dylan
lately, i've been losing sleep.

prénom(s) et nom › Dylan. âge › 22 ans. nationalité › Canadien. orientation sexuelle › Il est gay mais ne le sait pas encore. Disons qu'il n'y connaît rien aux sentiments. Il ne s'est jamais vraiment posé de questions jusqu'à présent. statut civil › Célibataire depuis toujours. emploi/études › Il suit des études de techniques du cinéma et de dramaturgie comme Nahuel. Il peut faire un métier à côté, mais je l'imaginais fils d'une bonne famille, donc il n'aurait pas vraiment de soucis d'argent. avatar › Harry Styles. crédit › Tumblr (zaynrocksmyworld).

~ description du personnage

L'histoire est relativement libre, même si j'aimerais conserver quelques points.
• il est natif de white oak station.
• il est fils unique d'une famille aisée voire riche ; j'imaginais bien des conflits constants avec son père, parce qu'il veut trop faire de dylan son "digne" descendant, sa copie conforme. il lui mettrait une pression de fou sur les épaules afin qu'il soit le fils parfait, chose qu'il finirait par ne plus supporter en devenant adulte. puis son homosexualité (non découverte je le rappelle) risque de mal passer.
• son orientation scolaire, en plus d'être une réelle passion, joue également le rôle de provocation : le paternel désirait voir son fils devenir avocat ou chirurgien spécialiste, alors quand dylan lui déclara vouloir se lancer dans un domaine artistique...
• il aurait passé sa scolarité dans un internat en france ou en angleterre, une école très catholique et réservée aux garçons.
• il n'a jamais eu de relation amoureuse ou charnelle avec qui que ce soit, mais au fond il s'en fiche, il attend la bonne personne. et puis rien ne laisse supposer par son attitude quotidienne qu'il est inexpérimenté... mais qu'en sera-t-il lorsque les sentiments seront de la partie ?
• même si dylan tâche de s'éloigner de la mentalité fermée et intégriste de sa famille, il ne peut échapper à l'éducation qu'on lui a donné et a parfois quelques a priori sur les gens qu'il croise.


Caractère : indépendant, franc, décidé, téméraire, insouciant, impulsif, jaloux, amusant, renfermé, aventureux, sensible, fier, romantique, serviable, intelligent, fidèle, altruiste, obstiné, avide de découverte...

~ lien avec › NAHUEL FERGUSSON

Le temps est vraiment long. Voilà à peine cinq minutes que nous sommes rentrés en classe et que nous attendons plus ou moins calmement l'arrivée du professeur que je m'ennuis déjà. Je reste dans l'attente, curieux de voir ce qui va se passer. Comment sera notre nouvel enseignant de techniques et cadrages en vidéo. Tout le monde dit que Mrs Wagner est un gros bouledogue mal léché mais j'attends de voir pour le croire. Alors je reste dans l'appréhension, les doigts pianotant sur la table. Tu devrais arrêter. Je tourne la tête. Un type est assit à ma gauche, je ne l'ai pas vu arriver. Il a l'air assez grand bien qu'il soit difficile d'en juger vu que nous sommes tous les deux assis. Son visage encore enfantin est encadré par des boucles brunes et soyeuses. Il est bien habillé, c'est également l'une des premières choses que je remarque. Une chemise bleue bien repassée et un jean slim noir. Je tente de sonder son regard mais, pour une fois, je n'arrive pas à savoir quel sentiment je lui inspire - ça m'étonne, moi qui lis dans les gens comme dans des livres ouverts. J'ai l'impression qu'il me prend de haut, pourtant rien dans son regard ou dans son attitude exprime le mépris. C'est comme s'il voulait mettre une certaine distance entre nous tout en restant bienveillant. Le ton qu'il avait employé ne me laissait guère d'avantage d'indices, aussi décidai-je de hausser les sourcils pour simple réponse, ne sachant pas vraiment où il voulait en venir. Ta main. Mrs Wagner déteste ça. Je fronce les sourcils tout en regardant ma main qui avait continué son mouvement de manière quasi-automatique. J'arrête aussitôt. Message reçu. Je le gratifie d'un léger mouvement de tête et d'un petit sourire en guise de remerciement. Il tourne la tête et se replonge dans la contemplation du tableau encore noir et immaculé. Je ne saurais dire pourquoi, mais quelque chose m'attire dans ce garçon. Non pas qu'il m'attire dans le sens physique du terme hein, c'est juste qu'il... m'intrigue, voilà, c'est ça. Je ne peux pas m'empêcher de l'observer sous toutes ses coutures. Détailler son visage, la façon dont il se tient. J'en oublie presque tout, et le lieu, et le temps, et le fait qu'il vient de se tourner vers moi. Merde. Je reporte aussitôt mon attention vers mon cahier encore vierge, je trépigne légèrement du pied en signe de gêne. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi sans oser relever la tête et juger sa réaction. Tout ce que je sais c'est que, en fin de compte, je suis reconnaissant à Mrs Wagner d'entrer à ce moment-là et d'abréger mes souffrances. Certes, celles-ci reprennent sous un autre genre par ses explications soporifique sur le déroulement de l'année mais je n'ai plus à m'inquiéter de la réaction d'un type qui m'a prit en train de le fixer outrageusement. Ces deux heures de cours sont certainement les plus longues de mon existence, aussi suis-je ravi d'entendre la cloche sonner, marquant l'arrêt de mon calvaire. Je m'empresse de réunir mes affaires et de les ranger dans mon sac mais, tandis que je cale ma trousse devant deux classeurs j'entends une voix s'élever près de moi. Au fait, moi c'est Dylan. Le type de tout à l'heure est devant mon bureau et me sourie poliment. Ce mec est dingue, je ne sais vraiment pas comment il a fait pour ranger ses affaires si vites. A se demander s'il les a sorties à un moment. Quoiqu'il en soit je hoche légèrement la tête, puis je réponds. Nahuel. Et c'est ainsi que se termine mon premier cours. Ça peut vous paraître banal à vous, mais moi... J'ai tout de suite su que cette rencontre allait tout chambouler.

J'entends la sonnette retentir et je me dirige d'un pas pressé vers la porte. Ce bruit me fout à chaque fois les chocottes. Il est juste méga glauque. Bref. Je n'ai pas vraiment le temps de tergiverser et j'ouvre la porte à Dylan. Même s'il est en deuxième année, il a accepté de faire un travail avec moi. Nous devons donc faire un court-métrage sur quelque chose qui nous correspond. Moi, j'ai choisi les légendes amérindiennes qui entourent ma famille. Et lui, ça le passionne comme thème. Autant dire qu'on s'est bien trouvés. Salut. Il passe une main dans ses cheveux bouclés ce qui lui confère une certaine innocence : il retrouve les traits enfantins que j'aime bien chez lui. Hey. Tu vas bien ? Tranquille. Je trouve notre conversation pitoyable. Je déteste avoir de tels échanges avec les gens, ça me donne l'impression de ne rien avoir d'autre à dire, d'être totalement inintéressant. Entre, fais comme chez toi. Il me fait un sourire timide, visiblement gêné de s'imposer chez moi. Du moins c'est l'impression qu'il me donne. Il passe le pas de la porte et est parcouru d'un léger frisson. Je réprime un sourire : moi aussi j'ai eu cette sensation en entrant la première fois dans ce lieu. J'avais l'impression d'être le seul à ressentir cette aura négative. Mais il ne dit rien, certainement par politesse. On est certes devenus des... amis, on va dire ça, mais on ne se connaît pas encore assez pour des familiarités quelconques. Il inspecte les lieux du regard un instant et je reste sans bouger dans l'entrée, gêné car je vois bien que notre manoir tout défraîchi ne doit pas correspondre au luxe dont il est habitué (Dylan est riche mais il ne s'en vante pas). On a beau faire plein de travaux avec Terry - et on a d'ailleurs fait du très bon boulot ! - ça reste une antiquité pleine de poussière et sombre à tous les recoins. On retrouve toujours plein de babioles appartenant à grand-mère. Bref, ce n'est peut être pas du meilleur goût à ses yeux, mais l'essentiel est qu'il ne me partage pas son avis, quel qu'il soit. Je ne peux pas m'empêcher d'admirer sa carrure fine et élancée quoi que musclée comme il faut. Ce corps d'adulte détonne tellement avec cette bouille gamine que je suis toujours fasciné en le regardant. Mais je sors de ma contemplation pour aller nous servir deux bières avant de venir le retrouver dans le salon. Je lui tends la bouteille et il la prend en me remerciant d'un signe de tête. Je m'installe ensuite confortablement dans le canapé un peu vieillot que nous avions gardé et je me penche vers la table, saisissant papier et crayon que j'avais préalablement installé. Bon on commence ?, je demande avec un petit sourire. J'ai hâte de faire ce projet, il m'a tout de suite plu. Et les légendes, quoi de plus intéressant ? Parle-moi de toi. Je reste interdit un instant. Sa question me déroute. Nous ne sommes pas là pour que je lui raconte ma vie. Je suis complètement pris au dépourvu. Euh... Comment ça ? Ses fines lèvres s'étirent en un léger sourire attendri. Ben on va faire un film sur les légendes qui bercent ta famille ? Alors je veux tout savoir. Sur ces histoires, sur toi, sur tout. Je veux mieux te connaître. Je demeure interdit quelques secondes supplémentaires. C'est juste que ma vie n'est pas très intéressante... Ça ne me dérange pas, bizarrement, de partager mon passé avec lui. Alors que j'aurais détesté le faire avec quiconque d'autre. Ça c'est toi qui le dis. Puis il y a son sourire bienveillant, son regard intéressé qui me rend important, son ton calme et son attitude respectueuse, dans l'attente d'en savoir plus sur ma personne. Et c'est ainsi que je lui raconte tout, de mon enfance à nos jours, en passant par le décès de mes parents, ma tentative de suicide et ces légendes, toujours ces légendes. On passe la soirée à ça. Je parle et il m'écoute, en silence, ponctuant parfois mon monologue de quelques remarques. Il réagit parfaitement à tout ce que je lui dis, il sourit, il a de la compassion. Il n'en fait pas trop. Juste assez. Il est parfait. Je n'en reviens toujours pas de m'être livré aussi facilement à ce type que je connais à peine. Mais bordel que ça fait du bien !

Je me sens ridicule. Complètement ridicule. Je me tiens devant sa porte d'entrée, le poing levé, prêt à frapper. J'ai peur. Je suis gelé et trempé par la pluie qui tombe sans discontinuer dans mon cou, dans mes cheveux. Je fais pitié. Je suis pathétique. J'ai honte de me présenter ainsi à lui. Et si ses parents venaient ouvrir ? Non, il m'a dit qu'ils étaient en voyage d'affaire. Je pousse un grand soupire. Courage. Faut dire que je n'en ai plus beaucoup ces derniers temps. Tout devient tellement bizarre. Ma main frappe trois fois sur la porte de bois massif en face de moi. J'ai l'impression que les coups résonnent dans le silence de la nuit. Il est une heure quinze du matin. Mon coeur bat à mille à l'heure, je suis paniqué. Par ce qui vient de se passer puis parce que j'appréhende sa réaction. J'attends environ une minute devant le perron et, alors que je m'apprête à tourner les talons, la porte s'entrouvre et une tête chevelue dépasse dans l'embrasure. Nahuel... Qu'est-ce que tu fais là ? A ce moment, j'ai honte. Je me rends compte que pour une histoire absolument stupide je le dérange en pleine nuit, qu'il va se foutre de ma gueule et m'envoyer balader. Dylan n'a pas l'air très fatigué, au contraire il a les yeux grand ouvert, comme si je ne venais pas de le réveiller. Je ne sais pas quoi répondre. Je suis parcouru de tremblements incessants, je claque presque des dents. Entre. Je m'exécute sans un mot. C'est la première fois que je rentre chez lui. Je m'étais déjà arrêté devant la grande bâtisse mais je n'avais jamais passé le palier. Tout est magnifique. Le parquet est poli et bien entretenu et il s'accorde parfaitement avec le mobilier ancien et certainement très coûteux disposé dans la pièce. Je me rends finalement compte qu'entre chez lui et chez moi, c'est vraiment le jour et la nuit. Aussi ai-je honte de l'avoir amené chez moi à plusieurs reprises. Tu veux boire quelque chose ? Je me tourne vers lui. Il a l'air sérieux, mais n'a pas l'air de m'en vouloir, ni d'être en colère. Non... Non merci. Je n'ose pas vraiment bouger ni toucher à rien. J'ai peur d'abîmer ou de salir les choses. Faut dire que je fait peine à voire avec mes airs de chien mouillé vêtu d'un simple jogging et d'un t-shirt noir. Dylan quant à lui est en jean (mais j'imagine qu'il vient de l'enfiler) et en tank top blanc. Il me paraît si grand, si fort, si sûr de lui en cet instant. Je... Je n'aurais pas dû venir. Désolé. Il revient au salon avec deux verres d'eau et m'en tend un. Je le prends sans réfléchir. Mais tu es là. Installe-toi et raconte. J'hésite encore un moment et je m'assied au bord d'un des canapés noirs. Tu vas me prendre pour un fou. Il me lance un sourire bienveillant en s'installant à côté de moi, à ma droite. Mais non. J'avale difficilement ma salive. Je suis ridicule. Je... Je crois qu'il y a quelque chose avec le manoir. Je marque une courte pause, cherchant les bons mots pour lui exposer la situation sans paraître pour un échappé de l'asile. Depuis qu'on s'est installé, je me sens mal à l'aise dès que je passe le pas de la porte. J'en sais rien, c'est comme si la maison dégageait une mauvaise aura, tu vois ? Il hoche la tête, le plus sérieusement du monde, comme si ce que je disais n'avait pas ni queue ni tête. Et... C'est de pire en pire. Et cette nuit, je suis descendu me prendre à boire et j'ai entendu des bruits venant de la cave. Comme si quelque chose était enfermé à l'intérieur et qu'il voulait sortir. J'ai demandé si c'était mon frère mais personne ne m'a répondu. J'ai alors pensé à un chat ou quelque chose comme ça mais on n'ouvre jamais la porte et puis... par où serait-il passé ? Et dès que j'ai haussé la voix il y a eu un silence. Alors j'ai enfin cru que ce n'était que le fruit de mon imagination alors je suis remonté me coucher. Sauf que... Je commence à trembler. J'ai tellement pitié de moi et honte de lui offrir un pareil spectacle. Mais je ne peux pas m'en empêcher. J'ai besoin de dire ça à quelqu'un. Ça va aller. Sauf que j'ai commencé à entendre plein de courants d'air venant du rez-de-chaussée. Mais c'était impossible car les fenêtres étaient toutes fermées... Et puis une porte à commencé à grincer, puis à claquer. Et là, je sais pas, j'ai paniqué. Je dois me faire des films, être trop plongé dans mes légendes mes bordel Dylan j'ai peur. Je... Grand-mère refuse de me croire et Terrence... Ça sert à rien de lui parler de toute façon. Alors j'ai pensé à toi et... Je soupire, je tremble toujours plus sous le coup de la panique. Tu as bien fait. Je dévisage Dylan. Il ne me prend pas pour un fou. Non, il me prend très au sérieux ! Je suis soulagé, mais je continue de repenser à toute cette histoire, et j'ai peur. Chhht, ne t'inquiètes pas. Je suis là maintenant. Il passe un bras autour de mon épaule et me sert contre lui. Ma tête repose sur son torse et j'écoute les battements de son coeur. Je suis bien. Je me calme peu à peu. Sa main gauche vient caresser doucement mes cheveux. Je sais que cette situation est étrange, qu'elle n'aurait jamais dû se produire entre deux amis. Mais je ne veux pas me poser d'avantage de questions pour le moment. Je me laisse berce par son rythme cardiaque et je respire son odeur. Je m'endors.

déjà, merci beaucoup d'être arrivé jusque là. si tu es intéressé(e) par dylan alors j'espère que la suite ne te bloquera pas, je l'attends vraiment avec impatience !  
• avatar : l'avatar peut être négociable (j'hésite encore beaucoup pour tout dire) avec liam payne même si pour le coup ce second choix correspondrait moins au personnage que j'ai créé autour du physique d'harry. à la base, nahuel m'est venu d'une fiction larry alors pour son lien amoureux, je ne voyais que harry. et encore maintenant j'avoue que je préférerais voir sa petite bouille frisée se ramener sur le forum. mais suite à quelques mauvaises expériences avec ce scénario j'ai décidé de le modifier complètement et d'offrir une autre possibilité. après tout, je ne veux pas de quelqu'un intéressé uniquement par les avatars, le lien est bien plus important. par ailleurs, si tu décides de prendre styles (je t'aime très très fort ) je le verrais plus dans son physique de l'époque, c'est à dire les cheveux relativement courts et un visage assez mignon, quand il était méga hot quoi, parce qu'autant se le dire : il devient fichtrement moche.
• pseudo : le prénom est négociable même si j'aime beaucoup dylan. tout le reste est au choix. j'imaginais un nom de famille assez prestigieux (ou du moins qui fasse prestigieux pour aller avec une famille riche) du genre marshall, huntington, etc. sinon il pourrait avoir "duke" en surnom donné par ses parents mais trouverait ça tellement ridicule qu'il détesterait qu'on l'appelle ainsi. après, encore une fois, c’était une idée comme ça mais fais vraiment ce qui te plait le plus, c'est l'essentiel.  
• personnage : si tu as la moindre question concernant le personnage, son caractère, son histoire, tout ça, n’hésite pas à m'envoyer un mp. j'aime les mps.  
• niveau : je risque d'être un peu plus difficile à ce niveau-là. j'attends pas le nouveau baudelaire mais j'aimerais un rpgiste avec un minimum d'expérience et qui ne fait pas trop de fautes. je risque d'être assez à cheval là-dessus d'ailleurs - j'en fais, comme tout le monde, mais il y a des limites quoi. et surtout j'aimerais quelqu'un qui s'imprègne bien de dylan. et si possible quelqu'un qui fasse attention à son profil. un bon niveau quoi. je sais que ça fait beaucoup d'exigences pour ce scénario mais j'ai du mal avec les images google en guise d'avatar...
• présence : là je suis bien moins pénible. une réponse par semaine me suffit et encore j'accepterais des retards. j'aimerais juste quelqu'un de motivé par le perso et qui l’interprète bien. après chacun son rythme pour rp. juste on évite le membre fantôme quoi.
enfin voilà, si tu n'es toujours pas dégoûté alors pitié cours appuyer sur le bouton "s'enregistrer" et tu feras de moi l'être la plus heureuse de cette planète (maiiis non j’exagère pas). j'te ferais même des babies si tu le demandes, ça se refuse pas.      

bon, je sais que le scénario est censé être pris mais la personne est pas venue depuis un mois et j'ai vu aucune absence. alors je me suis dit que j'allais montrer ma petite tête pour voir s'il m'était possible de tenter le scénario.

je peux changer le prénom, j'ai mis daniel parce que je trouvais que ça faisait classe, mais c'est vrai que tu as déjà un danny avec ton aurel. si vraiment tu veux changer, choisis parmi ceux-là mon ange :

dennis
blair
bradford
cade
callahan
irving
lachlan

puis je m'arrête là, tu trouveras sûrement ton bonheur là-dedans. j'suis pas difficile.

bah justement j'en sais rien parce que je les aime tous. bon, si tu veux vraiment pas décider, j'vais jouer ça au hasard avec des p'tits bouts de papier.

Le hasard a bien fait les choses alors, j'aime beaucoup ton pseudo !

t'es chou