It is also a question of honesty, it's the story of my life.
   Si haut qu'on monte, on finit toujours pas des cendres.

Je n’ai pas la prétention d’écrire une biographie sur ma petite personne, qui ne possède aucun talent en particulier. Je ne sais effectivement pas danser, ni même chanter. Je suis moi, une personne qui regorge de nombreuses facettes. Tantôt joyeuse, tantôt en colère. Je n’ai jamais tentée de me freiner puisque mes paroles fusent à une vitesse incroyable, sans que ma conscience ne s’immisce dedans. Il m’arrive parfois, non … Il m’arrive souvent de blesser mes proches avec mes propos transcendants. Bien souvent, je les compares à des sous-hommes, des moins que rien qui empoissonne mon environnement. C’est probablement à cause de cela que je n’ai plus de contact avec ceux qui prétendaient être mes géniteurs, des émigrer britanniques venus s‘installer au Canada dès mes deux ans. A force de les décevoir, ces derniers ont visiblement terminés par me renier. Toutefois, j’ai appris à pardonner à ceux qui m’ont offensés, de ce fait, je ne leur en tient strictement pas rigueur. Après tout, je n’ai été qu’un lourd fardeau pour ce couple, pour qui la vie ne les avaient jamais épargnés. Il semblerait que je soit l’élément déclencheur de la maladie de mon père. Un problème neurologique dont la médecine n’est pas à même de soigner. Une maladie dont on peut ralentir l’évolution, mais qui, au final, ne pardonne pas. C’est un acheminement qui vous amène à être alité dans un lit pour le reste de votre existence. Une maladie qui vous ronge les connecteurs du cerveau, qui cède les uns après les autres. Puis là, vous vous dites en quoi est-ce de ma faute ? Je vais vous le dire, patience. Durant ma jeunesse, à vrai dire, quand j’étais une jeune femme en plein dérèglement hormonal, j’étais sans doute une source de stresse et d’angoisse pour ce dernier. Et, cette inquiétude favorisait la dégénérescence de son système nerveux. Il est vrai que je n’ai jamais été tendre avec eux. Pourtant à un moment stratégique de ma vie, il reniait une substance de bienfaisance, qui, était amenée à les rendre fier de ma petite personne. Un heureux évènement, mon mariage. J’allais me marier sans doute avec la meilleure personne qui pouvait m’être donnée de côtoyer. Un homme qui m’aimait d’un amour sincère, prêt à remuer ciel et terre pour mon bien-être. Un homme qui c’était démené pour entretenir cette flamme aux creux de mon âme. Nous nous sommes rencontrés sur notre lieu de travail. Je m’en souviens comme si cette histoire datait d’hier seulement. Je pourrait lui infliger une multitude de reproches, mais je dois avouer que ce dernier était persévérant. Oui persévérant, puisque, durant plus d’un mois il tentait en vain de saisir l’occasion de me tendre une perche, que je prenait plaisir à décliner, afin de me demander mon numéro de téléphone. Un jeu qui éveillait visiblement sa curiosité d’en apprendre un peu plus sur moi. Puis, après l’avoir fait tourner en bourrique pendant plus d’un mois, de lui avoir fait tourner la tête, de l’avoir rendu dépendant à ma présence, j’avais enfin acceptée d’échanger nos numéro. Bon sang que ce jour-là j’étais toute fébrile. Notre premier rendez-vous était digne d’un film hollywoodien. Effectivement, nous nous sommes rendus à la fête foraine courant Mai 2003. Nous avons fait des attractions. Nous avons partagés une barbe à papa. Nous nous somme promenés dans les allées. Puis, nos souffle se sont mêlés … nous avons échangés nos salives … nos lèvres ce sont scellées. Un instant idyllique. Nous étions heureux, malgré que notre chemin accumulait perpétuellement des embuches. Oui, notamment la maladie de mon partenaire. Il avait contracté deux fois une tumeur musculaire. Deux fois opérés. Malgré cette admirable personne, j’étais méchante avec lui. Je lui caressait souvent le menton lorsque je consommait un peu trop d’alcool. Un regrettable comportement. Puis, quatre ans passaient, et la lassitude me gagnait. Notre mariage était prévu pour le mois de mai, notre mois de rencontre, seulement, je commençait longuement à hésiter à mettre le pied à l’étriller. En effet, courant Mars 2007, j’ai commencée à fréquenter un jeune homme, fraichement rencontré sur un site. Seulement, ayant des antécédents d’infidélités, j’ai commencée à entretenir une étroite liaison avec celui-ci. Le plus regrettable dans cette histoire, c’est que j’étais dépourvue de tout remord. Je ne craignait pas le fait d’avoir à affronter le regard de mon concubin, bien au contraire. Cependant, ce petit manège dura plus de un mois et demi avant que je ne quitte définitivement mon fiancé pour rejoindre ma liberté. Effectivement, j’avais prétextée que je ressentais le besoin de profiter de la vie comme bon me le semblait, sans une once d’amertume. Face à son désarroi j’étais restée inévitablement stoïque. Qu’est-ce que la liberté finalement ? Sentiment de bien-être qui vous pousse à commettre des actes qui auront une répercussion sur votre futur. Ce fameux sentiment qui ne vous raccroche strictement à rien. Cette veine sensation de ne pas devoir vous justifier auprès d’une personne. Rendre des comptes à personne, c’était excitant. En l’espace de trois ans, j’ai du quadrupler mon palmarès de conquêtes. Bien évidemment, une femme à homme n’était ni plus ni moins qu’une fille facile, alors je fut très rapidement cataloguée. Seulement, je m’en contre fichait ! Je représentait une abeille qui butinait de fleur en fleur, avant de trouver celle qui l’épanouira à tout jamais. Cependant, à travers cette existence de débauche, j’ai sombrée inconsciemment dans l’alcool. Je n’était plus que l’ombre de moi-même. Mon physique témoignait de ma dépendance. Un visage comparable à celui d’un mort. Terne était mon teint, éteint était mon regard. Qu’importe, je me complaisait dans cette vie où l’insouciant reniait en maître. J’adorais danser. Mettre généreusement mes formes en valeur et de me trémousser sur les podiums accompagné de mon verre de vodka. Lui n’était pas à même de me trahir où de me causer des problèmes. Oui, j’aimais ça. Le regard des clients qui me toisaient constamment avec envie. Envie de me prendre chaudement et de s’évaporer dès l’aube. L’alcool et les hommes, l’histoire de ma vie. Toutefois, après avoir touchée le fond du gouffre, autrement dit, après avoir perdue mon travail, ainsi que mes cartes bleues, j’ai repris en partie ma vie en main. Un homme était derrière cela. Un beau brun ténébreux qui m’était apparu comme une bénédiction divine. Nos regards ce sont croisés pour la première fois sur un terrain de football en 2010 alors que je terminais mon entrainement. Nos intentions étaient les mêmes. Une aventure, ni plus, ni moins. Cependant, très rapidement, cette issue n’était plus envisageable. Probablement le coup de cœur qui permet à deux êtres d’entreprendre une relation amoureuse basée sur le fondement des sentiments. Je me souviens encore de notre premier rencard, légèrement moins romantique que le précédent, mais qui reste tout de même gravé aux creux de ma mémoire. Enfin bref, nous avons été voir un film au cinéma, une production qui donnait dans le domaine de l’horreur. Un moyen stratégique pour moi d’user de mon charme. Durant la séance, nos yeux n’ont guère cessés de se chercher, de s’apprivoiser … Puis, à la fin de cette représentation, nous nous sommes rendues dans une boîte de nuit, accompagné d’une amie en commun. Nous avons consommés de l’alcool, un paquet de verres d’alcools ! Bien évidemment, lorsque je suis un brin éméché, je suis de nature extravertie et surtout, mais surtout, séductrice. Facilement et allègrement, je me suis mise à le séduire. Bon sang de bon dieu, cet homme-là m’avait fait littéralement tourner la tête ! Cette soirée-là, nous avons pas cessés de nous tourner autour, d’attiser l’attirance de l’autre, de flirter avec les limites … C’était carrément excitant. Puis, à la fin de la soirée, sur un parking, nous avons enfin échangés nos salive dans un langoureux baiser. Nos lèvres c’étaient enfin unies. C’était le début d’une longue romance aux nombreuses péripéties. Effectivement, monsieur était à cheval sur les règles qu’un couple digne de ce nom devait se  donner. Très rapidement, par amour, j’ai du renoncer aux boîtes de nuits sans sa présence, puis l’alcool que je devais désormais consommer avec modération, puis renoncer à mes amis qui étaient nuisibles pour notre couple, puis m’éloigner des réseaux sociaux, puis cesser de fréquenter des groupes d’hommes, puis tout un tas de choses. Toutefois, grâce à cet homme là, j’ai pu réaliser un rêve, celui de présenter une émission de radio canadienne. Bon, il est vrai qu’au départ j’étais réfractaire, m’amusant sournoisement à contourner cette limite imposée. Seulement, face à sa détermination et l’ampleur de mes sentiments, je me suis tout même résigner à me ranger. C’est un brave homme. Fidèle, loyal et censé. Il m’a rendue heureuse et continu de faire de moi, une femme béate. Cependant, il travail étroitement avec une jeune femme depuis 2014. Une séduisante jeune femme qui éveille en moi des pulsions démoniaques. Elle m’attire comme un aimant. Je sent que je commence sombrement à perdre le contrôle, qu’elle et moi, nous sommes entrain de nous lancer à corps perdu sur un terrain inconnu. J’ai envie de lâcher prise et de me laisser transporter par cette fascinante vague de sentiments. J’ai envie de gouter au fruit défendu, de croquer dans cette pomme et de payer les pots cassés. Mes yeux ne cesses de la toiser, observant ainsi cette silhouette idéalement proportionnée et ce visage harmonieux. Je ne peux pas ! J’ai mon homme, lui qui m’a proposé d’être sa fiancée en 2013 et je ne peux pas le décevoir après toutes ces années passées ensembles. Cinq ans de vies communes ce n’est tout de même pas négligeable. Que faire, je suis tirailler entre ces deux êtres. La raison ou le cœur.

Rhys Norwood a écrit:

bienvenue et bonne chance pour ta fiche
très très bon choix d'avatar (de pseudo également )j'ai hâte d'en savoir plus sur la jolie Aryah
ça me fais penser que Nathalie est jury au festival qui se déroule où j'habite et que je vais essayer de la voir quand même

Olympe Rayner a écrit:

quel choix !
bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche

Abigail Woods a écrit:

bienvenue.
natalie est magnifique, très ton choix! je te souhaite bon courage pour ta fiche et n'hésite surtout pas si tu as besoin de quelque chose.  

Cassie Wilhelmsson a écrit:

je plussoie les autres, tes choix sont parfaits natalie est tout belle
bienvenue ici , bonne chance pour la suite de ta fiche et puis si tu as des questions n'hésites surtout pas

Nolan Harkness a écrit:

Superbe choix pour tout ( sauf pour le statut fiancé dirait Nolan )

Bienvenue chez les fous et bon courage pour écrire cette petite fiche

Azel Novak a écrit:

alors, quelques petites choses avant que je puisse te valider
il y a quelques petites fautes, ce n'est pas très important mais si tu pouvais les corriger ça serait la perfection  (notamment, c'est "habilement" et non "habillement" )
mais le plus important, c'est que tu n'as pas rempli le questionnaire pour déterminer le groupe d'aryah  si tu as des difficultés à le faire, n'hésites pas à le dire!  et aussi, par rapport aux dates de ton histoire  c'est certainement une histoire que tu as repris d'un personnage précédent, ce que je peux comprendre, par contre si elle a eu le premier homme de sa vie en 1994 avec qui elle s'est fiancée, elle avait... huit ans  je crois que toutes les années de 1994 à 1998 sont à modifier  et, juste, est-ce que tu es consciente que le forum se situe au canada ? parce que tu parles de talk-show britannique puis américain, mais à aucun moment tu parles du canada. (d'ailleurs, par talk-show tu entends quoi? parce que si c'est comme jimmy fallon et tout ça, ça ne sera pas possible, je la vois mal prendre l'avion jusqu'en angleterre tout les matins  et si c'est seulement à la radio, alors c'est bon )

merci d'avance pour les modifications!

Camille Blanchaert a écrit:

bienvenue

Félicitations, tu es officiellement validé(e) !
oh mais tu as tout réécrit, au final enfin, du coup tu as laissé dans la réponse à la troisième question qu'elle travaillait pour un talk show britannique mais bon, je vais pas te faire attendre plus longtemps. tu feras quand même attention aux fautes à l'avenir, parce qu'il en reste n'hésites pas à utiliser bonpatron

Selon le questionnaire, tu te retrouves dans le groupe Looking forward.
Tu peux désormais te rendre dans la catégorie Gestion du personnage pour faire les diverses demandes, tu peux aussi recenser ton personnage, ou bien rechercher des liens. Ensuite, tu peux aussi aller créer un ou plusieurs scénarios ou des bandes. 50 points t'ont été ajoutés pour ta validation, tu retrouveras d'ailleurs plus d'informations sur le système de points à cet endroit. Enfin, pour faciliter ton intégration, n'hésites pas à participer à la loterie des rps.

Bref, tout le staff te souhaite la bienvenue sur Feels Like Tonight !