| (#) Sujet: (F/PRIT) NASTYA SHMAKOVA Lun 24 Juin - 18:33 | |
| carlottawe only accept the love we think we deservePRÉNOM(S) ET NOM: Carlotta, mais elle a toujours détesté ce prénom. ÂGE: 22 ans. NATIONALITÉ: Russo-américaine. STATUT CIVIL: Célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: Au choix. AVATAR: Nastya Shmakova. CRÉDIT: Tumblr.
L'histoire est fortement décrite dans le lien, et ce qui n'est pas stipulé est libre, ce pendant si tu as des questions n'hésites pas à me contacter ma boîte Mp t'es ouverte ! :) Niveau caractère Carlotta est une dure, renfermée et asociale, elle a trop souffert dans sa vie pour pouvoir encore espérer, elle est blasée. Protectrice, elle a un fort instinct de survie. Elle a besoin d'action, d'être constamment en mouvements. Pourtant elle ne supporte plus la violence, et ne croit plus au genre humain qui l'a trop de fois déçu. Aux US, elle va pouvoir se refaire, même contre son gré. Poussée par Hassan et sa petite sœur Nastya, elle va peu à peu s'ouvrir au monde et à ses joies, bien que jamais elle ne pourra baisser sa garde, puisqu'elle sait qu'elle risque de le regretter. Peut être un homme extérieur à son histoire pourra la résonner et l'ouvrir au monde d'ici. Mais une chose est sûre, son passé est ancré en elle, et s'ils n'étaient pas partis du Pakistan, elle aurait finit avec Hassan. Si on pouvait la comparer aux personnages de Hunger Games, elle serait Katniss et Nastya serait Prim. doing what we do.
Bon tu as droit à 90% de ma fiche vu qu'elle apparait partout :
- Spoiler:
Je courais. Je courais à en perdre la raison, à en perdre la tête, comme si ma vie en dépendait. En fait, ma vie en dépendait. Je n'avais plus de souffle, j'allais perdre pied. Je sentais que la fin était proche, que j'approchais de mon but. Cependant je ne pensais pas être capable de tenir jusque là, je risquais de m'écrouler d'une minute à l'autre. J'allais crever là, tout seul comme un con, puis ils allaient me faire la peau les salauds. Non, je n'avais plus aucune chance de m'en sortir. Soudain, une main s’abattit sur moi et me tira violemment dans une ruelle adjacente. « Qu'est-ce que... » « Ta gueule Al-Katib. » C'était une fille. Je ne la voyais pas puisqu'elle était dans mon dos, mais je sentais sa main fraiche sur ma bouche, m'empêchant de parler. La ruelle était vraiment sombre. Mes poursuivants passèrent leur chemin. Je ne reconnaissais pas la voix de ma "sauveuse", pourtant elle semblait me connaître. On est resté comme ça un moment en attendant qu'ils prennent de la distance. Puis je me suis dégagé de son étreinte puis je me suis retourné vers elle, la dévisageant. C'était Carlotta, ma voisine. Une fille assez canon je dois l'avouer. On ne s'était pas souvent parlé, juste une fois alors qu'on avait 4 ans, quand ses parents ont emménagé à côté de chez nous : elle est originaire de Russie. A savoir comment ils ont pu atterrir dans cet endroit merdique que je rêvais de fuir depuis toujours. Elle avait une petite sœur, Nastya, et c'était elle que je venais de sauver, et elle qui risquait la mort si on ne faisait rien. Je vous explique un peu la situation : je suis chef de gang dans cette foutue ville, après tout c'était le seul moyen que j'avais pour me sortir de là, et pour protéger ma famille. Nous sommes les wolves pack, et nous sommes en quelques sortes la terreur du quartier. J'imagine que c'est pour ça que Carlotta ne m'avait jamais parlé. Elle me méprisait, ça se voyait dans son regard. A chaque fois que je le croisais, j'y trouvais un mélange de haine et de déception. Je ne l'avais jamais compris jusqu'alors. Notre gang se spécialisait dans le racket, la violence, les menaces. En tant que chef je ne me salissais jamais les mains. Heureusement puisque nos agissements me répugnaient. Je faisais vraiment ça par obligation, j'avais déjà perdu ma sœur et mon père, je ne pouvais me résoudre de perdre ma mère également. J'avais cédé à leur pression, j'avais été enrôlé. Et là, ils voulaient voir si j'avais encore l'étoffe d'un chef, et ils avaient kidnappé Nastya, la sœur de Carlotta. Ils l'avaient emmené dans un hangar et ils voulaient que je la viole et la tue, pour prouver que j'avais ma place parmi eux. Non, ce n'étaient pas des enfants de chœur en effet. Mais j'avais pas pu. Nastya, elle était pas comme sa sœur, elle était fragile, innocente, elle n'avait rien à faire dans ce monde de brutes. Alors que Carlotta était une vrai dure, Nastya était toute douce. Elle n'aurait pas faire de mal à une mouche. Puis je la surprenais des fois à m'épier quand je rentrais chez moi. Je crois qu'elle avait un petit faible pour moi. Mais j'ai fermé les yeux vous voyez. Alors quand je l'ai vue là, ligotée devant moi et entourée de tous ces abrutis... J'ai pas pu résister je l'ai aidée à fuir. Elle avait une longueur d'avance sur moi et je l'avais perdue de vue, moi je tentais de la suivre mais bon... Je savais que le reste du gang voulait ma peau et la sienne, d'où ma folle course poursuite. « Il faut faire quelque chose, ils vont l'avoir. » « Je sais, viens. » Carlotta avait ce regard décidé qui ne souffrait aucune peur, alors que la vie de sa propre sœur était en jeu, elle m'impressionnait. Elle nous fit passer par un petit dédale de rues extrêmement étroites que je n'avais jamais remarqué. On a alors traversé une rue piétonne bondée mais il n'y avait aucune trace des personnes que nous cherchions... et craignions. « Par là. » Alors que j'allais dans une autre direction, elle me poussa vers ma gauche et me fit descendre dans un petit escalier de métal qui menait dans une salle sombre. Elle la traversa, suivie de près par moi, et ouvrit la porte à la volée. On débouchait alors directement sur une de ces voies souterraines souvent squattées par les clodos. Ça sentait l'urine et le moisi, mais pas le temps de s'arrêter à ce genre de détails à Karachi. On a tourné à droite, puis à gauche, puis encore à gauche, puis à droite, et enfin on a ouvert une petite porte de métal rouillé, on a emprunté un escalier en colimaçon puis on est arrivés dans une petite salle obscure. « Carlotta ! » C'était la voix de Nastya. Elle s'était jetée au coup de sa sœur qui, après avoir relâché son étreinte, se tourna vers moi. « C'est notre cachette depuis toujours, on y va quand on sent le danger. » Je hochais la tête, le regard toujours obnubilé par Nastya. Elle me regardait, nos regards se mélangeaient jusqu'à ce que Carlotta brise encore le silence. « Maintenant Al-Katib, tu vas t'occuper d'eux, ils doivent pas être bien loin. » Elle me désigna une porte de l'autre côté de la salle qui, j'en étais certain, donnait sur l'extérieur. « Tu viens pas ? » Elle haussa un sourcil. « C'est ton problème ça. Puis tu nous dois bien ça. » Je ne compris pas de suite de quoi elle parlait. Puis je me souviens. Un jour, mon gang s'en était prit à une université alors que j'avais 15 ans à l'époque. Je n'étais pas encore le chef mais j'en faisais déjà partie. Je me souviens d'un garçon, jeune, russe, qui nous avait supplié de ne pas le tuer. Au début, je ne pensais pas qu'il y aurait des morts dans cette attaque, on m'avait dit qu'on allait "un peu perturber les cours". Mais les ambitions du reste du gang était tout autres : ils voulaient faire fuir les étrangers. Alors je me souviens, y a Akim, avec son flingue. Il l'a pointé sur la tête de l'étudiant russe et l'a flingué sans que je puisse rien faire. Bordel j'avais été lâche, et j'avais vu ce mec crever devant mes yeux ! Et alors j'ai compris, j'ai compris que ce mec c'était leur frère. J'avais déjà vu sa tête avant l'incident mais j'avais pas pu me le remettre. Mais maintenant oui, il était rentré le premier jour avec Nastya et Carlotta dans leur maison. J'eus du mal à respirer après avoir réalisé cela, et je comprenais pour quoi Carlotta me détestait tellement. Alors j'ai hoché la tête, et je suis allé de l'avant, pour sortir affronter ces enfoirés au péril de ma vie. La main de Carlotta ses plaquée sur mon torse et elle m'a regardée avec son regard de braise. « Fait gaffe Al-Katib. » Je hochais une nouvelle fois la tête sans rien dire. J'amorçais un nouveau mouvement vers l'avant quand la main de Nastya saisit mon bras. « Merci Hassan. » Puis sans prévenir elle m'embrassa. Mon expression ne changea pas, je les vis s'éloigner et emprunter de nouveau le tunnel qu'on avait traversé avec Carlotta. A moi de jouer maintenant. J'allais vers la porte, tournais la poignée, l'ouvrit et fit un pas dehors. Puis un grand bruis sourd, une explosion, des cris, une douleur lancinante dans mon ventre et sur mon arcade sourcilière gauche. Puis plus rien. Le néant. Le vide. La mort.
J'avais sa tête sur l'épaule et son souffle chaud dans mon cou. J'étais bien. La sonnerie signalant qu'il fallait qu'on attache nos ceinture retentit, nous allions traverser une zone de turbulences. Je tournais la tête vers la droite, je voyais ses cheveux et le haut de son crâne... Nastya. Elle et sa sœur avaient également perdu leurs parents dans l'attentat. Nous avions tout perdu. Heureusement la chance nous a d'un côté sourit : une mission humanitaire américaine s'était rendue à l'hôpital pour venir chercher les survivants et les amener dans leur pays avec l'accord des autorités pakistanaise. C'était un attentat terroriste islamiste qui avait emporté 12 000 et quelques personnes plus des blessés et traumatisés à vie, comme nous. Les membres de mon "gang" avaient dû mourir également puisque je ne les voyais pas dans l'avion spécial qui nous amenait aux États-Unis. Tant mieux d'ailleurs. Je n'avais pas envie de les voir. Je jetais un coup d'oeil à la place à côté de Nastya, occupée par Carlotta. Elle avait le visage dur, les traits figés, et le regard perdu et absorbé par un point que je ne saurais voir. « Tu dors pas ? » Elle ne bougea pas. « Pas envie. » Nous avions suffisamment dormi à l'hôpital de toute façon. Je détournais le regard et, tout comme elle, regardais droit devant moi. Le silence s'éternisait et je décidais de le rompre en avouant quelque chose qui me trottait dans la tête depuis un moment déjà. « Je suis désolé pour ton frère. » Nouveau silence durant lequel personne ne broncha, seul un ronflement bruyant nous parvint d'un siège deux rangées en avant. Carlotta inspira un coup, comme si elle voulait parler, mais rien ne sortit, et elle garda le silence. Elle soupira. « Tu n'y es pour rien. » Bref silence. « Mais tu m'en veux quant même. » « Tu étais là ! Tu aurais pu faire quelque chose ! » Une hôtesse lui lança un regard noir puisqu'en criant ainsi elle risquait de réveiller les autres passagers, mais elle l'ignora royalement, mais ne manqua tout de même pas de baisser le ton. Après tout sa sœur dormait. « J'avais 15 ans, j'avais peur qu'ils s'en prennent à ma famille et je pensais pas qu'ils allaient le tuer. » Malgré notre discussion, je restais très calme, je désirais avant tout la raisonner. Elle soupira de nouveau. « Je sais ça. Je l'ai toujours su. Mais il faut bien trouver des coupables. » « Ceux-sont eux les coupables, et ils sont morts. C'est la vengeance du ciel. L'ordre est rétabli. » Elle se tourna enfin vers moi, mêlant son regard dans le mien. « Mais nous sommes seuls Hassan, nous n'avons plus rien à cause d'eux. » J'eus un faible sourire. « On nous a nous. Puis on est ensemble. » Elle me sourit en retour. C'était la première fois que je la voyais sourire. Et jamais je ne m'étais rendu compte au combien elle était belle. « Oui, tu as raison. » Elle a tourné la tête, moi aussi. Je l'ai posée sur le siège et je me suis endormi.
« Et donc tu l'aimes pas. » « Non. Pas du tout. » « Et elle l'a prit comment ? » Je haussai les épaules. On se trouvait à Starbucks avec Matt. On parlait de Nastya. Un jour qu'elle en avait sans doute mare d'attendre un quelconque geste de ma part, elle était venue me voir et me dire qu'elle m'aimait. Sauf que ce sentiments n'était pas partagé, je la considérait plus comme ma petite sœur. Non, j'étais bien plus attiré par Carlotta. Au fil du temps nous sommes devenus les meilleurs amis du monde. Un jour, nous étions dans ma chambre, seuls, nous discutions. Elle était allongée sur mon lit et moi à côté d'elle. Nous étions dans les bras l'un de l'autre, pour la première fois. Carlotta n'avait jamais été très tactile... Et moi non plus d'ailleurs, mais l'Amérique me changeait, je le sentais, et j'en étais heureux. Puis, je ne sais plus comment, nos lèvres se sont frôlées, elles se sont cherchées un moment, avant de se trouver dans un baiser passionné. Mais au bout d'une minute environ, elle a dû prendre peur, elle a rompu notre baiser et s'en est allée, sans un mot. Je ne l'ai plus revue depuis, c'était dimanche dernier. Je n'avais pas compris sa réaction, et encore maintenant, elle m'échappait. « 'San ! » La voix de mon meilleur ami me remit les pieds sur Terre. « Euh... Oui, désolé, je pensais à autre chose. Tu disais quoi déjà ? » Matt leva les yeux au ciel. « Comment elle a réagit ? Nastya ? » « Pas super bien... Mal. Oui, mal en fait. » Je poussai un soupire. Je les adorais ces filles, mais ne les comprenait pas. J'espérais du moins que Carlotta n'avait rien dit à sa cadette au sujet du baiser que nous avions échangé, et une voix me dit que c'était pour ça qu'elle s'était sauvée. Je sentis alors la main de Matt serrer la mienne. Il me dévisageait intensément. « Ça va Hassan ? » Je trouvais sa façon de me serrer la main étrange mais loin d'être déplaisante. Son contact était chaud et doux, et j'aimais cette inquiétude qu'il avait pour moi. Alors j'ai serré sa main en retour, et je lui ai souri. « Oui, ça va t'inquiètes. » Il ne semblait pas convaincu. « C'est pas t'es cauchemars encore ? » « Non, t'inquiètes, puisque je te dis que ça va. » Je lui souris de plus belle, espérant le convaincre. Je n'étais plus en proie à mes horribles cauchemars relatant mon sombre passé à Karachi. Ils m'avaient longtemps hantés si bien que j'étais allé voir un psychologue, alors que les deux sœurs avaient refusé catégoriquement. Je ne sais pas si elles allaient mieux mais en tout cas moi c'était passé. J'en refaisais de temps en temps dans des périodes de stresse et de tension, j'avais quelques flash backs mais c'était supportable comparé à avant ! « Bon alors... Très bien ! » Matt me sourit à son tour et nous nous levâmes. On est alors sortit du magasin, et il ne lâcha ma main qu'à l'extérieur. Puis il passa son bras autour de ma taille tandis que le mien passa autour de son cou, et nous partîmes ainsi, sans se soucier de ce que ces gestes pouvaient bien signifier.
Dernière édition par Hassan Al-Katib le Lun 24 Juin - 18:56, édité 1 fois |
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| (#) Sujet: Re: (F/PRIT) NASTYA SHMAKOVA Lun 24 Juin - 18:38 | |
| Coucou mon poney bleu ! Déjà faut savoir que si tu t'intéresses à ce scénario, faut absolument que tu le prennes, juste parce que je l'attends à mort et que je te vouerais un culte et te ferais tout ce que tu désireras si jamais tu le prends. Avoues c'est une proposition alléchante ! Mais un scénario ne serait pas un scénario si je ne me permettais pas d'être chiante à la fin non ? (a) • Avatar : Concernant l'avatar je vais être chiante : j'adore Nastya et elle est très peu négociable, tu peux toujours proposer par contre, mais je ne te garantis rien ! • Pseudo : Il est assez libre, dans le sens où tout sauf Carlotta est au choix. Je tiens à ce que tu gardes ce prénom, caché m'irait très bien, il n'est pas spécialement magnifique mais elle a jamais pu le supporter donc... • Présence et activités : J'aimerais quelqu'un d'assez présent, autant par Rp que le flood. Mais je n'impose qu'une réponse par semaine, je respecte volontiers la vie IRL vu qu'il m'arrive comme tout le monde d'être à la bourre question Rps. • Lien : Malgré l'éloignement dont ils sont victime ces derniers temps, ils vont finir par se rapprocher et être les meilleurs amis du monde, plus intimes qu'avant et tout. Leur lien est même ambigu puisqu'il y a une forte attirance purement physique entre ces deux-là. Mais les sentiments ne sont pas là. + elle a un lien avec Nastya (scénario avec Lagarce) et elles sont sœurs et très soudées. • Niveau : J'aimerais quelqu'un d'assez bon en Rp et qui limite les fautes d'orthographe. Dans une moindre mesure quoi, ça arrive à tout le monde d'être plus ou moins inspiré et de faire des fautes mais évitons les cinq lignes écrites kom sa. 15 lignes me vont par exemple ! Si tout ça ne t'a pas encore découragé, alors par pitié rejoins-moi, I WANT YOU (comme l'oncle Sam) J'ai besoin de ma besty de la mort qui tue sa mémé en slip peau léopard alors n'hésites plus ! VIEEEEEENS |
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