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| + nothing left to lose (madeleine) | |
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| (#) Sujet: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 9:38 | |
| madeleine joan dupréWomen and cats will do as they please, and men and dogs should relax and get used to the idea.PRÉNOM(S) ET NOM: Madeleine, du gâteau préféré de sa mère, Joan d'une certaine rockeuse et Dupré, un nom qui pour l'instant n'est pas particulièrement connu. Lorsqu'elle aura gagné un grand prix pour ses recherches dans le domaine de la neuroscience, elle compte être reconnue de tous. SURNOMS: Elle n'aime pas qu'on lui attribue de surnom, mais si vraiment vous ne supportez pas Madeleine, elle autorise Maddie. ÂGE: Elle a dix-huit ans. NATIONALITÉ: Elle possède la nationalité canadienne et possède des origines qui vont également en France. ORIENTATION SEXUELLE: Elle est hétérosexuelle. STATUT CIVIL: Être en couple, ce n'est pas vraiment pour elle. Madeleine est célibataire et compte le rester. EMPLOI/ÉTUDES: Elle est actuellement étudiante en médecine. SITUATION FINANCIÈRE: Elle est assez pauvre, comme sa famille. AVATAR: Holland Roden. CRÉDIT: tumblr. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Ma vie au lycée était tout ce qu'il y a de plus parfaite. Bien évidemment, je ne considère pas cette période de ma vie comme étant la plus heureuse, je suis consciente qu'avec le développement de notre cerveau à cet âge et la pression exercée par nos pairs, l'expérience ne peut pas être idyllique. Mais il y a un point sur lequel je suis plus que satisfaite : mes résultats scolaires. J'ai toujours été une élève modèle et cela n'a pas changé en arrivant dans les dernières années avant mon diplôme. Ayant normalement des facilités, mon travail acharné me permit de me hausser en haut du podium durant tout mon temps dans l'établissement. J'ai, de plus, été élue présidente de ma classe, et ais œuvré à rendre l'espace du lycée plus agréable pour tout le monde. La majorité de mes temps libres durant les pauses était passé à étudier, que ce soit le programme de ma classe ou de celles supérieures pour me préparer à être la meilleure. Niveau social ? Oh, j'avais des amis. Je n'étais pas la fille la plus populaire au monde, car je n'avais pas le temps de mener de grandes campagnes pour me hisser en haut de la pyramide sociale, mais j'avais un groupe d'amis. Deux, plus particulièrement, qui me tiennent particulièrement à cœur, encore aujourd'hui.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Je pense être tout à fait heureuse. Il ne m'a jamais fallu beaucoup pour me sentir bien, et je n'aspire à rien de plus que je n'ai déjà. Mes études se passent à merveille, bien entendu, c'est très différent du lycée. Lors des premières années de médecine, c'est surtout de l'apprentissage par cœur, et ça fait beaucoup de choses à emmagasiner. Heureusement, j'ai une assez bonne mémoire donc cela m'est moins ardu que pour certains autres étudiants. Ma vie sociale est assez bien remplie, plus qu'au temps du lycée étrangement, même si je n'ai pas beaucoup de temps à accorder à mes amis. J'essaie de passer du temps avec mes deux meilleurs, du temps du lycée, et j'essaie de contacter régulièrement le reste de mon entourage. Niveau amoureux ? Oh, je ne suis pas fille à chercher le grand amour. Je suis tout sauf romantique et je ne crois pas au prince charmant, pas dans un temps où le divorce est si présent dans les mœurs et statistiques. Bien entendu, je fréquente des garçons, par ci par là, mais ce n'est jamais très sérieux. De toute façon, comme je l'ai dit, je n'ai pas tellement de temps. Je ne sais pas quels sont les autres facteurs du bonheur, j'ai de bons contacts avec ma famille, je suis persuadée de bien m'en sortir professionnellement quand le temps sera venu.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Oh c'est très simple. Je me vois grande neuroscientifique, détenant déjà plusieurs awards pour mes recherches dans le milieu. Je ne sais pas si je serai particulièrement riche, et honnêtement, ce n'est pas mon but. Les médecins, en tout cas dans la branche dans laquelle je m'oriente, sont bien sûr assez aisés, mais je n'aurai pas le temps de collectionner des voitures ou de chercher la plus grande villa dans laquelle m'installer. Je souhaite aider le maximum de gens, révolutionner le monde de la médecine. C'est mon unique but. Je ne me vois pas mariée, pas avec des enfants, de toute façon, je ne pense pas que je pourrai atteindre mes objectifs si je m'arrête pour me consacrer à une vie de famille. Ce n'est pas pour moi. J'espère que mes amis, bien évidemment, seront toujours autour de moi, mais il se peut que mon cercle ait changé d'ici là.
Pour la répartition des groupesCe questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff. Pour indiquez votre réponse, il suffit d'ajouter checked juste après name="question" correspondant à votre réponse (n'hésitez pas à nous faire signe si vous avez de la difficulté).Le matin, quand il est l’heure de se lever :
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère :
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis :
En vacances, je:
En ville, je préfère me promener:
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Ce qui me permet d’avancer dans la vie...
Avec les amis, j'adore:
L'élément qui m'attire le plus:
Un défaut que je me reconnais volontiers...
Le soir, avant de m'endormir :
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hors-jeuPRÉNOM ET/OU PSEUDO: cosima. ÂGE: vingt ans. PAYS: france. PRÉSENCE: 7/7. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? bazzart il me semble. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? scénario. AUTRE CHOSE À AJOUTER? non .
Dernière édition par Madeleine J. Dupré le Ven 16 Mai - 10:11, édité 7 fois |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 9:38 | |
| Be yourself; everyone else is already taken.Listen to the mustn'ts, child. Listen to the don'ts. Listen to the shouldn'ts, the impossibles, the won'ts. Listen to the never haves, then listen close to me... Anything can happen, child. Anything can be. Ils ne savaient pas dans quoi ils s'étaient lancés en décidant d'avoir un premier enfant. La vie avait dû leur paraître trop morne, les jours se ressemblant les uns les autres et la routine s'installant petit à petit comme la poussière sous le canapé. Peut-être avait-ce été une erreur, auraient-ils dû réfléchir un peu plus longtemps. Si jeunes, c'était un véritable pari que d'élever un être de chair et de sang, et il sembla que la vie décida qu'ils n'étaient pas à même de gagner la mise. Deux ans. Durant deux ans, ils firent tout ce qui était en leur possible pour procréer mais rien, rien ne semblait fonctionner. Ils étaient misérables, les tests de grossesse s'amoncelant dans la poubelle avant même qu'ils ne pensent à consulter. Et on leur dit. Charles avait été tout confus, n'avait pas exactement compris ce qui avait été dit par le médecin, mais ce qu'il savait, c'est que jamais un enfant n'aurait ses gênes. Elle décida qu'ils pourraient vivre heureux sans personne, mais non. Il ne pouvait pas lui dénier ce bonheur, et lui même voulait plus que tout s'occuper d'une autre personne, qu'importe s'ils partageaient du sang. Ils firent appel à un donneur de sperme, et dès la première tentative d'insémination, Madeleine prit place à l'intérieur du ventre de sa mère. Neuf mois. Qu'elle préféra oublier, tant ils furent durs. Bûcher pour ramener de l'argent à la maison, pour être sûrs de pouvoir payer le loyer de leur misérable appartement. Ils n'avaient jamais fini le lycée, n'avaient pas de diplôme, étaient coincés dans des jobs dans lesquels ils n'évolueraient jamais. Et puis, elle arriva. Les cris et les pleurs furent leur quotidien pendant de longues années. Elle ne cessait de se demander s'il était normal pour un bébé de pleurer autant, l'emmenait pratiquement tous les jours chez le médecin pour s'entendre dire, une fois encore, que Madeleine était en parfaite santé. Un bébé qui avait hérité de la chevelure rousse de sa mère, qui ne pouvait s'empêcher de sourire lorsqu'elle entendait du jazz. Rapidement, la différence de leur enfant vint les frapper au visage. Cela vint avec la reconnaissance des visages qui vint trop tôt, et son envie d'apprendre à lire dès ses trois ans. Il ne lui fallut que peu de temps pour mémoriser les lettres et pouvoir déchiffrer les pages de ses livres favoris, laissant de côté les images pour les phrases. Surdouée, sûrement, disaient les médecins, qui s'émerveillaient tous devant sa curiosité, sa sensibilité et ses capacités intellectuelles. Ce fut avec difficulté qu'on la sépara de sa mère pour qu'elle se rende en maternelle, la petite fille s'accrochant aux jupes et restant fermement assise sur les chaussures de sa génitrice. Les autres l'effrayaient, elle n'avait jamais exprimé d'intérêt à partager la compagnie d'autres enfants, et elle y était maintenant obligée. Obligée de jouer comme les autres enfants, de faire des tâches ingrates. Quand elle pouvait, elle lisait, sa maîtresse de maternelle pensant qu'elle récitait les mots qu'elle avait déjà entendus autre part. Lorsqu'elle se rendit compte des capacités de Madeleine, elle poussa un saut de classe qui fut accepté par ses parents. Une classe, ce n'est pas grand chose, hein ? Et commençaient les vraies études. Compter, écrire, elle se prit d'une passion pour l'école à partir du moment où ce n'était plus qu'une garderie où l'on coloriait des jolis dessins. Une enfant exceptionnelle, tous disaient. À part son manque total de capacités sociales, elle ravissait ses professeurs. Seulement, elle tomba une année sur une maîtresse qui n'avait que faire de ses élèves, d'elle. La rabaissant à chaque fois qu'elle donnait son avis, l'aliénant par rapport aux autres élèves. Personne ne l'aimait, à part deux personnes, les seules qui semblaient lui porter un quelconque intérêt. La venue du collège était ce qui la poussait à se lever tous les matins et à marcher jusqu'à l'école publique. Ennui. Ennui total. À ce mot se résumaient ses journées au collège. Devant ses pleurs incessants, ses parents se renseignèrent sur les enfants qui pouvaient avoir les mêmes comportements qu'elle, se rappelant de ce qu'avaient dit les médecins dans son enfance. Un test avec une psychologue et elle fut catégorisée comme surdouée. Le manque d'argent de la famille les empêchant de la déplacer dans une école plus appropriée, ils l'inscrivirent à un atelier extra-scolaire qui réunissait des enfants qui, comme elle, faisaient partie de ce petit pour cent de la population. Ce n'était qu'un coup dans le vide, mais Madeleine prit confiance en elle. Les notes quasi parfaites de la jeune femme poussèrent le principal du collège à proposer un nouveau saut de classe, qui fut mal accueilli par sa mère. Ses parents voulaient qu'elle rentre dans le moule, et la mettre à deux années d'écart avec ses camarades semblait être trop. Cette fois-ci, ce fut la petite fille qui poussa ses parents à la laisser aller dans la classe supérieure, ce qui lui permettrait, entre autres, de retrouver ses meilleurs amis qui avaient tous deux deux ans de plus qu'elle. Peu à peu, Maddie apprit à ne plus se soucier de ce que les autres pouvaient penser, s'entourant de personnes qui lui voulaient du bien et se concentrant sur ses études. Son caractère devint fort et trempé, personne ne pouvait lui marcher sur les pieds ou la faire s'abaisser. Ses parents avaient beaucoup de mal à subvenir à tous ses besoins, et elle faisait de son mieux pour ne pas trop leur en demander. Elle aidait du mieux qu'elle pouvait à la maison, son emploi du temps tenant plus du chef d'entreprise qu'une simple collégienne. Madeleine ne se plaignait pas, jamais. Elle avait tout ce dont elle avait besoin, rien de plus, rien de moins. L'adolescence. Le moment des meilleures joies et des pires déceptions. Heureusement, son obsession pour la perfection de ses résultats scolaires l'écartèrent pendant un moment de toutes les expériences normales pour des jeunes femmes de son âge. Son corps se développa et avec cela, les regards des garçons se firent plus insistants. Au lieu de se cacher, Maddie, qui apprécia d'être enfin regardée et appréciée commença à prendre soin d'elle même. Maquillages, beaux habits .. Enfin, beaux dans la limite de ses moyens. Dès qu'elle eut seize ans, la jeune femme prit un petit boulot sur le côté pour pouvoir aider sa famille et s'acheter ce dont elle avait besoin. Rien de très compliqué, elle travailla dans un magasin de vêtements, ce qui lui permettait d'avoir des réductions pour constituer sa garde robe. Elle gardait la tête haute face aux réflexions sur son âge ou son comportement à l'école, et n'hésitait pas à répondre d'une langue acerbe à toutes les critiques. Avant même d'avoir vécu une relation amoureuse, elle savait que ce ne serait pas pour elle. Les garçons, elle commença à les prendre et à les jeter, à jouer. Ils l'appréciaient pour sa beauté, son intelligence, ou les deux, mais jamais elle ne prenait la peine de s'intéresser de près à eux. Et pour cause, le divorce de ses parents qui coïncida avec ses dix-sept ans. Un couple qui semblait plus amoureux que n'importe qui, déchiré. Elle décida de rester avec son père, tandis que sa mère déménagea en France. Madeleine ne perdit pas contact avec sa génitrice au contraire, elle lui passait de nombreux coups de fil et ne manquait jamais de prendre de ses nouvelles. À la fin du lycée, elle fut major de sa promotion et eut l'honneur de faire un discours à la remise des diplômes. L'université. Madeleine avait obtenu une bourse pour s'y rendre, sans quoi, elle aurait été obligée de travailler longtemps pour payer les frais. La médecine, c'était ce à quoi elle était prédestinée. Elle souhaitait révolutionner le monde de la neuroscience, et c'était des étoiles dans les yeux qu'elle s'était plongée dans les études supérieures, à tout juste quinze ans. Elle eut de nombreux regards à cause de son jeune âge mais ne s'en préoccupait guère, elle semblait enfin vivre dans cet endroit où tout le monde semblait aussi déterminé qu'elle à parvenir à ses fins. L'ambition qui l'habitait était sans limites, et elle essayait de se concentrer uniquement sur ses études. Seulement, il y avait quelqu'un qui lui restait dans l'esprit. Son meilleur ami, keallian, qui depuis un certain temps entretenait certains sentiments à son égard. Elle le savait, son intelligence ne se limitait pas au domaine des études, elle était également très forte pour comprendre les gens et deviner leurs pensées. Elle craint le jour où il se décidera à lui avouer, ne se sentant pas de s'engager avec personne, et ne souhaitant pas ruiner la relation qu'ils ont à ce jour. Une relation de couple, quand on les regarde, d'ailleurs, beaucoup pensent déjà qu'ils sont ensemble ... made by pandora.
Dernière édition par Madeleine J. Dupré le Ven 16 Mai - 14:31, édité 6 fois
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 10:52 | |
| merci |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 13:50 | |
| Tout est parfait je surkiffe ton histoire!!! MERCI MERCI MERCI d'avoir pris mon scéna et bienvenue parmis nous!!! |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 14:20 | |
| je n'ai pas encore fini mais je suis contente que ça te plaise, je t'enverrai un mp quand j'aurai tout écrit |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 14:41 | |
| bienvenue très bon choix de scénario. |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 14:52 | |
| merci ! (jen ) |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 15:58 | |
| La belle Holland ! J'espère que cette fois ci c'est bien la bonne pour ce beau pv ** Bienvenue parmi nous et bonne validation |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 16:16 | |
| merci à toi |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 17:26 | |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 17:28 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Super scénario |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 17:30 | |
| nahuel → merci à toi ! tu vas encore plus les shipper avec nous deuxvictoria → thank you |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 17:58 | |
| C"est bon pour moi la femme de ma vie est là!!!! |
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) Ven 16 Mai - 18:26 | |
| je dois choisir un des deux groupes ? si oui, je choisis looking forward ! et merci beaucoup |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
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| (#) Sujet: Re: + nothing left to lose (madeleine) | |
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