| (#) Sujet: (M/LIBRE) RICHARD MADDEN › twin brother. Jeu 2 Juin - 17:13 | |
| Duncan O'Brien hey brother! prénom(s) et nom ›Duncan O'Brien âge ›29 ans (né le 01/05) nationalité › canadienne d'origine irlandaise orientation sexuelle › au choix statut civil › au choix emploi/études › travaille dans la police (au choix) avatar › Richard Madden crédit › écrire ici. ~ description du personnage Donc ce qu'il faut savoir c'est que nos personnages sont frères donc je vous mets leur histoire pour vous donner une idée.
- Spoiler:
Conrad. C’est mon prénom. Conrad. Et il a une signification particulière. Certains me diront que c’est dû à son sens au niveau gaélique mais pas du tout. En vérité ma mère était une femme de Christophe Lambert et plus particulièrement d’Highlander, elle m’a donc nommé Conrad. Pour tout vous dire, je suis né un 1er mai mais longtemps avant ma naissance, on a cru que je serai une fille. Oui, une fille. Le médecin n’avait pas pu discerner mon pénis lors de l’échographie et encore plus, il n’avait pas pu voir que nous étions deux. Des jumeaux. De faux jumeaux. C’est-à-dire que nous avons grandi dans des poches séparés et je suis né suivi de mon frère, Duncan. C’est une coïncidence s’il s’appelle comme le cousin de Conrad dans Highlander car il porte tout simplement le nom d’un de nos ancêtres, Duncan O’Brien. Le premier à avoir émigré au Canada. Donc c’est ainsi, Conrad et Duncan, enfant d’Ama et Thomas O’Brien.
Ma mère était belle. Très belle. Je parle au passé parce qu’elle est décédée. Mon père nous a raconté à mon frère et moi qu’il était tombé sous son charme dès qu’il l’a vu. Voyez-vous, elle était d’origine apache. C’est-à-dire l’une des dernières amérindiennes qui puissent encore exister. De longs cheveux noirs, des yeux de velours et un teint mat. En somme, mon frère et moi tenons d’elle mais Duncan a les yeux bleus contrairement à moi. Trait hérité de mon père. Ils se sont connus alors qu’il s’installait à White Oak et ils sont tombés amoureux au lycée pour se marier et avoir des enfants. La vie est aussi simple que ça. Seulement, ma mère était une femme d’une constitution fragile et elle est rapidement tombée malade. Nous avions neuf ans. Trois ans pour batailler et elle est morte petit à petit, lentement et en souffrant. S’en fut trop pour notre petite famille qui vola en éclats. Ma mère était notre pilier. Mon père est devenu alcoolique et nous, nous sommes vus confiés à ma grand-mère qui nous a éduqués avec des valeurs assez strictes.
Je suis rentré dans l’armée car je voulais rendre service à mon pays. Et aussi car ma grand-mère ne pouvant plus s’occuper de nous, elle m’a envoyée à l’école militaire tandis que mon frère a pris un chemin différent. Il était trop gentil, l’académie militaire ne lui aurait pas convenu. Il s’est tourné vers la police et est devenu inspecteur. Quant à moi, j’ai fait l’académie et quand j’ai eu l’âge, je suis parti en mission. Irak, Afghanistan et j’en passe. C’est d’ailleurs en Afghanistan que je l’ai rencontré. Le soldat Delilah Answald. Elle était belle. Enfin pas trop mon genre de femme. J’ai un faible pour les amérindiennes comme mon père et j’avais déjà une… disons une amie. Elle n’était pas ma petite copine et ne le serait jamais. C’était une amie. Mais j’avais des sentiments forts pour cette femme. Je n’ai jamais compris pourquoi le soldat a jeté son dévolu sur moi. Mais elle me mettait mal à l’aise. Toujours à me faire du rentre-dedans. Et même une fois, je l’ai retrouvé dans les douches masculines. Je ne suis qu’un homme. Je l’ai vu dans son simple appareil et inutile de vous dire ma réaction. Non, je n’ai pas couché avec elle mais disons que je l’ai désiré sur le coup. C’est vrai, elle est bien faite comme femme. Et cette attirance que j’éprouvai pour elle qui n’était que purement sexuelle me faisait du tort dans mon travail. J’allais donc demander ma mutation pour raison personnelle mais je ne voulais pas effectuer un rapport sur cette femme. Elle est séductrice et je pense qu’elle est comme ça avec tout le monde. Je ne suis qu’un homme après. Un parmi tant d’autres.
Puis avec mon commando, on nous a envoyé en mission. Un attentat venait d’avoir lieu et nous avons été dépêchés pour aider les civils. Sauf que nous ne nous doutions pas qu’un de ces civils était muni d’une bombe. Et mon unité entière a été décimée. Moi compris. Je me suis retrouvée au sol, regardant droit devant moi et deux images se sont imposées à moi. Celle de ma mère, Ama. Si belle, si douce. Et celle de Delilah, si sauvage, tout l’inverse de ma mère avant de fermer les yeux. J’allais mourir, je le savais. Mais disons que tout ne s’est pas passé comme prévu. Je me suis réveillé à ma grande surprise, deux mois plus tard dans une chambre d’hôpital à White Oak. « Salut le balafré. » Une voix bien connue, celle de mon frère. Le balafré ? Je n’ai pas compris jusqu’à ce qu’il me donne un miroir. J’avais une grande cicatrice sur mon visage. « Combien de temps ? » Deux mois. Deux mois de coma où l’on ne savait pas si j’allais survivre ou mourir. Convalescence. Je ne savais donc pas quand je retournerai sur le terrain, si j’irai car j’ai été assez gravement touché tout de même. Donc, j’allais attendre ma nouvelle affectation et en attendant, je touche la pension. J’habite dans l’appartement de mon frère. Et ainsi va la vie.
~ lien avec › Conrad O'Brien Donc comme je l'ai dit précédemment, Conrad et Duncan sont jumeaux. De faux jumeaux. Ils ont donc un lien très fusionnel qui les unit puisque dès que Conrad fut rapatrié au pays c'est son frère qui s'est occupé de lui. Je dirai que Duncan est le plus gentil des deux. Conrad est un rustre, vieux jeu et un peu romantique donc je les vois bien avoir des caractères opposés. Il arrive souvent que l'un finisse les phrases de l'autre. Duncan est très important pour mon Conrad puisqu'il essaie de le sortir de sa torpeur et qu'il le rejoigne dans la police. Seulement, ce dernier ne veut pas et est très bûté. Donc rien n'est tout rose entre les jumeaux mais ils restent frères avant tout et la fraternité est très importante chez les O'Brien. |
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