| (#) Sujet: Re: (M/PRIS) DANIEL SHARMAN Dim 30 Mar - 20:09 | |
| Lucas Mongtomerryi want to take you somewhere so you know i care, but it's so cold and i don't know wherePRÉNOM(S) ET NOM: Lucas Montgomerry ÂGE: 25 ans. NATIONALITÉ: américaine ORIENTATION SEXUELLE: hétéro/bi STATUT CIVIL: célibataire EMPLOI/ÉTUDES: au choix AVATAR: Daniel Sharman.CRÉDIT: écrire ici. ~ DESCRIPTION DU PERSONNAGE.
L'histoire de Lucas est, comme pour tout le monde, libre à l'exception de certains points : Niveau histoire. ~ Lucas est américain, ville au choix. Tous les étés, cependant, son cousin canadien venait passer deux à trois semaines chez lui, et il lui est arrivé une fois de passer l'été à White Oak Station, lorsqu'il avait 15 ans. ~ Il a perdu son père l'année de son diplôme, qu'il a obtenu malgré la situation difficile dans laquelle il vivait. Mais il a du redoubler sa première année d'université où il a sombré dans la dépression. ~ Il est toujours à l'université, d'ailleurs. Pour le domaine d'étude, je le vois bien dans le droit pour devenir avocat mais c'est au choix. ~ C'est depuis la même année (que la mort de son père) que Francis ne vient plus en vacances en Amérique. ~ Il y a deux ans, sa mère s'est remariée. C'est plutôt mal passé pour le jeune homme, et des relations conflictuelles se sont installées entre lui et son beau-père, et sa nouvelle « soeur ». Il ne voulait pas de cette famille qu'on lui imposait, alors après avoir arrangé son départ avec sa mère et son héritage, il a déménagé à White Oak chez Francis. ~ Francis qui était dans une grande colocation avec Mila et Apolline. Il avait déjà rencontré la première lors de son été chez son cousin, mais n'en avait qu'un très bref souvenir. Toujours est-il qu'elle a donné son accord sans hésiter à Francis pour que Lucas vive – temporairement – avec eux, et Lucas lui en est encore reconnaissant aujourd'hui. ~ Parce que même s'il avait les moyens de partir de la colocation, il s'y plaisait bien. Même s'il avait hérité du bureau pour chambre et qu'il dormait sur un matelas gonflable ! Il était heureux de retrouver ce cousin qu'il considérait comme un frère, et il s'était plus ou moins rapidement lié d'amitié avec ses nouvelles colocataires qui pouvaient être certes un peu loufoques mais adorable – et puis ça lui changeait de son pays d'origine. ~ Et donc il est resté, on a arrangé le bureau en chambre et on l'a intégré officiellement à la famille loufoque et campagnarde qu'ils formaient tous.
Niveau caractère. ~ Lucas est d'un optimiste excessif : tout peut le mettre en joie ! Que ce soit le café du matin, la cigarette du midi ou bien retrouver son lit le soir. D'ailleurs, voilà les trois choses les plus positives dans sa vie : le café (il ne peut pas s'en passer), la cigarette (très mauvaise habitude) et le sommeil. Il a aussi un humour très douteux, et personne – pas même lui – ne sait si c'est voulu ou non. Dans tous les cas, il aime plaisanter et c'est le premier pour jouer et faire des blagues à ses camarades. ~ Niveau relation, il n'a jamais rien eu de bien sérieux : il attend secrètement la femme de ses rêves et il sait qu'il ne l'a pas encore trouvé...
~ LIEN AVEC MILA E. BERTRAM Meilleure amie + Love interest ~ Bien qu'il l'ai rencontré l'été de ses 16 ans, elle n'a pas plus marqué son souvenir que ça. Lui, en revanche, lui avait bien tapé dans l'œil et elle avait développé une sorte de béguin pour ce joli cousin du voisin, mais heureusement ça lui est vite passé ! Et puis quelques années plus tard, lorsque Francis a demandé la permission d'héberger son cousin elle a accepté parce que pourquoi pas ? Ils commençaient à s'enfoncer dans une monotonie, et un nouveau devrait bouleverser ça. Et effectivement, il a bouleversé pas mal de choses, à commencer par l'emploi du temps. Mais aujourd'hui, une nouvelle routine s'est installée et Mila et Lucas ont pu devenir véritablement amis... C'est bien plus facile quand on a la vie devant soi que deux semaines ! Lucas est le premier pour supporter Mila et ses peintures, malgré le fait qu'elles soient répétitives et représentent toujours la même chose, mais jamais des personnes. Mila est la première pour faire un câlin à Lucas lorsque ses cours le désespèrent, et c'est aussi la première pour l'engueuler lorsqu'il sort dans le jardin pour fumer une cigarette. En clair, ils sont devenus très complices... Un peu trop, même. Il y a eu cet incident lorsqu'il s'était mis en tête de lui apprendre à dessiner des gens, où ils se sont embrassés, il y a quelques mois de cela. Mais Apolline les a surpris et ils n'en ont jamais reparlé. Pourtant Lucas aimerait en reparler, éventuellement, pour voir, parce que ça le tracasse un peu. Mila, elle, a décidé d'oublier : c'était juste un truc idiot fait dans l'instant, et ça ne durera pas longtemps, comme lorsqu'ils étaient adolescents et qu'elle avait eu un coup de cœur pour lui. - Extrait de ma fiche où Lucas est mentionné:
Une fois mon petit-déjeuner avalé, je me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche. Une fois propre et habillée, je me dirige vers ma chambre pour faire mon sac de cours et mon lit – non pas que je sois particulièrement une folle du ménage, mais c'est pour le retour à la maison : ça fait un fauteuil comme un autre – et là, ô surprise. Un individu dans ma chambre. « Ahem. » je fais, pour attirer l'attention du chevelu assis sur mon lit, visiblement en train d'observer le semblant de peinture que j'ai commencé dans la nuit. Je fronce les sourcils alors qu'il tourne la tête et me gratifie d'un sourire. Ah mais non, ça ne marche pas ça. « Appelle moi Sherlock, mais j'ai su que tu avais commencé quelque chose sans nous le dire : tu avais de la peinture dans les cheveux, et tes yeux cernés plus que d'habitude. » Je soupire. Même s'il invoque Benedict Cumberbatch je lui en veux : je n'aime pas qu'on voit un travail inachevé. Et là, en plus, c'est juste l'esquisse et un bout de la première couche... Disons que c'est l'inspiration soudaine qui m'a poussé à me lever à trois heures pour commencer un nouveau chef-d’œuvre (on y croit tous). Lucas tapote mon lit pour que je vienne m'asseoir à côté de lui et j'obéis : après tout c'est lui qui me soutient le plus ici. Bien sûr, Apolline et Francis (et Daphné) le font, mais Lucas... Lui, c'est limite s'il ne sort pas la tenue de cheerleader avec les pompons pour me hurler des encouragements à chaque coup de pinceau. « Bon alors, Mister Holmes. Qu'est-ce qu'on en pense ? - Je suis déçu. Ça sent encore le paysage, ça. Alors qu'on a passé tellement de temps sur les visages ! » C'était un samedi après-midi, pendant la relâche. Francis et Daphné étaient en week-end dans la maison de vacances de Daph' et Apolline partie en course (on avait lâchement fait semblant d'être très occupés pour qu'elle aille avec le fils du voisin qui partait faire les commissions de son père... sauf qu'on est des très mauvais entremetteurs : ce n'était pas Apolline qu'il draguait, mais Francis) ce qui faisait qu'on se retrouvait à deux, Lucas et moi, pour quelques heures... A rien faire. Du moins, des occupations peu futile : il jouait à un jeu de football sur la console (mon dieu, quel horreur ce sport !) et je gribouillais des fleurs sur mes feuilles de cours que je rechignais à apprendre. On discutait en même temps, plus ou moins, puis il a vu mes dessins pendant une pause Coca et a posé la question existentielle, à savoir pourquoi je ne peignais que des paysages ou des objets. Apolline disait que j'étais une Van Gogh, sauf que je ne faisais pas d'autoportrait... La vérité, c'était que j'étais – et je suis – incapable de dessiner quelqu'un. L'ensemble est toujours trop éphémère pour que je puisse le saisir pleinement ou correctement, et la frustration m'a fait abandonné il y a longtemps déjà. « Je ne sais pas dessiner les gens, Lucas. - Non ? C'est vrai ? Mais tu es géniale, tu sais tout faire ! Allez, montre moi ! - Quoi donc ? - Comment tu dessines mal ! Dessine moi un bonhomme ! Ou une bonne-dame ! » J'ai ri à sa blague pas drôle – l'habitude – avant de prendre une feuille propre pour essayer de le dessiner. « Tu as le temps d'une partie ! » il avait précisé avant de se vautrer à nouveau dans le canapé. Alors j'y ai mis tout mon cœur, pour essayer qu'il soit à peu près potable... Mais comme d'habitude, ma pensée n'a pas voulu se coucher sur le papier. Il avait un œil plus haut que l'autre, des joues de hamster et son nez ressemblait plus à une carotte qu'à un nez, en fait. Quand à sa bouche, pfou, incapable de la reproduire. Donc je lui avais collé une bouche de fille. Il n'y avait que ses cheveux dont j'étais plutôt fière : les milliers de traits au crayon de bois pour représenter les boucles qu'il avait fait couper un mois plus tôt. « Qui est-ce ? - C'est toi ! - Oh... D'accord. Hum. Oui, hum... C'est assez... Bissextile, hein. » J'ai éclaté de rire, lui signalant que je l'avais prévenu, devant son air perplexe face au dessin censé le représenter. Et c'est alors qu'il a décrété qu'il me fallait de l'entraînement, et un modèle, et qu'on allait s'y mettre de suite et que je devrais citer son nom à maintes reprises lorsque je serai célèbre grâce à mes portraits et mes paysages car il allait sacrifier une après-midi de console juste pour moi. C'est donc honorée – plus ou moins – que je suis allée chercher dans ma chambre mon carnet de croquis et un crayon de papier plus adapté au dessin qu'un à mines avant de le rejoindre sur le canapé où il avait pris place et se tenait droit, visiblement très sérieux. « Dessine moi comme une de tes françaises. » il a dit lorsque je suis entrée dans son champ de vision. J'ai acquiescé devant la référence, me suis calée confortablement puis j'ai (re)commencé son portrait, plus ou moins distraite par sa conversation, plus ou moins rapidement. « Je t'ai déjà dit que tes yeux sont magnifiques, Lucas ? - Que mes yeux ? - Haha. Non, mais je sais pas, rien que la couleur ça me choque. - Pourquoi ça ? - Bah c'est... Bleu. Et ça change souvent de ton, en plus. Je trouve ça triste qu'on ne puisse pas contempler ses yeux comme on peut contempler ses mains, par exemple... Après on peut éventuellement friser le narcissisme, mais il a des risques à tout dans la vie ! » Il a hoché la tête en souriant et j'ai poussé un soupir. Il ne se rendait pas compte qu'il avait des yeux superbes, et j'en étais presque outrée. Maintenant le nez ! A force d'observation, je me suis convaincue que, même si c'est super utile, c'est aussi super moche un nez... Et apparemment, nous sommes d'accord. « Mais pas la bouche ! La bouche c'est sexy. - Ahem, non je sais pas. Et puis c'est pénible à dessiner, ça bouge tout le temps... Donc ferme-la, s'il-te-plaît ! - Alors, là, franchement, je te félicite. C'est le meilleur moyen que tu as trouvé pour me faire taire, je crois. - Shh. Et approche-toi, je suis presque myope ! » En vérité, non, mais le temps n'était pas au beau fixe et il venait de se mettre à pleuvoir, envoyant promener loin tout rayon de soleil. Après plusieurs minutes silencieuses où je crayonnais et il me regardait faire, il s'est décidé à rompre le silence... En chuchotant, au cas où que je ne le remarquerais pas. « Comment ça se présente ? - Terrible. Non sérieusement, je ne sais pas dessiner c'est terrible. Les fleurs et les champs de blé, c'est bien plus joli et facile ! - Oh, et bien je te remercie. - Non, mais je parlais pas de toi, mais du dessin ! - Oui oui, c'est ce qu'on dit. Fini moi ! » J'étais prête à répliquer, mais il m'a fait signe de me taire alors je me suis appliquée. Puis on est arrivé au moment où j'avais presque terminé, qu'il me restait simplement le contour de son visage pour qu'il ai une forme correcte (et non, il n'aura pas d'oreilles ! pour moi, il a toujours ses boucles). Je m'étais rapprochée de lui et lui avait fait incliner la tête pour pouvoir observer la forme de ses joues de profil. « Toi aussi tu es bissextile, comme garçon. » J'ai chuchoté, n'ayant pas besoin de plus pour être entendue en vue de notre proximité. Il a sourit, s'est mordu les lèvres pour ne pas rire et bouger. J'ai suivi le mouvement, me rendant compte qu'on était effectivement très proche – bien plus qu'on ne l'a jamais été – et que mes mains encerclaient son visage alors que les siennes avaient pris place contre l'une de mes cuisses et dans le bas de mon dos parce que j'étais plus ou moins debout sur mes genoux dans une position précaire. Je me suis mis à regarder ses yeux, sans vraiment les voir cependant. En réalité, j'étais plus en train de me demander ce que j'étais en train de faire, et ce que j'allais éventuellement faire, pour fixer mon attention sur quelque chose de précis. « Mila. Respire. » Ah oui, ça c'était une bonne idée. Je pouvais sentir son souffle contre mon cou, et le frisson que ça me procurait au passage. Alors, j'ai finalement posé mes lèvres contre les siennes, chastement, pour voir... Mais si j'étais l'initiatrice du baiser je n'en étais plus la seule protagoniste puisque je me suis retrouvée allongée sur le canapé, Lucas attaquant mes lèvres des siennes. Une fois à court d'air, on s'est regardé silencieusement un instant. Mon cœur battait beaucoup trop vite, et mon estomac semblait envahi d'une armée de papillons. Il me faisait beaucoup plus d'effet qu'il ne devrait, que l'un de mes meilleurs amis ne le devrait. Mais il faut croire que ça n'avait pas d'importance pour l'instant car on a recommencé... Jusqu'à ce qu'Apolline rentre des courses, en fait, pas longtemps après nous surprenant. Hum, dans une position peu décente, vraiment. « Mais qu'est-ce que vous faites ? » On s'est séparés, coupables, et puis Lucas s'est emparé de mon carnet pour prouver à ma meilleure amie qu'on ne faisait rien de mal, juste un dessin. On n'a jamais reparlé du dessin ou de ce qu'il s'est passé sur le canapé ensuite. « Oui, mais je te rappelle que je suis très mauvaise pour les visages. » J'ai répondu en fixant la toile devant moi, fuyant très clairement son regard. Bon sang, s'il compte parler de ce qu'il s'est passé... D'après un bref calcul, je devrais avoir un oreiller à porté de main pour l'étouffer. Mais il n'a rien ajouté, s'est levé et a quitté la pièce me laissant seule avec mes pensées et mes tâches.
~ LIEN AVEC APOLLINE LEROY Meilleure amie ~ Au début, ils ne s'aimaient pas trop, Lucas et Apolline... Pour ne pas dire pas du tout, en fait. D'après elle, Lucas avait la vie plutôt facile : la colocation lui avait ouvert ses portes car c'était le cousin de Francis, il n'avait pas à travailler grâce à l'héritage de son père et il en profitait un peu trop à sortir presque tous les soirs pour découvrir la ville. Mais elle s'est calmé, car elle n'est pas de nature mauvaise et qu'il ne faisait rien de mal à part profiter de la vie, comme tout le monde. Et aussi parce que Mila venait d'instaurer la règle du fondant au chocolat pour les disputes et qu'elle ne savait pas les faire, n'avait pas assez d'argent pour financer l'opération ou se faire renvoyer de la coloc' et qu'elle ne voulait surtout pas retourner chez elle. Lucas aussi a fait des efforts, pour qu'ils apprennent à se connaître et ça a finalement payé : ils sont devenus amis ! Et puisque partager l'intimité d'une personne pousse les relations à s'approfondir, ils sont devenus meilleurs amis, avec le temps. Apolline est d'ailleurs la première personne vers qui Lucas se tourne s'il a besoin de quelque chose, avant son cousin, c'est quelque chose !
~ LIEN AVEC FRANCIS STILTON Cousin / comme un frère ~ Ils ont passés tous tous leurs étés ensembles en Amérique lorsqu'ils étaient enfants, lorsque la mère de Francis venait visiter sa sœur. Pour eux, c'était l'événement de l'année, ils ouvraient les cadeaux de Noël en retard et pouvaient faire des tas d'activités dans ces quelques jours partagés : plage, parc d'attraction, complots dans le jardin... En grandissant ça c'est transformé en journées (et nuits) entières passées sur la console, soirées chez des amis de Lucas et puis plus rien. L'année où Lucas avait le plus besoin de se changer les idées, lorsque son père est mort, Francis n'est pas venu : il travaillait. Et il n'est pas venu l'année suivante, mais ils ont pu discuté maintes fois grâce à Internet et Lucas n'en a pas voulu longtemps à Francis de son absence car ce dernier le soutenait du mieux qu'il pouvait. Et c'est lui qui a eu l'idée de l'emménagement de Lucas à White Oak, donc d'une certaine manière c'est lui son sauveur. Aujourd'hui toujours aussi complices, Lucas et Francis n'hésitent pas à s'allier pour faire la peau à des aliens et des blagues aux colocataires.
~ LIEN AVEC DAPHNE MITCHELL Meilleure amie ~ Daphné, pour Lucas, c'est une perle rare et il est bien content que Francis l'est trouvé : elle fait à manger. Mieux ! Elle lui fait toujours ce qu'il veut à manger. C'est sa cuisinière personnelle, et en échange il la corrompt avec des câlins et des relectures de bouts de chapitre ici et là. Parce que s'il soutient Mila et ses tableaux, il soutient forcément Daphné et ses romans ! Et puis, elle a besoin de soutien Daphné : son manque de confiance est exaspérant. Lucas a essayer de l'initier – et lui aussi, par la même occasion – au yoga mais rien n'y a fait : la belle brune est constamment dans le doute.
Dernière édition par Mila E. Bertram le Dim 30 Mar - 20:20, édité 1 fois
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