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| these are the things we lost in fire. | |
| Auteur | Message |
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| (#) Sujet: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 14:32 | |
| lachlan flemmingcan you hear the silence ?PRÉNOM(S) ET NOM: À la base, ses parents l'avaient appelé Lochalann, prénom écossais, sûrement faisant référence aux origines de sa mère. Mais finalement, on l'a toujours appelé Lachlan, et beaucoup ont oublié – ou ignorent – que ce n'est pas là son réel prénom. Il l'utilise couramment, et seule sa pièce d'identité témoigne du contraire. SURNOMS: Justement, Lachlan en est un. ÂGE: Il va sur ses vingt-sept ans. NATIONALITÉ: britannique aux origines écossaises. ORIENTATION SEXUELLE: hétérosexuel, du moins pour être franc, il n'a jamais essayé autre chose. STATUT CIVIL: célibataire. Ben oui, que voulez-vous, tout le monde n'a pas une femme et deux beaux enfants à vingt-cinq ans. EMPLOI/ÉTUDES: Il est gérant d'une galerie d'art, dans le centre de la ville. SITUATION FINANCIÈRE: Plutôt instable. Lorsque ses expositions amènent du monde, il se peut qu'il passe un mois très confortable. Al contrario, certains mois sont plus difficiles, et il lui arrive de devoir se serrer la ceinture. Mais l'argent n'a jamais vraiment compté pour lui, et il assume sa vie d'artiste. AVATAR: Sebastian Stan. CRÉDIT: tumblr. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Le lycée ? C'est bizarre, comme question. Puis vous savez, ça commence à remonter à loin, tout de même. Dans mon souvenir, c'était fait de routine, surtout. Les transports en commun, les devoirs maisons de mathématiques à rendre chaque lundi matin, la joie de voir le nom de son prof sur le tableau des absents, ces heures de permanence à manger des M&M's. Oui, honnêtement, j'en garde un bon souvenir. Sauf peut-être la dernière année, pour être franc. Faut dire qu'après l'incendie, plus rien n'a jamais été comme avant. Et que je ne supportais pas la pitié que je voyais naître dans les yeux de mes « amis ». Mais on dit qu'il ne faut pas ressasser le passé. Alors, oublions donc cette année-là, et concentrons-nous sur les bribes de souvenirs que l'on garde : furtifs, fugaces, éphémères. Ce sont les plus beaux. Vous ne vous souvenez pas de la première fois où vous avez eu un 18 en physique ? Ou de la sortie piscine où le prof avait fini à l'eau ? Et ce jour de février où le carnaval avait jeté un air de jeu et de fête sur le lycée ? Non ? Eh bien moi, si. Et toute cette foule de détails restera à jamais gravé, vous savez. Il ne faut rien oublier, rien.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Pour répondre à cette question, déjà faudrait-il que je sache ce qu'est « être heureux » ! C'est vrai, c'est capital comme précision. Tenez, prenons plusieurs exemple : si être heureux signifie « avoir une vie de famille comblée », alors non, je ne suis pas heureux. Si cela signifie être épanoui dans son travail, alors oui je suis heureux. Si cela signifie avoir de l'argent à flot, alors non je ne suis pas heureux. Si cela signifie avoir encore des rêves, alors oui je le suis. Bon alors, avec tout ça, d'après-vous, est-ce que je suis heureux ? Ouais, moi aussi, j'trouve ça bizarre comme question. Moi non plus j'peux pas vraiment dire ce qu'il en est. Le bonheur, c'est pas une humeur. Être heureux, c'est pas comme « être en colère ». Être heureux, c'est passager. Toujours. C'est un concept flou, qui vous laisse un goût de nostalgie amère et pourtant délectable. J'ai mes petits moments de bonheur, oui. Et ce sont les plus beaux.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Voilà comment je me vois, dans dix ans, je vais vous peindre le tableau. Imaginez, vous êtes face à un lac. Non, pas un lac ! Disons plutôt la mer. Oui voilà, l'océan... Avec cet air salé qui soufflerait dans mes cheveux longs. Longs ? Oui, longs, parce que j'aurai sûrement eu la flemme de les couper régulièrement ! Avec un peu de barbe aussi. Ben ouais, le look à la cowboy quoi. Pas ici, plutôt dans une contrée reculée. P't'être en Ecosse, là où a vécu ma mère ! Oui voilà, la verdure, le vent, l'océan. Quelques mouettes qui piaillent dans le ciel, et voilà. Vous visualisez ? Parce que ça serait le tableau que je serai en train de peindre. Avec une grande palette, les doigts tartinés de gouache, un pinceau à la main. Là, en arrière plan, j'entends.. oui, peut-être une voix féminine. Peut-être, peut-être pas, qu'en sais-je moi, si j'aurai trouvé dans dix ans quelqu'un capable de me supporter. Enfin « supporter » est un grand mot, j'avoue, je joue les écrivains. Alors que je ne suis qu'un pauvre peintre, ma foi ! Bon, bref, vous avez saisi ? Non ? Tant pis ! C'est fait exprès. Après-tout, qu'est-ce que j'en sais moi, où je serai dans dix ans. Je serai peut-être déjà enterré, ou bien à cheval au Nevada, qu'est-ce que j'en sais, moi !
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff, il est possible de revoir cette décision ensemble. Pour indiquez votre réponse, il suffit de la mettre en italique ou de barrer celles qui ne correspondent pas. - Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: manon/northern lights. ÂGE: dix-neuf. PAYS: suisse. PRÉSENCE: la plupart des soirs de semaine après les cours, mais malheureusement très peu le week-end ou bien très tard le soir, après le boulot que j'ai à côté. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? qui ne le connait pas ? PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? scénario de la belle Mila. AUTRE CHOSE À AJOUTER? vive les pandas.
Dernière édition par Lachlan Flemming le Mer 30 Oct - 19:27, édité 2 fois |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 14:32 | |
| dessine-moi un moutoni see you, with your laugher lines.« Lachlan, qu'est-ce que tu fais ? » Je lève les yeux. Elle est rayonnante. Ses joues légèrement bombées, encore enfantines, laissent deviner pourtant une finesse de traits qui fera d'elle une adolescente ravissante. Pour moi, c'est la plus belle de toute façon. Avec ses petites tresses blondes, et ses deux yeux bleus, que nous avons hérité tous les deux de notre mère. Mais moi, j'ai pris les cheveux bruns de mon père, britannique par excellence. Elle, elle ressemble à notre mère. Je me souviendrai toujours du jour où le cancer l'a emportée. Apaisée, dans son lit d'hôpital, avec son visage moins dévoré par l'angoisse depuis que la mort avait posé sa main spectrale sur elle, et Lola à côté. Elles s'étaient ressemblées comme deux gouttes d'eau ce jour-là. Notre mère, rajeunie par la mort et Lola, vieillie par le deuil. « Alors, tu fais quoi ? » Je reviens à la réalité. Treize ans, je n'en ai que quinze. « Je cherche quoi dessiner. » Elle me regarde avec son sourire des bons jours. Celui où ses dents du bonheur se voient encore plus, celui qui grimpe jusqu'aux oreilles, qui lui mordent les joues comme un BN. « J'peux t'aider à trouver une idée si tu veux ! » Elle s'installe à côté de moi. On s'observe comme deux amants. Ma soeur, c'est peut-être la personne à qui je tiens le plus dans ce foutu monde. « Mais tu m'as déjà donné une idée.. » fais-je, mystérieux, en ébouriffant ses cheveux. Elle repousse sa main en riant ; elle déteste quand je fais ça. Comme toutes les filles, je crois. « Ah oui, et quoi ? » Je désigne les rosiers devant la maison, éclairés par le soleil couchant. Ces rosiers plantés par notre mère quand nous étions tout petits. Ces rosiers qu'elle a continué à entretenir tous les ans. Et que nous continuons à faire vivre au-delà de sa mort. « Mets-toi là-bas. Tu seras parfaite. D'ailleurs, ta robe est très jolie. » Elle m'offre de nouveau une des plus belles choses qui existent sur Terre : son sourire. « C'est Papa qui me l'a offerte ! » s'exclame-t-elle, ravie, de sa petite voix qui est si douce, si fragile, si taquine. Puis, elle va prendre la pose. Son rire trotte quelque part dans ma tête, en écho dans mes pensées. Sur mon chevalet commencent à se tracer les premières esquisses. « Tu vas faire ça plus tard ? » Je relève les yeux. « Arrête de bouger, s'il te plait. Oui, je vais faire ça. Je serai peintre. » Ses petits iris océaniques se mettent à briller. « Tu me peindras toujours ? Tous les ans ? » Si je peux l'entendre rire comme ça tous les ans jusqu'à longtemps, sûr que c'était une idée plutôt tentante. Car oui, je vivais de la peinture, du dessin, des couleurs. Je transformais un paysage en scène de théâtre, un objet en modèle de mannequinat. Je pouvais tout retranscrire sur ma feuille. Les couleurs, les ombres, les allures, les sentiments. Tout, sauf les sons. Et sur les portraits de Lola immortalisés, il manquera toujours son rire.
up in flames.the things we lost in the fire, fire, fire.« Lachlan, surveille bien ta soeur. » Lola soupire. « J'suis plus une gamine Papa, j'ai bientôt seize ans ! » Il balaie d'un geste hâtif les paroles de sa fille cadette et se tourne vers moi. « Je serai rentré pour le petit déjeuner demain. » C'est courant, ces virées nocturnes. Avec un père flic, en même temps, ça peut difficilement en être autrement. Je le salue d'un mouvement de tête, et il claque la porte derrière-lui. Nous sommes seuls pour la soirée, on se commande des pizzas, on met la musique un peu forte, on s'amuse comme si nous n'étions que deux enfants encore. Je ne sais plus vraiment pourquoi ou comment, mais je dois m'endormir sur le divan, car c'est là que je me réveille, en plein milieu de la nuit. Réveillé par une odeur âcre, par quelque chose qui crépite. Le temps que l'engourdissement du sommeil quitte mon cerveau, je comprends que si je vois si mal, c'est parce que la pièce est enfumée. Mes yeux voient alors les rideaux s'embraser, sans que je comprenne. Puis je vois les bougies. Renversées. La fenêtre, ouverture. Un coup de vent, peut-être ? Aucune importance. La maison prend feu. Mon esprit se dirige simplement vers ma soeur. « Lola ! » Mais mon cri se perd au milieu du raffut que le feu commence à faire. Par le biais d'un tapis, il a envahit la cuisine. « LOLA ! » Mais rien ne me répond. Si, sa petite voix ! Je l'entends, qui m'appelle ! Mais je peine à discerner de quelle pièce elle vient. Alors je cours, comme un dératé, aveuglé par la fumée qui me brûle les yeux et m'empêche de bien respirer. « Lachlan ! » Je l'entends encore, mais ne la vois nulle part. Le souffle court, je crachote un peu et reprends ma respiration sifflante. La cuisine, elle a sûrement été sauver notre chat qui dort toujours sous la table ! Alors, je me rue vers la cuisine, trébuchant sur tout et n'importe quoi. À peine posé-je le premier pied dans la pièce que je vis les flammes atteindre la cuisinière. Le gaz. La déflagration qui suivit fut si violence que je perdis connaissance instantanément, projeté quelque part dans les limbes de l'inconscience.
« Lachlan ! » J'entends encore sa voix qui me hante. Mais cette fois, elle semble plus proche. J'ouvre les yeux. Plus de fumée, plus de crépitements, plus de chaleur étouffante. Juste la blancheur de l'ambulance. Et surtout, ce putain de silence. « Lachlan ! » Je tourne enfin les yeux vers l'agitation dans un coin du camion. Mon coeur se serre en voyant Lola. Elle a des égratignures, ses cheveux sont emmêlés, mais elle est en vie. « Lachlan réponds ! Ça va ? » Je la fixe. Je vois ses lèvres bouger. Et bouger encore. Et encore. Et je comprends que quelque chose cloche. Je regarde par la fenêtre. Je vois sur les voitures voisines se refléter les gyrophares. Mais je n'entends nulle sirène. Au fur et à mesure que les informations paniquantes remontent à mon esprit et font s'emballer mon coeur, je vois des couleurs s'allumer sur l'appareil qui en compte les battements. Mais nul sonneries intempestives. Je regarde Lola avec un coup d'oeil affolé. Elle me parle encore. Mais je ne l'entends pas. Je crois qu'elle comprend. Et je crois que je comprends aussi. Je me mets à hurler. Mais ça non plus, je ne l'entends pas. Mon seul ami, à présent, c'est un silence assourdissant qui maltraite mes pauvres tympans broyés par la violence de la déflagration.
haut les coeurscitation citation citation citation« Revenez me voir la semaine prochaine. » La semaine prochaine. Quelle belle prévision. Toujours la même. Même jour, même heure, même lieu. Un cabinet médical, une ambiance un peu classique, une odeur un peu moins acide que celles des généralistes. Mes yeux bleus la suivent et se plongent dans l'océan de ses prunelles. Un océan que j'aimerai découvrir, explorer, conquérir. Inconsciemment, je crois que c'est bien une des seules femmes qui me plait depuis longtemps. En même temps, elles deviennent vite toutes un peu distantes dès qu'elles apprennent que c'est à peine si j'entends les notes aiguës. Ne parlons même pas des graves qui restent complètement inaudible pour mes tympans, brûlés à cause du bruit de l'explosion de mon domicile, il y a de cela neuf belles années. Alors qu'elle, elle le sait. Elle sait que sans les séances que je passe ici, j'aurai un peu de mal à parler. Pas beaucoup. Mais un peu. « Très bien, docteur Rhodes. » Comme pour me donner une contenance, je replace discrètement mon appareil auditif. Mais visiblement, mon esprit doit être bien ailleurs, car je le mets de travers. « Attendez, je vais vous aider. » D'habitude, je refuse toujours à être vu comme un « handicapé » sous prétexte que sans les avancées scientifiques des dernières années, je serai un pauvre malentendant avant l'âge. Mais ses mains sont si douces qu'elles me font frémir de l'intérieur. Je lui souris en guise de remerciement, observant ses cheveux blonds qui dégringolent sur son épaule en cascade blonde. Elle me fait un peu penser à Lola. Même yeux océaniques et profonds, même cheveux couleur des blés. C'est peut-être pour ça qu'elle m'a de suite plu. Lola me manque, c'est vrai, mais rester avec notre père était peut-être plus sain que suivre son artiste de frère qui désire simplement s'exiler. Se perdre un peu, pour mieux se retrouver lui-même, peut-être. Devant la porte d'entrée, j'ouvre la bouche. J'aimerai bien l'inviter à dîner. Ou lui proposer de passer à la galerie. Ou juste de boire un verre. Ou.. « À la semaine prochaine, alors. » sont pourtant les seuls mots qui sortent de ma bouche. Je me maudis. À cet instant-là, je suis en train de m'auto-flageller de l'intérieur. Elle hoche la tête avec un sourire, et en tournant les talons, je me promets que la semaine prochaine, je l'invite. Peu importe si c'est mon médecin et que je ne suis qu'un simple patient à ses yeux. P't'être qu'il est temps de revivre un peu, ou au moins de me prouver que j'suis encore bon à quelque chose.
images : tumblr.
Dernière édition par Lachlan Flemming le Jeu 31 Oct - 18:41, édité 4 fois |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 14:53 | |
| Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche ^^ |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 16:16 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 16:22 | |
| Bienvenue, bonne chance pour ta fiche! |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 16:26 | |
| Bienvenue sur le forum beau gosse |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 18:32 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 18:50 | |
| Ce choix d'avatar Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 19:25 | |
| sebastian est tellement beau sur ton avataaaar je te souhaite la bienvenue sur le forum, j'espère que tu vas te plaire parmi nous! bon courage pour ta fiche, très bon choix de scénario d'ailleurs. |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 19:29 | |
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kill em with kindness
› inscription : 21/08/2013 › pseudo : shiver./sarah. › crédit : spleen ocean/tumblr.
› statut civil : célibataire. › occupation : serveuse au madison grill & mannequin à ses heures perdues.
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 20:57 | |
| prénom + avatar réserve moi un lien bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 20:58 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Mer 30 Oct - 22:31 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Jeu 31 Oct - 8:17 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Jeu 31 Oct - 9:17 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Jeu 31 Oct - 12:07 | |
| Bienvenue ici |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Jeu 31 Oct - 15:34 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Jeu 31 Oct - 18:18 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. Jeu 31 Oct - 19:05 | |
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| (#) Sujet: Re: these are the things we lost in fire. | |
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