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| meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. | |
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Auteur | Message |
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| (#) Sujet: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 18:54 | |
| Meghan Sienna Everhardt"elle a conclu d’un geste vague, comme si tout cela ne hantait pas ses nuits, ne la rongeait pas par petits bouts, comme si tout cela au fond n’avait pas d’importance."PRÉNOM(S) ET NOM: meghan sienna everhardt.. SURNOMS: ses plus proches amis l’appellent meg’ sous prétexte que c’est plus rapide, mais la jolie blonde déteste qu’on écorche la moindre syllabe de son prénom, pour son papa elle est -princesse meghan- ni plus, ni moins. ÂGE: vingt-trois ans et demi, elle est née à new-york le vingt-cinq décembre 1991. NATIONALITÉ: américaine mais new-yorkaise depuis toujours, elle a des origines allemandes et françaises du coté de son père ce qui lui vaut ce nom de famille parfaitement imprononçable et constamment maltraité par des personnes trop peu cultivées. ORIENTATION SEXUELLE: hétérosexuelle. STATUT CIVIL: constamment célibataire mais jamais seule, meghan profite de l’ivresse de la jeunesse sans jamais s’enfermer dans une relation sérieuse. EMPLOI/ÉTUDES: meghan étudie depuis quatre années déjà les rouages complexes des marchés financiers mondiaux. SITUATION FINANCIÈRE: avant, elle roulait sur l’or, à une vitesse supersonique, tellement vite qu’elle n’a pas eu le temps de freiner pour éviter l’obstacle. AVATAR: teresa palmer. CRÉDIT: avatar : astoria, image et gif : tumblr, code la signature : moi-même. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Meghan garde un souvenir parfaitement délicieux de l’époque où elle était au lycée. Elle se rappelle qu’elle était considérée par tous comme la reine des abeilles. Les gens virevoltaient autour d’elle avec un acharnement permanent dans le but de faire parti de son cercle. Constamment entourée, Meghan s’épanouissait comme une fleur parce qu’elle avait tout pour être heureuse. Elle profitait pleinement des joies éphémères de l’adolescence, du bonheur conféré par l’argent de ses parents. Sa beauté classique, transmise par maman, lui ouvrait aisément des portes, pour le reste, elle misait tout sur son intellect supérieur à la moyenne et son goût pour les chiffres. Meghan, c’était cette fille dans le vent en quête de perfection et ambitieuse comme personne. On l’admirait, on voulait marcher à ses cotés, on l’a savait promise à un avenir brillant.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Heureuse, elle l’est pas Meghan, ou du moins elle ne l’est plus. Au lycée, elle s’était imaginée un futur doré avec des études prestigieuses, un job de rêve au sein d’une compagnie financière de renom, elle se voyait déjà en haut de l’affiche et arpenter les meilleures soirées de la grosse pomme. Avant d’atterrir à White Oak Station, la jolie New-Yorkaise pouvait se vanter d’être l’une de étudiante les plus brillante de Columbia, mais ça c’était il y a six mois, et maintenant, lorsqu’elle regarde en arrière, elle a l’impression douloureuse que ça fait une éternité. Miss Everhardt brillait en société, jouissait de son indépendance, gravissait les échelons à la vitesse de l’éclair. Elle s’était convaincue que sa bulle diamantée resterait intacte à jamais. Mais ça, c’était avant. Avant que son papa ne soit condamné à trente ans de prison, et qu’elle doive déménager ici pour sa sécurité.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Dans dix ans, Meghan elle ne se voit nulle part, où du moins elle préfère ne pas y songer. Cette année, elle a compris que la vie pouvait jouer de véritables sales tours et que rien n’est écrit d’avance. Son souhait le plus cher serait de rendre à sa famille ses lettres de noblesse. Elle espère pouvoir retourner à New-York un jour et montrer à toutes les personnes médisantes qu’elle est capable de se débrouiller par elle-même, qu’elle n’est pas comme son père et ne commettra pas les mêmes erreurs. Ici, à White Oak Station, elle souhaite prendre un nouveau départ et recommencer à zéro. L’avantage de cette petite ville en plein coeur du Canada c’est que personne ne l’a connait et qu’elle ne connait personne. L’anonymat, c’est justement ce dont elle a besoin après la folie médiatique dont elle a été victime pendant ces derniers mois.
Pour la répartition des groupesCe questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff. Pour indiquez votre réponse, il suffit d'ajouter checked juste après name="question" correspondant à votre réponse (n'hésitez pas à nous faire signe si vous avez de la difficulté).Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener:
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Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir :
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hors-jeuPRÉNOM ET/OU PSEUDO: juliette/pyramids. ÂGE: vingt et un ans PAYS: france. PRÉSENCE: 3/7 on va dire, ça dépend des périodes. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? merci laura hahaha. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? inventé. AUTRE CHOSE À AJOUTER? absolument pas .
Dernière édition par Meghan S. Everhardt le Jeu 31 Juil - 22:33, édité 12 fois |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 18:54 | |
| L'argent en soi n'est pas gagné ou perdu, il est simplement transféré d'une poche à une autre poche, voilà tout. C'est comme un tour de magie.Meghan Sienna Everhardt 1991-2014Meghan est née à New-York, quelque part entre les buildings qui touchent les nuages et les avenues interminables. Elle est l’enfant d’une mégapole et ça se voit. Meghan elle n’est pas sur le même fuseau horaire que vous. Elle vit à cent à l’heure, elle ne s’arrête jamais. Lorsqu’elle était gamine, elle regardait les lumières de la ville à travers les baies vitrées de son penthouse sur la cinquième. Dans la ville qui ne dort jamais, ces lumières éclatantes remplaçaient les étoiles. L’enfance de Meghan était parfaite, remplie de bonheur au quotidien. Elle évoluait dans un monde privilégié où l’argent était roi, à cinq ans son papa l’avait sacré princesse de Manhattan. Le week-end, elle parcourait les chemins boisés de Central Park, la semaine on payait une petite fortune pour qu’elle puisse suivre son cursus scolaire dans la meilleure école privée de TriBeCa. Aussi, Meghan était promise à un avenir tout aussi radieux, un avenir où se mêlerait parfaitement le luxe et l’ascension sociale. Un chemin pavé de diamants avait été tracé rien que pour elle. L’insouciance de l’enfance, c’était quelque chose de précieux, quelque chose qu’elle aurait aimé conserver un peu plus longtemps. Déjà à l’époque, elle admirait son papa avec un engouement sans précèdent, et lorsqu’on lui demandait ce qu’elle voulait faire plus tard, quand elle serait grande, elle répondait sans la moindre hésitation, qu’elle voulait conquérir Wall Street. Elle se fichait pas mal de devenir une star du cinéma, de chanter des absurdités sur Broadway, de se pavaner en bord de mer à Santa Monica. Meghan, elle ne voulait pas devenir infirmière ou maitresse d’école, elle avait des ambitions plus incroyables que les autres gamines de sa classe. Son papa, c’était le roi de Wall Street, celui qui avait tout la planète finance dans sa poche. Requin du monde des affaires, il était à la tête d’une des sociétés d’investissements les plus florissantes de la cote Est. Ses clients étaient tous des personnalités foutrement fortunés, stars du showbiz, hommes politiques, patrons de multinationales. Alors Meghan, elle voulait faire pareil plus tard, apprendre tout ce qu’il y avait à savoir sur la finance, l’argent, les placements, la bourse, et marcher dans les pas de Paul Everhardt. Sa mère elle disait que c’était un lubie, que c’était passager et qu’avec le recul sa princesse désirerait ouvrir sa galerie d’art à Soho où partir étudier les langues étrangères en Europe. Elle se disait que les filles comme Meghan n’étaient pas faites pour un emploi aussi stressant, pour un environnement aussi nuisible que Wall-Street. Sa fille, elle l’imaginait mannequin en couverture du prochain Vogue, dans les pages mondaines du New-York Post, définitivement pas engoncée dans un tailleur Chanel à jongler avec les chiffres. Elle avait bien tenté de la raisonner deux ou trois fois, en vain. Meghan elle avait hérité du caractère inflexible de son père. Les négociations n’étaient pas envisageables, et quiconque oserait se mettre en travers de son chemin subirait ses foudres apocalyptiques.
L’adolescence de Meghan était à la hauteur de la fortune de sa famille. Les Everhardt ne se refusaient rien. Voyages à l’autre bout du monde sur des iles paradisiaques, réceptions convoitées par le tout New-York, diners dans les meilleurs restaurants de la ville. Son existence se voulait fastueuse et luxueuse. Meghan roulait dans une berline allemande dernier cri, brillait en société grâce à sa réussite scolaire, fréquentait les plus beaux endroits. Elle surfait sur la vague de la popularité. Son physique irréprochable lui ouvrait toutes les portes. C’est ainsi qu’elle décrochait des stages ambitionnés par tous les étudiants de son école. Elle l’aimait cette vie là. La vie d’avant. Celle du bonheur qui prend la forme des bulles de champagne, celle des soirées qui s’achèvent à l’aube lorsque le soleil apparait derrière l’Empire State Building, celle où il n’y avait rien de plus excitant que de faire chauffer la carte bleue de papa chez Henri Bendel et Macy’s. Elle se complaisait dans cet univers, elle y avait trouvé sa place, son cercle d’amis. Jamais elle n’aurait penser un seul instant que tout ceci puisse disparaitre du jour au lendemain. Que son équilibre s’effondre et qu’il ne lui reste plus que cinquante paires de Jimmy Choo avec qui pleurer. Meghan, en plus d’être foutrement séduisante, elle a hérité de l’intelligence de son père, de son goût prononcé pour les affaires. Elle ne fait pas parti de la secte des pseudo-garces qui passent leur temps à mouver leurs corps dans des robes trop étroites sur la piste des boites de nuits branchées. Meghan déteste la vulgarité et prône l’élégance en permanence. Toujours bien habillée, elle fait attention à tout et surtout aux détails, ce que sa classe naturelle ne lui offre pas, elle le compense avec une robe parfaitement ajustée. De même, la médiocrité manque de lui donner une crise d’urticaire, et elle méprise avec un engouement sans précédent les personnes qui se contentent du minimum. Dans la vie, elle estime qu’il faut avoir des rêves, si possibles disproportionnés et mettre tout en oeuvre pour les concrétiser. Meghan a un sale caractère légitimé par son ambition, laissez passer votre chance, elle sautera dessus. Aussi, elle s’était persuadée d’atteindre des sommets, jusqu’à il y a six mois.
Everhardt, le nom le plus cité dans toute la presse de la Grosse Pomme. Les articles incriminaient son père, parlaient de scandales financier, d’arnaques et d’escroquerie. Une horde de journalistes assoiffés faisait le pied de grue devant son immeuble du matin au soir. Coupée du monde, elle était contrainte de vivre recluse dans le penthouse familial. Plus personne ne franchissait le seuil de l’appartement mis à part les avocats de papa, payés une fortune pour tenter de le défendre. Ses amis, soit-disant, l’oubliaient peu à peu. Meghan avait été une étoile filante, elle avait brillé puis elle s’était éteinte. En deux semaines, elle était passée du statut de VIP à Persona non-grata. Elle n’osait même plus sortir tant la folie médiatique qui s’emparait d’elle et des siens était ingérable. Elle délaissait Columbia et sa quatrième année de finance pour tenter de démêler le vrai du faux, pour tirer au clair les accusations qui planaient au dessus de la tête de son père. On racontait que Paul Everhardt avait en parfaite connaissance de cause détourné l’argent de ses principaux investisseurs à des fins personnelles. Le FBI, la police, l’autorité des marchés financiers, tous voulaient sa peau. Le roi de Wall Street était déchu. Robin des bois volait aux riches pour donner aux pauvres. Paul Everhardt volait aux riches, aux pauvres, à tout le monde pour renflouer ses propres caisses. L’arnaque durait depuis des années, mais une erreur d’appréciation avait dévoilé la supercherie aux yeux du monde entier. Combien de familles étaient désormais ruinées par sa faute ? Combien de personnes désiraient voir sa tête plantée au bout d’une lance ? Trop. Beaucoup trop. Le procès dura des mois. Des mois durant lesquels il craquait, reconnaissait les faits, avouait avoir voulu tromper tout le monde, s’être laissé prendre au jeu de l’appât du gain. Enfermée avec sa mère, protégée par une demie-douzaine de garde du corps dignes d’une série B, elle était dans l’attente de la sentence. Elle lisait les larmes aux yeux les lettres de menaces qui arrivaient par centaine. Meghan ignorait comment elle pourrait se sortir d’affaires cette fois-ci, comment elle pourrait retrouver sa vie d’avant. Son père était allé beaucoup trop loin, et même la fortune de Bill Gates ne suffirait pas à faire changer les juges d’avis. Ils allaient l’envoyer en prison, pour le reste de sa vie. (…)
White Oak Station. Ville inconnue au bataillon, perdue au milieu de nulle part. Ici, il n’y a pas de taxis jaunes, de superbes avenues remplies de néons, pas de fashion-week, pas de stars du ciné. Le mois dernier son papa est entré en prison. Condamné à passer les trente prochaines années de sa vie dans une cellule grisâtre en combinaison orange. Sa mère est restée à New-York pour s’occuper de la paperasse administrative et pour garder contact avec son criminel de mari, comme ils disent. Meghan, on l’a envoyé contre son gré et pour sa sécurité dans cette bourgade paisible peuplée de sapins. En effet, sa maman avait hérité d’une maison de campagne excessivement grande dans le coin, alors c’était la solution de facilité. Contraindre Meghan à aller là-bas, où la presse n’irait pas s’aventurer, où les gens ne connaitrait pas son histoire. -Tu pourras démarrer une nouvelle vie- c’est ce qu’on lui avait rabâcher pendant des semaines. Sauf que de cette vie elle n’en voulait pas. Elle voulait Wall Street et Columbia, pas poursuivre son cursus dans une université mal cotée. « You can’t always get what you want » qu’ils disaient les Stones, sans avoir conscience de la véracité de leurs propos. Voilà comment sa chanson préférée était désormais un hymne funéraire, celui qui enterrait définitivement sa vie d’avant. Bienvenue à White Oak Station Meghan, bienvenue en Enfer.
En vrac - Meghan est issue d’une famille fortunée - avant de finir en prison pour escroquerie, son papa était le roi de Wall-Street - Aujourd’hui il croule en prison - admirative de son papa depuis toujours, elle suit des études poussées dans le domaine de la finance et elle compte bien revenir un jour à New-York pour rendre à sa famille ses lettres de noblesse et essuyer cet horrible scandale - elle étudiait dans la prestigieuse université de Columbia avant d’échouer contre son gré à White Oak Station - elle habite dans une maison abominablement grande à l’écart du centre-ville, une maison de famille - Meghan est dotée d’un caractère bien trempé et d’une répartie à toutes épreuves - elle peut être aussi adorable que détestable - on lui reproche souvent d’avoir des manières de princesse et d’être une vraie fille de la ville - elle adore la mode et s’habille toujours avec élégance - elle déteste les personnes vulgaires et peu ambitieuses - Meghan est passionnée par un nombre incalculable de choses, les voyages, la décoration d’intérieur, les oeuvres d’art et la presse - sa ville favorite en dehors de New-York c’est Rome - c’est une fan inconditionnelle des Rolling Stones et de Leonardo Di Caprio - elle adore les comédies romantiques mais ne l’avouera jamais - elle est végétarienne depuis qu’elle a quinze ans et qu’elle a vu un reportage atroce à la télévision - elle adore faire du footing mais manque cruellement d’endurance - elle ne fume pas mais adore boire des cocktails et faire la fête - elle est incroyablement belle et ce, sans en faire des tonnes - parfois égoïste, elle n’est pas superficielle - elle n’aime pas la campagne et craint sérieusement son installation ici. (...). .
Dernière édition par Meghan S. Everhardt le Sam 2 Aoû - 22:15, édité 8 fois |
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lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 19:06 | |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 19:08 | |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 19:23 | |
| Juliette Officiellement bienvenue sur le forum ^^ |
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kill em with kindness
› inscription : 21/08/2013 › pseudo : shiver./sarah. › crédit : spleen ocean/tumblr.
› statut civil : célibataire. › occupation : serveuse au madison grill & mannequin à ses heures perdues.
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 20:11 | |
| Obligé Dès que tu fais ton histoire, je lis ça pour nous trouver quelque chose ^^ |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 22:29 | |
| Merci tout le monde Tu connais déjà les grandes lignes Laura, mais ça se précise doucement dans ma tête :) |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Mer 30 Juil - 23:21 | |
| Oui mais je sais aussi comment t'écris, je sais que ça va me donner de l'inspi |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 1:36 | |
| bienvenue officiellement! j'adooore ton pseudo. bon courage pour ta fiche, j'espère que tu vas te plaire parmi nous! |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 6:47 | |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 9:43 | |
| Reve pas trop ! (Mince je voulais faire le fuck mais il ny est pas ) |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 11:57 | |
| si, il y est. (genre je m'incruste pas trop ) |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 13:20 | |
| Bienvenue parmi nous et bon courage pour le reste de ta fiche! |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 14:14 | |
| Vous battez pas et d'où tu te permets de me faire des fuck laura ? on peut savoir ? je vais te fouetter tu vas rien comprendre Merci, merci |
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› inscription : 16/03/2013 › pseudo : charney (rose) › avatar : melissa benoist. › crédit : charney (ava).
› statut civil : célibataire. › quartier : dans un petit appartement, sur downtown area. › occupation : étudiante en droit, spécialisation en crime familiaux. barmaid au old pub.
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 22:15 | |
| Merci beaucoup, j'avance doucement mais sûrement (d'ailleurs je pense pas faire aussi long que d'habitude, donc ça devrait pas tarder). |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. Jeu 31 Juil - 22:32 | |
| C'est cela oui et puis d'abord je râle pas, pas du tout même |
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| (#) Sujet: Re: meghan s. everhardt ~ bring the beat back, that's right. | |
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