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 (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales

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Message(#) Sujet: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptyMer 11 Mar - 0:26




Did you want to see me ?
Well, you can talk, I beg you!

Baltazar Z. Morales et Adam Y.D Scott

La routine avait repris sa dure loi. Cela faisait plus de quatre mois qu’il était rentré de Paris à la suite de ce voyage où il avait pu passer une nouvelle nuit dans les draps de Morales. Une nuit qui avait encore un gout particulièrement savoureux pour son esprit, qui se souvenait avec plaisir de ces instants de luxure qu’ils avaient partagés. Morales était résolument un bon coup et il se serait fait un plaisir de le rencontrer de nouveau sous les traits de son bel inconnu, si des impératifs plus fondamentaux ne l’avaient pas empêché de le faire. Il s’était donc contenté de ces escapades luxuriantes avec l’une de ses amantes habituelles entre deux allers-retours en Chine. Il faut dire qu’il avait du pain sur la planche entre conclure de nouveaux contrats sur ce nouveau marché et d’aller à la rencontre des fournisseurs implantés au niveau national. C’était la mission qui lui avait été confiée – d’autant plus qu’ils venaient de remporter un fructueux contrat – et cela faisait bien des mois qu’il ne vivait plus que pour son travail, n’ayant pratiquement plus de vie privée. C’est pour cela que sa rencontre avec Morales avait été résolument surprenante, bien que plaisante. Il n’avait pu s’empêcher de sourire narquoisement lorsque son regard avait croisé celui de son rival, qui tout comme lui s’était arrêté pour prendre un café. Il l’avait salué du bout des doigts avant de sortir de la boutique, son gobelet de café à la main.

Indirectement, il savait que cette rencontre ne resterait pas sans incidence. Il avait bien vu dans le regard de Morales qu’il s’était senti légèrement troublé par leur rencontre. Sans doute que cela avait éveillé de souvenirs agréables en lui ? Il était persuadé qu’il recevrait un SMS d’ici quelques heures et c’est ce qu’il ne manqua pas de se produire. Il en éprouvait une certaine fierté, prenant un plaisir malsain à se jouer de son adversaire, qui devait tout autant s’en amuser. Après tout, n’aimaient-ils pas ce jeu dangereux ? Morales l’invita à venir le rejoindre chez lui. L’idée de coucher avec lui dans le lit conjugal était particulièrement exaltante, il devait bien le reconnaitre. D’autant plus que cela n’était nullement anodin. Il fit la fine bouche, juste par principe, mais sa décision était prise depuis bien longtemps, même s’il se garda bien de l’en informer de façon précise. De ce fait, il avait fait en sorte de modifier quelques rendez-vous dans son emploi du temps, décommandant une soirée qu’il devait passer avec quelques amis, pour se libérer pour la soirée définie. Il travailla durement comme à ses habitudes pour remplir ses obligations à son travail, mais il partit plus tôt pour rejoindre sa demeure, se détendre un peu. Il en avait bien besoin, bien que s’envoyer en l’air avec Morales allait être très bénéfique pour son corps. Il prit donc une douche pour rafraichir son corps, le laver après avoir évacué toutes ces mauvaises toxines en faisant des pompes et de l’exercice durant une heure.  

Il opta pour une tenue décontractée, tronquant son habituel costume pour un jean et un pull qu’il assortit avec une paire de baskets blanches et une veste noire. Il prit l’initiative de prendre une bouteille de vin – du même cru que les deux précédentes bouteilles qu’il avait bues en compagnie de l’Hispanique. Contrairement à la dernière fois, il ne prit pas la décision de le faire attendre, se trouvant en temps et en heure devant chez lui. Ce dernier possédait une immense baraque et Adam se promit de ne pas rater une occasion pour venir le taquiner à ce sujet. Il était donc venu sonner à l’interphone de la demeure, venant simplement baisser la vitre pour lui indiquer que c’était lui. Il n’avait nul besoin de se présenter. Ce dernier vint ouvrir le portail, lui permettant ainsi d’entrer dans l’enceinte de la demeure. Il gara naturellement sa voiture dans l’allée principale avant de sortir de sa voiture, accompagné de la bouteille de vin.

Il arriva rapidement sur le perron de la porte d’entrée, sur le point de frapper lorsque la porte vint s’ouvrir. Il n’était pas du tout attendu… Il vint donc sourire du coin des lèvres dans un sourire narquois : « Eh bien ! Me voilà bien déçu… moi qui pensais te trouver nu comme tu me l’avais fait miroiter ! Je vais finir par croire que tu t’assis sur tes acquis, Morales ! » Paroles soufflées dans un ton mesquin alors qu’il venait lui tendre la bouteille en ajoutant : « Je me suis dit que tu trouverais irrespectueux que je vienne les mains vides… Faut dire que t’es particulièrement indécis, parfois. Alors, de quoi voulais-tu parler avant qu’on passe aux choses sérieuses ? » Il ne perdait pas le nord et il était évident que Morales saurait où il voulait en venir. Après tout, c’était lui – qui une fois de plus voulait le voir.

TENUE : 01.


Dernière édition par Adam Y.D Scott le Lun 6 Avr - 10:39, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptySam 21 Mar - 1:41

L’attirance que l’on pouvait ressentir pour un homme n’avait parfois que très peu de sens songeait Baltazar alors qu’il était en train de se regarder devant le miroir de sa chambre, uniquement vêtu d’une serviette. Son regard se posait sur les différentes tenues qu’il avait posées sur son lit, réfléchissant à quelle tenue porter. Sans doute ressemblait-il à l’une de ses nombreuses filles qui cherchaient une tenue lorsqu’elles avaient un rendez-vous… autant dire que cette scène était ridicule ! C’est pourquoi il avait finalement opté pour une tenue simple soit un jean et une chemise basique pour lui, bien que le cout de ses vêtements dépassait la plupart des salaires des citoyens de ce pays. Être le fils d’une grande famille de riche avait de nombreux avantages, tout comme le fait de travailler dans le secteur des vêtements de luxes. Baltazar se plaisait dans ce milieu et il fallait dire qu’il s’était bien trop habitué à son mode de vie pour en changer, aimant bien trop cette vie pour vouloir l’échanger. L’idée même de vivre enfermé dans un appartement miteux le faisait frissonner de dégout. Pour rien au monde il n’échangerait sa maison de luxe, aimant bien trop la tranquillité et l’espace. Ce n’allait nullement être son cher animal de compagnie qui s’en plaindrait, songeait-il alors que ce dernier était venu lui demander un peu d’attention pendant qu’il se changeait. Le jeune homme n’avait pu que sourire délicatement à ce dernier, lui offrant de délicieuses attentions tandis qu’il était venu se diriger vers l’un des salons qui menaient directement à la porte d’entrée. Si Adam n’était pas en retard cette fois-ci, il ne tarderait nullement à faire son apparition.

Sans doute était-il été ridicule, mais il avait été bien incapable de résister à l’attraction de cet homme lorsqu’il l’avait vu, s’amusant via ces nombreux messages à le taquiner, à lui avouer sans aucun détour ses envies. Un fait quelque peu nouveau pour lui qui avait essayé de masquer ces envies lors de leurs précédentes rencontres. A présent, il ne voyait tout simplement aucune raison de le faire tant il semblait presque évident pour les deux jeunes hommes qu’ils étaient attirés l’un par l’autre, sans doute plus de raison pour l’Hispanique. C’est pourquoi cette fois-ci, le jeune homme était venu directement au fait, bien qu’il ne pouvait nullement nier le fait d’avoir taquiné Scott avec plaisir. Baltazar était séduit par cet homme et il lui était bien difficile de résister, tout particulièrement alors qu’il l’entendait arriver à l’interphone. Il ne pouvait qu’être ravi de le voir arriver à l’heure, ayant craint un instant qu’il se moque de lui d’une quelconque manière. Ainsi, Baltazar ne pouvait qu’être particulièrement ravi de ce fait, un sourire s’affichant sur son visage alors qu’il se dirigeait vers la porte d’entrée. Il avait réalisé suffisamment d’aller-retour dans sa maison pour savoir à quel moment il viendrait franchir la porte d’entrée.

Il l’ouvrit alors, souriant, heureux de découvrir cet amant qui portait une tenue décontractée, mais qui lui allait parfaitement. Il ne pouvait certainement pas s’empêcher de le trouver séduisant, tout particulièrement alors qu’il lui offrait un sourire du coin des lèvres. La remarque de Scott l’amusa certainement alors qu’il lui avouait qu’il se trouvait déçu, lui qui pensait le retrouver nu comme il l’avait fait miroiter. Il finirait par croire qu’il s’asseyait sur ses acquis. Il avait terminé ses mots, lui tendant une bouteille de vin qu’il devinait de très bon cru. Scott lui indiqua qu’il s’était dit qu’il le trouverait irrespectueux s’il était venu les mains vides. Parfois, il se trouvait particulièrement indécis. Baltazar avait souri à ses mots, ce dernier continuant sur sa lancée, lui demandant de quoi il voulait parler avant qu’il ne passe aux choses sérieuses.

Des mots qui ne purent que l’amuser alors qu’il le guidait vers un autre salon quelques pièces plus loin, jusqu’à atteindre un salon un peu plus intimiste dans lequel il trouvait tout ce qu’il désirait pour débuter cette soirée. Se rapprochant du bar, il était venu sortir deux verres de vin et répondre à cet homme particulièrement séduisant : « Scott, nous avons bien trop de prestance pour ouvrir une porte complètement nu tout de même, bien que je n’ai pas de voisin qui pourrait admirer le spectacle. Nous avons un peu plus de classe et nos métiers respectifs sont bien là pour nous démontrer que nous nous vendons des produits qui mettent en avant suffisamment nos corps sans avoir à se mettre nu pour être séduisant, n’es-tu pas d’accord Scott ? »

Il avait soufflé ses mots dans un léger sourire alors qu’il ouvrait la bouteille de son adversaire et amant, versant le contenu dans les deux verres avec délicatesse. Une fois ces derniers remplis, l’Hispanique était venu tendre le verre rempli à Scott, souriant et venant lui répondre simplement : « J’aurais pensé qu’il était bien irrespectueux de venir chez quelqu’un sans vin, tout particulièrement alors que je sais que de ce côté-là, tu es un fin connaisseur. Mais, tu as porté cette bouteille alors je n’ai rien à te reprocher Scott ! Tu es même arrivé à l’heure, je pense que je ne peux pas trop me plaindre. ». Baltazar avait souri d’un air quelque peu tentateur, venant lever son verre avant de venir boire une gorgée de ce délicieux vin, qui ravivait ses papilles à vrai dire. Posé contre le bar, il avait commandé à un des cuisiniers de la famille de délicieux toasts qui sauraient les ravir, Scott ayant peut-être faim, tout comme lui-même à cette heure.

Les choses sérieuses n’avaient peut-être pas de sens en ces instants tant Baltazar savait qu’il n’avait nullement invité cet homme pour ces choses-là. C’est pourquoi il était venu le taquiner dans une voix presque enjôleuse : « Il me semblait que je t’avais déjà énoncé ce dont je voulais par message, mes messages étant bien plus clairs qu’auparavant. Mais, si tu veux on peut parler pendant quelques minutes d’autres choses... comme la question de savoir si ou non, tu penses que cette maison mérite d’être de la famille Morales ? Il me semble que lorsque nous étions enfants, ils nous étaient presque interdits d’être invité dans nos villas respectives... »

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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Mar - 14:08




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Baltazar Z. Morales et Adam Y.D Scott

Il ne pouvait s’en empêcher tant c’était plus fort que lui. Il avait un besoin maladif de le taquiner, de le défier. Cela avait toujours été le cas, et ce depuis leur enfance. Cet homme avait toujours été un être à part, cet adversaire qu’il devait battre dans tous les domaines, car il était un « Morales ». De ce fait, il avait dû se confronter à lui, tout le temps, sans aucun répit, son père lui inculquant sans cesse qu’il devait le surpasser. Il s’était appliqué à le faire, trouvant dans ce jeu, un intérêt tout particulier tant il avait pris plaisir à désorienter l’Hispanique, le faire réagir, et ce, chaque jour où il s’était mis sur son chemin. Il était tellement sexy et mignon lorsqu’il s’emportait, lorsqu’il se trouvait acculé. Ces facettes l’avaient longtemps fasciné, obnubilé au point de devenir une obsession. Un fait qu’il tairait coûte que coûte, sa fierté ne pouvant tout simplement assumer cette attirance qu’avait cet homme sur son esprit, son cœur – s’il voulait bien le reconnaitre. Il se comportait comme toujours, ne venant nullement changer d’aptitude avec l’Hispanique, qui ne semblait nullement s’en outrer, bien habitué à le voir agir de la sorte.

Adam le détaillait de son regard perçant, découvrant de nouveau son corps sciemment mis en valeur par cette tenue qui lui allait parfaitement. Morales savait parfaitement se mettre en valeur et il devait reconnaitre qu’il avait hâte de pouvoir lui enlever tout cela pour lui offrir ce qu’il attendait en l’invitant de la sorte chez lui. Son comportement semblait particulièrement amuser l’Hispanique, ce dernier s’était particulièrement habitué à son comportement vil et avait accepté son attirance pour lui. Adam s’en rendait compte même s’il n’en touché mot. Cela ne lui déplaisait nullement que Morales se comporte avec lui, comme il le faisait avec son bel inconnu. D’ailleurs, il songea à cet instant qu’il devrait lui envoyer un message dans les jours à venir pour se plaindre, lui demander s’il l’avait déplu ou fâché… à moins qu’un autre homme ne capte toute son attention… à l’occurrence lui-même… Cette pensée le fit sourire alors qu’il suivait son hôte sans se gêner pour mater ce beau petit cul qu’il aimait tant malmener. Il en profita pour retirer sa veste, en venant découvrir la demeure de son rival. Elle n’avait rien à envier à la sienne, même si elle semblait plus tape-à-l’œil que la sienne, prouvant ô combien les habitants se trouvaient fortunés.

Cependant, elle manquait de personnalité à première vue, preuve de l’aspect net et toujours guindé de son propriétaire, qui avait tendance à avoir du mal à sortir des sentiers battus. Il le fit rentrer dans un salon où se trouvait un bar duquel ce dernier se rapprocha pour venir leur servir deux verres. Il vint enfin répondre à ses taquineries en lui soufflant qu’ils avaient bien trop de prestance pour ouvrir la porte, complètement nus. Vraiment ? Adam se posa sincèrement la question avant d’éclater de rire. « Vraiment ? Pourtant, il me semble que tu as une affection toute particulière pour venir arracher mes vêtements pour sentir mon corps “nu” contre le tien tout aussi dévêtu, non ? » Il n’avait pu s’empêcher de s’exprimer de la sorte en venant s’accouder près du bar en l’observant avec intensité. « Si mes souvenirs sont bons, tu sembles toujours particulièrement frustré quand je ne te débarrasse pas de tes vêtements. » Il souriait de façon mesquine. Il avait raison, Morales le savait également. Tant de fois, l’Hispanique s’était déshabillé de lui-même pour qu’il le touche véritablement et cesse de jouer avec ses sens. Cela s’était passé lors de leur première nuit à Paris, dans les toilettes de cette entreprise, tout comme dernièrement dans la même suite dans la capitale française.

A chaque fois, Morales avait fini par retirer ses vêtements, car il avait trop envie de sentir sa peau nue contre la sienne. « Je me ferais donc un plaisir de m’assurer que ces vêtements sont de bonnes qualités… Après tout, il ne faudrait pas gâcher la perfection de tels vêtements, d’autant plus s’ils mettent suffisamment nos corps en avant. » Il lui annonçait la couleur, son sourire en coin lui indiquant qu’il ne s’en tirerait pas si facilement. Il voulait qu’il profite de son corps magnifiquement mis en valeur par ces vêtements. Il allait le faire, quitte à le rendre dingue de plus de contact. Il n’avait pas intérêt à se plaindre… Il vint donc prendre entre ses doigts le verre à bulle que lui tendait son hôte, venant sourire d’autant plus à ses paroles. Il ne dit mot, laissant son regard s’exprimer pour lui en venant porter son verre à ses lèvres. La suite des paroles de l’Hispanique ne put que l’amuser d’autant plus. Il lui annonçait qu’il avait été clair sur ce qu’il voulait par ses SMS, les considérants comme plus clairs qu’auparavant. En effet, il avait bien compris qu’il voulait qu’il le prenne dans le lit conjugal, mais c’était beaucoup plus intéressant et excitant de l’entendre lui avouer à haute voix. La voix enjôleuse de l’Hispanique ne trompait pas et c’est tout naturellement qu’il vint rire à sa remarque.

« Faut croire que le petit Morales n’a plus envie d’être sage, puisqu’il va à l’encontre de ce que désire papa et maman… je me trompe ? » Sa voix s’était faite mesquine alors qu’il venait boire une gorgée de son vin en le regardant avec espièglerie. « En effet, ils sont beaucoup plus clairs, et tout comme je te l’ai déjà dit, j’aime que les choses soient claires… » Il vint doucement reposer son verre sur le plan du bar en venant reporter son attention sur Morales. « Si tu veux parler de nos villas, je te laisse ce plaisir. Elle te correspond bien, elle est aussi exubérante que toi, même si elle est très “impersonnelle”, tout comme tu peux l’être lorsque tu prétends être un homme que tu n’es pas… » Sa voix se fit sans doute plus vile qu’il ne voulait, mais il était connu pour être un homme qui allait droit au but. « Mais si tu veux que je te fasse grimper aux rideaux, comme tu en meurs d’envie en me chauffant de la sorte, alors viens prendre ce que tu veux, Morales… Tu n’as pas à te comporter comme un gentleman avec moi… Tu as de la chance, je n’en suis pas un, profite ! » Il le provoquait, c’était une évidence ! Son regard se fit plus profond alors qu’il venait l’observait avec intensité, attendant sa réaction. Il aimait particulièrement lorsque Morales se montrait déterminé à ce qu’il s’occupe de lui… après tout, le sexe n’était pas l’essence même de leur relation actuelle ?
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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptyLun 6 Avr - 1:40

La présence de Scott en ses lieux était résolument étrange, atypique, pour la plupart des personnes qui devaient les connaitre. Leurs deux familles étaient concurrentes et sans aucun doute que ses parents seraient résolument mécontents de voir cet homme chez leur fils, encore plus choqué s’ils savaient qu’ils avaient à plusieurs reprises partagé des moments très intimes. Autant dire qu’ils risquaient de tomber de leur trônes, tout particulièrement s’il venait à écouter leur conversation actuelle dans laquelle il avait répondu à son ennemi qu’ils avaient bien trop de prestance pour qu’il ouvre la porte nu, sans aucun vêtement. Scott avait alors éclaté de rire, lui faisant la remarque qu’il lui semblait qu’il avait une affection toute particulière pour venir arracher ses vêtements pour sentir son corps nu contre le sien tout aussi dévêtu. Son regard s’était fait d’autant plus intense, lui indiquant dans un délicieux sourire que si souvenirs étaient bons, qu’il semblait toujours particulièrement frustré quand il ne le débarrassait pas de ses vêtements. Baltazar ne pouvait certainement pas nier tant il aimait sentir toutes ces sensations en compagnie de cet homme, étant le premier à réclamer ce dernier pour découvrir toutes ses sensations qu’il aimait particulièrement, le rendant presque accro à ces dernières. Scott vint reprendre la parole, lui indiquant alors qu’il se ferait donc un plaisir à s’assurer que ces vêtements étaient de bonne qualité, après tout il ne faudrait pas gâcher la perfection de tels vêtements, d’autant plus s’ils mettaient suffisamment leurs corps en avant. Autant dire que Scott ne serait nullement là pour refuser sa proposition, s’amusant même de cette situation alors qu’il venait ouvertement le taquiner. Autant dire que Baltazar n’avait pas pu s’empêcher de venir lui répondre : « A mes yeux, il y a une différence entre refuser d’ouvrir la porte de cette maison nu et ne pas aimer sentir mon corps nu contre le tien, je n’ai jamais dit le contraire d’aucune manière… ne crois-tu pas ? ».

Baltazar avait alors souri à son rival, prenant entre ses lèvres une gorgée de cet alcool qui était tout sauf désagréable, ne pouvant alors que constater que Scott avait de bons goûts en ce qui concernait le vin. Il fallait dire que leur rang social les obligeait presque à développer de nombreuses connaissances dans le domaine viticole. Baltazar ne pouvait que s’en féliciter alors qu’il écoutait les propos de son rival de toujours. Ce dernier lui avoua qu’il fallait croire que le petit Morales n’avait plus envie d’être sage puisqu’il allait à l’encontre de ce que désirait son père et sa mère. On pouvait aisément dire que l’Hispanique avait l’habitude de suivre les ordres et conseils de ses parents dans la mesure où il pouvait toujours rester dans ce merveilleux cocon doré, s’étant même marié à une femme pour le plaisir de ses parents et acquérir dans quelques années son statut de gérant de l’entreprise familiale, si l’on pouvait encore parler de familial. A l’heure actuelle, il se sentait presque capable de mettre enceinte sa femme s’il le fallait, bien que cette idée ne lui plaise pas nécessairement n’ayant nullement envie, ni la sensation de pouvoir devenir père. Baltazar voulait garder ce luxe d’être libre, de pouvoir réaliser ce qu’il souhaitait sans entrave, bien qu’il ait conscience de certaines limites qu’il ne devait nullement franchir, bien qu’elles fussent très peu nombreuses.

Baltazar ne répondit pas à Scott à ce propos, se contentant de continuer de l’écouter. Ce dernier venait lui informer que s’il voulait parleur de leurs villas, il lui laissait ce plaisir. Sa villa lui correspondant bien, étant tout aussi exubérante que lui, même si elle était très impersonnelle, tout comme il pouvait l’être lorsqu’il prétendait être un homme qu’il n’était pas. Baltazar avait bien envie de se révolter à ses mots, se froissant quelque peu alors que son rival jugeant qu’il était exubérant. Baltazar n’avait pas l’impression de l’être, l’amenant à se renfrogner malgré lui alors qu’il entendait Scott le provoquait d’autant plus, lui indiquant que s’il voulait qu’il le fasse grimper aux rideaux comme il en mourrait d’envie en le chauffant de la sorte, il n’avait qu’à prendre ce qu’il voulait. Il n’avait pas à se comporter comme un gentleman avec lui, il avait de la chance, n’en étant pas un, il n’avait qu’à profiter.

Ainsi, Scott était tout aussi impatient que lui de profiter de doux instants de luxures, une pensée qui le faisait doucement sourire alors qu’il venait boire à nouveau une gorgée de son verre, lui faisant presque oublier que sa remarque l’avait légèrement froissé. Baltazar ne put pas s’empêcher de venir lui offrir un sourire particulièrement taquin alors qu’il venait lui répondre dans un regard coquin : « Je vois… Scott ! En tant qu’être exubérant, je vais rester fidèle à moi-même, étant donné que tu as l’air d’aimer particulièrement ce côté de ma personnalité en vue de tes mots… je ne vais pas refuser ton offre. »

Buvant une dernière gorgée de ce délicieux vin, Baltazar vint se rapprocher de lui, jusqu’à laisser leurs corps se rencontrer. Comme toujours, l’Hispanique ne put que songer qu’il se trouvait bien trop petit face à cet homme, ce dernier venant détruire le préjugé selon lequel les Asiatiques étaient petits. Un constat qui devait amuser cet homme à chaque occasion. Baltazar n’y songea pas plus, posant sa main contre la nuque de Scott pour venir abaisser ses lèvres jusqu’à les rencontrer dans un baiser sensuel et langoureux. Il chercha à rendre ce baiser plus langoureux, venant laisser sa langue capturer sa comparse dans une caresse buccale résolument coquine. Son autre main n’était pas plus innocente, venant se poser sur ses abdominaux, les caressant avec envie. Baltazar connaissait presque par cœur les formes de cet homme à son plus grand amusement, ne se lassant nullement de cette chair, venant même en redemander à chaque fois. Seulement, le contexte particulier de ce baiser ne pouvait que lui plaire, songeant qu’il se trouvait dans la maison conjugale de son pseudo-mariage, venant enfreindre les règles des bonnes mœurs. Un fait qui attisait le début de son excitation, embrassant avec d’autant plus d’ambition cet homme qui était résolument bon amant. L’Hispanique laissait ses mains venir caresser ses pectoraux avec plaisir, souhaitant éveiller la chair de Scott autant que possible. Baltazar vint pousser délicatement le corps de son amant contre le bar, continuant de caresser ces formes délicieuses.

Baltazar vint mettre fin à ce baiser, laissant tout de même leurs souffles chauds se rencontrer alors qu’il murmurait dans une voix suave : « Cela te semble-t-il être une bonne petite entrée avant de me faire monter aux rideaux et éveiller d’autant plus ton désir ? ». Il avait ponctué ses mots en laissant sa main descendre jusqu’à l’entrejambe de Scott, venant rencontrer cette forme qui allait être de plus en plus présente au fur et à mesure des minutes. Baltazar sourit doucement alors qu’il venait caresser cette dernière forme, taquinant cet amant.
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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptyLun 6 Avr - 15:27




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Baltazar Z. Morales et Adam Y.D Scott

Il le provoquait, c’était une évidence. C’était maladif, ancré dans les gènes de leur relation. Adam avait bien trop de fierté pour agir de façon aussi douce que lorsqu’il avait les traits de ce bel inconnu. Pourtant, il n’aurait pas été contre cette idée, mais c’était juste impossible. Le faire aurait été accepter de façon franche que Baltazar avait un pouvoir sur lui, animait quelque chose en lui. Cela l’incommodait, allait à l’encontre de sa propre personnalité, de cette pensée qu’il avait de contrôler son destin, sa manière d’être. Son orgueil ne pouvait le supporter et il était tout simplement impossible qu’il laisse Baltazar croire qu’il avait un faible prononcé pour lui, quitte à prendre les traits d’un homme mystérieux pour réaliser tous ces fantasmes sensuels et érotiques qui avaient hanté nombre de ses nuits. C’était un secret qu’il comptait bien conservé, tant il prenait conscience qu’il se faisait prendre au piège de cette relation, y trouvant même un attrait tout particulier. C’était à la fois grisant et perturbant dans le sens où il pouvait réaliser ses desseins pervers avec cet homme tout comme se montrer doux et « presque » amoureux dans un second temps, prenant le même plaisir qui devenait une douce addiction. Il avait beau voir ailleurs, poursuivre ses nuits de débauches avec d’autres femmes, le paradis terrestre avait une saveur toute particulière avec cet homme.

Seulement, il refusait de montrer une part de faiblesse de sa part. Plutôt mourir que d’accepter de baisser sa garde sous cette identité et Baltazar semblait avoir compris les règles du jeu, acceptant d’avoir dans leur relation, cette position de dominé, qui accepté d’être le jouet cupide d’un homme pervers. Cela fonctionnait très bien et lui permettait d’obtenir ce qu’il voulait, tout comme de permettre à Baltazar de profiter de ces moments d’ivresses et de luxures merveilleux. Il se montrait donc particulièrement vil et mesquin, cherchant à déstabiliser son hôte par tous les moyens. Il n’avait que faire des règles de bienséance, du côté gentleman de cet homme. Il n’était pas là pour faire la causette en s’exubérant sur les diverses belles choses précieuses que leur argent leur permettait de s’offrir comme on va acheter du lait à la supérette du coin. Cela n’entrait pas dans le référentiel de la « relation » qu’ils entretenaient. Du moins, il ne le désirait pas, préférant exploiter cette facette de sa personne avec le bel inconnu, loin de l’identité « dominatrice » d’Adam Scott. Indirectement, il était prisonnier de sa personnalité, de cette étiquette qu’il s’était lui-même attribuée, que son père avait voulu de lui. Il n’avait jamais été véritablement lui-même et c’est sans doute cette raison qui le conduisait à agir de façon si présomptueuse, vaniteuse, dominatrice. Bien sûr, il ne pouvait pas nier l’être également. Il prenait plaisir à agir de la sorte avec son rival par jeu, espièglerie, désir de le rendre fou de deux aspects indissociables de sa personnalité, sans pour autant lui révéler, si ce n’est de satisfaire son corps de cette façon si intime, si puissante que des mots. Du moins de son point de vue.

Morales sembla comprendre le message, malgré le fait qu’il s’était montré particulièrement offensant et franc dans ces mots. Il vint lui sourire tout de même en venant boire une gorgée de son vin. Une expression qui se fit plus taquine, séductrice alors qu’il venait lui souffler qu’il voyait où il voulait en venir, qu’il allait rester fidèle à lui-même puisqu’il semblait particulièrement apprécié son exubérance à vouloir qu’il s’occupe de lui. Il avait parfaitement entendu le message. Adam vint répondre à son sourire dans une expression mesquine, dominatrice. Morales ne pouvait refuser sa proposition, d’autant plus qu’il était celui qui l’avait réclamé au travers de ces SMS. Il le laissa s’approcher de lui, laissant son regard sombre et taquin observer les traits sexys de cet homme, magnifiquement mis en valeur par ces vêtements moulants. Il savait que ce qu’ils refermaient était particulièrement exaltant, excitant à toucher, à gouter, frôler de ses mains, de ses lèvres de son corps. Il avait hâte de le posséder de nouveau, mais profiterait de ces préliminaires pour jouer avec les sens de l’Hispanique comme il semblait en avoir envie d’après ces mots. Sans un mot, le sourire toujours espiègle sur les lèvres, il laissa les comparses de son rival de toujours s’emparer des siennes avec sensualité. Il avait baisé son visage pour se trouver à sa hauteur, trouvant dans ce geste de son vis-à-vis une attitude à la fois voluptueuse et mignonne.

Il savoura la texture de ces commissures contre ses lèvres, se rendant compte qu’elles étaient aussi délicieuses que dans ses souvenirs. Gourmand comme à ses habitudes, il sentit la coquine langue de l’Hispanique s’immiscer entre ses lèvres pour découvrir de nouveau sa comparse, la capturant dans une danse résolument chaude et langoureuse. Morales avait fait et cela lui plaisait, le faisait sourire contre ses commissures alors qu’il sentait les phalanges de cet homme glisser sur le tissu de son pull, s’appuyant contre ce dernier pour redessiner ses muscles. Adam n’agissait nullement, ses mains toujours en appui sur le bar, savourant la chaleur de ce corps battit contre le sien. Morales s’était collé à lui avec ambition, venant même le pousser plus fermement contre le bar. Adam vint sourire au regard brillant et sombre de Morales, une expression particulièrement taquine sur le visage. Il sentait le souffle brulant de Morales se mêler au sien. Il lui susurra dans une voix suave si cela lui convenait pour une bonne petite entrée en la matière avant de lui faire grimper aux rideaux, éveiller son désir. Il sentit la menotte de l’Hispanique descendre jusqu’à son petit soldat pour le rencontrer, le caresser. Le sourire d’Adam se fit plus franc alors qu’il l’observait avec amusement. « Tu aimerais me sentir déjà tout excité à l’idée de te prendre, n’est-ce pas ? » Il avait murmuré cela contre ses lèvres.

Son regard se voulait pénétrant alors qu’il laissait l’une de ses menottes se poser contre l’intimité de l’Hispanique, identifiant rapidement sa position, réalisant des caresses en pressant le tissu, laissant ses doigts la marquer. Il sentit cette partie réagir favorablement à son toucher, ce qui ne put que le satisfaire tandis qu’il venait glisser son autre menotte derrière l’une des cuisses de son hôte pour le ramener contre lui, le serrer fermement contre lui, l’une de ses cuisses venant se glisser entre les siennes, se placer contre ce bassin. « Il me semble que la dernière fois, tu avais particulièrement aimé cette position… je me trompe, Morales ? » Il avait soufflé cela en venant mordiller le creux de son oreille, sentant le corps de l’Hispanique s’éveiller progressivement contre sa chair, ses caresses se faisant plus ambitieuses. Il sentait cette fierté prendre forme contre ses doigts et il s’appliquait à la contourner de ses doigts, effectuant des mouvements sur elle de va-et-vient. Son autre menotte vint agripper l’une de ses fesses de Morales pour le coller contre lui, venant presser ses doigts contre le tissu au creux de cette partie. « Tu as bien fait de mettre ses vêtements, ils moulent tes formes à la perfection… c’est très agréable à observer. » Il avait soufflé cela dans une voix suave en venant mordiller sa nuque, sa mâchoire avec sensualité et appétit. Il laissa ses doigts insister sur cette fierté qui se formait parfaitement, conscient qu’elle se trouvait tendue de plaisir, avide d’autre chose, tout comme la sienne. Pourtant, il n’avait de cesse de continuer ses touchers en le serrant plus fermement contre lui, satisfait d’entendre ses soupirs devenir plus intenses contre son oreille. Il n’avait rien à lui envié, Morales devait bien entrevoir que sa fierté prenait délicatement forme également, avide d’autres choses.

Seulement, il n’était pas prêt de lâcher l’affaire. Particulièrement mesquin, il vint arrêter ses caresses en venant capturer ses lèvres dans un baiser plus langoureux que le précédent. Il le poussa en arrière pour venir l’allonger sur le canapé d’angle, venant prendre le dessus de cet échange. Il lui sourit de façon mesquine alors qu’il venait l’embrasser de nouveau, dévorer ses lèvres des siennes : « Et si on passait aux choses sérieuses, Morales ? » Souffla-t-il alors qu’il venait caresser les aines de l’Hispanique au travers du tissu, son autre menotte en appui sur le tissu du canapé. Il se tenait à califourchon au-dessus de lui et il comptait bien le rendre fou de désir. C’est pour cela qu’il laissa ses lèvres glisser contre sa mâchoire pour descendre sa gorge, retrouver le tissu da sa chemise légèrement entrouverte. Il gouta sa peau avec appétit, venant parsemer le vêtement de baisers en descendant sur son sternum, l’un de ses boutons de chair qu’il percevait contre le tissu. Vil, il laissa ses lèvres le retrouver, le mordiller au travers de la chemise, tandis que sa menotte libre venait retrouver sa fierté contre le tissu de son jean pour la caresser plus fermement, plus avidement. Il souriait aux soupirs délicieux qui s’extirpaient des lèvres de Morales, satisfait de le rendre dingue par ce contact. Il était capable de le faire gémir et atteindre l’extase sans lui retirer le moindre de ses vêtements, en éprouverait même une fierté. Pour l’instant, il cherchait surtout à le frustrer pour qu’il vienne retirer ses vêtements de nouveau, cruellement dévoré par l’envie d’être la victime de son être. C’était tellement plus exaltant.
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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Avr - 0:39

Scott influençait son comportement, Baltazar ne pouvait que s’en rendre compte alors qu’il avait l’opportunité de pouvoir observer le regard si brulant de cet homme. Son corps frissonnait au moindre de ses regards et cela ne pouvait que l’interroger malgré lui, bien qu’il essayait de ne pas y songer. Il n’avait jamais ressenti ces sensations auprès d’une quelconque autre personne, un fait résolument étrange pour le jeune homme qui avait voulu se détacher des autres personnes, préférant garder une apparence neutre. Seulement, en compagnie de cet homme, cela était bien impossible de lui résister, ce dernier étant si attirant avec son sourire espiègle et ce corps à damner. Il n’avait d’ailleurs fallu que quelques minutes à Balazar pour venir céder à la tentation, le poussant contre ce bar, l’embrassant et laissant ces doigts descendre jusqu’à son soldat pour le rencontrer et le caresser. Les mots de Scott ne purent que l’amuser, ce dernier venant lui murmurer contre ses lèvres s’il aimeraient sentir déjà tout excité à l’idée de le prendre.

Son regard devint pénétrant à la suite de cette parole, un fait qui ne put qu’encore plus le rendre plus fébrile, frissonnant alors qu’il sentait la main de son amant venir se poser contre son intimité, réalisant des caresses en prenant le tissu, laissant ses doigts le marquer. Autant dire que Baltazar était particulièrement fébrile, la forme de cette bosse prenant un peu plus de place au sein de son pantalon. Scott savait exactement comment le rendre fébrile à son plus grand plaisir, se retrouvant plaqué contre son corps de manière très sensuelle et agréable. Scott semblait s’amuser de cette situation, soufflant tout contre son oreille qui lui semblait que la dernière fois que cette position lui avait plu particulièrement. Scott ne se trompait nullement à ce propos, Baltazar ne pouvait résolument pas lui mentir tant son corps exprimer le bienêtre. Scott était particulièrement attirant, si tentateur ! Ces caresses devenaient plus ambitieuses, plus langoureuses, l’amenant à se mordre les lèvres alors qu’il murmurait dans une voix suave : « Tu ne trompes résolument pas … Scott à ce propos. »

Scott savait exactement comment le rendre fou à son plus grand plaisir, leurs rencontres précédentes lui ayant sans doute permis de découvrir une partie de ses points faibles. Ses doigts ne cessaient de venir contourner sa fierté, effectuant des mouvements pour le rendre fou. Son autre main était venue agripper l’une de ses fesses pour le coller contre lui, pressant ses doigts contre le tissu au creux de cette partie. Scott vint lui souffler dans une voix suave, en même temps qu’il mordillait sa nuque qu’il avait bien fait de mettre ses vêtements, ces derniers moulant ses formes à la perfection, cela était très agréable à observer. Chacun de ces mots venait échauffer sa fierté qui se formait parfaitement sous ses caresses, bien que Baltazar ne puisse que constater avec désespoir qu’il aurait préféré être nu sous ses doigts pour sentir plus fermement cette aine. Le jeune hispanique ne pouvait que soupirer, gémir à ce contact résolument électrisant, se sentant devenir si faible face aux attaques de cet homme.  

Cependant, il ne put que geindre malgré lui lorsqu’il sentit cet homme abandonner ces caresses, bien que ces lèvres viennent s’abattre sur ses lèvres pour lui offrir un baiser plus langoureux qu’auparavant, sentant son être réagir si vivement à cette attaque. Il se laissa pousser en arrière avec amusement, se retrouvant allongé sur le canapé d’angle, Adam le surplombant. Il s’agissait d’une scène particulièrement envoutante, n’ayant aucun mal à se laisser dominer par cet homme qu’il savait déjà très bon amant, son corps se rappelant de chacun de ces instants avec lui. Le contact de ses lèvres contre les siennes était tout aussi envoutant, s’amusant d’entendre Scott lui soufflait qu’il passe à présent aux choses sérieuses. Des mots qui ne pouvaient le ravir tant il se trouvait lui-même particulièrement pressé de s’attaquer à cette partie ô combien intéressante.

Scott avait l’intention de le frustrer et Baltazar ne doutait nullement de ce fait, soufflant le nom de cet amant alors que ses lèvres venaient descendre sur sa gorge, retrouver le tissu de sa chemise pour embrasser sa chair. Baltazar avait bien l’impression de brûler sous ses baisers, sentant la température de son corps augmenter au fur et à mesure des secondes. Scott avait abandonné sa chair pour l’embrasser au travers du tissu de cette chemise, ne pouvant que le rendre d’autant plus frustré alors qu’il le sentait atteindre l’un de ses boutons de chair qu’il pouvait identifier sous cette chemise, le mordillant. Baltazar n’avait jamais eu l’occasion d’être la victime d’un tel traitement et il ne pouvait que trouver cette situation particulièrement amusante et électrisante, affichant un doux sourire alors qu’il sentait sa main venir rejoindre sa fierté contre le tissu de son jean pour le caresser plus fermement. Néanmoins, Baltazar ne pouvait certainement pas se contenter de cette situation, trouvant cette chemise résolument de trop alors qu’il venait glisser sa main sur le dos de son amant, caressant ces muscles particulièrement saillant. Baltazar vint alors susurrer dans une voix suave : « Tu n’es pas obligé de laisser cette chemise, je suis persuadé qu’il est plus aisé d’embrasser ma chair sans vêtement, tout comme de la caresser… ! »

Baltazar avait prononcé ses mots avec amusement et à la fois sensualité, alors qu’il venait reprendre entre ses lèvres, celle de son amant tout en se relevant légèrement. Baltazar avait cruellement envie de cet homme et pour rien au monde il n’aurait souhaité laisser la place à un autre homme. Il vint délaisser ce dos particulièrement musclé pour venir détacher de lui-même les boutons de sa chemise, la détachant même alors qu’il abandonnait le tissu de la chemise sur le sol de ce salon. La vue de son torse à présent nu ne semblait pas déplaire à son amant à première vue, ce qu’il ne doutait nullement en vue de leurs passés communs. Baltazar n’abandonna pas pour autant les lèvres de son amant, s’amusant à les embrasser avec passion et fougue, se plaisant résolument à ce contact ô combien électrisant. N’ayant aucune raison d’être le seul à être dévêtu, ce dernier vint tout simplement glisser ses doigts sous le teeshirt de son amant pour lui enlever de manière particulièrement passionnée et fougueuse.   À la fin de cette action, Baltazar vint se détacher de ces lèvres pour admirer les formes si musclées et tentatrices de ce corps, laissant ses doigts caresser ses formes. Il murmura dans une voix quelque peu taquine : « Il n’y a pas à dire… pour un asiatique, t’es pas mal foutu ! »

Ces mots le firent rire doucement alors qu’il venait reprendre entre ses lèvres celles de son amant, l’une de ces mains venant caresser ces abdominaux tandis que l’autre venait ouvrir la ceinture de Scott pour laisser sa main caresser sa fierté au travers du tissu dans de doux mouvements de va-et-vient. Baltazar voulait rendre tout autant fou cet amant que lui-même, son cœur se ravivant à cette idée. Le jeune homme n’en comprenait pas exactement la raison, mais une chose était sure, il voulait l’entendre gémir de bienêtre. Ces baisers se faisaient de ce fait bien plus langoureux, ses doigts venant dessiner au même instant la forme de sa fierté si bien lotti dans ce boxer qui semblait à nouveau de trop. Scott avait beau être terriblement sexy dans ses vêtements, l’asiatique était encore plus charmant nu… Baltazar ne pouvait certainement pas dire le contraire. C’est pourquoi il ne se gênait certainement pas pour caresser la moindre chair de cette peau avec attention, sa main ne quittant pas cette fierté qui prenait forme tout contre ce boxer.
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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Avr - 22:35




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Baltazar Z. Morales et Adam Y.D Scott

Cet instant était particulièrement frustrant pour l’Hispanique. Adam en avait conscience et s’amusait de la situation pour accroitre cette réalité. C’était particulièrement enchanteur de le savoir si sensible à ses caresses et baisers au travers du tissu. Morales semblaient apprécier ce contact, ses soupirs de plaisir le trahissaient de plus en plus. C’était exquis à ses oreilles, ces sons érotiques éveillaient son appétit, le rendait plus cupide, plus déterminé dans ses gestes. Il savourait la forme de cette fierté contre le toucher de ses doigts au travers du tissu. Il la sentait s’affermir sous ses caresses, réalisant une bosse contre ce tissu qu’il n’avait de cesse de taquiner pour y parvenir. Morales avait chaud, c’était une évidence. Ces gémissements se faisaient de plus en plus fort, incontrôlés. Il pouvait sentir sa respiration se faire plus vive sous les taquineries de ses dents, de ses lèvres contre ces boutons de chair qu’il taquinait au travers de la chemise. Il ne pouvait pas se plaindre : il avait été celui qui voulait qu’ils profitent de leurs vêtements. Il allait répondre à son ambition, même si à cet instant, elle semblait toute autre. Il sentait la main de l’Hispanique glisser sur son dos pour caresser ses muscles avec sensualité. Il lui souffla dans une voix suave qu’il n’était pas obligé de lui garder cette chemise. Morales était persuadé qu’il serait plus facile d’embrasser et de caresser sa chair sans ses vêtements. C’était une évidence, il n’en doutait point, mais cette remarque le fit sourire contre ce bouton de chair qu’il malmenait sans aucune pitié.

Un exercice dans lequel il fut empêché par la main directive de son amant qui vint le contraindre à rejoindre ses lèvres. L’Hispanique l’embrassa avec sensualité et passion tout en se relevant légèrement. Adam souriait au travers de ce baiser, imaginant sans trop de difficulté ce qui allait se passer. Son impression fut la bonne et cela était fort plaisant. L’Hispanique vint défaire de lui-même les boutons de sa chemise pour lui faciliter la tâche. Adam soupçonnait qu’il avait conscience qu’il pouvait le rendre dingue sans répondre à son souhait, ce qui n’était pas faux. Il était à la fois amusé et déçu qu’il cède si rapidement à ses pulsions, ses désirs pervers d’être la victime de sa fougue. C’était flatteur, très appréciable de le voir s’exécuter avec tant d’empressement pour lui offrir une vue délicieuse sur son torse particulièrement sculpté. Pourtant, il n’eut pas la possibilité de le contempler puisque l’appétit de Morales n’avait de cesse de croitre au travers de ces baisers. Il l’embrassait avec fougue et passion, soupirait de plaisir contre ses commissures. C’était particulièrement envoutant, excitant et à la fois amusant de le sentir si déterminé, si empressé. Il sentait les doigts de l’Hispanique glisser sous le tissu de son pull pour lui retirer de façon ambitieuse tout en l’embrassant. C’était un véritable assaut qu’il subissait même s’il ne s’en plaignait nullement. Au contraire, il venait répondre au baiser de l’Hispanique, il se laissait totalement guidé par l’ambition de son amant qui vint s’éloigner de ses lèvres pour l’admirer, dévorer de ses prunelles et de ses doigts chaque parcelle de son corps.

Adam le laissait faire, ses lèvres lui offraient un sourire narquois même si ses sens appréciaient ces touchers, cette vue. Il était sexy et il éveillait grandement ses pulsions masculines. Un sourire qui se fit plus amusé et tentateur face aux paroles de son rival. « Je sais. Il t’excite comme personne d’autre. » Des mots bien présomptueux, mais vrai. Il se rappelait parfaitement de cette nuit où il lui avait sauté dessus pour le tenter, lui prodiguer des caresses ô coquines jusqu’à l’extase pour s’imposer à lui. Ce soir, il le guidait de nouveau sur la voie qu’il désirait suivre, même si Adam comptait bel et bien le tourmenter pour le rendre dingue. Lui-même semblait en prendre conscience tant il riait doucement en venant capturer de nouveau ses lèvres dans un sensuel baiser. Adam savourait ce toucher, sa main toujours en appuie sur le tissu du canapé, sa comparse tout contre cette fierté qu’il malmenait toujours avec ambition. Cela semblait éveiller le désir de son rival comme il pouvait sentir les caresses d’une de ses mains contre ses abdominaux avant de rejoindre sa comparse près de sa ceinture. Il entreprit de la retirer avec précipitation pour immiscer sa menotte sous le tissu. Il la posa près de sa fierté avec ambition pour la caresser dans de savoureux mouvements de va-et-vient. Un toucher qu’il savourait particulièrement, venant effectuer la même chose sur celle de son homologue. Il soutenait son regard même si son bas-ventre trahissait l’éveil de ses sens. Morales devait sentir sa fierté s’affermir sous ses caresses. Elle formait une délicate bosse contre le tissu de son boxer, tout comme la sienne. Il voulait le tenter, lui faire perdre ses sens, mais il était le mieux placé pour savoir qu’il devait particulièrement s’appliquer s’il voulait entendre ses soupirs de plaisir.

Les baisers de Morales se faisaient de plus en plus langoureux, déterminés tout comme ses caresses. Il avait faim de lui, Adam le percevait totalement et n’omettait aucune objection à cela. Son soldat prenait forme contre son boxer, envieux et désireux de profiter de caresses bien plus cupides, coquines, savoureuses. Il se souvenait du plaisir pénétrant que ses lèvres lui avaient offert, cela lui donnait envie d’en bénéficier de nouveau. Seulement, il comptait bel et bien profiter de cette occasion pour chambouler les sens de l’Hispanique, provoquait en lui, l’envie insatiable qu’il le prenne pour lui faire monter aux rideaux. De ce fait, c’est tout naturellement qu’il vint appuyer plus fermement contre l’extrémité de cette bosse formée contre le jean pour le taquiner, éveillait son désir. Il vint sourire au gémissement qui s’extirpa de ses lèvres contre les siennes. « Tu sembles avoir chaud, Morales… Toujours désireux que je te caresse, te fasse grimper au plafond… Avoue que tu adores que je te taquine de cette façon. » Il avait soufflé cela dans une voix suave et profonde. Ses prunelles brillaient d’amusement, fier d’avoir un tel effet sur cet homme. « Malheureusement, tu n’es qu’au début de tes peines. Je compte bien te rendre dingue. Je sais que tu prendras ton pied comme toujours. » Des paroles vraiment vaniteuses qui devraient le faire rougir, mais ce n’était pas le cas. Il avait bien trop confiance en ses capacités d’amant pour craindre de ne pas être à la hauteur, d’autant plus en vue de leurs antécédents. Ses prunelles le provoquaient avec espièglerie alors qu’il venait approfondir sa poigne autour de cette fierté, rendant ses mouvements plus puissants contre elle. Il avait chaud. C’était une évidence. Il le sentit vouloir lui rendre la pareille. Il accentua ses caresses malgré que le plaisir devienne plus fort dans ses reins, l’obligeant à gémir plus fermement. Cela conférait une expression érotique à l’Hispanique, venant accroitre son propre désir. Il lui donnait faim et il ne se gêna pas pour venir dévorer sa peau de ses lèvres. Il embrassa son menton, sa pomme d’Adam avec ambition. Il la mordillait avec sensualité, laissant sa langue tracer un chemin le long de sa gorge, de sa clavicule.

Morales semblait perdre le sens des réalités, ses respirations se faisaient plus fortes tout comme ses gémissements. Il le sentait frémir au toucher humide de sa langue qui descendit jusqu’à son sternum pour dévorer ses pectoraux. Il lui prodiguait les mêmes caresses durant quelques minutes, glissant d’un bouton à un autre juste pour le plaisir de sentir ces derniers fermes et fiers sous ses attaques humides. Il les mordilla avec espièglerie avant de descendre son ventre vers ses abdominaux. Ses actions étaient lentes, mais déterminées. Il cherchait à éveiller chaque point sensible de son anatomie, tant et si bien qu’il ne manqua pas rapidement de rejoindre la bordure de ce jean que sa menotte libre malmenait. Il s’était enfui des caresses bienfaitrices de l’Hispanique à regret, mais son excitation n’était nullement mise à mal par l’expression dépravée et érotique de cet homme. Il laissa ses lèvres prendre la place de sa main pour effectuer des pressions avec ses lèvres, bien plus frustrantes et délicieuses. Il avait une vue particulièrement érotique sous les yeux et il s’appliquait à rendre ces caresses intolérables tant et si bien qu’il viendrait de lui-même retirer ses derniers remparts pour qu’il lui offre cette gâterie que ce soldat désirait recevoir à cet instant précis. Une pensée très perverse qui le fit rire alors qu’il venait descendre ses lèvres le long de cette forme avant de remonter sur son extrémité. Il lui avait promis de lui faire perdre la tête. Il était un homme de parole !

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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptyMar 19 Mai - 11:11

Baltazar avait cruellement chaud en cet instant, désireux de prolonger tout contact avec cet homme qui avait le mérite de le rendre si fébrile. Les moments qu’il avait passés à ses côtés ne pouvaient résolument pas être oubliés après ces nombreuses semaines sans se voir. Baltazar devenait de plus en plus sensible à cet homme sans qu’il ne puisse lui résister d’une quelconque manière. Ce dernier ne pouvait que s’en rendre compte alors qu’il avait le libre plaisir de profiter de ce corps et de cet homme qui était venu chercher la luxure en ces bras. Baltazar n’avait aucune raison de se restreindre, personne ne risquait de les surprendre c’est pourquoi il embrassait cette chair sans aucune honte, tout comme ses lèvres résolument tentatrices. Son amant s’amusait à le rendre fou, appuyant plus fermement sa main contre l’extrémité de cette bosse formée contre son jean. Il n’avait pu alors que gémir sans pouvoir se contrôler, tandis qu’il entendait son amant lui murmurait qu’il semblait avoir chaud, toujours désireux qu’il le caresse, qu’il le fasse grimper au plafond. Il lui demandait d’avouer qu’il adorait qu’il le taquine de cette façon dans une voix particulièrement suave et attirante. Baltazar n’arrivait tout simplement pas à se détacher de ce regard profond qui lui adressait, accompagné de ce sourire espiègle qui lui allait si bien. Celui-ci lui annonçait que cela n’était que le début de ses peines, il comptait le rendre dingue et il savait qu’il prendrait son pied comme toujours. Des mots qui pouvaient paraitre vaniteux, mais à ses oreilles, cela ne le semblait pas du tout tant il savait qu’il avait raison. Scott avait le don de le rendre fou par ces simples gestes, frémissant alors qu’il sentait sa main venir approfondir sa poigne autour de cette fierté. Baltazar gémissait le doux nom de son amant sans aucune retenue, ne masquant nullement ses sensations qui traversaient tout de son être. Scott se plaisait à l’embrasser, à le dévorer, ces baisers sur sa pomme d’Adam était bien là pour le prouver, souriant à ces lèvres qui descendaient jusqu’à atteindre sa clavicule.

Tout son corps était en ébullition et le jeune homme ne pouvait qu’avoir sa respiration plus forte à chaque instant, venant lui-même relever son torse qui subissait à présent l’assaut de ses lèvres. Scott savait exactement comment le rendre fébrile, s’amusant à dévorer à présent ses pectoraux. Un comportement résolument plaisant à ses yeux, venant alors murmurer : « Scott… tu es vraiment… perfide et désirable ! ». Baltazar ne pouvait résolument pas énoncer le contraire tant il se trouvait si faible face à ces attaques, venant lui-même poser ses mains sur les épaules, lui intimant de continuer ses actions si agréables pour l’amant qu’il était. Scott était un formidable amant, sachant comment rendre ses amants fous juste avec des baisers. Baltazar aurait pu sans doute s’en plaire s’il n’avait pas été sa victime, espérant secrètement qu’il était sa préférée même si cette pensée sonnait étrange en cet instant. Il préféra chasser cette pensée de son esprit, la trouvant très étrange, songeant plutôt à ses lèvres qui continuaient leurs attaques sur son torse pendant ce laps de temps qui lui paraissait trop court, mécontent de sentir ses lèvres quitter ces zones hétérogènes qui étaient ravies d’être martyrisées. Ces lèvres alors rejoint ces abdominaux, ne lui laissant nullement le choix de protester face à ces gestes, ne lui laissant pas grande imagination par rapport à ses futures actions, bien qu’il risquait d’être toujours plus frustrant, fidèle à lui-même.

Ces lèvres avaient atteint à présent la bordure de ce son jean que sa main malmenait librement. Baltazar avait tant envie de sentir ses lèvres contre son intimité, se sentant bien trop dans l’étroit dans ses vêtements. Il avait enlevé ces deux mains pour les déposer sur ce canapé, essayant de reprendre pied à la réalité tandis que son amant venait enfin répondre partiellement à ses envies, embrasser son entrejambe à travers le tissu de son pantalon. Une action résolument frustrante pour Baltazar qui vint gémir le nom de son amant, lui lançant un regard brillant de colère et d’envie, pourquoi Dieu avait-il créé un être aussi cruel ? Sans doute pour le rendre particulièrement fou. Ce dernier s’amusait bien trop de lui ! C’est pourquoi il vint gémir dans une voix faible : « Tu ne veux pas plutôt céder à la tentation que me faire tourner en rond Scott ? ». Ces mots semblèrent amuser son amant, entendant son doux rire se propager dans cette pièce alors qu’il se mordillait les lèvres, venant de lui-même abaisser ces vêtements de trop. Il détacha sa ceinture, défit la braguette de son pantalon et en moins de temps qu’il ne faut pour lire ces mots, il se retrouva tout simplement quasi nu sous les yeux coquins de cet homme. Une image de dépravation totale lorsqu’on l’observait. Baltazar était résolument soumis à cet homme, n’opposant aucune résistance à ce dernier. Il soufflait son nom avec plaisir, ne pouvant s’empêcher de le trouver particulièrement frustrant alors qu’il avait abandonné ces baisers, se contentant de l’observer sans jamais réaliser son plus grand souhait.

Baltazar ne pouvait qu’en être particulièrement frustré alors qu’il venait lui murmurer dans une voix plaintive : « Hé ! Scott… t’es vraiment qu’un sadique… ». Un sadique qu’il aimait particulièrement et auquel il avait bien du mal à se passer. Une pensée qu’il n’était nullement prêt à avouer à son amant, ce dernier en deviendrait sans doute bien trop vaniteux. Ce dernier venait sourire et ce fut avec délice et joie qu’il ressentit enfin ces lèvres, le jeune homme ne put que soupirer en cet instant, venant soupirer alors que sa colonne de chair s’éveillait à nouveau. Bien qu’il ne put s’empêcher de se plaindre un instant alors que son amant abandonnait déjà sa fierté. Scott s’amusait de son comportement, le regard amusé était bien là pour le prouver. Seulement, à son plus grand plaisir, ce dernier vint cesser le taquiner, venant enfin déposer de merveilleux baisers sur sa colonne de chair. Baltazar ne pouvait que sourire, sa cage thoracique venant se soulever d’elle-même alors qu’il glissait ses mains sur la chevelure de son amant pour l’inciter à poursuivre ces délicates actions, l’amenant à susurrer : « Continue Scott… »

Le jeune homme venait sourire à son amant, si ravi de sentir ses lèvres tout contre sa fierté, se sentant si fébrile, le désir qu’il ressente pour cet homme ne cessant ô grand jamais. Baltazar appréciait chacun de ses instants, devenant malgré lui dépendant de chacune des actions de cet homme. Cette scène était résolument coquine, se rendant compte qu’il était bien le seul être à avoir eu la chance d’être invité dans sa maison pour partager ses instants coquins. Un lieu peut-être cocasse, mais qui avait le mérite de le rendre encore plus excité. Baltazar ne se lassait tout simplement pas de cet homme, se mordant les lèvres face à l’afflux de plaisir qui prenait part dans son corps. Il n’était qu’une masse gémissante et cela ne devait nullement déplaire à Scott.
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Message(#) Sujet: Re: (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales (hot) Did you want to see me ? | PV Baltazar Morales EmptySam 23 Mai - 21:12



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Baltazar Z. Morales et Adam Y.D Scott


Adam était perfide. C’était une évidence qu’il ne niait nullement. Il n’avait pas pu s’empêcher de sourire lorsque ce qualificatif s’était exprimé des lèvres de cet homme. Il était même pire que cela. La luxure était une drogue addictive qui le rendait particulièrement joueur. Il pouvait passer des heures à éveiller les sens de ses amants et amantes pour les tourmenter, les rendre ivres de ces sensations bien trop envoutantes pour y résister. Morales sombrait littéralement dans les abimes de ce plaisir malsain et Adam n’avait aucun scrupule à rendre cette descente d’autant plus envoutante. Il jouait avec lui, s’enivrait de ces réactions pour contribuer à sa propre exaltation. Morales était particulièrement érotique dans cette position de soumission totale. Il était particulièrement difficile de rester insensible à une telle vision. Pourtant, l’Asiatique ne comptait pas brûler les étapes. Morales voulait profiter de ces vêtements, Adam se pliait à son ambition même si cette dernière semblait avoir totalement disparue. Il faut dire qu’il savait s’y faire pour faire perdre la tête à ses partenaires et Morales comptait comme l’une de ses nombreuses victimes. Il n’avait de cesse de gémir sous le contact électrisant de ses lèvres sur cette partie si brûlante. Elle se trouvait ferme, particulièrement chaude et gourmande sous ce tissu. Le regard de l’Hispanique était brillant à la fois de frustration, de colère, mais surtout d’envie. Cela rendait ses prunelles particulièrement érotiques alors qu’il lui demandait dans une voix éteinte s’il ne voulait pas céder à la tentation, plutôt que de le faire tourner en bourrique. Des paroles qui vinrent le faire rire. Si seulement il savait ô combien cela lui plaisait d’agir de la sorte, d’autant plus lorsqu’il le sentait si brûlant, avide de son toucher.

Son sourire ne vint pas quitter ses lèvres. Il se fit même plus narquois tandis qu’il voyait cet homme s’empresser de se déshabiller pour obtenir ce qu’il désirait. Une vision particulièrement décadente qui ne pouvait que lui plaire, l’envoutait tant ces gémissements réclamaient toute son attention. Il ne se priva pas de le qualifier de sadique, ce qui le fit d’autant plus sourire alors qu’il soufflait dans une voix particulièrement mesquine : « Et tu n’es qu’au début… je peux être encore plus sadique que cela, Morales… » Une menace qu’il fit alors qu’il venait déposer ses lèvres sur cette partie si impatiente au travers du tissu. Une action qui sembla envouter son partenaire qu’il sentit soupirer fortement de plaisir avant de l’abandonner quelques secondes plus tard. Morales le réclamait de tout son être et c’était un spectacle particulièrement succulent à observer. Il laissa de nouveau ses lèvres parcourir cette fierté ambitieuse et gourmande de façon plus profonde. Il lui offrit faiblement ce qu’il désirait tout en se montrant quelque peu taquin. Il sentit le bien-être prendre possession de l’échine de son amant dont la respiration se faisait particulièrement fort. La main de Morales vint se glisser dans ses cheveux pour le contraindre à poursuivre ces baisers. Un ordre que ses paroles vinrent lui souffler de poursuivre. Adam profitait de la vue en contre-plongée de ce corps si soumis à ces baisers. Il n’avait de cesse d’embrasser la forme bossue de ce sous-vêtement. Morales était à sa merci et il s’appliquait à le rendre dingue. Il mordilla le bout de tissu pour le faire claquer sur cette intimité si embrasée.

Morales avait du mal à réguler son plaisir, devenait une véritable poupée de chiffon sous ses doigts. Il le frustrait, sa langue n’avait de cesse d’humidifier ce bout de tissu pour le tourmenter. La poigne dans ces cheveux n’avait de cesse de s’intensifier. Il réclamait plus, mais Adam ne comptait nullement le satisfaire. Le bassin de l’Hispanique venait se soulever pour réclamer sa récompense, ne pouvant pas se passer de ce contact addictif. Adam adorait cette sensation. Il n’avait de cesse de se sentir ferme et impatient. Il lui donnait faim, cruellement faim. Il était bien trop érotique pour résister. C’est pour cela qu’il était venu faire glisser son boxer le long des cuisses de l’Hispanique en l’abandonnant. Le juron qui s’extirpa des lèvres de ses lèvres rendit son sourire plus narquois alors qu’il soufflait contre ce soldat impatient. « Eh bien… quelle tenue, Morales… » Il le provoquait, le taquinait en venant frôler cette partie sensible de sa langue. Il le sentit gémir plus fermement en penchant la tête en arrière. « Tu m’as l’air prêt à succomber… je me trompe… » Il souffla sur cette partie. Son regard quant à lui s’ancrait à celui de son amant. Il se trouvait pénétrant et avide. Son sourire se faisait cruellement mesquin. « Pourtant, on n’est qu’au début… » Il laissa sa langue taquiner l’extrémité de sa victime avant de rejoindre la peau de ses abdominaux en remontant le long de la ligne qui conduisait jusqu’à sa clavicule. Il arriva bien rapidement à sa hauteur. En appui sur ces bras, au-dessus de ce corps complètement nu, il le détailla de son regard malicieux et pénétrant.

« Une envie particulière, Morales ? Tout un tas de possibilités s’offre à nous… » Il murmura cela contre ses lèvres. « Je peux te faire jouir tout de suite avec mes lèvres, ici ou dans cette chambre conjugale où tu meurs d’envie que je te prenne… ou je peux te faire languir encore un peu pour te préparer, te prendre ici ou dans ta chambre et le plaisir sera encore délirant comme lors de notre dernière nuit ensemble. Il me semble que tu étais totalement conquis… je me rappelle encore de tes cris d’extase... » Il vint rire à ses mots en se mordillant la lèvre en le fixant. « Je suis persuadé que ta femme ne les a jamais entendus, tout comme cette maison. Il est bien dommage que tu n’aies pas pris ton pied chez toi… de façon totale, comme tu le prends avec moi. » Il laissa ses lèvres glisser contre sa mâchoire avant de rejoindre son oreille pour la mordiller, la titiller de sa langue. « Alors Morales, quel menu veux-tu ? Je suis prêt à faire quelques impasses sur le mien, tant que tu me proposes quelque chose de tout aussi consistant et coquin… » Il était curieux de connaitre sa réponse et vint s’éloigner doucement pour l’observer et attendre sa réponse. Il comptait bien jouer avec lui, c’était tellement jouissif.
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