ÉVÉNEMENT #2 incident à la banque.

**Invité** Invité

incident à la banque.

Une jeune mère, un petit garçon d'à peine cinq ans accroché à sa main. Un étudiant, les cheveux ébouriffés. Un couple marié, des projets plein la tête. Et une femme d'affaire, la tête haute et les cheveux laqués. Tous sont venus retirer de l'argent, en déposer, ou bien discuter de l'ouverture de leur prochain compte en banque avec leur conseiller financier.

L'heure de pointe, après la fin du travail et la fin de l'école, juste avant de rentrer à la maison ou de faire les courses. Tous les guichets sont précédés d'une queue d'au moins dix habitants de White Oak Station. Certains soupirent, d'autres patientent avec le sourire, un bébé pleure et un chien aboie.

Une personne entre, toute aussi banale que les autres. Pourtant, elle ne soupire pas en remarquant la longue file d'attente, ne sourie pas non plus. Discrètement, elle bloque les portes de la banque avec un ingénieux système qu'elle seule peu briser. Elle remonte son foulard sur le nez et appuie sur le bouton rouge de la petite manette qu'elle tient dans sa main droite. Rien ne se passe.

Pour l'instant.

↪ Ordre de post : Tobias, Théo, Jake, Raphaël, Lennon, Zippora, Riley, Fizzy-Miloë, Nolan, Ethan, Aubree, Milah, Ellie
Les réponses devront se faire selon cet ordre. Si au bout de trois jours, un de vous ne répond pas au topic, le tour est passé, et le suivant répond, cela afin de ne pas ralentir le topic.
↪ Comme vous pouvez le pressentir, quelque chose de sérieux va se passer. Le premier tour de réponses sera dédié à l'arrivée de vos personnages à la banque. À la fin de votre première réponse, vos personnages devront se situer à l'endroit précisé sur le plan. /!\ si vous êtes à l'autre bout de la banque, vous ne pouvez décidément pas remarquer la personne fermant la porte : rappelez-vous de plus qu'elle fait cela discrètement.
↪ à l'issu des posts du PNJ, votre personnage pourra se retrouver blessé. Les blessures seront appliquées en fonction de vos réponses lors de l'inscription à l'événement. Si vous n'êtes pas d'accord avec une blessure qui vous est appliquée, vous pouvez envoyer un mp au PNJ. Rappelez-vous cependant que vous vous êtes engagés en connaissance de cause.
↪ et le plus important... Bon jeu !

**Invité** Invité

was happenin' ?

Tu te frottes les mains l'une contre l'autre, pour tenter d'enlever le plus gros de cette substance noirâtre et graisseuse. Tu t'essuies le front suant avec le revers du poignet et laisses échapper un soupir. Cela faisait presque deux heures que tu bossais sur cette fichue bécane ! Il était temps qu'elle se mette à fonctionner. Tu n'as pas assez d'argent pour te permettre de balancer 200 dollars dans la réparation d'un moteur, alors que tu as la capacité de le faire toi-même. Merci le trajet Prague-Varsovie qui avait eu raison de la voiture de ton père. Tu l'avais alors observé pendant de longues minutes bidouiller toutes sortes de mécanisme dans les entrailles du véhicule. Au bout d'un moment, elle avait finit pas rugir avec joie, et c'était reparti. Aujourd'hui, tu t'es contenté de reproduire ce que ton paternel a effectué une dizaine d'années plus tôt. Tu es exténué, mais heureux d'avoir pu économiser tant d'argent.

En parlant d'argent, d'ailleurs. Tu remontes les escaliers de ton appartement, et ce n'est qu'en rentrant pour te laver les mains à l'eau savonneuse que tu te rends compte de l'heure qu'il est. Tu t'empresses de changer de tee-shirt, l'actuel étant constellé de traces poisseuses, ainsi que de pantalon, celui-ci étant troué au niveau des genoux. Ta voiture, fraîchement réparée, démarre au quart de tour. Un sourire s'étire sur ton visage, et cinq minutes plus tard, tu te retrouves devant la banque. Tu marches plutôt rapidement, avant de ralentir en voyant les horaires affichées. En fait, il te reste bien plus d'une heure avant que l'établissement ne ferme, au contraire de ce que tu pensais. Tu t'avances avec assurance dans ce bâtiment vaste et moderne, grouillant de monde. En fin de compte, heureusement que tu as pris de l'avance. Parce que tu n'es pas certain que les huit personnes qui se trouvent devant toi auraient eu le temps de passer au guichet en l'espace de dix minutes, court délai que tu pensais avoir. Pour passer le temps, tu fais un état des lieux, observant en détail bien qu'avec le plus de discrétion possible les gens qui t'environnent. Une bonne demi-heure plus tard, tu discernes enfin l'employée, s'occupant du jeune homme brun te précédant.

CODE TOXIC GLAM

› **inscription** : 16/03/2013

brisons le cercle vicieux de la défaite;
tu viens de remporter le gros lot.

Je dois admettre que depuis quelques mois, je n'avais pas à me plaindre de ma situation. Évidemment, ce ne fut pas toujours le cas, mais vaut mieux se concentrer sur les bons côtés de la vie plutôt que sur les mauvais, non ? Aujourd'hui, je venais de recevoir mon tout premier chèque suite à un contrat que j'avais réussi avec succès. Ça mettait vraiment beaucoup de joie dans mon coeur que de me sentir enfin douée pour quelque chose. Moi qui avait rêvée depuis si longtemps d'une telle réussite... Je tenais le papier entre mes mains et j'avais de la difficulté à en croire mes yeux. Le montant inscrit dessus dépassait toutes mes attentes, même les plus folles. D'accord, ce n'était pas le million - ni près - mais pour moi, ça valait beaucoup. C'était mon premier accomplissement. J'en étais fière. Tenir ce bout de papier dans mes mains me donna une petite idée folle. Et si je commençais à me mettre de l'argent de côté pour m'acheter une maison ? Ou une nouvelle voiture ? Ou quoi que ce soit ? Si tel était mon désir, je devrais alors me rendre à la banque pour en discuter avec un conseiller, non ? Je pris alors mon sac à main, rangea le chèque à l'intérieur et je pris la porte de sortie de mon petit appartement, verrouillant derrière moi. Direction la banque. Une fois arriv.e là-bas, je fus un peu impressionnée devant la foule qu'il y avait là. Peut-être avaient-ils tous eu la même idée que moi ? Plutôt que de me mettre en queue, je décida d'aller dans la mini salle d'attendre et patienter jusqu'à ce que les files soient moins longues. Je suis un peu trop claustrophobe pour me mettre debout parmi tous ces gens. J'aimais mieux me tenir à l'écart. Et c'est donc en tapotant sur mon sac à main qui se trouvait sur mes genoux, que je tomba dans la lune, fixant un point x devant moi.

FICHE ET CODES PAR EPISKEY.

**Invité** Invité

la peur est toujours constante, mais que l’accepter te rend plus fort.

sujet commun.

Le bouclé marchait d'un pas vif en direction de la banque. Il avait rendez-vous avec son conseiller financier dans maintenant cinq minutes et Lennon était certain qu'il n'arriverait jamais à l'heure. De toute façon depuis qu'il ne vivait plus seul il avait complètement perdue son ancienne et habituelle ponctualité. Cette fois-ci encore il y avait eu un drame dans son petit appartement de Downtown Area. Petit appartement certes, mais il y avait actuellement quatre personnes qui y vivaient ce qui rendait la vie à la maison légèrement plus compliquée.
Une fois arrivé à la banque Lennon regarda furtivement l'heure sur la grande pendule dans le hall. Il avait dix minutes de retard. Tant pis, de toute façon M. Winters son conseiller financier le connaissait bien et il connaissait tout aussi bien sa situation. Situation qui les amenaient à se voir assez régulièrement. Rapidement le bouclé entra dans le bureau.
« Bonjour M. Davis » Fit poliment Winters, sans pour autant accepter le retard de son client. Cet homme n'avait jamais plus à Lennon il le trouvait bien trop mécanique, à chaque fois qu'ils se voyaient (cet à dire tous les mois ou presque) il lui sortait tout un tas de chiffres, de nouvelles « formules » comme il aimait les appeler tout ça pour qu'au final le brun ne comprenne qu'une chose et toujours la même ; il était à découvert. Il manquait d'argent et le savait très bien son boulot à la piscine municipale de White Oak n'était franchement pas une source de revenus mirobolants, Sixtine avec son travail ne gagnait pas non plus des cents et des milles et pour finir il devait aussi nourrir deux autres bouches celles de Capucine et Solange. Lennon avait beau n'avoir que 21 ans il avait parfois l’impression d'en avoir 30 de plus.
« Bonjour M. Winters » Répondit-il avec lassitude.

@destiny.

**Invité** Invité

L'ignorance préserve de la peur.

Si Zippora ne paraissait pas dépensière, elle aimait pourtant bien profiter de son capital. Elle n'était sans doute pas la plus riche, mais bien loin d'être celle que l'on pourrait étiqueter comme pauvre. Descendante d'une bonne famille et même si elle ne parlait plus à ses parents, elle avait gardé une grande partie de l'héritage de sa grand-mère ainsi que l'argent qu'elle avait pu mettre de côté, du temps où elle n'avait pas coupé les ponts avec ses parents. Le plus souvent, elle rendait visiter à son banquier, qui ne lui annonçait que très rarement des mauvaises nouvelles. Après tout, elle n'avait pas placé son argent en bourse, aucune crainte de la perdre. Le seul soucis pouvait être un découvert de temps en temps, lorsqu'elle oubliait de remettre de l'argent sur le compte.
Et pourtant en cette fin d'après midi, ce n'est pas un rendez-vous chez son banquier qui l'avait fait venir à la banque de White Oak Station. Alors que sa meilleure amie était revenue en ville, elle avait décidé d'organiser une petite virée entre fille, pour se retrouver. Au programme, du shopping, de la détente et des retrouvailles tant attendues. Sixtynne lui avait beaucoup manqué. Elle qui ne paraissait que peu joyeuse depuis qu'elle était arrivée, huit ans auparavant, laissait apparaître aujourd'hui un petit sourire de bonheur. Aujourd'hui devait être un bon jour pour elle, elle ne voulait. Même avec le retour de Nolan, qui l'avait beaucoup choqué et profondément perturbé, elle ne pouvait s'empêcher de voir cette sortie entre filles comme un renouveau. Sa vie repartait. Il était temps.
Lorsqu'elle est arrivée à la banque, elle était bondée. Jamais elle n'avait vu autant de monde dans cette endroit. Les queues pour les guichets étaient si longues qu'elle était heureuse de ne pas s'y insérer. Aux distributeurs l'attente semblait moins longue mais il y avait du monde devant elle. Pourquoi n'aimait-elle pas payer avec sa carte-bleue ? Pourquoi n'avait-elle pas choisi de souscrire un carnet de chèque ? Parfois elle s'exaspérait elle-même.
Elle avait attendu quelques minutes, sans doute une dizaine, peut-être plus, mais plongée dans son smartphone, elle n'avait pas vu le temps passer. Lorsque son tour fut venu, elle se concentra sur la machine, veillant à suivre les indications. Elle devrait faire au moins trois fois l'opération pour retirer la somme voulue. Elle n'avait pas droit à l'erreur. Autour d'elle, elle ne voyait rien, se contentant de finir ses transactions.

made by pandora.

**Invité** Invité

Riley n'aimait pas les banques. Les longues files d'attente, les banquiers coincés incapables de vous donner un bon taux pour votre prêt, le silence plus qu'agaçant... Oui, Riley n'aimait pas les banques. Elle préférait être en extérieur, sur les routes. Aujourd'hui, la jeune femme avait un rendez-vous pour parler de son bilan annuel et de l'état de ses finances avec son banquier. Elle ne le connaissait pas très bien, ayant changé de banque peu de temps auparavant. Elle entra dans la banque, un porte-document dans une main, ses clés de voiture dans l'autre, qu'elle rangea vite dans sa poche. Un coup d'oeil sur l'horloge au mur. Presque en retard. La jeune femme se dirigea vers le guichet d'accueil où une secrétaire était en pleine discussion téléphonique. Riley attendit que l'employée eût terminé pour lui demander où se trouvait le bureau de Mr. Walden, son banquier, un homme au ton sec que la blonde n'avait entendu que quatre ou cinq fois au téléphone. Elle n'avait pu le voir avant aujourd'hui et honnêtement, elle n'était pas pressée de faire sa connaissance. Riley avait du mal avec les banquiers et était du genre à mal gérer ses finances. Le genre "bordélique, qui perd ses reçus et ses factures très facilement". Riley avait beau être ordonnée sur de nombreux points, celui-ci n'en faisait pas partie.

Spoiler:

**Invité** Invité

(le reste n'ayant pas donné signe de vie, c'est à moi :heart:

)

❝ incident à la banque ❞

Où comment la routine s'est installée, comme toutes les fins d'après-midi, une fois mes horaires terminées je laisse la caisse au patron, et une autre fille me remplace, et comme tous les soirs je sens le tacos, l'huile, bref je vous laisse imaginer le plaisir que j'éprouve à ce moment là, puis avec mon tablier tout dégueulasse, j'ai vraiment la classe pour aller draguer. Quoi que même si je voulais draguer, la multitude d'impossibilités s'offrent devant moi, entre la vieille qui promène son caniche nain, la fille qui me remplace avec ses cheveux fourchus et sa braguette ouverte -ce que je ne lui ai pas fait remarqué bien sûr-, non merci. Passons. Un coup de main dans les cheveux et me voilà partis, je devais passer à la banque avant la fermeture, mais impossible d'y aller en jogging, j'allais me faire virer. Quel stupidité ces banques, comme si fallait se mettre sur son 31 pour se voir refuser un prêt, ou dire qu'on a plus une tune sur son compte. Ouais normal on va louer un costume à 2000$ ou au mieux réutiliser celui du bal de promo, alors qu'on galère a finir les fins de mois. Les banquiers doivent avoir le sens de l'humour et de l'ironie, j'en suis convaincu !
Bref un sourire en coin, je passe à mon appartement, me douche enfile une chemise et un jean, ils seront presque contents au moins, quoi qu'avec ma barbe de 3 jours, je leur plairais jamais. Une clope à la bouche et me voilà direction la banque de White Oak Station, une belle bâtisse, du monde comme à l'accoutumée, mais pas un sourire à l'horizon, enterrement général ou quoi? Toujours mon petit sourire suffisant aux lèvres, j'entre. J'ai pas un rond mais j'en fais pas toute une histoire, faudrait vraiment que les gens se détendent. Je connais mon chemin et me dirige directement vers le stand à brochures, sur les dépliants les gens ont l'air si heureux, faudrait peut être que la file de personne prenne exemple. Je prend le premier papier sur ma droite, l'image d'une girafe dans la savane s'offre au premier plan une place de choix, une publicité qui vante les mérite des gap years. Qu'est-ce que je repartirais bien faire le tour du monde, c'est vachement mieux que les tacos n'empêche. Secouant la tête j'attrape un autre prospectus moins drôle, avec des jeunes, une tête d'intello, des bouquins, et oh joie de vivre. « Hé oh les gars, les bouquins c'est pas drôle hein, si vous voulez rire faites la fête, lisez pas Platon. » pensais-je en rigolant, quel cliché n'empêche, si fallait vraiment avoir cette tête pour avoir un prêt, je vivrais dans un taudit pour toujours.

made by pandora.

**Invité** Invité

facing boredom

La dernière fois que j'ai mis les pieds dans une banque, j'avais dix-neuf ans. Vingt peut-être, mais l'importance n'est pas dans l'âge que j'avais lorsque j'y ai mis les pieds la dernière fois mais plutôt dans le fait que présentement, je suis stationnée dans le parking devant la banque et que j'ai un flingue sous mon siège. Je pourrais le sortir, dévaliser l'endroit et me faire arrêter en quelques heures si les policiers sont lents. Pourtant, ce n'est pas le but de ma visite à la banque. De toute façon, qui serait assez débile pour dévaliser la banque de White Oak Station? Je souris à cette simple pensée mais mon sourire ressemble plutôt à une moue, puis après avoir sorti mon sac et vérifié dix fois que mon porte-feuille y était, je quitte finalement ma voiture et la verrouille pour avancer lentement vers le bâtiment qui est, finalement, plus imposant que je ne le croyais. Je m'arrête devant l'entrée, près du fumoir d'où s'échappe une odeur désagréable, mais c'est déjà mieux que de rester plantée devant la porte d'une institution financière.
J'ai pensé plutôt longtemps et beaucoup hésité avant de venir ici. Si bien que tout à l'heure, j'ai manqué de rebrousser chemin. Je suis ici pour plus d'une raison, mais je réalise que ce que je fais pour me sécuriser pourrait en fait devenir la pire erreur de ma vie.

Quelques personnes entrent dans la banque et je ne fais même pas attention à eux. J'aperçois seulement un petit garçon qui doit avoir trois ou quatre ans qui tient la main de sa mère insistante qui a l'air d'être plutôt stressée et surtout désespérée alors qu'elle ouvre la porte. Moi, je suis juste dans mon coin. J'ai l'impression d'attendre le moment propice pour entrer. Créer un effet de surprise et me faire remarquer par les gens par exemple. Un vieux couple sort de la banque et la vieille dame hurle des insultes à son mari, apparemment ils ont de mauvaises nouvelles. Je n'ai pas envie d'entendre crier plus, alors c'est moi qui m'avance en direction de la porte et agrippe la poignée pour la serrer fermement ensuite. Je me traîne sur le tapis supposé faire chic et ma première observation est que j'aurais pu me forcer un peu et mettre quelque chose de plus clean que mon short en jeans usé et mon t-shirt des Stones. La deuxième constatation est que l'endroit pullule de monde et que je risque d'attendre relativement longtemps avant que ce soit mon tour. Mais bon, attendre, je l'ai fait souvent. Pourquoi ce serait plus chiant aujourd'hui?

Je finis par me trouver un siège pour attendre et surtout analyser les lieux. Rien de bien intéressant, juste des gens bien ordinaires venus à la banque pour des raisons diverses. Ce n'est pas comme si je m'attendais à quelque chose de vraiment exceptionnel de toute façon. Je pose mon sac sur la table et j'ai envie de m'endormir dessus. Après tout je ne pense pas que mon tour soit bientôt. Je soupire et m'appuie dans le fond de ma chaise, souhaitant que le temps passe plus rapidement. Oui j'ai attendu souvent, mais attendre parmis des gens qui s'emmerdent autant que moi et qui restent parfaitement immobiles ça semble rendre encore plus déprimant le décor trop clean et professionnel qui tente malgré tout d'avoir l'air jovial. Je bâille et regarde l'heure, même si c'est une des meilleures façons pour être découragée dans des cas pareils, et comme de fait, après seulement cinq minutes à la banque j'ai envie de mourir.

FICHE ET CODES PAR RIVENDELL

**Invité** Invité

incident à la banque.

« Tu vas où ? » demanda le frère avec lassitude en observant sa soeur finir de se brosser les cheveux d'un geste rapide. « Je vais à la banque. » dit-elle d'un ton serein, affichant un léger sourire sur ses lèvres rosées devant le jeune homme qui roula des yeux. « Je pensais que tu allais voir Maman avec moi à l'hôpital. » ronchonna t'-il en attrapant sa brosse à dents. C'était une fuite, encore une, une fuite pour ne voir une mère maintenue par des fils sur une machine qui était le seul moyen pour la maintenir en vie. Elle haussa faiblement les épaules, finissant son maquillage. « Je te promets qu'on y va dès que je rentre d'accord ? » souffla t'-elle en déposant un baiser sur la joue de son frère avant de s'éclipser de la salle de bain, attrapant son sac pour ensuite sortir, se dirigeant d'un pas ferme vers la banque qui se situait non loin de son lieu de vie. Elle devait s'y rendre pour effectuer une transaction importante sur le compte de sa mère, de l'argent qu'elle devait sortir pour que son frère et elle puissent continuer à vivre. Une note laissée, écrite de la main de la matriarche donnant accès à ses comptes pour que ses enfants puissent vivre sans avoir à se soucier de rien si jamais il lui arrivait malheur. Une délicate attention qu'elle rechignait à utiliser mais après maintes discussions avec l'aîné, elle devait se rendre à l'évidence que c'était une décision vitale. C'est ainsi donc qu'elle passa les lourdes portes de la banque, laissant son regard errer sur les différentes personnes qui y étaient présentes. Elle soupira, marmonnant contre une foule qui allait la mettre en retard, vu qu'elle avait promis à demi mots à son frère qu'elle irait voir sa mère avec lui. Mais elle n'arrivait à franchir cette étape, elle n'arrivait à se faire à l'idée qu'elle était partie, envolée. Elle soupira longuement, remettant une mèche de cheveux derrière son oreille avant de se diriger vers le guichet des transactions importantes, fouillant dans son sac pour chercher les numéros de compte. Elle leva les yeux et fut excédée en voyant la file devant elle. Elle poussa un long soupir, remettant la lanière de son sac sur son épaule, les extraits de compte en main, croisant les bras, tapant du pied sur le carrelage tout en laissant son regard divaguer sur ce qu'il y avait autour d'elle.

› **inscription** : 22/01/2012

incident à la banque.

« Elle doit bien être quelque part! » Voilà une heure qu'Ellie cherchait dans tous les coins de son appartement. Elle ne trouvait plus sa carte bancaire, qu'elle avait pourtant utilisée le matin même. Vidant pour la troisième fois le contenu de son sac à main sur le plancher sans succès, la jeune fille décida d'abandonner. Elle l'avait probablement perdue en ville, tête en l'air comme elle est. Quelques semaines plus tôt, elle avait oublié son portefeuille et la personne qui l'avait trouvée le lui avait rendue, mais elle n'aurait probablement pas cette chance une seconde fois. Instantanément, elle commença à paniquer: n'importe qui pouvait avoir sa carte entre ses mains. Peut-être même qu'elle ne l'avait pas échappée mais qu'on la lui avait volée... S'affolant déjà à l'idée de recevoir des factures s'élevant à plusieurs milliers de dollars, Ellie se rendit immédiatement à la banque.

Une fois arrivée devant le bâtiment, la jeune blonde se sentit légèrement intimidée. Elle détestait cet endroit, où elle avait passé tant d'heures juste avant d'obtenir les prêts nécessaire à ouvrir sa boutique. Le langage bancaire était un véritable mystère pour elle et tous les gens travaillant dans ce domaine la stressaient, lui donnaient l'impression d'être complètement idiote. Ce serait probablement encore pire cette fois, vu la raison de sa présence. N'ayant aucune idée de ce qu'il fallait faire dans sa situation, Ellie se rendit à l'accueil et attendit qu'une secrétaire se libère pour pouvoir lui expliquer le problème.

@destiny.

› **inscription** : 29/07/2008

La personne mystérieuse qui a bloqué la porte se dirige nonchalamment vers l'accueil de la banque. Alors que des clients se rendent peu à peu compte que la sortie est condamnée et qu'ils sont emprisonnés à l'intérieur du bâtiment, d'autres, proches des buses d'aération, commencent à avoir la tête qui tourne, des nausées, et leur vision se brouille.

Retour sur les événements : après avoir fermé les portes, l'étrange inconnu a positionné son foulard sur le nez. Le tissu cache en fait un masque protecteur. Le bouton rouge ? Le déclencheur d'un diffuseur de gaz soporifique, qui se propagera le long de tous les conduits d'aération.

La panique s'installe petit à petit. Que se passe-t-il ? Qu'arrive-t-il à tous ces gens, qui tombent comme des mouches ? Comment faire pour ne pas succomber ?

↪ Ce qui devait arriver arriva. Comme c'est beaucoup moins drôle si vos personnages s'évanouissent dès le début, eh bien, même ceux parmi vous qui sont les plus proches des buses d'aérations (càd : les plus près des murs de la banque) ne s'évanouiront pas, du moins pas complètement. Vous pouvez tout à fait avoir des maux de tête, ou même perdre connaissance momentanément, et vous faire aider par un autre membre : libre à vous de jouer ce dont il vous plaît - dans les limites du crédible.
↪ Vos personnages pourront tenter de trouver un moyen de stopper ces gaz, ou tout du moins de limiter leurs effets. /!\ la(les) personne(s) à l'origine de cette diffusion de gaz ont bien préparé leur coup. Il ne sera donc pas facile de contrer les gaz, et vos personnages ne pourront définitivement pas gambader comme si de rien n'était.
↪ L'ordre des réponses reste le même, c'est à dire: Tobias, Théo, Jake, Raphaël, Lennon, Zippora, Riley, Ethan, Aubree, Milah, Ellie.
↪ Trêves de bavardages : à vos claviers !

**Invité** Invité

was happenin' ?

J'ai mal à la tête, bordel.
Niveau classe, tu as vu mieux, pour une fille. Mais, apparemment, elle n'a pas pu se retenir, à en voir la façon dont elle se prend la tête, à deux mains. Ses doigts appuyés contre ses tempes, elle essaie de faire passer cette affreuse douleur qui la submerge, incapable de servir le client devant elle.
Excusez-moi.
Elle lance un coup d’œil désolé au jeune homme devant toi, et s'échappe un peu plus loin, à la recherche d'un cachet. Génial. Déjà qu'il y avait une queue à n'en plus finir, si les employés ne sont même pas capables d'exercer le travail correctement, la banque ne désemplirait jamais. Heureusement, c'est presque ton tour, mais faudrait-il que quelqu'un daigne prendre le relais.

Et puis, tu te rends compte peu à peu que la jeune femme n'est pas un cas à part. Plusieurs employés commencent à se plaindre de maux de têtes, et bientôt, des clients s'y mettent aussi. Instinctivement, tu te retournes, ceux derrière toi n'ont pas l'air atteint. C'est quoi ce bazar, sérieusement ? Lorsqu'un employé plutôt frêle derrière son comptoir tourne de l’œil, et que le brun qui te précède porte sa main au front, tu te dis que peut-être, il vaudrait mieux s'en aller de là.
Désolé. Désolé je suis désolé, il faut que je sorte de là.
Tu joues des coudes, et, sous les regards étonnés des clients qui ne comprennent pas tout à la situation, tu te fraies un chemin. Mais toi, tu étais quasiment aux premières loges. Tu as bien vu que ce qui touchait les employés de la banque ainsi que certains clients n'étaient pas normal.

Tes voyages à travers le monde t'avaient ouvert les yeux. Toujours alerte dans ces pays qui t'étaient inconnus, tu t'étais à chaque fois méfié, avant de te laisser aller, une fois en lieu sûr. Cependant, tu avais su distinguer, avec l'aide de ton père, lorsque vous étiez en danger. Tel une proie, tu avais ce sourd pressentiment lorsque tu courais un danger. Et là, aujourd'hui, dans la banque, tu sentais que tu n'étais pas en sécurité.

CODE TOXIC GLAM

hj: je ne voulais pas faire jouer vos personnages ou écrire quelque chose qui ne vous conviendrait pas, mais n'hésitez pas à interagir avec Tobias. (ou entre vous) maintenant que l'action a commencé, vous pouvez vous déplacez un peu où vous voulez. :heart4:

**Invité** Invité

L'ignorance préserve de la peur.

Tout semblait normal. Habituel. Quotidien. Dans cette banque, comme toutes celles que l'on pourrait voir, rien ne paraissait troubler l'habituel sérénité des hôtesses d'accueil, des différents conseillers ou même des clients. Rien ne pouvait les perturber tant l'action qu'il était en train d'entreprendre était normale, habituelle, quotidienne pour certains. Tout allait bien.
Pour le moment.
Zippora était toujours au distributeur, attendant ce que lui devait la machine. Un geste mécanique qu'elle effectuait régulièrement. L'épaule posée contre l'appareil, elle tapait sur l'écran les indications. Elle les suivait à la lettre, comme à chaque. Un instant d’inattention, elle tourna la tête vers la foule. Les gens se sentaient mal, elle-même, elle commençait à ressentir de fort maux de tête, comme elle n'en n'avait pas eu depuis longtemps. Si fort qu'elle avait l'impression qu'un être vivant lui martelait le crâne à l'aide d'un outil ou même faisait du bruit à l'aide de timbales. Un mal qui lui fit plier les genoux. Ses yeux ouverts, elle voyait les gens qui s'éffondraient, qui souffraient tout comme elle. Elle voyait cet homme qui tentait de rejoindre la porte. Elle voyait cet femme qui se sentait mal.
Elle se sentait impuissante. Incapable de se lever pour rejoindre la porte. Elle ne savait pourtant pas ce qui pouvait se passer. « Qu'est-ce qui se passe ? » avait-elle soufflé plusieurs fois, faiblement. Pourquoi d'un seul coup, les clients de la banque et le personnel se sentait mal, s'évanouissait. Pourquoi elle, ses yeux restaient grand ouvert ? Pourquoi avait-elle une migraine si forte ?

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**Invité** Invité

❝ incident à la banque ❞

Peut être devrais-je arrêter de regarder ces fichues papiers, montrant à quel point une vie avec de l'argent était cool, et plutôt songer à aller faire la queue vers ces conseillers, pour voir si l'un deux aurait une recette magique qui permettrait à un jeune sans un sous, sans diplôme de pouvoir vivre un pu plus décemment. Y aller aurait été sans doute l'action la plus sage, pour éviter d'attendre pour toujours, mais non. Je pris deux boulettes de papiers et commençai à jongler tranquillement, attendant que les gens aient fini, les engagements, les files d'attentes, c'étaient absolument pas pour moi. Mes prouesses habiles terminées, ou plutôt ayant failli bousculer une personne qui regardait tranquillement les joies d'un prêt à 5,6%, je décidai de me tenir un peu plus correctement. Mais à peine ai-je commencé à m'avancer vers les sièges pour m'asseoir, pris d'une petite fatigue passagère, des clients commencèrent à se plaindre de mots de têtes, une avait l'air d'être un peu tombé dans les vappes. J'aurais bien aimé, aller aider cette jolie blonde qui avait l'air de suffoquer, mais un mal de tête, pas les petits passagers hein, non ceux des lendemains de soirées très arrosées. Vous voyez ceux qui vous poussent à rester au lit à boire de l'eau citronnée, jusqu'à ce que vous préfériez soigner le mal par le mal en avalant un bloody mary d'un trait. C'était un peu ça que je ressentait mais malheureusement aucune boisson de ce genre à l'horizon, et c'est ainsi que non sans mal je m'approchai d'une autre jeune femme blonde, plus proche, assise prêt des sièges au centre de la banque. « Vous sauriez pas ce qu'il se passe par hasard, j'ai l'impression qu'une horde de jeunes filles pendant les soldes vient de me passer sur le crâne ! » dis-je un léger sourire sur les lèvres, bien qu'il y avait peu de chance que quelqu'un soit au courant de cette mascarade !

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ÉVÉNEMENT #2 incident à la banque.

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