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| (#) Sujet: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 0:09 | |
| Luam Solweig Underwoodbeen there - done thatprénom(s) et nom › Luam (héritage de sa mère irlandaise, signifie pilote, oh l’ironie) Solweig Underwood surnoms › N’en tentez aucun. Jamais. Ou alors de bon goût. âge › 28 ans (depuis le 31/07) il ne vieillit pas il level up . nationalité › canadien par sa mère -irlandaise d’origine mais qui a été naturalisée- et américain par son père orientation sexuelle › hétérosexuel. statut civil › célibataire. emploi/études › vétéran de l‘armée de l’air, reconvertie dans la recherche de faits et de personnes pour le compte de particuliers. On va raccourcir le tout en détective privé situation financière › Bancale. avatar › Armie Hammer (admirez la grace de ce gif ↖) . crédit › lexieorfp.tumblr. ~ question une à quoi ressemblait ta vie au lycée? Luam a toujours été le plus grand de sa classe (admirez le gaillard d’1m95). Sans être handicapant, ça lui procurait d’office une place de choix et peu nombreux étaient ceux qui voulaient se confronter à lui (de face ou de dos). Le lycée n’a pas dérogé à la règle, tout le monde lui foutait une paix royale, voire le tenait à distance car trop impressionnant, ne se fondant dans aucun moule social : s’il était bon en cours, il n’était pas excellent ; sa stature imposante l’empêchait d’avoir des mouvements aisés et il était même plutôt maladroit donc retirez le sport de ses occupations ; il n’avait aucun talent particulier pour l’art ou la musique. Il ne trouvait sa place nul part sans se sentir indésirable là où il était. Il trouvait ses occupations à l’extérieur du contexte scolaire : son père tenait un garage à White Oak et c’est là-bas qu’il excédait, utilisant ses mains bigrement bien et dévoilant une maîtrise de la mécanique qu’il utilisa pour retaper de vieilles voitures qu’il vendit par la suite. Son cercle social était restreint mais Luam est de ceux qu’on n’oublie pas.
~ question deux es-tu heureux présentement? Après le lycée, Luam s’est directement engagé dans l’armée. Folie ou lubie ? L’histoire ne le dit pas -encore-, mais cette voie l’a envoyé dans une autre : celle du néant social. Son activité professionnelle l’empêchait d’avoir trop de contact avec le monde extérieur, il s’estimait déjà heureux lorsqu’il pouvait contacter sa famille, son éternel pilier qui l’éloignait d’une folie menaçante. De retour à White Oak après sept ans d’activités militaires et une retraite forcée, Luam a gardé des séquelles de ses missions qui l’empêchent d’aller pleinement au devant des autres. Sans en avoir peur, c’est la création d’un lien social qui l’effraye. Par peur de perdre les gens appréciés, il ne l’a que trop vécu. Il a, après ces sept ans de missions, vécu reclus dans la maison de ses parents avant de se reprendre en main en voyant le déchet qu’il était devenu en s’apercevant dans un miroir. Cela fait un an et demi qu’il a repris des activités sociales normales même si la plupart du temps il préfère garder des distances de sécurité et donner lieu à un lien superficiel ; il subsiste des incorrigibles qui ont passé avec brio ses dispositifs de sécurité et font de sa vie un enfer lieu un peu moins pourri et hanté par des démons. C’est une histoire de ré-appropriation des codes sociaux. Si vous apercevez un grand immobile dans un bar qui vous fixe c’est sûrement lui. Il est pas bien méchant, juste un peu bizarre. Dans l’actualité actuelle -oh redondance- des choses le terme de « bonheur » lui est un peu étranger. Sans être tout à fait merdique, sa vie n’est pas tout à fait merveilleuse pour autant. A l’image de ses finances, la balance entre le bonheur/enfer est bancal mais on va vers le positif. Il cherche encore une solution pour redorer son blason et faire table rase du passé.
~ question trois où te vois-tu dans dix ans? Luam a trop bougé pour envisager un seul instant d’aller encore loin. Une chose sûre : il restera dans le coin. Une image reste bloquée dans un coin de sa tête, celle d’une jolie petite maison avec femme et enfant, un petit job sympa qui paye les factures … Le rêve (nord)-américain en fait, tout le contraire de ce qui se passe actuellement dans sa vie. Il aspire surtout à la sérénité et à un confort qui pourrait bien être répétitif mais qui lui conviendrait.
- le questionnaire (pour la répartition des groupes) :
Pour la répartition des groupesCe questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff. Pour indiquez votre réponse, il suffit d'ajouter « checked » juste après le « name="question" » correspondant à votre réponse (n'hésitez pas à nous faire signe si vous avez de la difficulté).Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener:
Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir :
hors-jeucitationprénom/pseudo › Amy. âge › 21 ans. pays › France. présence › différente selon les périodes … On va faire un ratio de 4/7 comment tu as connu le forum › Bazzart. personnage inventé/scénario › inventé. autre chose à ajouter? › écrire ici.
Dernière édition par Luam Underwood le Dim 29 Mai - 12:53, édité 3 fois |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 0:09 | |
| none of us is innocent
Nous ne dirons rien de la jeunesse de Luam, elle a été sans complication. Lorsqu’il se remémore ces années, une sensation de sécurité l’envahie : celle des bras de ses parents, de la chaleur d’un foyer, un état d’esprit paisible et une vie qui ne connaît pas la violence. Cette violence qui envahit son esprit chaque fois qu’il ferme les yeux, l’odeur métallique qui ne veut pas partir, l’impact des ondes de choc d’une explosion qui appuie sur ses tympans. La mémoire humaine est un mécanisme complexe qui ne laisse aucune chance à l’âme d’expier les atrocités de son passé.
HIGH SCHOOL ▬ (complément de la question 1) « Le calme avant la tempête ». Une définition simple empreinte de tellement de nuances et de vérité qu’il n’y a que de cette façon que l’on peut décrire la période lycée de Luam. C’était un temps simple, fragile et éphémère. Mais qui pouvait s’en soucier à l’époque ? Carpe Diem étant un bon crédo, Luam l’avait adopté. Adolescent, il était naïf, plein de bonne volonté, participait souvent avec ses parents à des galas de charité et venait en aide à des associations. Et puis il y avait son cercle d’amis, celui avec lequel il trainait souvent lorsqu’il n’était pas occupé au garage de son père, il vivait une adolescence globalement normale, stéréotypée. Mais la douce adolescence suivie de sa naïveté ne reste pas bien longtemps dans une monde doucereux lorsqu’elle est frappée par l’horreur. La première d’une vie qui en comptera trop. Un appel,tard dans la nuit, lui annonça le décès de sa petite amie de l’époque : Nala. Un accident de voiture pour foutre en l’air l’espoir et perdre la dernière once d’innocence d’une jeune vie. Cette confrontation à la douleur, à la perte d’un être cher, l’a poussé à partir, s’éloigner, laisser derrière lui tout ce qu’il avait connu et fuir. Fuir, c’est exactement le terme qu’il faut employer pour décrire son engagement dans l’armée sitôt son diplôme obtenu. Sans prévenir personne, Luam est parti dans la nuit, sans un aurevoir. Mais ce fût une piteuse prise de décision. Troquer la douleur, que l’on croit vrillante et impossible à faire disparaître, contre des années de violence, d’horreurs, de servitude …
ARMY DAYS ▬ Se surpasser, s’entraîner, oublier. Un rythme effréné destiné à ternir les derniers souvenirs d’un malheur. Formé au combat corps à corps, au maniement des armes à feu, c’est pourtant son adresse en mécanique qui l’a envoyé dans l’armée de l’air afin d’être formé aux réparations mécaniques puis comme pilote (où il ne s’est jamais vraiment démarqué, il était bon sans être exceptionnel). Luam suivait un rythme savamment étudié qui ne lui laissait aucun répit et par conséquent aucune chance de repenser aux évènements qui l’ont profondément marqués et qu’il a tant bien que mal refoulé. Sa colère se muait en force, en cinq ans il a été promu formateur de combat et envoyer pour plus de 60 missions sur le terrain. Froid et distant, il n’a jamais véritablement existé pendant cette période, quelque chose avait lentement tué tout ce qu’il avait été quelques années plus tôt : un jeune homme avec une joie de vivre et une naïveté qui le préservait des dangers du monde commun. L’ambiance qui régnait était loin de ce qu’il avait connu, aux antipodes du monde dans lequel il aurait évolué de manière prospère.
« Tu te bats comme un abruti gangrené ! ». Alors qu’il s’affalait au sol dans un « NOM DE … MERDE ! » des plus élégant, Luam souffla et se tourna vers son partenaire. Qui aurait pensé qu’une femme d’un mètre soixante-cinq serait venue à bout de ce géant à peine l’assaut donné ? Arryn lui avait été assignée comme co-pilote malgré ses lourdes protestations. Non, il se foutait royalement qu’elle soit une femme parce qu’à vrai dire il doutait qu’elle puisse être plus stupide que certains soldats de sa connaissance, mais … le seul défaut qu’elle avait à ses yeux était d’être Arryn. Ils se connaissaient tous les deux, c’est simple : ils se détestaient. Trop de compétition, trop d’égalité sur les plans physiques et mentaux et elle avait l’audace de lui tenir tête, elle, l’une des seules femmes, alors même qu’aucun homme ne s’y risquait. Jusque là, leurs supérieurs avaient évité de les mettre en duo parce que cela n’avait jamais bien fonctionné et avait abouti généralement à un échange verbal houleux suivit de gestes vulgaires du majeur. Mais une fois domptés, leur duo s’était avéré plutôt efficace passé les premières insultes devenues dans leur langage un « bonjour » réciproque.
Un son, un bourdonnement plutôt. Une sensation de flottement. Une odeur acre puis une autre, plus calcinée. Ses paupières sont lourdes, la fatigue pèse, ses forces ne répondent pas à l’appel. Il n’en a pas envie, il n’a plus envie de se battre. Il est là, étendu sur le sol, paisible, inconscient de ce qui l’entoure alors même que ses sens devraient être en alerte. Il apprécie l’agréable sensation qui s’empare de son corps et de son esprit déstabilisé, une voix lui chuchote que c’est éphémère. Et soudain c’est l’effroi,la réalité. La douleur vrille son corps, les nerfs à vif de sa peau réclament la paix, l’odeur du sang frais se mêle à celle de la fumée et de la chair brûlée, cette même fumée qui envahit ses poumons. Sa respiration se fait haletante, cherchant désespérément de l’air pur dans cette atrocité qui le fait vomir. Il essaye d’ouvrir les yeux, une fois, deux fois, cherchant dans des réserves d’énergies éventuelles la force de résister à la mort qui l’a si souvent tentée. Enfin ! Il distingue mal le chaos autour de lui. Il est allongé à même le sol, à plat ventre. Ses bras. Oui, il peut utiliser ses bras. Il rampe, essaye de s’éloigner de cet enfer. L’instinct de survie est aussi vivace chez l’homme que chez l’animal, un instinct que l’on croyait enfouie sous des siècles de civilisation. Que dale. Il a réussi à s’éloigner de deux mètres de sa position initiale au prix de forces qu’il aurait dû garder précieusement. Un peu mieux. Ses bras lâchent, le voilà de nouveau face au sol. Quelque chose lui vient à l’esprit, l’idée fugace d’une inquiétude, ça le prend aux tripes si bien qu’il vomit une nouvelle fois. Il n’était pas seul.
« Une bombe a explosé dans votre lieu de mission. Les radars ne l’avaient pas repéré. ». Luam rit, amer. Ils avaient été envoyés en repérage, en pâture. Ils en avaient rien à foutre que les radars aient repérés cette bombe artisanale ou non, la vérification n’avait tout simplement pas été faite. Ils avaient atterri, sereinement. Pour une fois depuis des semaines, l’atmosphère avait été détendue entre les soldats et lui ; après tout ils n’avaient eu aucune raison de s’inquiéter, cela devait être une mission de routine. Ils étaient descendus de l’avion et devaient marcher vers le petit village. Mais ils avaient été piégés. Ils avaient explosé. Deux hommes sur cinq étaient morts. Pour le reste … Luam était encore celui dans le meilleur état : le dos gravement brûlé, une jambe cassée, la main gauche broyée, une commotion cérébrale, des côtes cassées et le corps recouvert de blessures et d’ecchymoses dues aux projectiles reçus pendant l’explosion. Sans compter les souffrances psychologiques. « Et Arryn ? » se risqua-t-il « Elle a souhaité quitter l’armée de l’air. Elle est retournée à l’état civil ». « Quand ? ». Silence. « Juste après l’annonce de votre accident ». La haine superficielle n’avait pas empêché l’attachement. En deux ans cette femme était devenue un pilier dans une vie qu’il avait voulu solitaire et exemplaire. Aujourd’hui, alors qu’il aurait eu besoin de ce pilier, elle l’avait abandonné.
BACK HOME ▬ Prostré dans la maison familiale. On l’avait renvoyé à l’état civil car il était incapable de piloter désormais suite aux blessures qu’il avait reçu, il souffrait de pertes de mémoires et de connaissances. Sa jambe lui faisait un mal de chien, il la trainait derrière lui comme un foutu éclopé, ajoutons à la liste l’incapacité de se battre. Rien. Il n’était plus rien. Il en avait vu des horreurs à l’armée. Des morts, plus atroces les unes que les autres. Des gens, sans repères, effrayés, destinés à un abattoir au nom de grands desseins. Luam avait souvent repensé, lors des premiers mois de convalescence, comment il en était arrivé là. Nala. Tout était parti d’elle. D’un coup du sort, d’un drame qui l’avait tellement amoché qu’il avait tout laissé pour devenir un con sans sentiment, une machine à tuer au service d’un tiers. Il avait refoulé la part de lui-même qui était la plus importante, celle qui faisait de lui un homme. Mais au lieu d’affronter la vie avec tout ce qu’elle avait de dégueulasse, il avait fui. Il avait perdu sept années durant lesquelles il aurait pu accomplir de grandes choses. Mais il en était là, huit mois après l’accident. Huit mois de douleur, huit mois de tourments, huit mois de cauchemars incessants, huit mois d’insomnies, huit mois de questionnement. Il allait sur ses vingt-six ans. Sans aucune perspective d’avenir.
PRESENT DAY ▬ Un an et demi auparavant, après le même laps de temps de convalescence, il avait reçu un coup de pied, celui qui le réveilla de la dépression. Il ne pouvait pas se laisser mourir. Pas après tout ce qu’il avait vécu. Il avait survécu, il avait vaincu la mort. Se laisser enterrer dans la maison familiale était une bien piètre façon de célébrer la nouvelle vie qui s’offrait à lui. Il garderait à vie des cicatrices et une jambe boiteuse pour lui rappeler cela, sa force. Il devait se reprendre et retrouver le jeune homme qu’il avait été autrefois, ou un semblant de ce qu’il était. Vivre comme un homme de vingt-sept ans et non comme l’esclave d’une guerre ravageuse. Luam quitta la maison de ses parents avant d’ouvrir un cabinet d’investigations. Il ne pouvait rien faire d’autre qui ne soit contraignant, les figures d’autorités lui restaient en travers de la gorge et ses blessures l’empêchaient toujours de se mouvoir à sa convenance. Son état mental ne serait appâtant pour aucun recruteur. Sa stature imposante et son crochet du droit restaient ses meilleures armes pour réussir dans la vie. Ironique, pour quelqu’un qui avait cherché toute sa vie à être meilleur et à aider les autres, fuir le malheur, il était désormais plongé dans un combat avec celui des autres, flirtant constamment avec la violence.
CARACTERE : attentionné (n'hésitez pas à fouiller grandement la chose avant de vous trouver face à cette caractéristique chez l'Homme. Il ne la réserve que pour ses plus proches amis) - discret - bourru - impulsif - méthodique - intègre - cynique CARACTERISTIQUES SPECIALES : souffre de PTSD (syndrôme post-traumatique) quidonne lieu à des terreurs nocturnes, des pertes de repères, TOCS - a le corps strié de diverses cicatrices, la plus importante couvre totalement son dos - souffre parfois de perte de la concentration, pour y remédier il doit utiliser ses mains, un retour à la mécanique a été un bon moyen de s’entraîner - pratique la boxe à un niveau amateur pour remettre sa jambe d’aplomb
Dernière édition par Luam Underwood le Dim 29 Mai - 22:48, édité 2 fois |
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› inscription : 11/05/2016 › autres comptes : Elliot Coppens › statut civil : célibataire › quartier : fairmount district › occupation : écrit des chroniques "voyage" pour un magazine en ligne
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 0:26 | |
| J'adorais Eliza, mais j'aime encore plus Armie T'as bien fait de changer d'avis Bienvenue parmi nous, encore |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 0:40 | |
| On en parle de Zoey, véritable déesse ? Merci encore une fois |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 3:19 | |
| armie. je suis bien d'accord avec alix. bienvenue encore, ton personnage a l'air très intéressant! |
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› inscription : 22/06/2015 › autres comptes : Katia-Isabel Delage & Prince K. Benjamin › crédit : ISHTAR (avatar)
› statut civil : Célibataire. › quartier : standford alley
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› inscription : 26/11/2015 › pseudo : .ipar haizea (tao) › avatar : Stephen Lunsford. › statut civil : célibataire.
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 10:16 | |
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› inscription : 01/04/2016 › avatar : Louis Tomlinson › crédit : avatar: ©scarlett glasses
› statut civil : célibaitaire mais toujours amoureux de son ex › quartier : anciennement #29, Standford Alley et maintenant vit temporairement au Pimpernel motel => squatte quelques jours chez Azel › occupation : réceptionniste au Pimpernel motel
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 10:39 | |
| Bienvenue par ici ! et bon courage pour le reste de ta fiche |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 10:41 | |
| Merci à tous |
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◆ if i held my breath on you
› inscription : 15/06/2015 › pseudo : .lollipops (maïlig) › autres comptes : eli copland › crédit : ©outlines sur @bazzart + tumblr, texte de jennifer salaizs (signature)
› statut civil : célibataire, reprenant goût à l'amour depuis quelques temps. › quartier : downtown area › occupation : architecte
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 11:14 | |
| comme je t'ai déjà dit, Armie est un super bon choix c'est clair que j"veux un lien en tout cas bienvenue et bonne chance pour ta fiche, que j'ai déjà hâte de lire |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 11:36 | |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 12:22 | |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 12:42 | |
| Oh j'adore j'adore j'ai hâte de pouvoir lire l'histoire de ton perso maintenant ! En plus on s'appelle pareil va nous falloir un lien |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 13:19 | |
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› inscription : 19/05/2016 › pseudo : vercors. (chloé) › avatar : vanessa hudgens. › autres comptes : azel la gazelle. › crédit : you.first, vanessaannes, patricia highsmith.
› statut civil : libre comme l'air. › quartier : standford alley, sous les toits. › occupation : étudiante en biologie et femme de ménage à ses heures perdues. elle fait aussi quelques services dans les restaurants, cafés et bars, selon la demande et son emploi du temps, ainsi que son besoin d'argent.
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 14:49 | |
| bienvenue de nouveau. j'aime beaucoup ce pseudo. |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 18:58 | |
| Merci à tous |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 19:20 | |
| bienvenuuueeee |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 21:20 | |
| bienvenue par ici |
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› inscription : 11/05/2016 › autres comptes : Elliot Coppens › statut civil : célibataire › quartier : fairmount district › occupation : écrit des chroniques "voyage" pour un magazine en ligne
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Dim 29 Mai - 21:35 | |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Lun 30 Mai - 3:47 | |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed Lun 30 Mai - 8:58 | |
| Va pour Memories don't go Merci |
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| (#) Sujet: Re: i'm not a slave to greed | |
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