(#) Sujet: + love is made for me and you. Dim 17 Nov - 15:45
love is made for me and you.
if you ever leave me, baby. leave some morphine at my door. cause it would take a whole lot of medication to realize what we used to have, we don't have it anymore. there's no religion that could save me. no matter how long my knees are on the floor. oh so keep in mind all the sacrifices i'm making will keep you by my side and keep you from walking out the door.
Le regard absorbé par la route qui défilait devant moi, je roulais. J'avais cette vieille Harley achetée d'occasion chez un brocanteur et je m'étais promis de la remettre en état, voire même de l'optimiser. Une sorte de passe-temps. Pour l'instant elle n'était qu'à l'embryon des travaux mais elle était assez bien pour rouler. Et c'était toujours mieux que le bus. Je devais également avouer que le style motard me plaisait bien. Je n'étais pas vraiment un petit ange dans mon genre alors c'était un look qui me collait à la peau. Veste en cuir, jean et rangers. Simple et classe. J'avais donc prit la route, passant dans le centre ville sans vraiment me rendre compte de ce qui m’entourait. Il faisait plutôt gris et le vent soufflait fort, ce qui me déstabilisait un peu. Je venais d'achever une longue journée de travail. Une dizaine de clients, rien de moins. La première avait simplement demandé un symbole infini dans la nuque et ne m'avait prit qu'une demi-heure de mon temps. S'en était suivie une de ces filles qui n'osaient pas faire le premier pas et à qui je devais jouer le rôle de psychologue pour savoir si oui ou non elles voudraient faire ce tatouage. Ce qu'il y avait de bien avec moi c'était que je ne forçais pas les gens. Je pesais le pour et le contre avec eux et j'attendais leur consentement total avant de me lancer dans mon œuvre. Puis il y avait eu deux ou trois habitués des lieux, quelques demandes simples, une commande pour dans une semaine et finalement, mon ultime client : c'était un dessin que nous avions élaboré ensemble pendant environ un mois. Travaillé, complexe, aujourd'hui avait été le grand jour et pour ainsi dire j'étais plutôt satisfait du résultat. Le client aussi, alors c'était le principal. Cette séance de tatouage avait cependant été laborieuse et avait duré deux heures et demie. En sortant de là j'étais épuisé mais au moins, la journée était terminée.
En sortant de mon salon de tatouage près du centre commercial j'avais croisé la route de Zef. Un mec sympa dont je me méfiais un peu mais qui était un bon client aussi. Il m'avait invité à prendre un verre alors nous étions allé dans un bar discuter autour d'une bière. De tout et de rien, de choses plus ou moins intéressantes. Nous n'étions pas vraiment de gros bavards de toute façon. Je lui avais parlé de Matt, mon premier "petit ami". Déjà que je n'avais pas l'habitude des relations stables, le fait que ce soit un homme était d'autant plus perturbant. Puis je lui parlais de nos disputes également, du fait que je détestais me prendre la tête avec lui et que j'avais peur qu'il aille voir ailleurs avec son ex avec qui il avait gardé contact. Lâche prise, mec. S'il t'aime il te fera pas ça. J'avais laissé échapper un petit rictus du mec pas convaincu. Puis s'il va voir ailleurs tu lui rend la pareille... Ou alors tu le cocu avant comme ça t'es pas le baisé de l'histoire. Je buvais une gorgée de bière d'un air las. Merci pour tes précieux conseils mec, franchement je sais pas ce que je ferais sans toi. Ironie quand tu nous tiens. J'aimais Matt et je pouvais pas m'imaginer le faire souffrir en couchant avec quelqu'un d'autre. Y avait que lui qui m'intéressait de toute façon. Je terminai alors ma bière et réglais l'addition avant de sortir dans la rue. L'air frais m'avait brûlé le visage et pour me réchauffer j'avais sorti d'un geste devenu presque machinal une clope. Malboro, les meilleures à mon goût. J'actionnais le briquet lorsque Zef m'avait de nouveau rejoint. Tu devrais passer au niveau supérieur. Pour te détendre un peu, penser à autre chose, t'éclater, te faire des trips. Je tirais une taffe sans le regarder. C'est à dire ? Il posa sa main sur mon épaule, dans le genre du mec qui veut m'apprendre la vie. La drogue, mec. J'eus un nouveau rictus sarcastique. Ris tout c'que tu veux mais si un jour tu changes d'avis... J'en ai pour pas cher, me glissa-t-il avec un sourire. T'en prends pour combien ? Il affichait un sourire satisfait. C'était donc ainsi que pour la première fois de ma vie je me prenais de la drogue. Je glissais le petit sachet dans la poche avant de ma veste, celle au niveau des pectoraux. J'avais ensuite prit ma moto et j'étais parti, sur cette route où je me trouvais en cet instant, les roues de mon véhicule chauffant le bitume à cause de la vitesse à laquelle j'avançais.
C'était dans des bruits de moteurs à fort taux de décibels que je me rendais chez Matt. J'avais besoin de lui parler, de passer du temps avec lui. Les gens comme Zef avaient don de m'empoisonner l'esprit. Je ne voulais pas redevenir celui que j'étais, j'avais envie d'être un gars bien pour Matt. Mais je crois que c'est dans ma nature d'être un abrutis finit. La tentation, toujours plus forte, vient de tous les côtés et moi j'ai de plus en plus de mal à y résister. Et puis avec nos emplois respectifs, il était devenu difficile de se voir. Hors, j'en avais plus qu'envie, et il me manquait. Après tant de souffrance et de problème pour en arriver là, au stade de "couple", je n'allais pas tout ficher en l'air ! Arrivé en bas de son immeuble je garais ma moto, enlevais mon casque et le prenais sous mon bras. Je me dirigeais vers l'entrée et je composais le code que je connaissais par cœur désormais. Je traversais le hall en n'oubliant pas de jeter un coup d'oeil dans sa boîte aux lettres. Pas de courrier, il avait déjà dû passer. Je prenais enfin l’ascenseur et une fois arrivé à l'étage, sonnais une fois à son appartement. J'avais vraiment hâte de le voir.
love.disaster
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(#) Sujet: Re: + love is made for me and you. Lun 18 Nov - 1:58
I love you so much that sometime it’s scares me…
La nuit avait été courte, et malheureusement la journée qui avait suivi avait été trèèèèès longue. Un de mes collèges ayant été absent j’avais dû faire des heures supplémentaires au travail. Seulement j’avais toute la journée eu les pensées complétement ailleurs. Sans savoir pourquoi, mes cauchemars avaient refait surface récemment et en conclusion je ne dormais que 3 à 4 heures par nuit. J’étais totalement crevé mais je devais donner les cours de sport et tenir mon rôle de coach. J’avais eu trois cours à donner dans la matinée, ensuite j’avais eu à prendre en charge un jeune homme qui voulait commençait des entrainements assez régulier pour se muscler, puis j’avais eu quelques habitués avant de finir par un ami à moi, heureusement. Lorsqu’il avait était l’heure pour moi de finir j’avais rapidement quitté les lieux, saluant quelques collègues au passage. Rapidement arrivé dans mon appartement je m’étais déshabiller et m’étais glisser sous l’eau chaude qui m’avait un peu détendu. Ses cauchemars me mettaient dans un état de nerfs que je n’aimais pas beaucoup. Une fois rincé, je me séchais avant d’aller enfiler un simple boxer sur lequel j’enfilais un short avec lequel je dormais. Il faisait trop chaud pour porter un t-shirt, je restais donc comme ça. Ce fut ensuite la porte du frigo que j’ouvrais pour en sortir du lait, je me servis un bol de céréales avant de me laisser tomber sur le canapé de mon salon. J’allumais la télé, essayant de trouver quelque chose de pas trop à regarder, mais il n’y avait absolument rien. Je laissais un feuilleton à l’eau de rose tout en mangeant rapidement mon bol de céréales. Il aurait fallu que je nettoie un peu mon appartement mais pour tout dire je n’avais absolument pas la force. M’allongeant sur le canapé, me couvrant d’un plaid, j’attrapais mon iPhone. Aucun message, pas même d’Hassan. Je soupirais lourdement, il ne m’avait pas appelé ou écrit de toute la journée. Je savais qu’il devait surement avoir des trucs à faire, mais j’aurais aimé recevoir ne serait-ce qu’un simple petit SMS pour savoir qu’il pensait à moi. Souvent il m’arrivait de douter, de moi, de notre relation ou même de lui et ses sentiments. Ce n’était pas simple tous les jours certes, mais je savais que j’aimais Hassan. Je l’aimais plus que je n’avais jamais aimé. Même plus que je n’avais aimé Dylan, alors que j’étais resté deux ans avec lui. Dylan et moi étions resté de très bons amis à vrai dire et il était d’un grand soutient pour ma relation avec Hassan, souvent lorsque j’avais un doute, une question c’était vers lui que je me tournais. Certes les gens pourraient trouver ca bizarre, que je me confie à mon ex, mais il était un peu devenu mon meilleur ami au fil des mois. Mais Hassan me manquait, il me manquait terriblement. Nous ne nous étions pas vu depuis environ trois jours et j’avais l’impression de ne pas avoir pu me blottir contre lui depuis des semaines. Que faisait-il ? Pensait-il à moi ? Est-ce que je lui manquais ? Je ne pouvais m’empêcher de me poser ce genre de question lorsqu’il n’était pas là. Je soupirais lourdement. […] Je sursautais alors que la sonnette de mon appartement retentit. Je me rendais compte que je m’étais assoupi en pensant à Hassan. Je jetais un coup d’œil à l’heure, j’avais dormi environ une heure et j’avais l’impression d’être encore plus fatigué qu’avant. Je devais avoir une tête de déterrer et c’est seulement quand la sonnette retentit encore que je me levais pour aller ouvrir. Je resserrais la couverture autour de moi, me passant rapidement une main sur le visage avant d’aller ouvrir la porte. Je fus surpris de trouver mon petit ami sur le palier. Il avait l’air beaucoup plus en forme que moi et… Dieu qu’il était beau. « Hassan ? Hey. Qu’est-ce que tu fais là ? Entre. » Avant même qu’il ne réponde, j’attrapais son bras et le tiré à l’intérieur. Je fermais la porte et allait passer mes bras autour de sa taille. J’avais terriblement envie de dormir, mais j’avais encore plus terriblement envie de passer du temps avec mon petit ami. Je lui adressais un léger sourire avant de déposer mes lèvres sur les siennes, fermant les yeux. Mes mains se mirent à caresser ses hanches par automatisme alors que mes lèvres se mouvaient contre les siennes et que ma langue rencontra la sienne. A bout de souffle je finis par me séparer de lui et blottit mon visage dans son cou. Il sentait tellement bon… « Je suis content que tu sois là… Tu me manquais… »
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(#) Sujet: Re: + love is made for me and you. Dim 1 Déc - 14:57
love is made for me and you.
if you ever leave me, baby. leave some morphine at my door. cause it would take a whole lot of medication to realize what we used to have, we don't have it anymore. there's no religion that could save me. no matter how long my knees are on the floor. oh so keep in mind all the sacrifices i'm making will keep you by my side and keep you from walking out the door.
Je sonnais une fois, pas de réponse. Le silence complet. Juste mon souffle et les battements de mon cœur. J'avais peut être espéré trop vite. Oui, j'étais venu sans prévenir ni réfléchir, les mains dans les poches et la bouche en cœur. J'étais parti du principe que Matt serait tranquillement chez lui, assit sur son canapé à m'attendre. Je ne m'étais même pas suggéré qu'il soit allé faire un tour, sortir, prendre l'air. Je sais pas... Je devais avoir l'impression qu'il n'y avait qu'avec moi qu'il sortait. A y repenser cette idée était vraiment ridicule... et égoïste. Je sortais quand bon me semblais, je profitais de la vie et lui n'en aurait pas le droit ? C'était juste que j'avais peur de le perdre. Peur de perdre cet être si cher à mon cœur. Une personne que j'aimais plus que n'importe qui, plus que je n'ai jamais aimé. Je soupirais. Je n'avais plus qu'à rentrer chez moi du coup. M'affaler devant la TV avec un bon paquet de chips. Ou un pot de nutella, à voir. Mais je ne m'avouais pas de suite vaincu et sonnai une nouvelle fois. Là, j'entendis du bruit de l'autre côté de la porte. Il était donc là. Alors pourquoi ne m'avait-il pas répondu ? Était-il occupé ? Avec quelque chose ou... quelqu'un ? Non, j'en devenais vraiment parano, fallait que j'arrête.
La porte s'ouvrit enfin sur un Matt à l'air épuisé mais toujours aussi craquant. Hassan ? Hey. Qu’est-ce que tu fais là ? Entre. Je n'eus même pas le temps de répondre qu'il m'attira vers lui dans son appartement. Je ne pus m'empêcher de sourire : il m'avait vraiment manqué, et j'étais plus que tout ravi de le revoir. Ses mains vinrent se placer autour de ma taille et je lui glissais dans un murmure : J'avais juste envie de te voir... J'te dérange pas j'espère ? Pour toute réponse j'obtins ses lèvres contre les miennes. Un baiser de retrouvailles comme on les aime. Je lui rendais avec fougue son baiser, passant mes mains dans ses cheveux jusqu'à ce qu'il y mette un terme. Il plaça alors son visage dans mon coup, et je me contentais de savourer ce moment, à le sentir tout contre moi. Je suis content que tu sois là… Tu me manquais… J'eus un léger sourire. Toi aussi... Je me délogeais de son étreinte pour le regarder plus en détails. Mon cœur battait à tout rompre, il était vraiment magnifique. Mais je remarquais aussi ses cernes, et je m'inquiétais pour lui. Tu dors plus ?, demandais-je les sourcils froncés. Je caressais doucement sa jour avec le revers de ma main avant de déposer un nouveau baiser court mais toujours agréable sur ces lèvres tentatrices. Je finis alors par me retourner et me diriger vers le salon. J'enlevais mon blouson en cuir et le déposais sur son canapé, ainsi que mon casque. Je m'installais enfin puis lui demandais : Alors, quoi de neuf mon amour ? Mon cœur se serra à ce diminutif. Je n'avais pas l'habitude de ce genre de comportement mielleux et amoureux. Donner des petits surnoms aux gens avec qui je sortais c'était pas vraiment mon truc. Comme quoi, Matt était vraiment quelqu'un de spécial pour moi.
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Spoiler:
désolée désolée pour le temps de réponse et ce rp moisi.
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(#) Sujet: Re: + love is made for me and you. Mar 10 Déc - 20:29
I love you so much that sometime it’s scares me…
Hassan avait toujours été là pour moi, depuis que l’on se connaissait il avait été l’un de mes meilleurs amis. Meilleurs amis avant que les sentiments ne s’en mêle du moins. Avec le temps, loin de Dylan, que j’avais réussi à oublier, j’étais retombé amoureux de quelqu’un. Je m’étais d’abord rendu compte que j’étais jaloux du fait que Hassan sortait avec des filles, puis ensuite je m’étais mis à m’imaginer à leurs places. Je m’étais mis à imaginer comment il embrasser, comment il aurait été si je m’étais endormi dans ses bras. Bien sûr avec la jalousie j’avais bien souvent entrainé des disputes, des disputes qui avait souvent mal fini. Je m’étais souvent enfermer dans mon appartement pour finalement y pleurer et m’en vouloir. J’étais comme ça il faut croire. Et malheureusement c’était aussi dans ces moments-là que souvent mes souvenirs du passé, de mon beau-père en particulier faisait surface. Je gardais de nombreuses cicatrices de ce que m’avait fait subir, pas seulement physique, mais aussi mentale. Les cauchemars refaisait souvent surface, juste pour me prouver que tout ne devait pas être trop beau tout le temps. C’est en pensant à tout ça que j’avais fini par m’assoupir sur mon canapé, crevé de nuits bien trop courtes. Mais je m’étais réveillé peu de temps après en entendant la sonnette de la porte d’entrée résonner. Je soupirais, m’enroulant dans la couverture avant d’aller ouvrir. J’avais presque envie d’envoyer chier la personne qui avait sonné, mais en remarquant Hassan, magnifique comme à son habitude, devant moi j’avais plutôt envie de me blottir dans ses bras. Un sourire apparu sur son visage en même temps que le sien. Il était beau, magnifique et je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’à chaque fois qu’il se trouvait devant moi je ne le trouvais qu’un peu plus craquant. Je m’étais aussi bien rapidement rendu compte d’à quel point les sentiments que j’éprouvais à son égard été fort, et d’un côté cela me faisait un peu peur. J’avais peur qu’il se lasse de moi, qu’il finisse par me quitter, trouver une fille (ou un mec) mille fois mieux que moi. Je doutais souvent de ma capacité à le garder auprès de moi. Ce manque de confiance en moi je le devais à mon beau-père. Croyez-moi lorsque vous vous faites battre et insulte pendant plusieurs années vous finissez bien par croire que vous ne valait rien. Ne voulant cependant plus penser à ça j’attirais mon petit ami à l’intérieur de l’appartement. « J'avais juste envie de te voir... J'te dérange pas j'espère ? » Je lui souris légèrement, gardant sa main tiède dans la mienne. Rien que sa présence me faisait du bien. « Non, non pas du tout, je m’étais endormi devant une émission débile. » Je déposais alors un baiser sur ses lèvres, mon dieu que ça m’avait manqué !! J’étais dépendant, complétement dépendant de lui. Il me rendit mon baiser avant que je ne lui avoue qu’il m’avait manquait. De toute façon il suffisait qu’il me quitte pour que dix petites minutes après il me manque déjà. « Toi aussi… » Je lui adressais un sourire et il se recula un peu comme pour m’examiner. Je devais avoir une tête épouvantable et bien sûr Hassan ne manqua pas de le remarquer. « Tu dors plus ? » Je tentais un sourire pour le rassurer, je n’avais pas envie de l’inquiéter, ni de lui parler de mes cauchemars, parce que sinon tout cela m’aurait amené à lui révéler mon passé… Et j’avais peur. Hassan ne savait rien de ma vie passé, il savait juste que mes parents ne faisaient plus partit de ma vie, mais jamais je ne lui avais dit qu’on m’avait battu. Je n’avais pas voulu le perdre à cause de ça. « Juste une nuit un peu difficile, t’en fait pas, ca va. » Je le laissais enlever sa veste et la déposer sur un fauteuil avec son casque de moto alors que je me laissais retomber dans le canapé. A peine avait-il fini de s’assoir près de moi que je me blottis dans ses bras. « Alors quoi de neuf mon amour ? » Je fus surpris du surnom utilisé mais ne put m’empêcher de sourire. « Pas grand-chose, j’ai bossé quelques heures supp aujourd’hui parce qu’un de mes collèges était pas là. Sinon rien de spécial, et toi ? » J’aurais aimé un jour avoir le courage de lui parler de mon passé, de lui parler de mes cauchemars, mais j’avais peur qu’il ne parte en courant, qu’au lieu de m’aider à me sortir de ca, il ne fuit, c’était donc pour ca que je ne disais rien.
Spoiler:
Désolée du retard... PS : Ton avatar et ta signature m'ont fait mourir