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| · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) | |
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| (#) Sujet: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Lun 12 Oct - 23:44 | |
| Camomille Morrissette The heart wants what it wants prénom(s) et nom › Camomille Morrissette. surnoms › Momo. âge › 26 ans le 29/12. nationalité › Canadienne. orientation sexuelle › Homosexuelle. statut civil › Célibataire. emploi/études › Coach en boxe et serveuse. situation financière › Joint les deux bouts. avatar › Caity Lotz. crédit › Tumblr. ~ question une à quoi ressemblait ta vie au lycée? Au lycée, ma vie a été beaucoup moins chaotique à partir du moment où j’ai assumé mon homosexualité : je ne vais pas vous cacher qu’en seconde, j’étais une jeune fille plutôt rebelle (autant en cours qu’à la maison d’ailleurs) à cause de ça. Je ne voulais pas admettre que j’avais des penchants sexuels pour les femmes : tellement que je me suis perdue à un moment, et que j’ai enchaîné les conquêtes masculines. Jusqu’au jour où je suis tombée réellement amoureuse d’une fille : j’étais en première, et ça a été la révélation. Depuis ce jour, et même si ça a été dur à avaler pour mes proches, je me suis réellement mise à vivre. Et ça m’a fait du bien de me libérer de ce poids. Mais sinon, j’ai toujours su m’entourer : je suis d’un tempérament très sociable, ça m’a donc aidé à passer cette étape fatidique de la vie qu’est le secondaire.
~ question deux es-tu heureux présentement? Malgré beaucoup d’échecs sentimentaux, j’ai toujours su rester très digne : je n’ai jamais eu vraiment de chances en amour, car même si je donnais le meilleur de moi-même à l’autre, il n’y en avait jamais assez. Question famille, je n’ai jamais été très démonstrative : mais on peut dire qu’ils sont habitués, alors de ce côté-là, je n’ai pas à me plaindre. En fait, dans ma vie, même mon travail roule : et ma solitude est très loin de me faire peur. Donc oui, je peux affirmer sans une once de doute que je suis heureuse actuellement : et je compte le rester encore très longtemps.
~ question trois où te vois-tu dans dix ans? Ah ça, c’est une très bonne question : pour se voir dans 10 ans, il faudrait déjà se projeter dans l’avenir. Et même si je suis quelqu’un de très ambitieuse, avec l’envie d’aller toujours plus haut, je vie au jour le jour : et on me le reproche assez comme ça. C’est donc avec certitude que je ne peux répondre à votre question : après tout, qui est certain d’être encore en vie d’ici une décennie ? Personne. Même pas moi. Ni Dieu. Alors bon … Qui vivra verra, comme on dit. Qui vivra verra.
- le questionnaire (pour la répartition des groupes) :
Pour la répartition des groupes Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener:
Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir : hors-jeu This is a modern fairytail : no happy ending. prénom/pseudo › Lili. âge › 19 ans. pays › France. présence › Au maximum. comment tu as connu le forum › Via un réseau social. personnage inventé/scénario › Scénario. autre chose à ajouter? ›
Dernière édition par Camomille Morrissette le Mer 14 Oct - 18:57, édité 4 fois |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Lun 12 Oct - 23:44 | |
| PROVEHITO IN ALTUM Monsters don't sleep under beds : they sleep inside heads D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été en conflit avec mes parents : autant avec ma mère qu’avec mon père d’ailleurs, aussi curieux que cela puisse paraître. Et au moment où j’écris ça, c’est toujours compliqué : mais c’est plus léger pour nous tous maintenant que tout a volé en éclat. Après tout, quand un miroir est brisé, il ne peut qu’être recollé non ? Et jeté à la poubelle, je vous l’accorde : nous, on a décidé de se reconstruire, et je pense que ça va bien marcher. Toute petite, je n’ai jamais aimé la danse classique, ni même le rose, et encore moins les robes : ma grand-mère et ma mère travaille dans la mode, la première ayant été un ancien mannequin, et la seconde une couturière renommée. D’ailleurs, je tiens mon prénom de ma grand-mère : une grande femme, autant en taille qu’en personne. 1m82, ça envoie du lourd pas vrai ? Enfin bref … Autant dire qu’avec des femmes pareilles dans la famille, j’étais destinée à devenir une vraie poupée Barbie : surtout qu’avec mes yeux bleus et mes cheveux blond, j’avais déjà le kit tout prêt. Mais il n’en a pas été ainsi, pour le grand damne de ma famille : j’étais la seule héritière de cette branche familiale, mais je n’étais juste pas adaptée aux codes de la famille. J’ai toujours arraché les robes, les jupes : je courrais partout, beaucoup trop, faisais ma casse-cou et surtout, je piquais des colères dès que ma mère m’obligeais à me comporter comme une petite fille fragile. J’ai toujours eu ce fond de colère, cette haine envers le monde pour ce qu’il était, et ce qu’il est devenu : autant dire que je méprisais énormément le milieu d’où venait ma mère, elle qui était si riche. Et papa : lui qui était si absent. Et puis il laissait tout passer, il y avait de quoi péter un plomb, je vous le dis : mais l’avantage que j’ai eu avec eux, c’est que malgré tout ça, et malgré ma constipation des sentiments, j’ai toujours reçu beaucoup d’amour. Bien plus que je n’ai jamais pu leur donner.
Mon primaire a été rythmé de bagarres en tout genre, de tête dans les étoiles, de football avec les copains, et de danse : parce que oui, maman avait réussi à me mettre dans un club de danse classique. Et si au début j’y allais, au bout de 4 ans d’horreur, je n’y suis plus allée : et une nouvelle dispute a éclaté à la maison, alors que les tensions étaient à leurs paroxysmes. Mais qu’importe : j’ai eu gain de cause, et quand maman en a eu marre de payer les cours pour rien, elle a arrêté. Et j’ai recommencé mes expéditions en forêt. J’ai toujours été fasciné par la nature : d’aussi loin que je me souvienne, les animaux, les végétaux, et toute autre forme de vie hormis les humains m’ont toujours aidés à canaliser ce surplus de colère. Si bien qu’au collège, j’étais la première en SVT, et en EPS. J’ai commencé à prendre des cours de boxe à l’arrache : pendant mes heures de permissions, je m’échappais, et c’est par hasard un jour que j’ai vu un combat de boxe de rue. Je me suis prise au jeu : et très vite, je suis devenue la petite à protéger du quartier des dures. Ils m’ont tout appris : et la personne que je suis devenue aujourd’hui, c’est en partit grâce à eux. Je vous laisse deviner la suite : le collège qui appelle parce que je ne suis pas présente, maman et papa qui se lance à ma poursuite dans la ville, et qui finissent par m’apercevoir sur le terrain de jeu. Grosse, grosse dispute : et après s’être murés dans le silence pendant 3 semaines, ils ont finis par me payer des cours de Boxe. Et l’ambiance à la maison est devenue plus légère : jusqu’à mon entrée au lycée, lieu de vertus et de passions.
La première année au secondaire a été la plus dure : pour tout vous avouez, j’ai complètement perdu pied, et je me suis perdue par la même occasion. Ça a commencé exactement pareil que partout ailleurs : au début, on ne veut pas y croire, on s’enfonce dans le mensonge, et puis un drame survient, et c’est pire. Alors vous savez ce qu’on fait ? Bah on s’enfonce encore plus : jusqu’à LA révélation. Et heureusement qu’elle n’a pas mis longtemps à venir, la révélation : pour ma part, une année a suffi à me faire mûrir assez pour en parler. Je m’explique parce que dit comme ça, on ne comprend pas grand-chose : et je vous rassure que moi aussi, je me suis une peu perdue dans l’écriture de ce passage. Je suis sortie avec deux garçons au collège : ça n’a pas duré très longtemps, je n’ai été amoureuse d’aucun d’entre eux. Arrivée au lycée, j’étais donc célibataire : et là-bas, tout prend une dimension beaucoup plus grande. Les garçons, il y en a à la pelle, et les filles aussi d’ailleurs : c’est d’ailleurs ce qui m’a permis de m’apercevoir que je les aimais, les filles. Mais ça, c’est arrivé un peu plus tard : ne mettons pas la charrue avant les bœufs. Donc, scolairement, j’aurais pu suivre l’année, mais les tentations étaient trop grandes : la pression que me mettaient mes parents l’était aussi, c’est donc naturellement que j’ai glissé un peu vers le bas en faisant une belle crise d’adolescence comme on ne fait plus. J’ai commencé à sortir avec des garçons, sans offrir ma virginité : et j’ai totalement dérapé quand, lors d’une soirée (j’avais dit à ma mère que je dormais chez une copine : et merci à la copine qui m’a couverte), j’ai embrassé une fille. C’était la première fois que ça m’arrivait, et j’avais aimé ça. J’avais adoré. Si bien que l’alcool a cessé son effet, et j’y ai longtemps repensé après : mais vous savez, quand on vit entourer de parents avec des préjugés, il est difficile de faire évoluer sa propre pensée. Alors je me suis enfermée dans une spirale, une honte de moi-même commençant à grandir en moi : j’ai enchaîné mecs sur mecs. Jusqu’au décès de ma grand-mère.
Fin de seconde, mes notes étaient au plus bas : les discours ne marchaient plus, les cris non plus. Mes parents étaient démissionnaires depuis la fin du second trimestre, et moi depuis mon entrée en seconde : autant dire qu’avec cette volonté, je n’étais pas destinée à aller très loin. Et pourtant … Ma grand-mère a eu un cancer des poumons : elle qui n’a jamais fumé de sa vie, qui a eu une vie saine, a fini par décédé de cette pourriture de maladie. Et avant sa mort, elle m’a juste murmuré : je veillerai sur toi là-haut, rends-moi fière. Vous savez, quand on entend ça de la bouche de la personne qui vous a donné son prénom, ça vous fou une claque monumentale : et à mon entrée en première, contre le gré des professeurs, j’ai travaillé d’arrache-pied pour rattraper mon retard. Je ne voyais plus personne, en dehors de mes amis proches, et de ma famille. Je me suis mise à réviser, et réviser, des heures entières : une seule obsession en moi, la rendre fière. Je continuais la boxe, quand j’avais le temps, sans jamais me demander ce que je souhaitais vraiment, ce qui me rendait vraiment heureuse : jusqu’à Leila. Leila, elle a été ma révélation, le soleil dans cette nuit perpétuelle, l’onde d’espoir quand plus rien ne semble vous sourire : elle a commencé à prendre mes problèmes, un par un, et quand elle a eu finit de faire le tri, elle m’a fait le plus beau des câlins. Et j’étais enfin décidée d’assumer : j’étais homosexuelle et puis quoi ? Du moment que j’étais heureuse.
Electrochoc. Pleure. Crises. Papa qui s’en va en claquant la porte, maman qui prie Dieu pour savoir ce qu’elle a fait pour mériter ça : je crois que ce jour-là, je ne l’oublierai jamais. Il faut déjà être courageux pour faire son coming-out, mais le faire à 16 ans, c’est quelque chose : le plus dramatique, c’est la réaction de l’entourage. Parce que vous voyez, moi, j’étais sereine, sûre de moi : mais les parents, c’était digne d’une tragédie de Shakespeare. Et je crois que c’est ça qui fait le plus mal : de voir qu’un aussi petit détail que l’homosexualité peut devenir une tare. Et je me rappelle avoir pensé à ce moment-là à tous ceux qui tentent de se suicider : j’aurais pu, mais je ne l’ai pas fait. Parce qu’il y avait Leila. Et parce que j’avais une volonté à toute épreuve : l’ambition dont je vous parlais plus haut, elle m’a bien servie à ce moment, c’est moi qui vous le dit. Je n’ai pas flanché : même pas quand papa m’a hurlé que j’étais une honte, une tâche. Même pas quand maman l’a laissé me tirer dans la chambre. Même pas quand ils m’ont mis à la porte : il faut dire que chez les chrétiens (vous ai-je dis que je n’ai aucune sympathie pour la religion ? Ça aussi, ça a fait un choc à mes parents : c’était vers mes 14 ans, je m’en rappelle. Mais je vous épargne les détails : vous commencez à comprendre mes parents, pas vrai ?), être homosexuelle, c’est SATAN qui s’empare de vous. Quoi qu’il en soit, après ça, je suis restée 4 mois chez Leila qui elle, était libre de tout : maman est revenue 1 semaine après, me ramenant à manger, me suppliant de la pardonner. Et parce qu’elle est ma mère et que je l’aime, je ne lui en ai pas voulus. Avec papa, c’était plus compliqué : il ne s’est jamais excusé, mais il est venu me chercher. Il n’a jamais vraiment accepté, mais moi je n’ai jamais vraiment oublié non plus alors comme ça, on est quittes : je préfère penser comme ça, vous comprenez ?
A partir de ce moment précis, j’ai su ce que je voulais faire de ma vie : j’ai donc abandonné le lycée, j’ai fait des petits boulots, j’ai continué la boxe, et un an après, je me suis inscrite en sports études. Leila elle, a choisi une autre voie : elle est partie, du jour au lendemain, sans explications, et je ne l’ai plus jamais revu. Sans la boxe, et sans ma détermination, je crois que je ne me serais jamais relevé : j’ai commencé à revivre quand j’ai compris qu’elle ne reviendrait plus. J’ai passé mon permis, j’ai travaillé dur et j’ai fini par avoir mon diplôme : j’ai travaillé encore, je boxais toujours, et surtout, j’ai continué à aimer. Je n’ai pas eu énormément de petites amies, mais elles m’ont toutes détruites à leurs manières : la première m’a trompé, la seconde est devenue hétérosexuelle, la troisième s’est tirée avec mon fric, et la dernière en date m’a juste brisé le cœur. Et c’est à partir du moment où j’ai compris que la femme était le vice et la vertu, que je me suis protégée en amour aussi : je suis devenue aussi distante que lorsqu’on me pose des questions sur moi. J’ai eu mon propre appartement, j’ai fait quelques combats ici et là : j’ai puisé dans mes souvenirs la force de me battre, et quand j’ai ramassé assez d’argent, je me suis achetée une salle de sport. Je me prends souvent des réflexions de mes parents, car j’ai toujours refusé leur argent : j’ai toujours eu à cœur de gagner les combats seule. La victoire est bien plus belle, pas vrai ? Alors j’ai ouvert ma porte aux jeunes gens d’ici, et ça plait plutôt bien. En plus d’être boxeuse, d’être coach, je travaille le soir dans un fast-food pour joindre les deux bouts.
Et je dois bien avouer que même si j’ai galéré pour avoir une vie propre et décente, je ne suis pas mécontente du résultat. Et vous, vous croyez que la partie est gagnée ?
Dernière édition par Camomille Morrissette le Mer 14 Oct - 19:46, édité 5 fois |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 2:15 | |
| Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche!!! |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 4:12 | |
| ce choix de scénario parfait. bienvenue parmi nous, j'espère que tu vas te plairei ci! juste une petite chose, il y a déjà une camille sur le forum alors si jamais tu pouvais choisir un pseudo pour éviter les doublons, ce serait chouette même si ce n'est pas obligatoire. en tout cas, n'hésite pas à nous faire signe au besoin! |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 11:49 | |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 12:03 | |
| Excellent choix de scénario j'ai hâte de voir votre duo en tout cas bienvenue parmi nous |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 18:11 | |
| bienvenue |
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› inscription : 22/06/2015 › autres comptes : Katia-Isabel Delage & Prince K. Benjamin › crédit : ISHTAR (avatar)
› statut civil : Célibataire. › quartier : standford alley
| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 18:24 | |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 19:59 | |
| Merci beaucoup tout le monde : le changement a été effectuer. |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 20:29 | |
| caity est tellement belle bienvenue |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mar 13 Oct - 21:47 | |
| bienvenue ça aura été du rapide, pour le scénario très bon choix en tout cas, et j'adore le prénom et puis, le tiiiiiitre hésites pas si tu as la moindre question (même si blue pourra très certainement y répondre ) et bonne rédaction! |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mer 14 Oct - 12:41 | |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mer 14 Oct - 22:23 | |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Mer 14 Oct - 22:29 | |
| Oh, merci pour tout ces mots d'amour ❤ |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) Jeu 15 Oct - 21:32 | |
| Félicitations, tu es officiellement validé(e) ! désolée encore pour le temps d'attente et si blue valide, je valide! j'ai a-do-ré lire ta fiche, déjà que j'adorais le lien et le personnage décrit dans le scénario, mais en plus de ça j'adore comment tu écris et ce que tu as fait du personnage ! j'ai vraiment, vraiment hâte de lire vos rps
Selon le questionnaire, tu te retrouves dans le groupe Looking forward. Tu peux désormais te rendre dans la catégorie Gestion du personnage pour faire les diverses demandes, tu peux aussi recenser ton personnage, ou bien rechercher des liens. Ensuite, tu peux aussi aller créer un ou plusieurs scénarios ou des bandes. 50 points t'ont été ajoutés pour ta validation, tu retrouveras d'ailleurs plus d'informations sur le système de points à cet endroit. Enfin, pour faciliter ton intégration, n'hésites pas à participer à la loterie des rps.
Bref, tout le staff te souhaite la bienvenue sur Feels Like Tonight ! |
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| (#) Sujet: Re: · j'étais censée t'aimer, mais j'ai vu l'averse. (Camomille) | |
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