IL EST TEMPS D'ETRE HEUREUX
   si tu cherches encore cette personne qui changera ta vie, regarde-toi dans le miroir.
   

Chapitre I ; « childhood »

« Lele bobo ? », me demandait mon frère avec son langage d’enfant. En effet, il avait l’œil ce p’tit là. Je m’étais coincée les doigts dans la porte et, alors que je pleurais toute les larmes de mon petit corps fragile, il attrapait ma main pour souffler dessus et y donner un bisou comme le faisait les grands. Je regardais mon jumeau séchant mes larmes du revers de mon autre main. C’est fou ce qu’on peut avaler quand on est enfant tout de même, comme si d’un souffle d’un seul nous pouvions effacer tous les maux. Plus loin, mon frère aîné, aidé par une jeune femme blonde, continuais à faire ses devoirs. Maman disait toujours qu’il était plus doué que les autres enfants de son âge et que c’était pour ça qu’elle venait chez nous la dame. D’ailleurs ma maman, c’est elle : la jolie dame bien habillée et maquillée dont les cheveux sont noués au dessus de sa tête en un chignon aussi parfait qu’elle savait les faire. « Tu es prête ma chérie ? », je me contentais de hocher la tête de haut en bas en retirant ma main de celle de mon frère pour me lever et la rejoindre. Aujourd’hui, pendant que la femme qui s’occupant de mon grand frère gardait la maison jusqu’au retour de papa, nous partions moi et ma maman pour une petite virée entre fille pour mon anniversaire. « Tu préfères laquelle ma chérie : la bleue ou la rose ? », je me contentais d’hausser les épaules avec une petite moue indécise en réponse à la demande de ma mère. Je me regardais encore une fois dans le miroir avec ma jolie robe bleue. Evidemment, comme à chaque fois, anniversaire ou pas, je rentrais avec les deux. En effet, il faut savoir que j’étais la seule fille de la fratrie alors forcément, j’étais considérée comme la petite princesse et avec une mère propriétaire d’un hôtel qui était dans la famille depuis deux générations et un père médecin chef aux urgences de l’hôpital de la ville, autant dire que je n’avais jamais manqué de rien. Mes frères non plus n’avaient pas manquer de grand-chose que l’on soit bien clair seulement, j’étais quelque peu chouchoutée par mon statut de seule enfant fille de la famille. D’ailleurs, je n’étais pas seulement la petite préférée de mes parents, je l’étais aussi par mes grands-parents maternels. Non que les autres ne m’aiment pas, mais je n’avais pas eu l’honneur de les connaître à mon grand regret. En y réfléchissant bien, je ne comprenais pas - en raison de mon jeune âge - toute la dramatique du fait de ne pas connaître ses grands parents. Pour moi il n’était simplement pas exister, ils n’avaient, et c’est triste à dire mais, jamais exister à mes yeux de petite fille. Mais la réalité était bien différente et je m’en rendrais compte bien plus tard par moi-même. En rentrant de ma petite après-midi dans les boutiques avec ma petite maman, je m’empressais bien évidemment de sauter dans les bras de mon papa qui, malgré son travail fatiguant, m’ouvrait ses bras pour m’y serrer chaleureusement. Ensuite, je filais dans l’autre sens pour rejoindre mon frère jumeau pour partager avec lui toute les jolies choses que m’avait offert maman. Je le trouvais posé sur son lit, avec l’un des livres qu’il avait reçu pour cadeau en main. Mon frère aimait lire, il avait toujours aimé ça et malgré notre jeune âge, six ans ce n’était tout de même pas beaucoup…

« Bouge pas Lele, j’appel maman ! », me lançait mon frère avec une pointe d’inquiétude. Je serrais les dents pour, par fierté, ne pas pleurer. Je voyais mon frère revenir en courant vers moi accompagné de mon père. « Rien de grave juste une petite entorse, rien de méchant. Allez vient ma puce. », me disait mon père en me tendant sa main. Pas de cris, pas d’engueulade : rien. Mes parents étaient autant habitués à me voir en béquille que moi à les avoir en main. A seulement douze ans, j’en étais à ma quatrième fracture, huitième entorse, deuxième fêlure et une belle cicatrice sur le doigt. Autant dire que mon curriculum vitae était déjà pas mal rempli en qualité de cascadeuse. En effet, même en étant faux jumeaux, mon frère et moi sommes très différents. « Allez vient on monte et une fois en haut on saute ! », « Arrête Lele, c’est trop haut, tu vas te faire mal. ». Je ne vais pas vous faire un dessin, j’étais la casse cou et il était le petit garçon raisonnable. Mais dans nos différences nous avons toujours été complémentaires. Je repoussais les limites, il évaluait le danger. Je me faisais mal, il savait quoi faire. J’étais hyperactive, il était calme. Pourtant, nous avions beau être opposés, lui et moi avons toujours été inséparables. D’ailleurs en parlant d’inséparables. « T’imagines ! On se quittera plu. On se verra tout les jours. On sera presque comme des sœurs ! », déclarais-je avec enthousiasme. La fille a laquelle je m’adressais n’était au que ma meilleure amie issue d’un milieu aisé toute les deux, on a fréquenté la même école toute notre scolarité. Et d’ailleurs à cette époque nous étions toute les deux amoureuses de deux garçons tout aussi proche que nous alors nous refaisions déjà le monde nous imaginant terminé nos vie avec et rester inséparables toute notre vie. C’est fou à quel point on est naïf quand on est enfant …


Chapitre II ; « adolescence »

« Mais lâche le ! Mais ça va pas t’es devenu fou ! », « T’approches plu de ma sœur c’est claire. ». Mon jumeau avait toujours été très protecteur envers moi. Comme mon ainé d’ailleurs mais les choses était différentes. Ce jour là, si j’avais su que mon frère avait attrapez mon petit ami parce qu’il m’avait trompé avec une amie de mon frère, je n’aurais peut-être pas pris sa défense. D’ailleurs c’est à l’adolescence que mon frère et moi avons commencé à nous séparé un peu. Nous avions chacun nos amis, quelques uns en commun mais je passais le plus claire de mon temps avec ma meilleure amie. D’ailleurs notre petit groupe c’est agrandi lorsqu’Agnès s’est joint à nous. Au début je dois admettre que je n’étais pas vraiment pour. « Qu’est-ce qu’elle fait là elle ? Elle est pas avec les rats de la bibliothèque ? », adressais-je à ma meilleure amie en direction d’Agnès. A mes yeux cette fille n’avait rien à faire avec nous elle était trop sage pour faire partie de notre amitié et je ne le cachais pas. Puis avec le temps je m’y suis faite. L’adolescence à été pour moi une grande période de recherche identitaire. En fait, j’ai toujours été dans cette phase. Je ne l’ai jamais quitté. Je pense que j’ai toujours cherché qui j’étais et pour moi cette recherche passait notamment par le fait de sortir, de faire le mur, de boire et de faire la fête à m’en retourner la tête. Evidemment mes parents n’étaient pas au courant, car devant eux je ne savais pas être quelqu’un d’autre que la petite princesse qu’ils avaient toujours connu. « Mais ça va pas ! T’as péter un câble Lexie ! Regarde dans quel état t’es ! », mon frère aîné n’avait pas l’air content et pourtant la seule réaction qui m’étais venue à l’esprit était d’éclater de rire. Je me fichais de ses réprimandes, j’avais seulement envie de vivre. Il avait beau me faire la leçon, je continuais à sortir et à rentrer dans le même état couvert par ce dernier devant mes parents. A leurs yeux leur petite princesse ne pouvait pas faire ce genre de chose. De bonne note à l’école malgré des remarques plutôt assez désagréables du genre « perturbe le cours » ou encore « il est temps de grandir !! », mes parents restaient calmes et ne croyaient pas cela possible de ma part et pourtant. « Je peux pas faire ça, t’es le pote de mon frère, ça se fait pas. », dis-je en fronçant les sourcils, « On m’a dit que t’était plus accessible que ça. », me rétorquait le pseudo ami de mon jumeau. « Tiens, moi je te pensais moins con ! », répondis-je avant de tourner les talons pour rejoindre mon frère et notre bande de copain commun un regard plutôt froid tout le reste de la soirée. Même si j’étais de ces filles rebelles, je savais me mettre des limites quand elles étaient réellement nécessaires. Même si j’avais des airs de fille qui aime jouer et se faire voir, j’étais bien loin de ce que l’on pouvait s’imaginer de moi…

Chapitre III ; « now »

« Fais la passe Lex’ ! », l’une de mes coéquipières me faisait signe pour que je lui passe le ballon. Une passe décisive d’ailleurs, qui nous donnait l’accès à la victoire. Parce que oui, même si je suis une fille, je pratique le football. En passant, ce n’est pas le seul sport que je pratique, il m’arrive de monter à cheval chez mes parents avec la jument de ma mère. Je touche aussi de temps à autre aux raquettes de tennis et je ne peux pas vivre sans un petit jogging de fin de journée histoire de faire le vide dans ma petite tête bien rempli. Et bien, qui a dit que parce qu’on sait faire la fête on ne sait pas faire du sport ? Ah oui, et entre tout ça je trouve encore le temps, parfois, de jouer un peu de guitare. Aujourd’hui, je ne vis plu chez mes parents, je suis en colocation avec mon frère jumeau d’ailleurs qui n’est jamais bien loin derrière moi. Je suis étudiante en philosophie et ça me va très bien probablement en raison de ma vision assez décalée des choses. On me dit souvent que cette filière me correspond mais je ne sais jamais réellement comment le prendre. En dehors de ça je suis toujours célibataire et ça me va aussi, pour l’instant je n’ai pas nécessairement l’envie de me poser sans car je n’ai pas trouvé celui qui me correspond réellement. D’un point de vu caractérielle, je n’ai pas vraiment changé : j’ai toujours du répondant et mon franc parler ne plait pas plus qu’avant. Je sais toujours comment faire pour obtenir ce que je souhaite et je ne m’en prive pas. Toujours fêtarde et encore plus casse-cou, j’ai beau avoir grandi à mes yeux je reste fidèle à moi-même ou du moins c’est l’image que je donne de moi ...

ma lex d'amour
bienvenue ici, et bonne chance pour ta fiche on va touuuuuuuuut péter

Bienvenue .

Bienvenue parmi nous !
Bon courage pour ta fiche

Bienvenuuue ! Et bonne chance pour ta fiche !

kayaaaaa.
bienvenue ici ! réserve moi un lien uhuh.

bienvenue!
bon courage pour ta fiche, n'hésite pas s'il y a quoi que ce soit.

Oh Kaya quel excellent choix
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour la suite de ta fiche

Merci tout plein les lapins ! Vous êtes des amours .

#Agnès ; en effet on va casser la baraque !  -expression du XVI ème siècle bonjour !-

#Thybault ; O'brien & Scodelario c'est la vie . Je te garde ça au chaud sans problème

Lexie R. Malone a écrit:

#Thybault ; O'brien & Scodelario c'est la vie

je plussoie puissance dix mille .
kaya c'est trop une déesse .
bienvenue ici .

Bienvenue 

Merci à vous deux.

#Keith ; on est bien d'accord.

bienvenue sur flt très bon choix de pré-lien
j'espère que tu te plairas parmi nous

pseudo / pahf.
kaya / pahf.
histoire / pahf.

maintenant que tu m'as achevée... bienvenue ici, je t'aime, épouse moi, allons élever des bébés émeus au Pérou. non ? bon d'accord.

Bienvenue parmi nous !

Bienvenue par ici ! (Je suis un chouïa à la bourre...)

J'adore le prénom.
J'adore ta fiche de présentation.
J'adore l'histoire.
Et... je veux un p'tit lien !

bienvenue

bienvenue et bonne chance pour ta fiche

Merci beaucoup à tous pour l'accueil .

#Liv ; Merci pour tout tes jolies compliments & on part quand pour le Pérou ? .

#Nathan ; Merci . C'est quand tu veux pour le lien, on fait des bébés quand tu veux .

Je suis de retour si jamais et au grand regret de ce qui auront aimé le début de ma fiche je vais sans doute reprendre mon histoire à zéro puisque je l'a écrite un peu à l'arrache de peur de ne pas avoir le temps de le faire avant de partir. .

Owayy, des p'tits bébés ! Bon, je doute que ça réjouisse tout le monde (Coucou, Waza' si tu passes par là...), mais je vote pour !

Et du coup, bon courage pour refaire ta fiche !

j'espère que ces vacances vous ont fait du bien!  et bon courage pour la rédaction de ta fiche.

#Nathan ; Ahah, nos enfants seront notre 'petit' secret

#Abigail ; si tu savais à quel point ça n'a rien arrangé et surtout à quel point je rêvais de rentrer !

Sinon, merci encore à tous pour l'accueil et je pense avoir terminé .