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 (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter

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Message(#) Sujet: (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter EmptyMer 1 Juin - 22:40


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éveillée dès l'aube, comme chaque matin, tu t'actives directement. tu ne traînes pas au lit, avec l'armée cela fait plus de quatre ans que tu ne t'es plus levée après le soleil. tu commences par un jogging dans les rues encore endormies de white oak. tu cours, chester bennington te criant dans les oreilles, jusqu'à ce que ton circuit soit terminé. tu changes fréquemment de parcours lorsque tu cours, après tout tu connais la ville depuis suffisamment longtemps pour cela, et tu es un peu paranoïaque. séquelle, ou peut-être simple acquis, de tes jours pas encore révolus en uniforme. tu n'avoueras de toutes manières jamais avoir subi un certain traumatisme, ni être contente de faire une pause forcée -à durée indéterminée, ce qui te tape malgré tout sur les nerfs.
après une longue douche, tu t'habilles en conséquences de l'idée qui vient de germer dans ton esprit. tu as besoin de sortir de la ville, et tu es à peu près certaine de ne pas être la seule dans ce cas. tu songes à un... ami ? une connaissance, tout du moins. tu ne prends pas la peine de lui téléphoner avant, ni même de regarder si l'heure n'est pas un peu trop précoce. tu te munis d'une veste, attrapes tes clés de voiture et conduis jusqu'à chez lui.
tu ne tardes pas à te planter devant la porte, et frappes un peu fort. peut-être dort-il encore, peut-être a-t-il des projets. tu t'en moques, tu as eu une idée brillante et il fait partie intégrante du plan. alors il vient avec toi, volontairement ou pas. « debout lulu, je t'emmène en balade. » non, tu ne lui as jamais demandé la permission de le surnommer ainsi, ou de quelque façon que ce soit. tu ne penses pas qu'il apprécie, c'est bien pourquoi tu n'as pas pris la peine de demander. à la vérité, luam demeure un vaste mystère pour toi, une énigme à résoudre. une personne à aider, simplement. tu es sa thérapeute autoproclamée, décidée à le faire parler depuis la première fois que tu l'as vu. c'est plus fort que toi, tu aimes aider les autres. tu aimes changer les choses, voir l'évolution, faire la différence, observer tes efforts triompher des réticences. tu ne peux affirmer savoir exactement ce que tes collègues ont subi ni comment ils le vivent et le ressentent, mais tu en as tout de même une idée plus claire qu'un psychologue. et puis ton approche est différente, tu ne te contentes pas d'écouter en posant sporadiquement des questions. de plus, tu es gratuite -enfin, tu ne refuseras jamais qu'on te paye un repas mais les frais s'arrêtent là.
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Message(#) Sujet: Re: (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter EmptyVen 3 Juin - 0:57


(luam) you can be alice, I'll be the mad hatter Tumblr_m56f8geyWI1rq71ks  Le réveil n’avait pas encore sonné que cette journée le faisait déjà chier.  Aucune raison requise, il aimait juste s’enfermer dans son monde bâtit de complaintes et d’abattement sur sot. Mauvais réflexe, mais ça l’avait tenu au chaud pendant presque deux ans, une hibernation loin de la civilisation qui l’avait transformé en ours aigri. Ouaip, c’était maintenant son animal totem, ou une connerie du genre. Probablement. Sa main le faisait souffrir, il l’ouvrait et la refermait compulsivement pour faire disparaître la douleur qui rongeait ses nerfs mais l’inefficacité de la chose ne le surprenait même pas. C’était juste histoire de se dire qu’il avait un contrôle précaire sur ce qui lui avait été pris et sur laquelle il n’aurait plus jamais aucune emprise. Il bougea de son lit, enfin, en passant en revue les activités du jour. Il avait bien encore des dossiers en cours, mais il n’avait aucune envie d’aller voir un homme pour lui réclamer la pension alimentaire due à son ex-femme ou d’aller effrayer quelques gamins qui s’amusaient à terroriser leur prof.  C’était un de ces jours où il regrettait ses beaux jours. Tout est relatif, cela dit. Beau est bien excessif quand on vit perpétuellement dans la violence et l’urgence. Mais rétrospectivement c’était plutôt pas mal. Excluons les problèmes émotionnels et ses jours dans l’armée furent une période relativement sainte où il avait véritablement sa place dans une hiérarchie militaire et sociale. Ca lui manquait un peu, de se sentir utile.  Un tambourinement -excessif- sur la porte, et une phrase. La première pensée cohérente qui lui vient à l’esprit est « Oh putain, non. ». Il connaissait cette voix. Très bien.  « Je vais la tuer ». Luam fonça droit vers la porte et l’ouvrit pour faire face à Delilah. Ah, Delilah. Un nom si délicat pour cette petite chose qui l’agaçait et poussait un peu trop ses limites à l’extrême. « Ne m’appelles pas comme ça si tu veux voir le coucher de soleil ». Il pointait un doigt accusateur sur elle, la gratifiant d’un regard menaçant comme il savait si bien les faire. Et comme elle les connaissait si bien. Il n’avait jamais utilisé cette expression plus d’une fois avec la même personne, généralement une fois suffisait. Mais avec elle c’était différent : elle était imperméable à cette technique qui avait fait sa renommée et dont elle se foutait éperdument.  C’est en partie pour ça qu’il l’aimait bien. Elle n’avait pas peur de lui. Elle n’avait pas peur de son comportement déviant, ni même de son corps amoché.  « Il est même pas huit heures du mat’, bordel, et tu veux déjà me trimballer dans tes grandes aventures ? Tu oublies que maintenant je connais tes combines parce que t'as dû cramer toutes ... tes cartouches pour me traîner : je ne tomberai pas dans la soi disante innocence d'une balade. Non, j'ai pas signé pour ça. ». Ne révélez jamais ce qui va suivre : s’il y avait bien une chose qui pimentait ses journées, c’était ses petits intermèdes avec elle. Non seulement il pouvait parler -ou pas-, elle ne le pressait jamais. Secondement,il aimait leurs petites batailles, leurs échanges houleux qui ne prenaient aucun détour. Ils étaient sincères l’un avec l’autre et ça le laissait légèrement nostalgique sur une relation passée avec un certaine coéquipière dont il avait eu le malheur de s’enticher pour son caractère bien trempé.  Rien de ça avec Delilah, pas de sentiments inutiles. Tout était brut, cru et le forçait à défoncer les murs qu’il avait levé pour s’isoler du monde. Il éprouvait pour elle une certaine affection qu’il tentait tant bien que mal d’éloigner. Mais son attachement à le titiller et à le sortir de cette impasse ne pouvait que le pousser à la remercier pour l’entêtement dont elle faisait preuve.  Ils avaient trouvé un adversaire à leur -dé-mesure l’un dans l’autre.
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Message(#) Sujet: Re: (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter EmptySam 4 Juin - 17:17


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luam, il n'est ni la première ni la dernière personne que tu t'acharnes à aider, et encore moins le premier soldat traumatisé que tu croises. tu aurais même pu t'y faire, aux regards vides ou désorientés, à leur recherche d'une solitude qui n'est en aucun cas la clé, à la souffrance. tu aurais pu classer cela dans les risques du métier, ressentir un bref pincement au cœur et oublier ensuite. mais tu as pour habitude de te dévouer au maximum lorsque tu te sens concernée, et le moins que l'on puisse dire est que la souffrance de tes confrères te concerne et te touche. puisque tu rechignes à t’apitoyer sur leur sort ou le tien, tu as trouvé ta façon de leur venir en aide. parfois contre leur gré, mais tu sais pertinemment que tu fais plus de bien que de mal en les poussant un peu. tu fais parfois le parallèle avec ta mère lorsque vous n'étiez que toutes les deux, et qu'affronter le départ de ton père lui était plus difficile qu'à toi. tu lui as dit la vérité en face, même si cela faisait mal, et elle a pu refaire sa vie. tu n'as pas l'audace de croire que tu sais tout et que tes paroles ou tes actes changeront forcément quoi que ce soit pour ces personnes. pour luam, ou pour conrad. mais ce que tu sais, c'est qu'essayer ne peut pas faire de tort à quiconque. sans oublier que tu tiens tout particulièrement à ces deux-là, et qu'un échec avec eux aurait de quoi te démoraliser malgré ton optimisme légendaire.
tambourinant à la porte comme s'il s'agissait d'une question de vie ou de mort, tu appelles lulu à t'accompagner dans une balade il ne sait pas encore où. sans doute ne le lui diras-tu pas avant que vous ne soyez arrivés. d'ailleurs, ce n'est pas un appel, ni même une requête, mais une information. il vient avec toi, point barre. le connaissant, il va traîner les pieds, peut-être te menacer, grogner et te faire comprendre que tu lui gâches la vie. ingrat. tu souris rien qu'à l'idée, et plus encore lorsqu'il ouvre vivement la porte. sa première remarque concerne le surnom, pourtant adorable. tu ricanes, il fait deux têtes de plus que toi mais ce petit air se voulant menaçant n'a pas le moindre effet. en tout cas, pas celui escompté. tu écartes sa main au doigt accusateur et plantes ton regard dans le sien. « tout bien réfléchi, grognon te va mieux que lulu. » il te faut te tordre le cou afin d'apercevoir son visage, mais il est parfaitement incapable de t'effrayer ou de te dissuader. ce n'est pas une question de taille, mais bien de détermination, et tu es peut-être encore plus têtue que lui.
la suite des plaintes et reproches ne tarde pas à venir, ne parvenant qu'à élargir le sourire que tu arbores joyeusement. tu le laisses terminer, manquant de t'esclaffer face à son discours. « t'as rien signé du tout, je te rappelle que t'étais pas obligé de me laisser entrer dans ta vie... mais maintenant c'est trop tard ! et je sais que tu m'aimes, grognon, t'es juste incapable de le montrer. t'en fais pas, je traduis ton langage. » ne te départissant pas de ton sourire, tout à fait ravie, tu reprends en haussant les épaules. « tu sais très bien que je ne vais pas te supplier mais que tu vas venir quand même. autrement je m'invite chez toi, c'est comme tu préfères. » tu soutiens son regard, le défiant.
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Message(#) Sujet: Re: (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter EmptyMer 8 Juin - 21:53


(luam) you can be alice, I'll be the mad hatter Tumblr_o0upx2s31P1tt2n2ao2_r1_250  Les paroles de Delilah étaient sans détour, crues et tranchantes. Elle ne prenait même pas la peine de faire dans la subtilité pour l’amener à ses fins : elle l’obligeait, purement et simplement. Des fois il avait l’impression d’être un enfant contraint par … sa soeur ? Oui, plutôt que par une mère. Elle lui rentrait dedans et défonçait sans ménagement tous ses efforts pour paraître grossier, froid et distant. Et elle n’éprouvait aucun regret. Ses intentions étaient sans doute honorables -oui, elles l’étaient-, mais cet entêté auquel elle avait donné le doux surnom de « grognon » refusait catégoriquement de voir en quoi ça l’aidait. Rectification : il refusait de l’admettre. Il y avait une chose qu’il pouvait lui concéder -en silence- : il allait mieux depuis qu’il la voyait. Il l’avait rappelé, la première fois, juste pour parler. Il avait apprécié sa façon de vouloir l’aider … Bon, admettons que la toute première fois il ne l’avait pas spécialement rappelé pour qu’elle devienne sa psy, plutôt pour d’autres détours un peu moins nobles. Il était faible devant une belle femme, au moins cette part existait encore. Il ne s’était rien passé, elle s’était agrippée à son cas, il l’avait laissée faire. Il s’était décongelé depuis qu’elle s’occupait de lui, elle le forçait à parler et il aimait s’ouvrir. Mais toujours, cette part mortifiée de perdre quelqu’un qu’il apprécie se mettait en travers d’une guérison totale.
Trouble de la personnalité évitante. C’est comme ça qu’on lui avait signalé ses troubles comportementaux la première fois. Peur sociale, peur de perte, peur de rejet. Sa maladie n’avait pas été établie après l’accident qui lui avait coûté deux membres défectueux, mais ç’avait été une amplification.
Delilah était une des rares personnes qui l’avait approché et qui était restée. Des fois, l’étrange pensée qu’elle était la copie conforme d’un amour passé qui l’avait abandonné donnait lieu à un débat des plus accablants dans sa psyché :  d’un côté, si elle était sa copie-conforme elle aurait les mêmes chemins sinueux qui le conduirait à sa perte ; de l’autre c’était ce qui faisait qu’il appréciait autant Delilah et le fait qu’il souhaitait secrètement ne jamais la voir baisser les bras devant son cas. Non, il ne lui facilitait pas la tâche. Des fois il se disait qu’il testait sa patience, comme un jeu. D’autres fois il se disait juste qu’il était con de mettre autant de difficultés à cette relation qui pouvait aboutir sur un truc extraordinaire dont il se privait bêtement.
« t'as rien signé du tout, je te rappelle que t'étais pas obligé de me laisser entrer dans ta vie... mais maintenant c'est trop tard ! et je sais que tu m'aimes, grognon, t'es juste incapable de le montrer. t'en fais pas, je traduis ton langage. ». Il grommela pour montrer son mécontentement, marmonnant des phrases incompréhensible dans sa barbe qu’il n’avait, du coup, pas eu le temps de raser, mais qui ressemblaient beaucoup à « Grognon moi ? Non mais …Hmph, non. ». Sachant très bien qu’elle ne le laisserait pas mener sa journée comme il l’entendait, qu’elle continuerait à tambouriner à la porte jusqu’à ce qu’il cède et qu’elle continuerait à l’appeler grognon si lui non plus -oui, ce surnom l’outrageait plus encore que Lulu-, il prit son manteau sortit sur la palier et ferma la porte derrière lui. Toujours en marmonnant, lançant quelques menaces. « Ok, je te suis. Tu n’as pas intérêt à me faire perdre mon temps…. et tu arrêtes de m’appeler par ce surnom stupide. J’ai rien d’un grognon, je suis juste allergique à tes innombrables excentricités.». Faux. Il les adorait. Il mit les mains dans ses poches pour appuyer ses propos et pour cacher les crampes qui gagnaient sa main endolorie. « Et tu comptes m’emmener où au juste ? Si tu me kidnappes j’ai le droit de savoir l’endroit ».
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Message(#) Sujet: Re: (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter (luam) you can be alice, I'll be the mad hatter EmptySam 11 Juin - 20:52


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le seul moyen avec luam est la force. les discussions ne sont d'aucune utilité, il aura toujours un contre argument. et puis c'est épuisant, les débats. autant qu'inutile. tu ne t'embarques jamais dans de longues tirades visant à le faire changer d'avis, tu préfères lui imposer tes choix et tes idées. et ça fonctionne. ce n'est pas la meilleure façon d'agir avec tout le monde, mais tu as eu vite fait de remarquer que le blond n'était pas réceptif à la diplomatie. tu n'éprouves aucun remord à le traîner derrière toi dans des aventures qu'il n'a pas envie de vivre. traîner est le verbe exact, lui qui te suit en grommelant tout du long à chaque fois. l'important est qu'il te suive, ses plaintes sont un bruit de fond auquel tu t'es accoutumée. tu ne te focalises pas, tu ne l'as jamais fait, sur son apparente exaspération. tu commences à le connaître, et tu sais pertinemment qu'il apprécie vos duels. tu lui tiens toujours tête, c'est épuisant pour lui comme pour toi, mais vous aimez cela. votre relation est conflictuelle uniquement car vous prenez un malin plaisir à vous pousser mutuellement à bout. et vos limites sont visiblement loin d'être atteintes. au fond, même si tu ne le montres pas spécialement, tu comprends ce qu'il traverse. tu ne peux affirmer savoir exactement ce qui se passe dans sa tête, mais tu en as une petite idée. tu en as une certaine image, à force d'apprendre à le connaître, à force de paroles échangées, parfois même grâce à des conversations banales. tu ne le prends pas en pitié. au contraire, tu serais plutôt admirative. une chose que tu n'as pas l'intention de lui avouer.
les reproches te pleuvent dessus, tu demeures campée devant ce géant, te tordant le cou pour apercevoir son visage en entier, et tu n'as qu'une seule et unique envie: éclater de rire. il n'est pas crédible, c'est tout. tu ne parviens pas à le prendre au sérieux, malgré son air grognon et ses quasi deux mètres de haut. tu affiches un sourire amusé, incapable de t'en départir, alors qu'il grogne encore de mécontentement. tu discernes quelques mots dans ses grommellements mais te contente d'hausser un sourcil en le regardant, bras croisés sous ta poitrine. tu as envie de crier victoire lorsque tu le vois prendre son manteau et refermer la porte une fois sorti. tu ne dis mot, tes yeux parlent pour toi. ils pétillent, de fierté et d'une petite dose de joie enfantine. tu fronces les sourcils face à ses menaces, secouant la tête, vexée. « mes excentricités, rien que ça ? tu ne sors pas de chez toi, luam, tout doit te sembler bizarre et excentrique. » tu lèves les yeux au ciel, appuyant bien sur son prénom lorsque tu le prononces pour lui montrer que tu n'emploies plus de surnom. pour l'instant.
montant dans ta voiture sans répondre à sa question, tu t'installes au volant avant de te pencher pour ouvrir la portière côté passager. « monte si tu veux savoir où on va, pauvre homme victime d'enlèvement. » tu ricanes, te rasseyant correctement. « au fait, j'ai pris de quoi manger et boire, mais encore faut-il que tu acceptes de partager mes vivres. après tout mon eau à peut-être un goût excentrique. » tu fais mine d'être toujours vexée afin de pouvoir observer sa réaction. en réalité, tu le prends un peu comme un compliment. tu as le mérite de ne pas être comme tout le monde.
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