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| manual for successful rioting (cali) | |
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Auteur | Message |
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| (#) Sujet: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 16:12 | |
| Calipso "Cali" Maja RodenOn finit tous par mourir, notre but n'est pas d'être immortel, notre but est de créer quelque chose qui nous survivra.
prénom(s) et nom › Calipso, tel la nymphe de la mer dans la mythologie grecque, à une lettre près. ce "y" substitué par un "i" qui a surement retiré son pouvoir à ce prénom, car en effet, toi t'as rien d'une divinité, Cali. Maja, pour rappeler tes sombres origines germaniques, pour que tu te souviennes toujours de la froideur berlinoise. et enfin Roden, nom de famille on ne peut plus banal. surnoms › tu te présentes toujours sous le surnom de Cali, la plupart des gens ne sont même pas au courant que ton réel prénom est Calipso, même toi tu en oublierais presque son existence. âge › twenty-one guns (depuis le 13/07). nationalité › noir, rouge, jaune ; le drapeau allemand, ton pays d'origine, ton adolescence passée à sillonner les ruelles de Berlin à la recherche de quelque chose, de quelqu'un, de toi-même peut-être ? orientation sexuelle › selon toi, toute expérience est bonne à prendre. bien que tu aies déjà goûté au fruit, soi-disant, défendu que représente les courbes féminines, tu préfères définitivement les hommes. statut civil › l'âme vagabonde. emploi/études › les études, c'est pas fait pour toi. t'es pas conne, loin de là, c'est juste que t'as pas été éduquée comme ça. alors de temps en temps, t'es serveuse à l'Eagles and Child, quand t'es motivée. sinon t'optes plutôt pour des méthodes beaucoup plus simples pour te faire de l'argent, style vole à l'étalage et dealeuse de drogue quand tu as vraiment besoin d'argent. situation financière › quitte à renoncer aux méthodes légales, tu fais ce que tu peux pour joindre les deux bouts. avatar › sky ferreira. crédit › tumblr. ~ question une à quoi ressemblait ta vie au lycée? des souvenirs du lycée très vague, une présence en cours fortement réduite, la liste de tes heures d'absence qui s'allongeait de plus en plus au courant de l'année et ton siège qui restait vide. tu te pointais de temps en temps dans ce bâtiment méconnu, tel un fantôme qui rasait les murs. toi, Cali, t'avais autre chose à faire que de te pointer au lycée, tu zonais dans la capitale allemande, enchaînant déjà les petits boulots et les moyens plus ou moins légaux pour te faire du fric. t'avais pas trop le choix, en vérité, c'était comme ça quand on était orpheline, enfin, il y avait bien ta génitrice, mais c'est pas comme si elle en avait quoi que ce soit à faire de toi celle-la. c'est limite si elle t'adressait la parole alors te filer des thunes, n'en parlons même pas. heureusement que t'avais déjà le kick boxing pour te permettre de t'échapper de tout ça. t'as quand même eu ton bac, mais ça, c'est principalement parce que t'as eu le courage de te casser à wos pour ta dernière année.
~ question deux es-tu heureux présentement? tout le monde a sa propre définition du bonheur, toi, tant que t'es pas au fond du gouffre t'estimes que t'es heureuse. naïvement heureuse. tu jouis d'un bonheur irréel, d'une illusion. la plupart des gens n'imagineraient même pas une once de bonheur s'ils étaient à ta place. mais ils ne peuvent pas s'imaginer à ta place. de toute façon, ça ne peut pas être pire que quand tu vivais en allemagne, avoir déménagé a white oak station devait surement être le meilleur choix que tu aies fait de toute ta vie. t'as plus de famille mais les suicide squad tiennent ce rôle à merveille, t'as toujours le kick boxing pour te défouler dans les moments où tu en as le plus besoin et t'as un toit sur la tête. que demander de plus ?
~ question trois où te vois-tu dans dix ans? calmons nous, n'allons pas trop vite s'il vous plait. déjà que tu ne sais même pas où tu te vois demain, comment savoir où tu aimerais être dans dix ans ? bien qu'il y ai une forte probabilité que dans dix ans tu te retrouves en tôle si tu continues comme ça. mais pour le moment, c'est le cadet de tes soucis, t'essayes d'y penser le moins possible. sauf que dés fois, tard le soir t'y penses, et là, tu commences à flipper, parce que tu sais très bien que tu ne pourras pas vivre comme ça toute ta vie, parce que tu ne sais pas comment tu feras après et surtout parce que t'as peur de toi-même, de ce que tu es capable de faire. mais ça personne ne le sais, parce qu'officiellement, t'as peur de rien, toi.
- le questionnaire (pour la répartition des groupes) :
Pour la répartition des groupesCe questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff. Pour indiquez votre réponse, il suffit d'ajouter « checked » juste après le « name="question" » correspondant à votre réponse (n'hésitez pas à nous faire signe si vous avez de la difficulté).Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener:
Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir :
hors-jeucitationprénom/pseudo › je suis un monstre invisible, je ne révèle pas mon identité sinon vous pouvez m'appeler eli âge › presque la majorité américaine pays › france pour le moment. présence › aussi souvent que possible, j'ai prévu de vous harceler mais ça il faut pas le dire. comment tu as connu le forum › on me l'a livré avec une tartelette aux framboises sur un tapis volant. personnage inventé/scénario › scénario de la belle blue autre chose à ajouter? › boycott. j'adore prononcer ce mot, il est magique, je ne m'en lasserai jamais. et sinon, j'aime bien les pikachus aussi
Dernière édition par Cali Roden le Dim 25 Oct - 23:52, édité 16 fois |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 16:12 | |
| J'IRAI CRACHER SUR VOS TOMBES Il y a un adage qui dit qu'on fait du mal à ceux qu'on aime, mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal.
can’t imagine how you’re feel, only you know that it's real. papa n’est pas là, il ne l’a jamais été. t’avais beau fouillé tous les recoins de ce petit appartement, tu ne le trouverais jamais. enfin ce que t’espérais, c’était pas le trouver, ça tu savais que ce n’était pas possible, tu voulais juste trouver une trace, un signe de lui, quelque chose pour te montrer qu’il existait. une vieille cassette pleine de poussière, abandonnée au fond d’un tiroir sur laquelle tu tomberais un jour, par hasard, et puis tu l’insérerais dans le lecteur et là, tu pourrais afin l’apercevoir pour la première fois, détailler ses traits, tu verrais la tête de ton géniteur apparaître sur l’écran. il te dirait qu’il a dû partir, que c’était pour ton bien mais qu’il penserait toujours à toi, qu’il gardait une photo de toi avec lui et qu’un jour, vous vous retrouveriez. tu regarderais la cassette en boucle, tu te laisserais bercer par sa voix tel une musique à tes oreilles pour t’endormir le soir. ou rien qu’une photo, au moins tu saurais à quoi ressemble ton père, comme n’importe quelle petite fille de ton âge. une photo avec ta mère qui prouverait qu’ils se sont aimés un jour, une photo qui prouverait que tu es née du fruit d’un amour inconditionnel. mais rien de tout ça, tu avais déjà retourné les tiroirs de ce vieux taudis des centaines de fois, t’avais même regardé derrière les meubles, dans les moindre recoins. mais rien. rien du tout. le vide. le néant complet. ton père resterait toujours ce fantôme qui hantait ton esprit, il resterait toujours cet être invisible, intouchable. et quand tu réalisais qu’il ne voulait pas de toi, la tristesse laissait place à la colère, t’avais envie de frapper, de te défouler. tu gardais tellement de choses en toi, il fallait que ça sorte, il fallait que tu trouves un moyen, quelque chose pour te sauver, pour t’aider. tu devais extérioriser tous ces sentiments qui te retenaient, ceux qui t’empêchaient d’avancer, ceux que tu ne pouvais confier à personne car tu étais persuadée qu’aucun de tes amis ne te comprendrait. et d’un coup, ça t’apparaissait comme une évidence, la solution était là, devant toi, tu l’avais trouvée et depuis tu ne l’avais jamais lâchée. tu ne pouvais pas d’ailleurs, à moins de sombrer à nouveau. c’était ta libération, ton évasion, ton échappatoire. t’avais 14 ans, et pour la première fois tu franchissais la porte de la salle de combat.
you better believe in karma, baby it’s gonna sting. maman est absente, c’est pas qu’elle soit particulièrement occupée, en effet, elle n’a jamais eu de réel boulot, pourtant elle n’était jamais là de la journée, tu ne savais jamais où elle était. peut-être encore avec un de ces mecs rencontré sur internet ? ou alors elle n’avait simplement pas envie d’être là, de te voir. elle en avait juste rien à faire de toi. t’avais jamais eu une relation privilégiée avec ta mère de toute façon, enfin ta génitrice plutôt comme tu aimes à l’appeler, car elle n’a jamais tenu le rôle d’une mère dans ta vie. elle t’hébergeait, concrètement, elle n’a jamais rien fait d’autre pour toi. t’as toujours été seule avec toi-même, orpheline, t’as toujours dû te démerder toute seule, t’as dû prendre tes responsabilités alors que t’étais rien d’autre qu’une gamine. elle ne t’a jamais aimé de toute façon, t’as jamais été qu’un fardeau pour elle, et tu disais pas ça pour te décrédibiliser aux yeux du monde, non, c’est pas ton genre, c’était véridique. elle te l’avait dit, que c’était de ta faute si ton père était parti, si elle avait perdu l’amour de sa vie. il ne devait pas l’aimer tant que ça, lui, pour s’être cassé à la première occasion sans lui dire quoi que ce soit. elle t’en voulait, c’est pour ça qu’elle n’avait jamais pu t’aimer et parce que soi-disant tu lui ressemblais aussi. elle ne pouvait pas te regarder dans les yeux, elle ne pouvait pas détailler ton visage sans penser à cet homme qui c’était barré, comme ça, du jour au lendemain. celui qui était sorti de sa vie pour ne jamais revenir. du coup toi, les études t’as dû plus ou moins oublier. au collège t’arrivais encore à te démerder mais au lycée t’as sombré. t’as jamais pu être pleinement présente, il fallait bien que tu trouve quelque chose pour te remplir la panse. dans un premier temps t’avais essayé de te dénicher du boulot mais t’avais pas de diplôme et en plus de ça t’étais même pas majeure. alors tu te devais de trouver une autre solution, t’as pas eu le choix, il fallait bien que tu t’en sortes, au début. et maintenant, au-delà de ça, t’as pris l’habitude de le faire, c’est devenu ton quotidien. tu te surprends même à aimer ça, à aimer l’adrénaline qui te parcourt le corps à chaque fois. tantôt vol à l’étalage, tantôt deal de drogue, t’alternais les deux selon tes besoins, tes envies et les opportunités qui se présentaient à toi. t’avais presque 16 ans et pour la première fois tu fricotais avec la délinquance.
you better believe in jesus, ‘cause only he can save you now. devant tes yeux, le flou artistique, le néant total. comme dans un rêve, ou dans le cas présent un cauchemar plutôt. c’était comme si un gouffre était en train de se creuser sous tes pieds et toi, cali, tu tombais dedans. tout tournoyait autour de toi, tu ne contrôlais plus rien, ni tes émotions, ni tes actes. tu courrais à travers les ruelles de berlin, fendant la nuit, tel une ombre qui passait en-dessous des lampadaires. et t’étais aveugle. l’expression de son visage qui te regardait t’enfuir était gravé sur ta rétine. ce visage, c’était celui d’alex, il était tout pour toi, ton meilleur ami, ta moitié. tu l’avais toujours considéré comme un frère. et surtout c’était ton mentor, celui qui t’avait appris les secret du vol à l’étalage. c’était un pro en la matière, jamais il ne s’était fait prendre, alex. il a toujours été le plus agile, le plus réfléchis, le plus discret. jusqu’à ce soir. le soir où toute ta vie a basculé. vous aviez prévu de jouer pour la première fois dans la cours des grands. fini les petites épiceries de quartier, fini les tabacs miteux dans les ruelles malfamées. au diable les petits bénéfices, ce soir vous alliez taper gros. ce soir ça aurait dû être bagues en argent et colliers de diamant. vous vous étiez infiltrés dans la bijouterie sans encombre, des étoiles pleins les yeux. vos doigts effleuraient les bijoux tandis que vos sacs à dos se remplissaient de plus en plus. tout se passait à merveille, jusqu’à ce que les flics se pointent. toi t’avais réussi à t’enfuir, cali, t’avais réussi à te faufiler pour t’extirper du bâtiment. mais alex, lui, il n’avait pas eu le temps, il avait préféré se sacrifier, te couvrir pour que tu puisses t’en sortir. et maintenant, tu ne savais plus quoi faire. tu courrais à travers cette ville, où tu ne t’étais jamais senti vraiment à ta place, cette ville où tu étais née mais où tu ne t’ais jamais senti chez toi. cette ville qui te poussait à la quitter, qui te repoussait de toutes ses forces. t’avais toujours pensé à partir pour de bon, mais cette fois c’était différent, quelque chose en toi avait changé. cette fois et pour la première fois, tu n’avais plus cette sensation de laisser quelque chose derrière toi en partant. tu n’avais plus rien à perdre. et dans cette lancée, sans prévenir personne, tu t’étais retrouvée à l’aéroport deux heures plus tard. pourquoi white oak station ? parce que c’était là-bas qu’alex était né. parce que t’avais tellement entendu parler de cette ville, qu’il t’avait rabâché tellement de fois ô combien c’était paisible là-bas et ô combien la vie était simple, que c’était la seule destination qui ne te paraissait pas si effrayante que ça. t’avais 17 ans et pour la première fois tu quittais ton allemagne natale.
you think you’re going crazy, look up there’s a new life waiting. le soleil effleurait doucement ta peau en ce beau jour d’été à white oak station, ta nouvelle maison. bizarrement, tout ce que tu avais déjà rencontré dans ta vie d’avant te paraissait plus beau ici ; le ciel te paraissait plus bleu, les gens plus accueillants, les parcs plus reposants. peut-être que c’était toi qui avait changé finalement, que quelque chose en toi était devenu plus pure et que les traumatismes de ta vie d’avant commençaient à s’effacer tout doucement. mais ce dont tu ne pourrais jamais te défaire, c’était ton habitude de voler. au-delà du fait que tu avais toujours besoin d’argent, c’était ancré en toi, comme si à chaque fois on te présentait le fruit défendu et que tu ne pouvais pas t’empêcher de céder à la tentation. t’étais kleptomane, tu ne pouvais pas le nier. assise au bord du lac, la canette de bière dans une main et la cigarette dans l’autre, t’attendais que le suicide squad débarque. vous deviez vous retrouver comme à votre habitude. ils étaient devenus tes meilleurs amis et au-delà de ça, ta nouvelle famille. ils étaient devenus ton quotidien depuis le lycée, depuis que t’avais débarqué à white oak station. t’étais arrivée seule ici, en terminale, au lycée de la ville. t’avais personne ici, donc l’internat te paraissait être un bon choix et en effet c’était un des meilleurs choix que tu aies pu faire de ta vie, car c’est là-bas que tu les as tous rencontrés. il y avait billie, plus connue sous le nom de blue à cause de sa longue crinière bleutée. issa, ton petit préféré, ton meilleur ami ici, au canada. hézio, le crétin narcissique, il t’énervait au plus haut point mais au fond tu l’appréciais quand même. et cosme, ton petit protégé que tu essayais par la même occasion de dévergonder. ils apportaient tous quelque chose à la bande, chacun était différent et c’est ça qui les rendaient si spéciaux à tes yeux. tu laissais ta cigarette mourir entre tes lèvres, tirant une dernière bouffée quand tu les voyais enfin arriver au loin. et là, un phénomène très spécial se produisit, un sourire apparut sur ton visage. mais pas les mêmes sourires que tu faisais avant, non, pas les sourires forcés que tu faisais pour faire plaisir aux gens. un vrai sourire. t’avais 20 ans et pour la première fois de ta vie, tu te sentais vraiment chez toi.
Dernière édition par Cali Roden le Mar 27 Oct - 13:45, édité 6 fois |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 18:01 | |
| bienvenuuue désolée pour le léger retard très bon choix de pré-lien, la bande s'agrandit bonne rédaction, hâte de voir le lien en rp |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 18:51 | |
| Bienvenue ici |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 19:01 | |
| BIENVENUE sur le forum & bonne chance pour ta fiche |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 19:17 | |
| bienvenuuuue ! merci beaucoup de tenter le pv ! j'ai hâte de rp tous ensemble et de découvrir ce que tu vas faire de cali. donc bon courage pour ta fiche ! et puis je te préviens juste que comme je suis en vacances je suis sur mon portable donc je peux répondre que moyennement d'où cet accueil bof bof j'en suis désolée... :/ mais n'hésite pas si tu as des questions ! encore merci ! |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 19:25 | |
| bienvenue ici |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 19:30 | |
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Dernière édition par Cosme Weiss le Sam 24 Oct - 20:13, édité 1 fois |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 19:32 | |
| bienvenue parmi nous! quel bon choix de personnage (et d'avatar, de pseudo, de tout). j'ai très hâte d'en savoir plus sur ton personnage et de voir ce que ça va donner en rp avec les autres membres de la bande. bref, bon courage pour ta fiche! |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 19:37 | |
| t'as un problème cosme ? (et oui j'avoue ton kit est trop beau btw) |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 19:49 | |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Sam 24 Oct - 20:17 | |
| si t'aimes la bouffe on va bien s'entendre toi et moi (elle vient d'arriver que déjà elle veut mettre la pagaille. les jeunes ) - Blue Richfield a écrit:
- t'as un problème cosme ?
keur keur |
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› inscription : 16/03/2013 › pseudo : charney (rose) › avatar : melissa benoist. › crédit : charney (ava).
› statut civil : célibataire. › quartier : dans un petit appartement, sur downtown area. › occupation : étudiante en droit, spécialisation en crime familiaux. barmaid au old pub.
| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Dim 25 Oct - 2:51 | |
| bienvenue parmi nous ! bonne chance pour la suiiiite ! |
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kill em with kindness
› inscription : 21/08/2013 › pseudo : shiver./sarah. › crédit : spleen ocean/tumblr.
› statut civil : célibataire. › occupation : serveuse au madison grill & mannequin à ses heures perdues.
| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Dim 25 Oct - 11:16 | |
| Bienvenue j'approuve tout tes choix j'espère que tu te plairas parmi nous en tout cas |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Dim 25 Oct - 14:14 | |
| bienvenue ma belle |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Dim 25 Oct - 14:43 | |
| Waaaaah, je suis tellement fan de ton écriture ! C'est hyper agréable à lire (et 21 guns, j'ai aimé la référence ) Bref, bienvenue parmi nous !! |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Dim 25 Oct - 14:48 | |
| Bienvenue ici Excellent choix de personnage |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Dim 25 Oct - 14:55 | |
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› inscription : 22/06/2015 › autres comptes : Katia-Isabel Delage & Prince K. Benjamin › crédit : ISHTAR (avatar)
› statut civil : Célibataire. › quartier : standford alley
| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Dim 25 Oct - 15:30 | |
| Bienvenue par ici |
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› inscription : 17/05/2015 › autres comptes : alice, espen › statut civil : en fuite, mariée, célibataire, que dire. › quartier : stanford alley, avec sasha et milly › occupation : aide aux professeurs, bientôt DJ peut-être.
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) Mar 27 Oct - 10:50 | |
| Bienvenue Bonne chance pour la suite de ta fiche ! |
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| (#) Sujet: Re: manual for successful rioting (cali) | |
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