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 (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott

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(hot) Eres una quimera | PV Adam Scott - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott - Page 2 EmptyDim 22 Fév - 1:25


Il avait une addiction toute particulière pour ses reins. Un fait qu’il devait bien reconnaitre, quand bien même il ne le ferait jamais à haute voix. Il faudrait résolument le tuer pour qu’il avoue qu’il prenait son pied en venant osciller son bassin contre celui de l’Hispanique. Après tout, cela faisait des années que ces fesses hantaient certains de ses fantasmes et il était plus que ravi de pouvoir les réaliser, savourer les caresses étroites de ce bassin contre son fier soldat. Le contraire aurait été bien dommage, d’autant plus que Morales semblait être dépendant de son corps. Lui aussi le nier, mais l’évidence était là. Il mourrait d’envie qui le possède, lui faire atteindre ce point de paradis terrestre qu’il découvrait si fougueusement en sa compagnie. Cette vérité était d’autant plus cuisante puisque Morales était celui qui l’avait réclamé de la sorte, brûlant à l’idée de prendre ce chemin merveilleux en sa compagnie. Il s’était donc plié obligeamment à sa demande, ayant bien évidemment la même ambition qui l’étreignait. Il lui promettait d’atteindre les étoiles et Adam n’était pas du genre à manquer à sa parole. Il s’appliquait donc à sa tâche, laissant son soldat s’immiscer dans ce champ de bataille, prêt à l’assaut. Pourtant, il savait son amant nullement préparé à ce contact. C’est pour cela qu’il se contentait de s’immiscer en son sein, attendant son feu vert pour poursuivre. Bien sûr, il comptait se montrer frustrant, assez pour que Morales vienne mouvoir son bassin de lui-même. Une idée résolument perverse, mais qui ne le faisait nullement rougir. Après tout, il était celui qui le réclamait si ardemment…

Morales semblait s’habituer à sa présence, son souffle se faisant moins difficile, sensible à ses caresses qu’il lui prodiguait pour tenter de maintenir son excitation, l’exacerber même. Morales lui suppliait de continuer, peu importe la douleur. Des paroles ô plaisantes qui ne pouvaient qu’éveiller son intérêt quand bien même il ne bougea pas. Il souriait contre son omoplate, le sentant particulièrement frustré face à son inaction. C’était particulièrement mesquin de sa part, il devait bien le reconnaitre. La tentation était terriblement plaisante qu’il ne pouvait y résister. Il poursuivait ses caresses et Morales sembla prendre conscience qu’il ne comptait pas satisfaire sa demande, quand bien même son soldat était prêt à l’attaque, tout comme celui de son amant. Morales sembla le comprendre et vint naturellement mouvoir son bassin contre le sien. Une action particulièrement délicieuse pour l’Asiatique qui vint sourire contre sa peau, avant d’observer ce bassin osciller contre le sien, lui prodiguant un certain plaisir. Il se mordilla la lèvre en observant cette vue décadente, cette envie qu’il avait de le sentir en lui. Il était résolument difficile de rester de marbre face à cela. Morales se déhanchait délicatement contre son bassin, venant prendre ce qu’il voulait avec sensualité, le temps de s’habituer à ce contact qu’il semblait tant apprécier. La vue était excitante et ses caresses se firent plus intenses sur sa chair. Il sentait Morales frémir sous son toucher, sa voix suave lui murmurant qu’il était vraiment sadique et pervers. Ces mots le firent sourire contre son oreille qu’il vint mordiller avec sensualité.

« Tu n’as pas idée, Morales… mais il me semble que tu adores cette facette de ma personne. Tu t’en n’es jamais plaint, que je sache ? » Il vint rire contre son oreille alors qu’il venait se pincer les lèvres, sentant le bassin de Morales honorer de nouveau son soldat. C’était un contact délicieux qui savait éveiller son désir et cette voix plaintive, quémandeuse qui s’exprimait avec décadence savait particulièrement attirer son attention. Il sentait Morales se détendre, tant et si bien qu’il savoura avec plaisir le râle qui s’exprimant malgré lui des lèvres de son amant. Il gémissait délicieusement, lui suppliant de ne pas être si sadique. Il avait envie qu’il le possède fougueusement, qu’il lui fasse atteindre ce paradis qu’il n’avait pas connu encore en cette soirée. Des paroles qui le firent sourire alors qu’il glisser sa main libre contre sa hanche, son rein. Sans un mot, il vint répondre positivement à la demande de son hôte. Il laissa ses reins amorcer un mouvement de bassin, venant profondément s’immiscer dans ceux de son amant. Il le sentit gémir de plaisir, son corps se tendant légèrement de bien-être alors qu’il réalisait les mêmes mouvements sur son soldat bien enserré entre ses phalanges. Il se mouvait avec sensualité, lenteur. Il savourait les caresses que lui prodiguaient ses reins, en silence, si ce n’est pour mordiller l’oreille de Morales qui semblait dépendant de ses actions. Il ne pouvait qu’en être ravi, sachant parfaitement accroitre son désir, le rendre dingue et le frustrer par la même occasion.

Il venait accélérer la cadence de ses reins, venant opérer des mouvements profonds et vigoureux de ses mains, de son bassin. Il sentait son excitation s’intensifier, devenir plus forte tout comme celle de l’Hispanique. Il le possédait sans s’arrêter, jouant de ses actions pour frustrer et satisfaire son amant. Il le sentait de plus en plus dépendant, brûlant, prêt à exploser. Lui tenait la cadence, la mesure de leur union, sachant parfaitement gérer la graduation de son excitation. Pourtant, il devait reconnaitre qu’il se sentait de plus en plus sensible à l’émoi de Morales. Ses gémissements éveillaient son appétit, le rendait plus fort, la fébrilité de sa fierté titillait la sienne. Il sentait son souffle devenir plus court, plus fort tandis que les minutes s’évadaient. Il conduisait l’Hispanique sur la voie de ce paradis terrestre, se montrant de plus en plus fougueux dans ses actions pour lui permettre d’y accéder, de pousser ses portes. Adam était sensible à ses râles de plus en plus fort, bien qu’il s’amusait cruellement à le frustrer, lui empêcher d’atteindre cet apogée sans lui. C’était bien vil et sadique de sa part, mais inconsciemment, Morales semblait adorer cela. Il le sentit être à ce point de rupture, si sensible et excité que son soldat semblait être sur le point de rendre les armes. Il le poussa un peu plus et ce point de rupture, d’extase fut atteint.

Il le sentit se cambrer avec force contre son torse, sa voix se perdant dans les méandres du plaisir. Adam venait mordre sa nuque avec appétit, sentant son corps profiter de cette jouissance si merveilleuse. Il laissa un râle s’exprimer d’entre ses lèvres, son corps résolument excité par cette vue si damnée que lui montrait cet homme. Il n’avait pas pour autant ce point ultime à son tour, mais il le sentait proche. C’est donc tout naturellement qu’il avait relâché le soldat de son amant pour venir glisser sa main moite contre la hanche de Morales pour poursuivre ses mouvements de bassin de plus en plus fougueusement. Il le prenait avec force et appétit, déterminé à atteindre ce point spécifique. Morales était victime de ses lèvres, de ses doigts qui glissaient sur ses abdominaux et ses pectoraux. Ses râles masculins se firent plus nombreux et il finit par atteindre ce paroxysme à son tour. Il se laissa aller, son soldat rendant les armes dans ce champ si brûlant et étourdissant. Il vint décroitre la vigueur de ses oscillations, laissant son bassin calmer ses ardeurs.

Le souffle court, il venait reprendre sa respiration en venant embrasser son omoplate avec douceur – seul geste qui pouvait trahir cette attirance plus que physique pour cet homme. Une action qu’il vint camoufler par un doux rire alors qu’il venait se retirer de lui, enlevant sa protection pour observer ce corps qu’il venait de prendre avec fougue. « Ais-je tenu ma parole, Morales ? Il me semble que tu as bien pris ton pied pour un homme qui ne voulait pas de moi. Dans tous les cas, je n’ai rien perdu au change. Finalement, tu sais bien m’allumer. N’hésite pas à m’appeler quand tu en auras envie… Enfin si tu arrêtes de faire ta tête de mule… » Sa voix s’était faite taquine et mesquine dans un rire naturel. Il était venu s’éloigner de lui pour rejoindre le bord du lit, s’apprêtant à prendre la poudre d’escampette… « Il serait dommage que tu te prives d’un tel plaisir, non ? Je sais que mes coups de reins te font planer. » Il ne pouvait s’en empêcher, c’était plus fort que lui et il ne pouvait pas se refaire. D’autant plus que Morales craquait pour cela. Il serait dommage de changer une recette qui gagne, non ?
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(hot) Eres una quimera | PV Adam Scott - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott - Page 2 EmptyLun 9 Mar - 0:15

Baltazar n’avait certainement aucun mal à s’avouer que Scott se trouvait un excellent amant, aussi pervers était-il. Il fallait dire après tout qu’il s’agissait de l'un des côtés qui l'attirait particulièrement, ne profitant sans aucun doute pas autant de ces instants s'il avait été différent. Il n'aurait été nullement en train de venir réclamer lui-même cette colonne de chair en son sein d'une manière particulièrement coquine si Scott avait été différent. Son addiction pour cette folie ne semblait pas avoir de secret puisque ce dernier avouait qu'il n'avait pas d'idée à quel point il était pervers, il lui semblait cependant qu'il adorait cette facette de sa personne. Ce dernier ne s'en étant jamais plaint. Baltazar ne pouvait certainement pas le contredire à ce propos tant ce côté pervers l'attirait malgré lui, se plaisant à être la victime de cet amant pervers. Tant qu'il ne pouvait que gémir au contact de cet amant en son sein, appréciant ô combien cette pénétration qui venait l'emmener à connaitre de si délicieuses sensations. Il voulait être possédé encore plus fougueusement afin qu'il puisse atteindre ce doux paradis terrestre à ces côtés. Il lui avait alors demandé de ne pas être trop sadique et venir le posséder entièrement, sans aucune retenue, sans s'amuser à le voir si dépendant de ses coups de rein. Un fait qu'il avait particulièrement du mal à comprendre en vue de son comportement et de son sourire qu'il devinait malsain.

Seulement, à son plus grand plaisir, l'asiatique vint répondre à son ambition première, laissant ses reins amorcer un mouvement de bassin, venant profondément s'immiscer au sein de ce corps. Un acte résolument plaisant et tout aussi excitant alors que sa main effectuait les mêmes mouvements venant l'emmener à se sentir d'autant plus désireux. Baltazar était brulant, ayant l'impression de bruler de l'intérieur alors qu'il sentait son corps frémir à chaque instant. Son excitation ne cessait pas de s'accentuer, l'amenant à gémir dans une voix particulièrement fébrile. Son amant ne lui laissait nullement le temps de se satisfaire pleinement, ce dernier jouant et venant ne le posséder quelques instants au contact de sa prostate. Une zone érogène de son corps qui l'amenait à connaitre ce bien-être d'être un dominé à côté d'un amant aussi séduisant et tentant. Scott faisait si bien l'amour qu'il lui était impossible de résister, venant réclamer lui-même sa présence alors qu'il s'éloignait pour le posséder avec autant de fougue et de passion. Tant qu'il ne put que difficilement retenir ces gémissements, ne devenant qu'une simple masse gémissante, soupirant et communiquant son bien-être à tout instant.

L'hispanique mourrait presque de désir à chaque allée et venue, son amant venant toucher à chaque pénétration cette zone sensible qui l'emmenait à se sentir si près du point de rupture, le désir étant à chaque instant tout aussi fort. Il ne sut quand exactement il atteint le chemin pour atteindre ce point, mais lors d'un énième mouvement de rein, il se sentir partir, tout son corps défaillir et lâchant un gémissement, se cambrant contre son torse. Baltazar se sentait à présent particulièrement fébrile, son souffle presque coupé alors que son amant continuait ses mouvements de reins, mordant sa nuque avec appétit. Si Baltazar avait atteint ce point de non-retour, son amant, lui, l’atteint qu'après plusieurs mouvements de bassin, sa main taquine venant jouer avec hanches et ses reins. L'extase avait certes été présente, mais cela ne l'empêchait certainement pas de frémir alors que son amant venait à la rencontre de sa prostate à nouveau. Il avait alors atteint ce stade de non-retour quelques instants plus tard, au plus grand plaisir de Baltazar qui était ravi de savoir que tant son corps que lui attirait cet homme, l'amenant à connaitre cette jouissance.

L'hispanique perdu dans les méandres de plaisir, ne fit nullement attention aux baisers de son amant, son ouïe écoutant ce doux rire. Frémissant malgré lui alors qu'il sentait son amant se retirer de lui, lui ôtant une si délicieuse sensation. Scott venait lui demander s'il avait tenu parole, il lui semblait qu'il avait bien pris son pied pour un homme qui ne voulait pas de lui. Dans tous cas, il n'avait rien perdu au change. Finalement, il savait bien l'allumer, lui indiquant de ne pas hésiter à l'appeler s'il en aurait envie, s'il arrêtait de faire sa tête de mule. A la fin de ses mots, il était venu s'éloigner de lui pour rejoindre le bord du lit, s'apprêtant sans doute à partir. Ce dernier lui avouait qu'il serait dommage qu'il se prive d'un tel plaisir, sachant que ses coups de rein le faisaient planer. Le jeune homme ne pouvait résolument pas mentir à ce propos, venant se redresser pour affronter le corps de son amant, un corps nu particulièrement attirant qui le fit sourire doucement, ne se dérangeant nullement du regard alors qu'il s'adressait à lui : «  Je mentirais si je ne t'avouais pas que j'avais pris mon pied, mon corps m'a suffisamment trahi à ce propos...» vint-il lui indiquer dans un doux sourire.

D'humeur particulièrement coquine, n'étant nullement capable de refuser en quelque sorte un second round en compagnie de cet amant qui arrivait si aisément à attiser son désir, Baltazar vint décider de tenter à nouveau son amant venant placer sa main sur la sienne, le dévorant tout autant de ses yeux. Il vint lui indiquer dans une voix suave : « Et si je t'avouais que j'en avais encore envie, que dirais-tu de passer un peu plus de temps avec moi ? Il me semble que toi aussi tu as bien pris ton pied, ne boudant résolument pas ton plaisir Scott lorsque tu venais posséder mes reins... ». Il n'y avait bien que cet homme avec qui il était capable de parler ainsi... ! Il ne lui semblait pas avoir parlé ainsi avec quiconque jusqu'alors et encore moins ses amants, Scott était une exception pour le jeune homme. La réponse de Scott se fut d'autant plus coquine, amusant l'hispanique, le voyant accepter son offre. Baltazar profita aisément de ces instants, devenant malgré lui si dépendant de cet homme.
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