|
|
| Home is where the heart is. | |
| Auteur | Message |
---|
| (#) Sujet: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 2:50 | |
| Waël Qaï AdcockLe véritable ami est celui à qui on n'a rien à dire. Il contente à la fois notre sauvagerie et notre besoin de sociabilité. PRÉNOM(S) ET NOM: Waël Qaï Adcock. SURNOMS: Q, Ginger, Red, Rouquine, Tigresse parfois. ÂGE: 2x10+2². NATIONALITÉ: Canadienne. ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle. STATUT CIVIL: mariée à la Vie. EMPLOI/ÉTUDES: Designer industriel. SITUATION FINANCIÈRE: Tout va bien. AVATAR: Laura Schuller. CRÉDIT: Moimoi. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Le lycée ? C’était tellement bien ! J’étais à la tête de mon lot de pintades, une vraie petite cheftaine. Mais attention, je n’étais pas trop peste mais juste assez pour assoir mon statut, vous voyez le genre ? Peut-être bien que j’étais la fille à abattre, mais je faisais en sorte de garder mes ennemi(e)s bien plus proche que mes ami(e)s. J’avais déjà tout compris à la vie. Par contre, je n’ai jamais joué sur ma maladie. D’ailleurs, seuls les professeurs étaient au courant. Je ne voulais pas avoir un statut particulier ou, pire encore, supporter les regards de pitié et tout ça. J’en avais un peu pris plein la gueule par le passé à cause de ma soit disant pauvreté, il était hors de question d’y ajouter la mort au tournant.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Suis-je heureuse… En voilà une bonne question ! Mon optimisme sans faille vous répondrait certainement un « oui » franc. Et ce n’est pas totalement faux. Je fais un métier que j’adore, dans lequel je m’épanoui pleinement et qui me permet de vivre sans aucune privation. J’ai une famille aimante et j’ai quelques amis fidèles. Alors oui, de ce côté-là, je suis heureuse. Mais il y a toujours un petit point noir qui vient abîmer le beau tableau. J’ai beau me dire que je suis une rescapée et que j’ai le droit de voir plus loin que le bout de mon nez, je me refuse d’entretenir une vraie relation amoureuse – enfin du moins, j’essaie de ne pas en entretenir – mais c’est difficile parce que j’adore être amoureuse. Je ne supporte pas la solitude. Et pourtant, dès que je me mets à côtoyer quelqu’un, je me dis que de toute façon, je vais bientôt mourir et que je n’aurai le temps de rien.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Me projeter, c’est un exercice que je ne fais plus depuis bien longtemps déjà. Mais je vais quand même tenter. Si mon greffon tient le coup et que j’arrête d’avoir peur du lendemain, je serai très certainement mariée avec un enfant, ou peut-être deux. Je serais toujours aussi bosseuse, une maman dévouée pour sa progéniture et toujours présente pour son mari. Oui, je me plierais en quatre pour satisfaire tout le monde, quitte à me mettre de côté un petit peu. Je retournerais vivre à Toronto, à deux pas de chez mes parents. Si mon greffon péri, je le suivrais dans sa chute.
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff, il est possible de revoir cette décision ensemble. Pour indiquez votre réponse, il suffit de la mettre en italique ou de barrer celles qui ne correspondent pas. - Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: Sabby. ÂGE: 3x7. PAYS: Pays . PRÉSENCE: Au minimum, un jour par semaine. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? une enfant sauvage m'a parlé de ce fo' (non, en fait elle m'a harcelé ). PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? Inventé M'sieur ! AUTRE CHOSE À AJOUTER? écrire ici.
Dernière édition par Waël Q. Adcock le Sam 7 Sep - 14:02, édité 9 fois |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 2:50 | |
| “The deeper I breathe, the deeper I live. ”La chance doit rendre humble.2013.08« Si tu continues comme ça, je te ramène par la peau des fesses ! »
Un vulgaire « bip » vint clôturer cette vive dispute, renforçant un peu plus ma colère et ma frustration. Après tout, c'était facile pour elle de me critiquer à tout va comme elle le faisait, mais ce n'était pas comme si elle avait conscience d'un dixième de ce que je pouvais ressentir. Elle avait bel et bien raison quant au fait que je me comportais comme une personne détestable, mais fallait voir qui j'avais en face aussi ! Et puis c'était plus fort que moi, ma rancune ne s'était pas envolée avec le temps – et pourtant, cette histoire commence à se faire vieille. Il y avait bien des vestiges de sympathie à son égard, voire d'amour, éparpillées ci et là dans mon être, mais me réduire à une chose sans valeur et donc inintéressante m'était resté en travers. Voilà tout.
Tiraillée entre cette rancune tenace et cette fichue bonne conscience – et la menace de ma mère - je pris quelques affaires que je rangeai soigneusement dans l'une des dernières valises encore vides qui me restait. J'avais la tête dans les cartons, horrifiée à l'idée de perdre la moindre babiole en route, ou pire encore, un carton tout entier, alors l'idée de retourner à Toronto le temps d'un joyeux enterrement ne me réjouissait pas tellement. J'aurais préféré terminer l'emballage de mes affaires, faire le deuil de mon futur ex dont je suis raide dingue et m'installer tranquillement à White Oak Station. Mais ma mère avait toujours cet énorme influence psychologique sur moi – ou les joies d'être la fifille à sa maman. 1999.07.26La vie est plutôt cruelle dans son genre. Elle peut vous faire penser que la journée à venir sera comme hier, et puis d’un simple claquement de doigt de sa part et votre vie peut se briser. Il suffit d’une seconde, d’une toute petite seconde de rien du tout pour passer du tout au rien.
Ce vingt-six juillet sonnait comme un énième jour de vacance à flâner une bonne partie de la journée au lac avec Ju’. Oui, ça sentait bon le soleil, les longues parties de cache-cache, les goutés en plein air. Oui, ça sentait bon la vie. La vie d’enfant. Mais une fausse note, et pas des moindre, est venue perturber la mélodie. Je ne me sentais pas très très bien dans mon lit. J’avais mal à la poitrine, j’étais essoufflée alors que je n’avais fait aucun effort. J’ai alors appelé ma mère, paniquée de ce qui était en train de m’arriver, et, tout aussi paniquée que moi, elle a appelé les secours. A ce moment précis, j’avais pigé que j’allai être une toute autre personne à la fin de la journée, si j’arrivais à l’atteindre cette fin de journée.
Je me souviens que les secours sont arrivés très vite. Que ma mère était au bord des larmes et qu’elle répétait inlassablement « ça va aller ma chérie » ou « tout va bien, d’accord ? » non pas pour me rassurer moi mais pour se rassurer elle. La panique avait pris d’assaut ses pupilles, à croire que j’étais déjà condamnée. Les médecins quant à eux, faisaient en sorte de dissimuler la réalité avec leur jargon de médecin, mais leurs gestes les trahissaient. Ca et le fait qu’ils n’arrêtaient pas de dire au chauffeur de se magner le cul.
Je ne me souviens plus très bien de la suite des évènements, du tas d’examens que j’avais subi. Mon cerveau a soigneusement enfermés ces souvenirs et je n’ai pas cherché à le contrer. Ça m’allait plus que bien dans le sens où je ne veux pas – et je me refuse – de ressasser ça. La peur au ventre, la désagréable sensation d’être finie… Ça ne me manque absolument pas. La seule chose qui semble indélébile est le moment où le médecin a annoncé son diagnostic, ma sentence.
Fibrose pulmonaire idiopathique. Voilà trois mots bien barbares pour dire que tu vas mourir pour une raison indéterminée. C’est une maladie qu’on attrape généralement à l’âge de cinquante ans. Il m’en manquait quarante pour que cela paraisse normal. Il m’aurait fallu quatre décennies pour me dire que finalement, ma vie n’avait pas été si nulle. Mais à dix ans, à l’heure où la vie est encore un doux nuage sur lequel on resterait pour l’éternité, qu’est-ce qu’on se dit dans un tel moment ? Rien du tout. Absolument rien. Du vide. Voilà ce que je ressentais. Mes parents étaient en larmes. Tout le temps. Ma mère a frôlé la dépression. Par ma faute. Alors qu’est-ce qu’on se dit à dix ans, à l’heure où la vie est encore un doux nuage sur lequel on resterait pour l’éternité ? On se dit qu’il faut pleurer. Pleurer de rire. Parce que ce n’était pas une vulgaire maladie de vieux qui allait m’éradiquer de la planète. Pas avant d’avoir connu les plaisirs de la vie d’adulte. Parole de Q. 2005.03.24Je vivais avec la maladie sans pour autant l’accepter. J’avais toujours cette sensation d’être la perdante à chaque coup. Je prenais mes médicaments très consciencieusement pour prolonger ma durée de vie, mais je savais bien dans le fond que mes poumons et moi étions arrivés au bout du chemin quand bien même il n’y avait aucun signe avant-coureur d’une grosse crise. Je sentais le pire arriver. Alors quand j’ai osé dire à ma mère, qui se refusait d’accepter ne serait-ce que l’idée de me voir disparaitre, qu’il était peut-être temps pour elle de commencer à faire son deuil et tout ça, sa seule réponse a été de faire une crise. Je ne l’avais jamais vu aussi hystérique et triste aussi. Son désarroi et son impuissance face à tout ça avait pris possession de son corps un court instant. Evidemment tout ça s’est terminé dans les larmes. Mon existence sera toujours ternie par la souffrance que j’ai causée, que je cause et que je causerai à mes proches. Ma mort ne me ferait rien. Ok, je pourrirai six pieds sous terre, certainement trop tôt, mais je n’aurai pas à supporter ma propre absence. Par contre, mes proches auront un manque à combler – non pas que je sois indispensable. Et ce simple fait était bien plus douloureux à supporter pour moi que l’épée de Damoclès qui frimait au-dessus de mon crâne.
Puis la fin était là. Horrible impression d’étouffement à chaque tentative d’inspiration, violentes douleurs prenant d’assaut ma poitrine. Solitude. Refus. Je ne voulais pas partir. Je n’acceptais pas ce gout d’inachevé, il me restait tant de chose à vivre encore ! Dix-huit ans, c’est rien. Je n’étais qu’un bébé encore. Je voulais croquer le monde, pourvu qu’on m’en laisse le temps. Mais le peu d’espoir qui me restait a été pulvérisé par l’annonce du médecin. Vingt-quatre heures. Voilà le temps qu’il me restait à vivre. Tout le monde s’est déjà posé la question de savoir ce qu’on ferait si on mourrait demain. Et bien sachez que dans la réalité, on ne peut rien faire, si ce n’est agoniser dans un lit d’hôpital, supporter la visite d’hypocrites en tout genre qui se plaisent à dire « tu vas me manquer » alors que c’est complètement faux, supporter une famille anéantie avant le début de la fin. Je n’avais qu’une seule envie, c’était de me barrer loin de tout ça, loin d’eux juste pour profiter des dernières heures qui me restaient. Je n’avais pas du tout besoin d’être entouré de gens tristes. J’avais besoin de quelqu’un qui me ferait rire, qui me ferait oublier toute cette merde le temps de quelques minutes. Mais je n’ai pas eu droit à ça moi.
Dans un élan de désespoir – et peut-être de détresse aussi – j’ai eu la mauvaise bonne idée d’appeler Novotny le pourri, même si ça faisait quelques années qu’il ne me parlait plus. J’avais naïvement pensé que je pouvais éventuellement avoir la fameuse réponse à ma question. Je voulais savoir pourquoi il m’avait tourné le dos du jour au lendemain. Avais-je fait quelque chose de mal ? Alors je l’ai lâchement appelé, pour entendre sa voix une dernière fois, parler comme on le faisait avant. Les sonneries se sont enchainées et mes souvenirs défilaient dans ma tête. Tous ces bons moments qu’on a passés, toutes les confidences qu’on a pu se faire… Je n’arrivais pas à comprendre un tel revirement de sa part. Je n’avais pas été méchante ou mauvaise langue à son propos alors que j’en avais les moyens. On était comme frère et sœur. Alors pourquoi ? Etait-ce la faute de l’autre pisseux d’Arseniy ? Puis la voix de Julian retenti. Je n’ai même pas eu le temps de dire quoi que ce soit que je me pris une réflexion qui m’a tellement blessé que j’en saigne encore : « J’ai pas de temps à perdre avec une pauvre ». Est-ce que j’ai eu de la haine ? C’était bien au-delà. J’étais en train de crever et l’autre me parler de thunes. Pourriture. Je me suis jurée de le hanter jusqu’à ce qu’il crève.
Je ne suis pas morte, non. Par « chance », on est arrivé à me trouver un donneur compatible dans les temps. J’ai donc eu droit à des poumons tout neufs que je me suis promis d’honorer au possible. 2007.09.25J’ai rapidement quitté la maison. J’avais comme ambition de profiter de ma seconde vie à fond. J’ai donc arrêté les études et je suis partie faire le tour du monde. Tour du monde qui s’est très vite arrêté mais… N’allons pas trop vite. J’ai donc commencé par l’Europe, et plus précisément, l’Angleterre. J’y suis restée six mois, juste le temps de me faire un peu d’argent et ensuite je suis allée en France. Et c’est là que ma soif de grandes découvertes s’est subitement éteinte. Disons que je me suis sédentarisée plus vite que je ne l’aurais imaginé.
Paris, la ville la plus romantique du monde. Je ne sais plus tellement comment, ni même pourquoi, je me suis retrouvée à m’inscrire dans une faculté, en art. Puis les évènements se sont enchainés et j’ai fini par vivre avec un garçon – quand une fille chamboule ses grands projets, c’est forcément l’œuvre d’un garçon. Ce garçon, c’était LE garçon. En fait, il est toujours LE garçon… C’est très compliqué entre nous, enfin c’est moi la compliqué de l’histoire… Mais je m’égare.
Mes études se sont très bien passées. Je me suis prise de passion pour l’art et, au fil de mes stages, j’ai fini par avoir une certaine affinité avec l’art moderne. C’était tellement passionnant pour moi que j’ai voulu aller bien plus loin que la simple étude d’œuvres. Je voulais moi aussi faire partie de ce mouvement. J’ai donc commencé à créer des sculptures, des meubles. Et puis un jour, j’ai fait une rencontre qui allait chambouler ma vie. Zéphir, ce grand gaillard bien sûr de lui, à l’air hautain que j’ai croisé par le plus grand des hasards. Il était l’ami de la cousine d’une amie à moi – vous suivez ? – et il était lui aussi invité à l’anniversaire de… D’une personne dont j’ai complètement oublié le nom. Zeph’ a commencé à me sortir tous les stratagèmes d’une drague à la frontière du lourd et, parce qu’il avait une belle gueule et que j’espérais finir la soirée comme il le fallait, j’ai fini par l’amener chez moi. Etrangement, il n’y a pas eu de conclusion interdite aux moins de seize ans. Disons que la soirée a fini tranquillement, bien qu’axée sur mes œuvres. Au bout d’un moment, Zeph’ est parti dans ce que je pensais être un délire passager : « il faut les vendre ces beautés ! Tu te ferais un max d’oseilles, surtout chez les pétés de thunes ! ». J’ai ris et il a surenchérie. Et c’est de là qu’est partie notre petite entreprise.
Au fils des années, grâce à du bouche à oreille, mes meubles se vendaient bien. Seulement je faisais ça que pour le plaisir, jusqu’à ce que Zéphir me propose de monter une affaire à deux. Une fois l’entreprise mise sur pied, les ventes ont littéralement explosé et les meubles « Zaël » se sont fait un nom chez les amateurs de meubles design.
Dernière édition par Waël Q. Adcock le Sam 7 Sep - 13:39, édité 12 fois |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 3:03 | |
| oh, Q ma sale rousse. contente de te voir ici et que l'esprit jmm soit avec nous, qu'il nous préserve du bien et nous plonge dans le mal. que perversion soit notre mère. bienvenue |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 3:07 | |
| Moi qui m'attendais à une déclaration enflammée de ta part, tu m'en vois déçue - d'autant plus que la perversion est déjà notre mère, et notre père aussi MAIS merci sexy toi ! On va faire plein de bébés ! |
| | |
| | | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 10:49 | |
| |
| | |
| | | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 15:38 | |
| |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 16:11 | |
| Merci tout le monde ! |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Dim 1 Sep - 17:01 | |
| Bienvenue à bord |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Lun 2 Sep - 11:32 | |
| |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Mar 3 Sep - 17:56 | |
| Bienvenue mademoiselle :) Bonne chance pour ta fiche :D |
| | |
down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Mer 4 Sep - 20:10 | |
| bienvenue parmi nous! je ne connaissais pas laura mais elle est vraiment jolie. bref, j'espère que tu vas te plaire parmi nous et bon courage pour ta fiche. |
| | |
lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Jeu 5 Sep - 19:51 | |
| bienvenue parmi nouuuus. (et désolée pour le retard ) je ne connais pas ton ava, mais elle est super belle & j'adore ton pseudo. |
| | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Sam 7 Sep - 14:06 | |
| Merci tout le monde ! |
| | |
| | | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. Sam 7 Sep - 16:02 | |
| Laisse-moi embellir la réalité CASSE DELIRE ! |
| | |
lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
| | | |
| (#) Sujet: Re: Home is where the heart is. | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|