Je suis plutôt du genre à me lever directement dès que le réveil sonne mais aujourd’hui mon adorable petite amie avait une heure de plus que d’habitude pour traîner au lit. Ce n’est pas une petite exception qui va me faire du mal, j’avais donc pour elle décider de rester un peu plus longtemps au lit. Cependant ce n’était pas une petite heure en plus avec elle qui allait m’empêcher d’aller je pense lui rendre une petite visite à l’hôpital une fois que j’aurais passé un peu de temps dans mon atelier à peindre ou perfectionner une œuvre que j’ai déjà entamé ou bientôt achevé. Une fois que cette dernière est dans la salle de bain histoire de prendre sa douche mais également de se préparer à aller au travail, j’en profite pour squatter la cuisine et préparer mon petit déjeuner et le sien qu’elle aura le temps de manger pendant que moi j’irais me doucher. Après un petit quart d’heure et surtout une fois que j’ai eut le temps de terminer d’avaler mon bol de céréales et de voir les informations, la belle sort enfin de la salle de bain, je l’embrasse et fil aussitôt dans la salle de bain pour me préparer à mon tour. Bien entendu, je sais que le temps que je me prépare cette dernière sera déjà partit pour aller à l’hôpital. Une fois que j’ai terminé de me préparer et d’enfiler ma chemise ainsi que ce petit nœud papillon que je me suis acheté dernièrement, je me coiffe rapidement avec ce que j’ai l’habitude de mettre comme lotion dans mes cheveux et me voilà sur le chemin de l’atelier. J’ai bien entendu prit mon vélo afin de m’y rendre parce que je n’ai pas le permis et tout ceux qui me connaissent ou du moins les personnes qui me connaissent assez bien savent que je me déplace toujours à vélo. Il m’est arrivé des fois de me déplacer en voiture mais bien entendu ce n’est que pour les longs trajets et évidemment ce n’est pas moi qui a le contrôle du véhicule. Enfin cela reste une logique puisque je n’ai pas le permis. Aujourd’hui est une superbe journée et je pense que je vais pouvoir amener ma toile dans la cour de l’atelier afin d’avoir une petite brise sur le visage pour me rafraichir pendant que je m’occuperais à peindre. Après quelques heures à peaufiner une toile et ensuite à en faire une autre je prends l’initiative de ranger le tout et d’aller me laver les mains histoire de ne pas venir à l’hôpital tout crade. Une fois que j’avais enlevé la peinture que j’avais sur les mains j’étais enfin prêt à quitter mon atelier et me rendre avec mon moyen de locomotion l’endroit où elle travaille. C’est avec un trottoir noir de monde et une route blindée que j’ai dut me débrouiller pour arriver à bon port. J’attache alors mon vélo afin de ne pas me le faire voler ce qui paraît stupide mais tellement probable dans le monde d’aujourd’hui. Je sais où travaille la miss et je n’ai du coup pas besoin d’aller à l’accueil, de plus la femme m’adresse un large sourire car elle sait pour qui je viens. Me voilà dans l’ascenseur j’appuie sur le bouton mais n’appuie pas sur celui qui permet de refermer directement les portes on ne sait jamais que quelqu’un ait besoin de prendre l’ascenseur et arrive dans pas longtemps. Ce pendant cela ne semble pas être le cas. Je suis en train de regarder mes messages et emails via mon téléphone portable que je n’ai pas vu pendant mon atelier peinture lorsque j’entends quelqu’un qui rentre soudainement dans l’appareil. Il semblerai qu’elle ai faillit le manquer. Je décide donc de quitter mon écran des yeux et je crois que je suis aussi stupéfait que la personne qui se trouve en face de moi.  « Une revenante…alors Milah on retourne à ses racines ou bien c’est juste l’état de ta mère qui te préoccupe ? » Ce n’est certes pas très aimable mais je ne crois pas que la façon dont elle m’est lâché le soit à vrai dire. Je l’appréciais et l’apprécie toujours plus que tout mais je pense qu’elle doit comprendre qu’elle n’a pas du tout agit de manière correcte même si c’était pour son bien à elle. Je range mon téléphone dans ma poche lorsque l’ascenseur s’arrête soudainement sans aucune raison apparente. Nous ne sommes pas arrivé à destination car l’ascenseur était entre deux étages, nous allions passé au deuxième étage et voilà qu’il ne veut plus avancer. Ce n’est pas du tout la meilleure des situations pou un clostro comme moi. Je m’avance vers la plaquette de boutons et tente d’appuyer sur ce qui nous permet de contacter d’autres personnes mais à priori cela ne semble pas vouloir fonctionner. « Oh non…c’est pas possible. Ouvrez !! » Je ne dois pas me mettre à paniquer mais malheureusement ce genre de chose se fait indépendemment de ma volonté.