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| hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? | |
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Auteur | Message |
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| (#) Sujet: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 10:44 | |
| capucine dory davisthey say that all good things must endPRÉNOM(S) ET NOM: capucine dory davis SURNOMS: caput ÂGE: dix-huit ans NATIONALITÉ: canadienne mais origine espagnole ORIENTATION SEXUELLE: hétérosexual STATUT CIVIL: célibataire frère, intéressé ? EMPLOI/ÉTUDES: au chomdu attend d'entrer dans une école de police SITUATION FINANCIÈRE: aisée merci papa maman AVATAR: la plus sexy de puberty blues -> isabelle cornish CRÉDIT: tumblah ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Le lycée ne remonte pas à si longtemps que ça pour moi, en réalité j'en sors à peine. Et même si ça fait six bons mois que je ne me suis pas montrée à white oak, ça ne veut pas pour autant dire que j'ai complètement disparue de la circulation. Parce qu'après six mois à l'étranger, je suis belle et bien de retour. Et si vous deviez interroger mes anciens camarades de classe, ils vous diront très certainement que j'étais l'une des filles les plus populaires, l'une des plus belles capitaines de cheerleading que l'école est connue, qui sortait avec les plus beaux garçons. En somme, j'étais ce que mes parents avaient toujours voulu que je sois : la meilleure. La plus populaire, la plus jolie, la plus appréciée, mais aussi et surtout la plus enviée. J'étais à la limite de la pimbêche que l'on déteste tous secrètement. J'avais pour habitude de passer dans les couloirs et de demander une allée d'honneur. Et l'école est très certainement devenue beaucoup plus calme au moment où je suis montée dans cet avion, direction Paris. J'y ai passé les six plus beaux mois de ma vie. Et j'ai enfin pu apprendre la plus belle langue du monde, la langue de Molière, mais surtout je peux maintenant me vanter d'avoir fait les plus belles soirées parisiennes. Au fond de moi, je ne suis pas si contente que ça d'en avoir fini avec le lycée, parce qu'au fond je sais très bien que rien ne sera plus jamais comme avant. Au lycée j'étais quelqu'un juste en marchant avec mes louboutins dans le gravier qui se trouve devant l'école, mais je sais pertinemment que rien ne sera pareil dans la vraie vie. J'ai quelque peut expérimenté ça lorsque j'étais à Paris, je n'étais personne lorsque je suis arrivée. Juste une fille qui vient du pays de Justin Bieber, et je peux vous dire que ça ne m'a pas fait que du bien cette réputation. Mais j'ai dû me reconstruire, sans l'aide de personne. Ça n'a pas été difficile, je ne le cache pas, enfin si personne ici ne le sait ici, mais ça m'a ouvert les yeux sur la chance que j'avais d'être au lycée avec la réputation que j'avais. Et maintenant je regrette. Je regrette parce que je vois bien, maintenant, qu'au final les cours s'étaient pas si mal. Et puis au lycée, je n'étais pas dans les dernières de la classe. C'était plutôt facile pour moi d'avoir de bonnes notes. Tout était trop facile à ce moment-là, et ça, ça a bien changé. ~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Je ne suis pas heureuse. Je ne suis pas malheureuse non plus. Et très franchement je m'en tape. D'ailleurs si vous veniez réellement me poser cette question, aussi stupide soit-elle, dans la rue je vous remballerais directement en vous sortant quelque chose du genre : « Le bonheur c'est qu'un putain de concept qui n'existe que dans votre tête. » alors est-ce que je suis heureuse ? Je ne sais pas, l'êtes-vous ? Je ne pense pas, personne n'est vraiment heureux. On a tous des phases où la vie nous sourit. Mais la plupart du temps moi je ne vis que des minutes de bonheur, des minutes que je ne sais pas apprécier, mais alors pas du tout. Dès que je sens cette sensation me prendre au fin fond du ventre, dès que je sens les muscles, de mon visage, commencer à se mettre en marche pour pouvoir poser sur mon visage un sourire je commence à paniquer. Au fond de moi je panique. Pourquoi est-ce que je panique ? Simplement parce que je ne me leurre pas, je sais très bien que ça ne durera pas, rien de tout ça n'est éternel et surtout pas vous, ni moi. Je sais que ça ne durera que quelques minutes. Alors, je prends mon mal en patience et j'attends que ça passe. Et sachez que je ne me trompe jamais, ça passe à chaque fois. Mais si vous parlez en général, ces moments de bonheur se font plutôt rare en ce moment, mais je suis sûre que c'est parce que mon coeur se la joue plutôt solitaire en ce moment. Des intéressés peut-être ? ~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Dans dix ans, je serais policière. Parce que peut-être que je suis actuellement qu'une pauvre tâche qui squatte l'appartement de son frère parce que mis à par lui je n'ai nulle part où aller, j'espère quand même que tout s'arrangera rapidement, il n'y a pas de raison me direz-vous. Je n'ai pas forcément un avenir tout tracé comme certaines, je n'ai même pas une seule petite idée de la manière dont mon mariage va se dérouler, je sais juste que je serais la dame en blanc. Mais sinon j'ai quelques plans. J'aimerais beaucoup rentrer dans une école de police pour devenir gendarme. Après avoir vu ce qu'il se passe sur Paris, je me dis que j'assure mes arrières en travaillant dans ce milieu. Ce ne seront sûrement pas mes collègues qui vont m'arrêter pour détention de drogues, sinon ce ne sont pas des amis ! Et puis j'aimerais bien avoir trouvé un petit ami, juste un gentil garçon qui veut bien de moi. Je ne me vois pas marié avec des enfants. Rien que de voir la galère dans laquelle est Lennon en ce moment, non merci je vous le laisse votre alien à quatre pattes. De plus, rien que de sentir qu'il y a quelque chose qui grandit en moi, non vraiment je passe mon tour les gars. Et puis, qui peut me garantir à deux mille pour-cent que ce ne sera pas un alien ? Je suis désolé, mais je ne fais pas confiance aux machines. En somme, dans dix ans j'espère avoir avancé dans ma vie, du moins j'espère au moins avoir un travail et un amoureux. Comme je l'ai déjà dit, s'il y a des volontaires, clin d'oeil, clin d'oeil.
Pour la répartition des groupes
- Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: babie clouds ÂGE: 18 ans LOCALISATION: feria de nimes, bitches PRÉSENCE: tous les jours mais je rp le week-end COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? bazzart AUTRE CHOSE À AJOUTER? lennon, soit mon frère
Dernière édition par Capucine Davis le Mar 16 Avr - 17:49, édité 14 fois |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 10:45 | |
| daisies in my hairif it happened it was for a reason Un appartement, avenue Foch. Rien de bien extraordinaire. Un vendredi soir des plus banals pour des lycéens qui attendent week-end comme le messie, et pas messi le joueur de foot. Pas encore la majorité et pourtant ils vous diront sans une seule hésitation qu'ils ont déjà tous vu, tous vécu, qu'ils ne leur restent plus qu'à mourir paisiblement dans l'un des hôtels particuliers de papa et maman avec beaucoup trop de coke dans l'nez. Des enfants beaucoup trop riches, déjà aveuglé par l'argent. Rien ne les intéressent plus que leur petit nombril percé. C'est pathétique, pourtant combien de personnes voudrait être là à ta place ? Assis sur ce canapé, ce verre à la main, ce joint dans l'autre et ce rail de coke sur la table. Combien voudrait entendre cette musique beaucoup forte, dans cet appartement beaucoup sombre. Ton sang tambourine dans ton cerveau, tu n'en peux plus. Pourtant, il est encore tôt, et de toute manière tu ne pourras pas sortir avant que l'premiers rayons du soleil aient pointé l'bout de leur nez, pas avant que les réveils commencent à retentir dans les chambres de bonnes. Pas avant que tes amis n'en aient marre. Tu soupires, bois un coup de ta vodka redbull, un grand classique, et tu enchaînes par une taffe de ton joint. Tu laisses la fumer envahir tes poumons et doucement apaiser la brûlure qu'a laissée la boisson juste avant, une boisson beaucoup trop mal dosée. Trop de vodka russe pour trop peu de boisson énergisante autrichienne. Le choc des cultures, voilà comment on pourrait appeler ta boisson, mais surtout le chaos qui règne ici. Une pute slovaque se tantine devant un petit anglais. Il a l'air d'apprécier, tout comme ses amis, un italien, deux bons français, un australien. Rien de bien extraordinaire. Un vendredi soir tout à fait banal. Tout aurait pu continuer, tout aurait dû se passer normalement. Un ou deux coma éthylique pour les petits nouveaux qui rêvaient d'une soirée comme celle-ci depuis trop longtemps, peut-être une overdose vers le matin, un viol très certainement. Rien de bien spécial. Pourtant, sur les coups des trois heures du matin, alors que la musique te brisait les tympans et surtout que la fête commençait à redescendre, quelqu'un tambourina à la porte. Personne n'y avait fait attention, personne à par toi. Tu étais l'une des seuls encore dans le salon, à bader devant devant d'la blanche. Il n'y avait plus grand monde dans la pièce. La fille qui t'avait fait venir ici était en train de se faire baiser dans la salle de bain et le mec que tu trouves mignon était en train de vomir sur le balcon en criant : « C'est qui l'papa maintenant ?! » Très certainement pas lui. Mais toi tu avais tendu l'oreille, tu avais entendu les vibrations, l'énervement des personnes derrière la porte. Surement une ex beaucoup trop énervé, beaucoup alcoolisée, beaucoup trop cokée. Elle devait vouloir venir pêter la gueule d'un des mecs qui avait décidé de participer à la tournante qui a eu lieu vers une heure du matin, tu n'y avais pas participé, tu avais entendu un murmure, quelqu'un dire que tu étais qu'une pute de toute manière. Mais tu t'en fiches de ce qu'ils peuvent tous penser, de toute manière toi tu es ici à boire, fumer, sniffer à l'oeil alors qui est-ce que ça peut intéresser que tu sois ou non une putain ? Personne. Mais en attendant la personne derrière la porte continuait de taper, et puis là tout c'est arrêté. La porte a cédé sous les coups et une horde de flic a émergé du couloir. « Ne bougez plus ! Vous êtes en état d'arrestation ! » Ton coeur s'arrête, réellement tu ne le sens plus battre, tu ne sens plus tes jambes non plus. Tu commences doucement à te transformer en un petit et mignon marshmallow. Il n'y avait absolument plus personne dans l'appartement, tu es presque sûre que le propriétaire aussi est parti. Il ne reste plus que toi, le mec mignon et... non même pas ta soi-disant copine puisque tu la vois sortir en courant, et en string, avec son coup d'un soir. Tu penses à l'insulter, mais tu ne le fais pas. Tu regardes le policier et commence à bredouiller « C'est pas à moi. » Mais c'est déjà trop tard, en moins de temps qu'ils leur en avaient fallu pour rentrer, ils étaient déjà ressortis, mais avec toi cette fois-ci. white oak station, canada Et puis après un voyage qui te paru interminable, tu mis enfin un pied sur le sol canadien. Te voilà rentré à la maison. Malgré que ce qui s'était passé là-bas était qu'un malentendu, malgré que tu es tout nié en bloc, même si tu avais supplié les policier pour qu'ils te laissent finir ta session en France. Les petits hommes en bleu avaient été complètement catégorique, et tu peux encore les entendre te dire dans un anglais qui laisse à désirer, tout comme l'accent : « Désolé mamzell, mais va falloir rentrer au bercail. P'rce que v'voyez vous êtes étudiantes ici, donc pas le droit de s'faire arrêter. Fallait être plus prudente. » Une larme avait coulé le long de ta joue et tu t'en étais voulu, pourtant tout été fini, retour à la réalité. Tu n'auras jamais ton diplôme, tes parents vont te haïr jusqu'à la fin de tes jours et surtout tu risques de finir sans domicile fixe vu la manière dont ton père t'avait répondu au téléphone. En somme, tu redoutais atterrissage de ce stupide avion ! « L'équipe de bord vous annonce que nous allons bientôt attérir, veuillez attacher vos ceintures. En espérant que vous allez fait un excellent voyage avec notre compagnie. » Et voilà que ce vieux bonhomme répète la même chose dans toutes les langues possibles et imaginables. Manque plus qu'il le dise en alien et ce serait l'pompom. Tu roules des yeux, tu n'as pas hâte que l'engin atterrisse, tu n'as pas hâte de devoir marcher à nouveau sur le continent découvert par Jacques Cartier. Tu sais que tes parents t'attendent à l'aéroport, parce qu'on ne sait jamais si tu rencontres un ami parisien et qu'entre la descente de l'avion et la sortie de l'aéroport il te fasse sniffer assez de neige pour que plus jamais tu ne saches compter. Tu inspires profondément avant de sortir de ton siège, tu marches doucement, si doucement que le vieillard derrière toi râle. Tu te retournes le massacre du regard et lui lèves ton majeur, vieux con. Tu te remets en route. Lorsque tu arrives dans la salle où attendent en général les proches des personnes qui sortent de l'avion, tu ne prends pas la peine de chercher tes parents. Tu comptes simplement airer entre les sièges sans fournir le moindre effort. S'ils veulent vraiment te trouver, ils te trouveront après tout. Et ils le firent si vite que tu n'eus même pas le temps de dire ouf, les voilà déjà sur ton dos, même pas un mot gentil, ils ne veulent même pas savoir si tu as fait bon voyage, s'il n'y avait pas un vieux pervers psychopathe à côté de toi, si tu ne t'es pas faite violer durant ses six mois écourtés. Rien de tout ça, tu entends simplement. « Dépêches toi de monter dans la voiture ! » Ils ne veulent pas faire une crise, pas ici, pas en plein lieu public. Ils ont encore une réputation à essayer de faire tenir debout. Et ce n'est pas avec ton frère et toi que ça va arriver. Si durant quelques années tu avais été la petite chouchou de la famille, cette période est maintenant belle et bien révolue. Adieu les parents si aimant, bonjour la misère. Tu arrives enfin dans la voiture, tu ouvres la portière arrière et voit un sac plein sur le siège, tu regardes tes parents, intriguée. « Tes affaires. » te répond ta mère du tac-o-tac, sans même que tu es le temps de dire un seul mot. « Du moins ce qu'il restait dans ta chambre, tout est là. Et maintenant tu t'en vas. Tu es assez grande pour te débrouiller toute seule. Tu nous l'as bel et bien prouvé lorsque tu étais dans ce pays de mangeur de grenouilles ! On te dépose en ville, tu fais ce que tu veux. Nous ne voulons pas d'une droguée sous notre toit, c'est inadmissible ! L'école t'avait recommandé bon sang ! Est-ce que tu te rends compte ce que cela nous a coûté à ta mère et moi pour effacER tes bêtises ? Je ne pense pas que tu réalises. Alors, voilà ce qu'il va se passer, tu vas partir et te débrouiller seule. » Tu ris, tu ris aux paroles de ton père, tu lui ris au nez. C'est hilarant ! Tu ne dis rien, seul ton rire envahit l'habitacle de la voiture maintenant que ton père a fini son long monologue qu'il avait très certainement préparé à la maison. Ca sonne faux, pourtant tu le prends aux mots. Tu réfléchis déjà à ce que tu vas bien pouvoir faire. Tu ne connais plus personne ici. Il ne te reste plus que ton frère, et encore. Arrivé dans le centre de la ville, tes parents te font sortir de la voiture, comme prévue. Tu leur souris et sans un mot tu t'éloignes. Tu crois te souvenir de l'adresse de ton frère, de toute manière tu n'as plus rien à perdre. Une fois devant l'appartement de ton frère, tu prends une grande inspiration, tu toques. Un bouclé d'une vingtaine d'année t'ouvres la porte. Tu souris et lui lances : « J'peux crécher ici quelques temps ? »
Dernière édition par Capucine Davis le Mar 16 Avr - 20:20, édité 5 fois |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 10:45 | |
| boooooonjour malgré que je sois le scénario de lennon (mec tu gères ) ben j'aimerais bien avoir des liens en plus donc si quelqu'un a une idée ou est intéressé par une sorte de relation amoureuse ambiguë avec un peu d'illégalité dans l'air, ben faut pas hésiter, parce que j'aimerais bien que quelqu'un vienne dévergonder l'esprit dévergondé de caput donc peut importe l'âge du moment que vous êtes partant un tour dans les montagnes russes du coeur de cdd 'vous aimes |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 11:07 | |
| Bienvenue parmi nous :D Je n'ai pas encore d'idées de lien mais je viendrais t'en quémander un quand j'aurai des idées. Je suis sur que tu trouveras ce que tu cherches ici :D Bonne chance pour ta fiche :) |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 13:18 | |
| merci sarah pas de soucis, et si quelque chose me vient à l'esprit pour les deux je te fais signe |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 15:25 | |
| + iwan oh mon dieu, nico ce mec est juste à mourir ! merci + noàm elle est parfaite cette fille et que dire de zayn d'ailleurs je veux un lien, j'ai cru comprendre que les deux gars ne s'entendaient pas en tout cas je vais y réfléchir et te dire si j'ai une idée et merci |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 15:32 | |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 15:36 | |
| aubree, j'adore ce prénom merci beaucoup |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 15:37 | |
| Merci, moi aussi ^^ |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 15:44 | |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 15:50 | |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 17:00 | |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 17:19 | |
| je sais que j'ai des bons goûts, qui n'aiment pas les sucreries made in pakistan ? oh ça, ça risque d'être marrant il fait ce qu'il veut, du moment que je suis consentante |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 17:26 | |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 17:28 | |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 17:36 | |
| si j'ai ta bénédiction bro, c'est encore plus parfait ! alors faire des bébés noam |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 17:51 | |
| m'en fou, si ça arrive je te refile l'alien comme ça tu pourras ouvrir une garderie |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 17:56 | |
| vtf tu te débrouille (au pire tu peux toujours le vendre... |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 18:10 | |
| oui, Lennon tiendra une garderie comme ça, il pourra toujours draguer les pères qui déposeront leurs enfants |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? Mar 16 Avr - 18:17 | |
| tu me donne une idée là.. |
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| (#) Sujet: Re: hé mademoiselle, t'es légale ou pas ? | |
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