, pour moi, c'est Zef. L'internat, c'était ni amusant, ni difficile. J'ai été habitué à pire. Mais Zef. C'est à la fois la meilleure et la pire chose qui me soit arrivée dans ma vie. On veut tous trouver le grand amour... Moi je l'ai trouvé. Ca ne veut pas dire qu'il est mien et que tout est beau. Zef, c'est l'océan. Zef c'est la liberté, la plus pure des beauté, une aube dorée. C'est la perle rare, le seul qui me fait trembler, vibrer, le seul que j'aimerai jamais. Et pourtant, c'est aussi celui qui me délaisse, qui me blesse sans cesse. Mes bleus sont ses poings, mes piqûres ses absences. Il m'abandonne et j'y reste accroché, comme à la plus pure des cocaïnes. C'est un démon, et pourtant je l'aime comme on le ferait d'un ange. Pour moi c'est ça le lycée. Ma rencontre avec lui, nos ébats, notre amour naissant, les premiers coups, premiers cris, les premières disputes... Et tout ceci s'est terminé en la pire des déceptions. Celle de me voir seul, de nouveau.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? J'ai plus rien. Un appartement minable et ridicule, qui tombe en ruine. Un vieux matelas pourri et déglingué. Ma chaufferette et mes seringues. Ma dope. J'ai perdu Zef qui s'en va se perdre entre les cuisses d'autres connards, j'ai perdu ma dignité en ne devenant que l'ombre d'un squelette, j'ai perdu ma rage de vaincre et de vivre en abandonnant tout ce en quoi je croyais, en repoussant les quelques minces talents que j'avais. Je suis devenu la pire des sous-merdes. La pute de Zef. Rien d'autre. Alors non, je ne suis pas heureux. Non. Et pourtant, quand je vois ses yeux qui se posent sur moi, j'ai l'impression... J'ai l'impression pour quelques secondes que j'ai toujours eu le bonheur entre mes mains sans y faire attention...
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Vous m'auriez posé cette question il y a quelques années, vous auriez appris que je voulais conquérir le monde. Je voulais être astronaute, ou bien pirate. Plus je grandissais, plus je devenais réaliste, tout en ayant une ambition monstrueuse. Je voulais changer les esprits, en écrivant, en peignant, en me produisant dans les rues avec des spectacles bien ficelés, du jonglage de feu, des marionnettes, des contes, de la danse, des échasses, des acrobaties... J'apprenais tout. Et mon salaire, c'était les étincelles dans les yeux des enfants. Aujourd'hui, je vous répondrais que je me vois, dans dix ans, aux quatre coins d'une vallée paisible, mes cendres dispersées par le vent dans un endroit où j'aurais aimé vivre avec Zef.
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff, il est possible de revoir cette décision ensemble. Pour indiquez votre réponse, il suffit de la mettre en italique ou de barrer celles qui ne correspondent pas.
Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: Naomi, ou Hunter In Decadence. ÂGE: Dix-huit piges dans quelques jouuuurs. Plus de galère avec les videurs! PAYS: J'suis française, mais j'ai débarqué au Canada voila 4 ans. PRÉSENCE: J'passe tous les jours ou presque, je poste entre un à deux sujets par semaine :). COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Topsites ou partenariat, je sais plus :D. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? Magnifique scénario de Zef :3 J'vais trop t'appeler Fez, comme dans That 70's Show :P. AUTRE CHOSE À AJOUTER? Z'avez tous l'air coool!
Dernière édition par S. Felix B.-Oksanen le Jeu 14 Nov - 6:23, édité 6 fois
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 14 Nov - 4:37
La planète a la gueule de bois Con, un homme qui souffre. Aussi con que quand il est heureux. - Bohringer -
« il est vraiment trop con ton gosse! » Oui, il est con, votre gamin. Il est con parce qu'il en a marre de vous parler, pour que vous fassiez semblant de l'entendre, pour que vous sortiez vos dents parfaitement alignées, en un sourire nerveux, dépressif, détestable, hypocrite. Il est con, votre gamin, parce qu'il n'a plus envie de s'adresser au monde. C'est le monde, qui est con, pour lui. Il a rien demandé. Il voulait pas attérir ici, dans votre famille de tarés. Il voulait pas respirer pour avoir à entendre vos réprimandes incessantes, vos hurlements de gens malheureux, vos insultes vulgaires et insensées. Vous n'êtes plus intéressants. Vous avez tout perdu. La jeunesse, la popularité, le sourire, la joie, la légèreté, l'envie, l'ambition, la vie. Vous vous êtes ratatinés en hideux petits monstres, un beau couple qui fait tout pour garder les apparences, alors qu'il n'a rien de fonctionnel. Vous faites croire à votre amour, alors que vous n'avez jamais su ce que c'était, vous n'y avez jamais goûté. Vous êtes devenus affables, aigris. Vous attendez. Que l'un de vous meurt. Puis après? Peu importe. Les pleurs, le deuil. Le conformisme poussé jusque dans l'horreur. Votre gamin, il n'est pas si con. Il est simplement écoeuré par ce qu'il a vu du monde jusqu'à présent. Votre gamin, s'il fait des conneries, c'est parce qu'il s'ennuie, et que lui, il ne veut pas devenir comme vous. Il ne reprendra pas l'entreprise de textile de papa. Il n'épousera pas la fille de la meilleure amie de maman. Il partira loin, très loin de votre baraque de fou, histoire de vivre comme un homme, ou bien de vivre tout court, plutôt que de flotter dans cette masse exaspérante d'hypocrisie. Et ça pue le mensonge, le paraître. Il en veut pas, lui. Il veut gueuler à la vie toutes les vérités du monde, il veut l'insulter jusqu'à ce qu'elle en fonde, il veut rencontrer la mort et la faire valser, il veut arracher tous les vêtements de tous les êtres humains de cette foutue planète déroutante, il veut que le troublant devienne le normal, il veut assassiner l'espèce humaine, il veut crier, chanter, danser, fêter, hurler, respirer à s'en exploser les poumons et s'envoler dans le vide intersidéral, jusqu'à disparaître tout à fait. Nan, votre gamin il est pas si con. Il est libre.
Fallait qu'ça arrive, pas vrai? L'sale gamin qui salit la réputation de ses parents, faut bien qu'on l'enferme. C'est dangereux, ces enfants-là, ces choses-ci. Ils pourraient contaminer les autres, après. Ils ont sauté sur la première occasion, et te voila enfin plus ou moins orphelin... Mais en cage. Tes yeux agités qui naviguent d'un visage à l'autre. Et ces barreaux qui t'empêchent de filer vers ta liberté. T'allais fuir, en plus. T'allais enfin quitter ce foutu patelin. Entre l'argent que tu t'étais fait en mendiant, et celui que t'avais récupéré avec les paris de boxe... T'avais presque suffisamment. Mais nan. Il a fallu qu'ils te coupent tes foutues ailes ensanglantées. Tu enrages, intérieurement. Tu bouillonnes. T'aimerais frapper n'importe qui, n'importe quoi. Et tu cherches ta cible, dévisageant, les crocs à découvert, chaque gamin qui croise ta route. Certains s'agitent, d'autres t'ignorent, d'autres enfin semblent curieux. Aucun ne t'attaque. Tous restent calmes. Alors t'en attaques un. N'importe lequel, sauf que tu lui laisses pas une chance. Tu frappes, frappes encore, des larmes de colère et de frustration qui te montent aux yeux. Tu frappes encore, le gamin prend peur, mais ils est trop occupé à tenter de sauver sa peau pour répliquer. On vous sépare. Le gosse pleure. Toi aussi, mais ton sourire change la donne. On te traine, tandis que tu te déchaines toujours un peu, sans y croire. Et là, tu le vois. Il est là-bas, au fond de la cour. Tu le vois. Ses grands yeux bleus te dévisagent. Et tu sais déjà que ces pupilles océaniques t'ont arraché ton âme. Et tu sais déjà que ce gars-là te fera souffrir. Mais sur le moment, tout est magnifique. Tu te laisses emmener, en ne quittant pas l'autre du visage. Jamais tu n'as vu une telle beauté en une seule créature, et ton coeur qui tente de perforer ta poitrine pour se jeter dans ses bras, et le supplier de le briser. Ta haine s'apaise, tandis que tu repenses à ces deux parcelles de ciel qu'il abritait sous ses longs cils. Tu dois le voir, lui parler, tous les jours, jusqu'à la fin de ta vie. Les réprimandes des pions ne te touchent même pas. Soudain, tu es perdu dans tes pensées, loin, si loin de cet endroit, dans la mer des yeux de ton futur amant. Tu le veux. Tu l'auras.
« tu peux pas juste jouer avec moi comme ça, enfoiré. j'suis pas ta pute, j'suis pas ton jouet, t'as pas à m'utiliser. regardes-moi au moins quand j'te cause. j'voudrais pouvoir t'appeler mon amour, te crier que je t'aime, casser la gueule de tous ces cons, là-dehors, pour que tu ne regardes que moi. j'voudrais tout faire pour toi, mais arrêtes d'agir en salop. s'il te plait, j'en peux plus. » T'avais raison. C'était qu'un salop. Deux ans, qu'il t'as utilisé comme ça. Deux putains d'années à être son ombre, son chien, à ne plus exister que par lui. Puis il est parti. Il ne t'a même pas laissé un mot. Rien. Disparu. Évaporé. T'as cru en mourir. T'as senti ton cœur s'arrêter, tes yeux cristalliser. Maintenant, t'existes plus. T'es qu'une carcasse qu'à honte de sa silhouette. T'as même pas la force de tuer les restes de ta coquille vide. T’enchaînes les doses, dans ton pauvre appart' dégueulasse, dans cette maison de crackhead. La même routine, le garrot, faire chauffer dans la cuillère, la seringue, planter... injecter. Et la libération. Et quand l'Héroïne vient réchauffer tes veines, détendre tes muscles, tu vois, une vie où Zef aurait pas été qu'un sale con, où il t'aurait aimé comme tu l'aimais. Puis quand tu te réveilles, avec un sourire au lèvres, tu te souviens. Zef, il est plus là. T'as plus qu'Héroïne, ta belle sauveuse. Et ton appart' miteux qui fait pitié. Et tes os, ta peau trouée, t'as même plus de chair, t'es maigre qu'on croirait qu't'as pas mangé depuis des années. Tu dors plus, tu te contentes de planer. Les mois, tu les comptes plus. Tu voles pour te doper, parce que la boxe, tu peux plus, tu t'effriterai en milles morceaux. L'art, même pas t'y penses, tu te souviens même plus qu'à une époque tu faisais parfois briller les yeux des gamines quand tu leur conter une histoire avec tes mains dans des chaussettes décorées d'yeux. Nan, en fait, tu te souviens de rien. De rien sauf de Zef, et d'Héroïne. Tu peux même plus savoir à quoi tu ressembles, même le miroir, tu l'as vendu il y a des semaines pour ta dose. On sonne. C'est ton dealer, enfin. T'as cru qu'il n'arriverait jamais. T'appuies sur l'interphone, même si sa voix te parait bizarre. T'ouvres la porte, les thunes entre tes longs doigts filandreux. Mais c'est pas ton dealer. Et ça te prend quelques secondes pour percuter. C'est Zef. Tu t'en rends compte quand tu te perds dans ses yeux. La mer. Tu l'entends presque. Tu prends les choses en main. Tu l'attrape et le planque, ta dose avant tout, après vous pourrez discuter. Mais il te frappe, et étrangement, tu ressens une vague de chaleur, de bien-être, profond, pur. ça t'avait tellement manqué. Il te plaque au mur, et l'espace d'une seconde, t'oublies ton dealer, la dope... Et tu ne veux que lui. « tu m'as manqué. »
Un mois. Il a même pas tenu plus d'un mois, ce sale con. Après tout ce qu'il t'a fait, tout ce qu'il a fait pour te retrouver, tout l'espoir qu'il t'a donné, et tous tes efforts pour arrêter l'héro, il refait le con. T'as toujours pas arrêté. Mais t'as ralenti. Et quand t'as explosé, quand t'as pété les plombs, t'avais rien consommer depuis des lustres. Alors quand il est rentré, surement après avoir carré sa bite dans tu-ne-sais-quel-trou, t'en as eu marre. Tu l'as frappé -chacun son tour-, et frappé encore, puis tu l'as viré. T'as jamais autant pleuré de ta vie. Pourtant, il t'as souvent fait pleurer. Mais jamais comme ça. Le pire? Il continue. Sauf que maintenant, t'es officiellement sa pute. La pire des putes. Il vient chez toi quand il n'a rien d'autre à fourrer, et, chaque fois, tu l'acceptes, les bras grands ouverts, troués qu'ils n'en peuvent plus. Et ça te blesse. Tout te blesse, tout t'écorche. La dope, que t'essayes de quitter sans jamais vraiment y arriver, ses foutus yeux-océans, qui te fixent avec une intensité toujours renouveler, ses coups de poings constants, ses absences de plusieurs semaines, parfois, l'odeur d'autres hommes sur lui, la vie, l'argent, ton appart miteux, toi. Ton cadavre ambulant, qui ne fait plus rire les gamines, quand t'essayes de sortir de ton taudis pour mendier, mais qui les effraie. T'étais beau, quand tu crachais du feu pour te faire un peu d'argent, quand t'étais ce p'tit marionnettiste au visage d'ange, ou même quand tu montais sur le ring, le corps en sueur, la gueule déformée par la rage, et tes muscles qui saillaient, légers et discrets, mais bien sculptés. Aujourd'hui, t'as plus rien, putain. T'es qu'un gamin plus perdu encore qu'avant, sa liberté en moins, sa rage de vivre dissipée, sa foi envolée, et sa force d'avancer totalement disparue. T'es plus rien. Que la pire des merdes. Et la pute de Zef.
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 14 Nov - 8:55
Bienvenue
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 14 Nov - 11:07
Bienvenue ! Ton titre ! fauuuuuve
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 14 Nov - 12:20
Bienvenue sur le forum ^^
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 14 Nov - 18:11
"Dans le bleu de l'absinthe" : magnifique chanson !
Aussi non, bienvenue sexy boy
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 14 Nov - 18:43
Avoues, Héraclès (trop bow prénom ), elle est magnifique cette chanson
Merci à touuuus! Dites-moi le beau Zef n'a pas déserté, si? Ce serait un peu dommage, si c'est le cas
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Ven 15 Nov - 17:56
Bienvenue par ici et excellents choix de tout, en espérant que tu te plaises parmi nous !
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Ven 15 Nov - 21:14
fioush, quel merveilleux choix de scénario bienvenue parmi nous !
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Sam 16 Nov - 2:27
TOM HIDDLESTOOOON
Marchiiii!
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Sam 16 Nov - 10:31
bienvenue parmi nous. très bon choix de scénario, tu écris très bien. mais avant de te valider, il faut l'avis de zef.
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Sam 16 Nov - 10:55
COLE
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Sam 16 Nov - 17:15
(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Sam 16 Nov - 20:32
Bienvenue! Excellent choix de scénario, comme l'ont dit mes vdds. Concernant Zef, on n'a pas de nouvelles pour l'instant mais j'espère qu'il reviendra rapidement. Il me semble qu'il a eu quelques soucis d'Internet, y'a quelques temps, donc c'est peut-être ça...
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Sam 16 Nov - 21:32
Pas de soucis, j'ai tout mon temps :) et merciiii
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Dim 17 Nov - 13:14
Bienvenue ici (a)
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Dim 17 Nov - 13:55
BIENVENUE. réserve moi un lieeeeen.
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Dim 17 Nov - 16:10
Lana del reeeey! Bien sûr que je te réserve un lien ** Depuis que j'ai vu Gatsby, je meurs pour cette femme.
Merci :D
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Lun 18 Nov - 18:38
Désolée du DP :3 Mais est-ce que l'un d'entre vous connait Zef hors forum? Genre sur skype, facebook, machin? Au moins lui demander s'il compte revenir, que j'attende pas pour pas grand chose /o/
Marchi d'avance
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Lun 18 Nov - 19:27
je lui ai envoyé un mail avant-hier pour l'informer de ta présence, mais il ne m'a pas encore répondu.
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Mar 19 Nov - 23:12
Ooooh marchi Mila! :D Alors je patiente :3 C'est super gentil, merci
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Jeu 21 Nov - 16:39
bienvenue sur FLT (:
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Ven 22 Nov - 6:55
Merci Poppy :3 Trop cute prénom
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Dim 24 Nov - 15:45
Je suis revenu ! (bon c'est vrais que j'ai longuement hésité, mais me revoilà, parce que ta plume ma remotivé, j'avais plus la motive de rp, plus le moral, fin bref voilà quoi). J'ai A-DO-RE lire ta fiche, j'aime beaucoup ce qu'ta fait d'Fel, tu l'as très bien cerné, puis tu lui a donné cette étincelle qui m'a vraiment redonné envie d'écrire. Donc voilà, je reprend mon clavier, et j'éspère que t'as toujours envie d’essayer ? Bref si t'en a toujours envie, j'ai très très envie d'rp avec toi !
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement » Dim 24 Nov - 16:16
tiens tiens ça faisait un moment, jolie chose
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(#) Sujet: Re: FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement »
FELIX ▲ « j'suis un voyou, c'est comme ça qu'on dit, tout simplement »