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| (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott | |
| Auteur | Message |
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| (#) Sujet: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Sam 15 Nov - 12:33 | |
| Cette situation était réellement ridicule ne cessait-il de penser alors qu’il se trouvait en train d’attendre son rival dans la chambre d’hôtel qu’il avait l’habitude de réserver pendant ses séjours à Paris. Il ne savait même plus ce qu’il y faisait tant l’attente se faisait interminable. Depuis combien de temps se trouvait-il assis sur ce lit à attendre la venue de Scott ? Il ne savait plus du tout. Il avait même d’ailleurs envie de partir de cette pièce en posant un lapin à ce dernier ! Bien qu’il s’agissait plutôt du contraire vu que c’était lui qui l’attendait depuis trente minutes ou bien plus, il ne savait plus. Baltazar n’avait tout simplement plus le souhait de regarder sur sa montre depuis combien de temps il l’attendait. Cet homme avait le don de le rendre fou quoiqu’il fasse, qu’il ne vienne pas, qu’il soit devant lui ou pas. Les messages qu’ils s’étaient envoyé, quelques heures auparavant l’avait fait agir n’importe comment songeait-il. Mais, comment cela en aurait-il pu être autrement alors que ce dernier s’était amusé de lui, s’amusant à le frustrer, l’ignorer sans aucune gêne. Ils étaient rivaux, il n’avait aucune raison de l’ignorer ainsi ! Tout particulièrement alors qu’ils avaient à nouveau cédé à la tentation dans les toilettes de cette entreprise. Un lieu résolument hors du commun pour le jeune homme qui n’avait que peu l’habitude de sortir des rangs dès lorsqu’il s’agissait de relations de ce genre.
Seulement, depuis leur première folie à Paris, il ne pouvait nullement s’empêcher de penser à cet homme malgré lui, n’arrivant pas à trouver ne serait-ce qu’un moment de paix rien qu’à l’évocation de son nom. Il ne comprenait résolument pas ce qu’il lui arrivait, si ce n’était qu’il le troublait. Un élément qu’il ne pouvait pas nier tant la simple taquinerie de ce dernier avait le mérite d’éveilleur sa chair sans qu’il ne comprenne quoi que ce soit. Son esprit n’était pas dans son état normal ne pouvait-il que penser alors qu’il savait qu’un autre homme l’empêchait de dormir. Peut-être alla-t-il ver la perdition, la folie, qui sait. Baltazar ne savait plus trop quoi penser si ce n’était que Scott semblait l’avoir abandonné, lâchement eu pendant cette soirée. Il n’y avait pas à dire, cet homme ne changerait jamais, manipulateur qu’il l’était. Pourquoi était-il donc si sensible à lui ? Allez savoir ! Il ne comprenait plus grand-chose, si ce n’était qu’il avait réussi à le manipuler et lui faire avouer qu’il n’arrivait tout simplement plus à agir normalement lorsqu’il était là. Il avait tellement frustré quelques heures auparavant, mais Scott semblait s’y plaire puisqu’il n’était toujours pas là. Il aurait mieux de ne pas l’écouter et de passer la soirée avec un ami à lui dans un bar à cocktail chic pour l’oublier, sans aucun doute que cela aurait été la meilleure des idées. Seulement, il ne savait nullement pourquoi, mais il n’arrivait pas à quitter cette pièce et attendait cet homme alors qu’il ne méritait même pas. Un fait qui ne pouvait que le désoler !
Pour se changer les idées, il avait pris soin de prendre une douche et de se changer, abandonnant son costume pour se vêtir de vêtement plus simple, un simple pantalon rouge bordeaux et un pull gris, par-dessus son tee-shirt noir. Au moins, il avait eu le mérite de se changer les idées quelques minutes sous la douche. Il avait alors commandé un vin de bordeaux qu’il aimait particulièrement auprès du service de l’hôtel et avait allumé le home cinéma de la chambre pour y faire diffuser de la musique calme, lançant la playlist qu’il s’était faite à propos du groupe The Piano Guyz, un groupe que son doux inconnu lui avait fait découvrir. Ainsi, sagement allongé sur son lit, il gardait les yeux fermés, se contentant d’écouter leurs musiques pour se calmer l’esprit. Penser à cet homme lui permettait au moins de ne plus penser à Adam et ses machinations pour le faire craquer. Il ne savait nullement où les emmènerait cette soirée si ce n’était à craquer à nouveau pour cet homme, lui donner envie de lui faire atteindre à nouveau ce plaisir avec ce dernier. Scott savait exactement comment le manipuler et cela ne pouvait que le rendre qu’encore plus fou ! Sans doute n’aurait-il dû jamais l’inviter dans cette chambre lorsqu’il avait eu besoin de lui, ainsi il n’aurait pas tant de questions dans son esprit.
Seulement, ces pensées ne purent que s’arrêter à l’arrivée supposée de l’homme lorsqu’il entendit quelqu’un frapper à la porte sans s’annoncer. Il n’attendait plus personne à cette heure à part lui. Devait-il seulement lui ouvrir et le laisser rentrer comme si de rien était alors qu’il l’avait attendu pendant autant de temps ? Bien sûr que non, il le méritait après l’avoir traité ainsi. Mais, il ne pouvait pas s’empêcher de vouloir lui ouvrir, ce dernier l’ayant bien trop frustré pour ne pas qu’il cède. Ainsi, il vint se relever avec lenteur, venant ouvrir à cet homme terriblement manipulateur. Il imaginait aisément que ce dernier devait se plaire dans ce rôle, l’attendant avec un air particulièrement satisfait lorsqu’il allait lui ouvrir. Lorsqu’il vint lui ouvrir, il ne fut nullement surpris de le voir avec ce sourire espiègle aux lèvres, ravi sans doute de voir qu’il l’attendait encore après tout ce temps. Un sourire qui ne ravissait nullement, bien qu’il lui fût difficile de ne pas le trouver charmant ainsi. Il était sexy, bien trop pour son bien sans doute. Baltazar ne prononça aucun mot lorsqu’il le fit entrer dans la suite, se contentant de jouer son rôle. Scott avait toujours ce regard espiègle, s’attendant de sa part à une remarque cinglante, après tout il avait le seul idiot à l’attendre alors que lui devait être en train de boire un verre avec un ami juste pour le faire attendre.
Néanmoins, il ne put s’empêcher de venir indiquer à Scott : « J’espère pour toi que lorsque tu as un rendez-vous important, tu préviens les autres personnes que tu auras du retard… ce n’est pas comme si tu n’avais pas mon numéro. ». Ces propos n’avaient résolument aucun sens, ne cessait-il de penser tant Scott risquait de rebondir dessus, il aurait mieux fait de se taire sans doute et de continuer à le toiser du regard.
Tenue de Baltazar
Dernière édition par Baltazar Morales le Dim 14 Déc - 0:47, édité 1 fois |
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Sam 15 Nov - 22:05 | |
| Sagement assis sur un fauteuil du hall de cet hôtel de luxe, Adam était positionné de façon stratégique pour voir les personnes qui allaient entrer ou sortir des deux ascenseurs de l’hôtel. Autant dire que son choix n’était pas étranger à un certain Hispanique qui l’avait invité à le rejoindre dans sa chambre d’hôtel, la même où quelques mois auparavant, il avait pu découvrir son rival de toujours sous un nouvel angle. Un changement dans leur relation qui ne l’avait nullement dérangé. Bien au contraire ! Il s’en trouvait particulièrement ravi, glorifié d’être parvenu à avoir tant de pouvoir sur le corps de cet homme qui l’avait tant fait languir d’ambition au cours de ses dernières années. Réaliser son fantasme ne l’avait rendu que d’autant plus avide et déterminé de le soumettre à sa personne. Une idée bien perverse de sa part, mais qui correspondait parfaitement à l’homme qu’il était. Il aimait maitriser les choses, les personnes qu’il avait autour de lui. D’autant plus celles qui pouvaient avoir un effet sur lui. C’était le cas de Baltazar, cet homme qui l’obnubilait depuis des années. Il était le seul homme a éveillé de si profonds desseins de sa part. Il est donc évident que son égocentrisme ne pouvait supporter que ce fait soit à sens unique. C’est pour cela qu’il jouait si profondément à le rendre fou. Il avait mis en place un plan machiavélique sans même s’en rendre compte. Il voulait le séduire, c’était une évidence. Il en avait conscience, avait pris les traits de son bel inconnu dans cette ambition, pour répondre à son désir secret de découvrir cet homme qui l’attirait, lui donnait la sensation de ne pas être seulement l’homme qu’il avait toujours connu. Il apprenait à découvrir cet homme, mais il ne pouvait le faire sous les traits d’Adam. Il devait trouver un autre moyen de le séduire, le rendre dépendant de son corps. Il le frustrait donc dans le but de le soumettre un peu plus. C’était un jeu risqué, mais qui avait payé aujourd’hui.
Il l’avait bien vu dans le regard de l’Hispanique qu’il s’était trouvé particulièrement vexé qu’il ne s’intéresse que peu à lui durant cette réunion. Les SMS qu’ils s’étaient échangés au cours de cette dernière n’avaient pu que l’en certifier d’autant plus en remarquant la frustration que son désintérêt pour lui engendrait dans l’échine de son amant. Cela l’avait énormément amusé et il ne pouvait donc que sourire en y repensant. Il se souvenait des rougeurs qui avaient envahi le visage de l’Hispanique à la lecture de son dernier SMS, la fébrilité dans laquelle il l’avait mis. Il n’y avait aucun doute sur cette expression, il avait réveillé ses sens, son désir et par un simple message l’avait mis en face de sa propre dépendance. Il avait envie de lui, il voulait qu’il le possède de nouveau, qu’il le rende fou de son corps et cette pensée exalter l’esprit pervers de l’Asiatique. Il souriait à cette pensée, ses doigts masquèrent son sourire narquois alors qu’il se pinçait la lèvre. Cela faisait plus d’une heure qu’il se trouvait dans le hall de cet hôtel. Depuis vingt et une heures, il s’était assis sur ce siège en réfléchissant à ce qu’il devait faire. Devait-il aller à sa rencontre ? Bien entendu. Il comptait bel et bien s’y rendre, mais une envie malsaine lui dictait de rester là où il se trouvait. Baltazar allait-il attendre toute la soirée sa venue ou au contraire perdrait-il patience et sortirait en ville, encore plus vexé qu’au cours de la journée ? Il avait conscience qu’en agissant de la sorte, il était un véritable enfoiré, mais il l’acceptait, l’assumait totalement. De temps à autre, il laissait son regard se poser sur la pendule du hall, remarquant que les heures défilaient sans qu’il n’ait bougé de place, ni même que l’Hispanique ne pointe le bout de son nez. Cela ne pouvait que le ravir, éveiller son esprit pervers.
Il se mordillait la lèvre, le regard brillant d’amusement. Il donnerait n’importe quoi pour voir l’expression de son rival à cet instant. Devenait-il fou de l’attendre ? L’espérait-il encore ? Est-ce qu’il pensait qu’il lui posait un lapin ? Il n’avait de cesse de regarder son portable, attendant un message de sa part, en vain. Il aurait pris cela comme une victoire, mais celui-ci ne vint pas. Du moins, sans doute lâcha-t-il trop rapidement, mais la curiosité l’emporta sur son avidité à tout contrôlé. Il se leva au bout de deux heures, appelant l’ascenseur qu’il prit jusqu’à accéder à ladite chambre que devait occuper son rival. Le regard amusé, le sourire un peu mesquin, il se pinça la lèvre inférieure en frappant la porte. Il n’éprouvait aucune honte d’arriver si tard, attendant résolument avec impatience de voir apparaitre le visage de cet homme. Serait-il furieux ? Allait-il le frapper, l’insulter ou au contraire demeurait-il stoïque à sa venue ? La dernière éventualité aurait au moins eu le mérite de l’étonner et de lui faire comprendre que l’Hispanique n’était pas autant sous son charme. Ce qu’il doutait, d’autant plus en vue de leur précédente rencontre et de l’échange vif qu’ils avaient eu au cours de l’après-midi par SMS. Le locataire des lieux vint lui ouvrir la porte, son regard noir le dévisageant. Cela ne put que l’amuser d’autant plus alors qu’il le voyait en silence se décaler de la porte pour le laisser entrer dans la pièce. Ce qu’il fit sans se faire prier, retrouvant cette chambre dans laquelle il avait passé une nuit particulièrement torride avec l’hôte. Celui-ci vint refermer derrière lui alors qu’Adam venait se tournait vers lui. Son expression n’avait pas changé, sa mine sérieuse et frustrée, vexée était particulièrement attrayante. Il lui signifia qu’il espérait pour lui que lorsqu’il avait un rendez-vous important, il prévenait qu’il aurait du retard. D’autant plus qu’il ne pouvait pas nier avoir son numéro de téléphone. Ses mots emplis de rancœur et ronchons ne purent que le faire sourire davantage alors qu’il lançait fièrement dans un ton désinvolte.
« Bonsoir, tout d’abord. Je ne voudrai pas que tu penses que je te délaisse dans les usages de courtoisie…Cependant, je n’ai pas souvenir d’avoir dit que je viendrai, mais je peux repartir si tu le souhaites… » Laissa-t-il planer comme menace alors qu’il ajoutait : « Après tout, c’est toi qui voulais discuter, si mes souvenirs sont bons... » Il haussa les épaules en le fixant de son regard perçant et profond alors qu’il ajoutait dans un sourire mesquin, mais direct. « Quoiqu’en vue de ton expression à la vue de mon SMS, ton corps avait envie d’autre chose que des paroles… Enfin quelque chose de plus concret que la luxure sait apporter à la chair… si tu vois ce que je veux dire. » Son sourire se fit plus mesquin et coquin alors qu’il venait lui lançait un regard profondément enjôleur et taquin. « Je me trompe, Morales !? »
TENUE : 01.
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Lun 24 Nov - 14:30 | |
| Scott était résolument un être sadique, ne cessait de penser Baltazar alors qu’il l’avait attendu de si longues minutes dans sa suite personnelle. Une suite qu’il avait l’habitude de louer à chaque fois qu’il venait à Paris pour des affaires. Malgré tout, à chaque fois qu’il y allait, il ne cessait de penser à cette nuit qui avait changé leur vie ou du moins influencé leur relation. Bien entendu, c’était le fait qu'Adam ne change pas de comportement envers sa personne qui le dérangeait sans aucun doute. Parce que même s’il essayait de ne pas y songer, il savait au fond de lui que cette nuit qu’ils avaient passée ensemble n’était nullement anodine, pour lui au moins. Il avait beau essayer de paraître insensible, à chaque fois Scott arrivait à le faire sortir de ses gonds avec de simples mots ou ce simple regard taquin qu’il lui lançait. L’Asiatique s’était bien rendu compte de ce fait et semblait s’en amuser chaque jour un peu plus. C’était la première fois qu’il ressentait toutes ses sensations et cela ne pouvait qu’attiser sa curiosité, sa crainte tant il n’aurait sans doute pas dû les ressentir. Il avait l’impression que cet homme pourrait le duper comme il le souhaitait sans qu’il n’arrive à lui résister d’une quelconque manière. C’était ce qui le dérangeait le plus, alors même qu’il avait attendu cet homme pendant tant de temps.
Ce dernier n’avait semblé d’ailleurs ressentir aucune gêne à franchir les portes de sa suite avec tant de retard, affichant un ait presque hautain. C’est pourquoi il lui avait lancé un regard particulièrement noir en sa direction. Il n’avait pas prononcé de mots jusqu’à qu’il ferme la porte, l’observant dans une mine sérieuse et résolument frustrée. Il n’avait pas pu s’empêcher de lui adresser des mots pleins de rancœurs, quelque peu ronchonnes. Adam aurait pu s’excuser de son retard, non ? Seulement à son habitude, ce dernier l’observait d’une manière particulièrement hautaine et à la fois désinvolte, comme il avait toujours l’habitude de faire en vérité. Baltazar avait presque honte des mots qu’il prononçait tant il lui paraissait être celles d’une jeune femme amoureuse, une comparaison qui lui faisait véritablement froid dans le dos tant il ne voulait jamais être considéré comme amoureux de cet homme. Il ne s’était jamais énervé d’une telle manière avec quiconque, ni ne s’était senti vexé lorsqu’une partie des personnes qui lui étaient chères avaient du retard lorsqu’ils leur avaient proposé un rendez-vous. Même, voir sa femme arriver avec une ou deux heures de retard ne l’avait pas rendu ainsi ! Et pourtant ça aurait dû être elle qui le rendait ainsi dans la mesure où il se trouvait être son mari et l’homme avec qui elle devrait finir sa vie. Pourquoi devait-il donc être ainsi dès lors qu’il s‘agissait d’Adam ? Il ne cherchait même pas à savoir tant il ne préférait pas en connaitre la signification.
Adam ne se trouvait toujours aussi désinvolte, ne pouvait-il cesser de penser alors qu’il lui disait bonsoir, ne voulant pas qu’il pense qu’il le délaisse dans les usages de courtoisie. Il n’avait pas souvenir de lui avoir dit qu’il viendrait, alors il pouvait repartir s’il le souhaitait. En effet, c’était lui qui voulait discuter, si ses souvenirs étaient bons, termina-t-il en lançant un regard perçant et profond. Baltazar eut envie de le frapper en cet instant tant l’arrogance de cet homme l’insupportait. Cette envie ne put que s’accentuer alors qu’il lui avouait qu’en vue de son expression à la vue de son message, son corps avait envie d’autre chose que des paroles, quelque chose de plus concret que seule la luxure savait apporter à sa chair, s’il voyait ce qu’il voulait dire. Cet homme se trouvait résolument pervers et vicieux ! Chacun de ces mots ne put que le faire frémir malgré lui alors que cet homme lui lançait un regard profondément enjôleur et taquin, lui demandant s’il se trompait. Que cet homme était arrogant ! Baltazar avait envie de le faire taire tant ces mots ne pouvaient pas l’empêcher de pouvoir se sentir fébrile, un fait qui devait déjà se voir à travers son regard malgré lui. Le fait qu’il ait bu plusieurs verres de vin avant son arrivée ne devait nullement arranger la situation. C’est pourquoi il vint lui répondre simplement : « Tu n’en as pas marre d’être si arrogant ? Tu ne pourrais tout simplement pas t’excuser et non arriver comme une fleur ? Tu ne pouvais pas simplement envoyer un message que tu comptais venir avec je ne sais pas combien de retard ? ». Sa voix se faisait malgré lui résolument ronchonne alors qu’il venait se diriger vers la petite table qui se cachait derrière son lit.
Il était tout simplement impossible de ne pas voir que le jeune homme se sentait particulièrement fébrile, même s’il essayait de le cacher à son ennemi de toujours. Ne pas répondre à ces paroles était sans aucun doute la meilleure des idées en cet instant, ne cessait-il de penser. C'est pourquoi essayant de garder son calme et de masquer sa fébrilité il vint servir à Scott un verre du vin qu’il avait commandé, lui tendant alors le verre pendant qu’il venait lui-même se servir, ceci étant fait. Il ne savait pas combien de verres il avait bu auparavant, mais le niveau de la bouteille avait quelque peu diminué depuis qu’il l’avait ouverte, un fait que Scott avait sans aucun doute remarqué. Quelque peu curieux, le jeune homme vint demander à son ennemi de toujours : « Tu étais où avant de venir ? ». Il paraissait sans doute bien ridicule, mais l’alcool l’aidait résolument à sortir de ses réserves qu’il mettait chaque jour lorsqu’il se trouvait en compagnie de cet homme ou de quiconque. Néanmoins, il se reprit : « Enfin… tu n’as même pas à me répondre, j’imagine que tu dois avoir tes raisons…»termina-t-il en buvant une gorgée du vin. |
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Mar 25 Nov - 20:40 | |
| Adam se montrait sournois et mesquin avec son rival. Il faut dire qu’il était particulièrement agréable de le voir afficher cette mine si renfrognée qui lui donnait un air grave et concerné. Cela changeait résolument de l’expression impassible qu’il lui avait connue tout au long de ces années. Il se trouvait donc particulièrement ravi, glorieux de le savoir si sensible à son comportement. Cela flattait son égo – qui sans besoin de le spécifier, était déjà très gros – et venait accentuer son désir de le pousser à bout. Il voulait qu’il craque, qu’il lui saute dessus pour lui demander de le caresser, de le posséder de nouveau comme il l’avait fait de nombreuses fois. Une pensée bien perverse qui ne pouvait que rendre son sourire d’autant plus enjôleur et mesquin à son attention. Combien de temps allait-il tenir ? Allait-il céder à ces pulsions comme la dernière fois où il l’avait caressé durant cette réunion ? Il l’espérait, le projetait même sans trop de difficulté. Il était bien trop frustré, vexé pour qu’il en soit autrement. Il ne pourrait pas s’endormir avant de s’être collé à son corps pour profiter d’une nuit merveilleuse de plaisir indécent. À l’image de leur première nuit qu’ils avaient pensée au sein de cette suite. Il était difficile de ne pas y songer et de trouver la situation particulièrement cocasse. Il se jouait donc de lui, attendant une réaction de sa part. Elle ne manqua pas d’arriver. Le regard de Baltazar se faisait brillant de noirceur. Il n’appréciait résolument pas sa désinvolture et Adam lui-même devait reconnaitre qu’il n’aurait pas été surpris de recevoir un coup de poing, bien qu’il était doué pour éviter ce genre d’actions. Les prunelles sombres de l’Hispanique ne trompaient pas l’œil avisé d’Adam. Il était sensible à tout son discours, quand bien même faisait-il de son mieux pour le dissimuler.
Il lui demanda s’il n’en avait pas marre d’être si arrogant, qu’il aurait pu tout simplement s’excuser et non arriver comme une fleur. Une remarque qui rendit son sourire encore plus franc tandis qu’il continuait de se plaindre. Il lui disait qu’il aurait pu envoyer un SMS pour lui dire qu’il comptait venir même avec du retard. Sa voix ronchonne était adorable et cela rendait son amusement encore plus profond. « Pourquoi l’aurais-je fait alors que tu m’attendais si patiemment ? Pour preuve, tu n’es même pas descendu prendre un verre pour te choisir une autre conquête. Tu voulais que je vienne, avoue-le, Morales ! » Une remarque purement mesquine et vaniteuse de sa part qui sembla rendre son rival particulièrement fébrile. Celui vint lui servir un verre en silence, faisant de même pour lui avant de lui tendre celui-ci. Un verre qu’il prit entre ses doigts avec plaisir, humant l’odeur exquise de ce bon rouge qui frétillait ses narines. Il avait de bons gouts, bien que l’Asiatique n’en doute nullement. D’ailleurs l’Hispanique semblait avoir consommé une bonne partie de la bouteille en l’attendant. Ce qui lui faisait d’autant plus entrevoir l’impatience que celui-ci avait eue de le voir le rejoindre. Cela ne vint nullement amoindrir son expression mesquine, son regard brillant d’autant plus d’amusement alors qu’il lui demandait ce qu’il avait fait de sa soirée. Curiosité, mêlée à une pointe de jalousie ? Sans doute, puisque ce dernier vint rajouter qu’il n’avait pas à lui répondre, qu’il devait avoir ses réponses.
« Oh ? Vraiment ? Je pensais que tu serais plus curieux de savoir tout cela ? » Lança-t-il dans une voix claire et mesquine alors qu’il portait le verre à ses lèvres pour en boire une gorgée. Toujours debout, il observait l’Hispanique assis sur le canapé. Le même canapé sur lequel il l’avait possédé pour la première fois. Il souriait d’autant plus à cette pensée alors qu’il se mordillait la lèvre, ajoutant « Pour répondre à ta question et afin que tu ne penses pas que je t’ignore… Je me suis installé dans un fauteuil du hall de l’hôtel en me demandant si tu allais abandonner. » Encore un sourire narquois alors qu’il le fixait pour avoir une réaction de sa part, ayant conscience d’attirer d’autant plus ses foudres tant il se trouvait arrogant. « Je ne suis pas sûr qu’une telle réponse te satisfasse donc autant t’avouer que j’étais de façon fort agréable penchée au-dessus de lèvres somptueusement pulpeuses, qui n’auraient sans doute pas refusé de passer la nuit à mes côtés. » Il vint sourire de nouveau en le perçant du regard. « Enfin si tu vois ce que je veux dire. Alors que j’étais sur le point de monter dans sa suite, je me suis rappelé que tu voulais me parler, et ne souhaitant pas t’empêcher de dormir, je me suis excusée auprès de cette déesse le temps de venir ici, mais si tu préfères râlais sur ma façon d’être, je peux tout autant aller la rejoindre… » Menaçait-il dans un ton totalement détaché en venant finir son verre, qu’il vint déposer de façon nonchalante sur la table en ajoutant.
« Je suis persuadé qu’elle saura parfaitement me consoler et me rappeler ô combien les courbes féminines d’une femme peuvent faire fantasmer un homme. Elle est très belle pour une Hispanique. Elle serait à ton gout si tu avais le droit de coucher avec une autre femme que la tienne. » Il n’avait de cesse de le pousser dans ses derniers retranchements, son sourire narquois exprimait l’amusement qu’il éprouvait dans cette situation. Il était un véritable connard, mais l’assumait parfaitement et jouissait avec intérêt des expressions de cet homme. « Bon, si tu n’as rien à me dire. Tu m’excuseras, mais j’ai une déesse à aller bénir de mes bienfaits. » Sur ces mots, il amorça un léger signe de salutation de la main en s’apprêtant à partir, curieux d’entendre la réaction et les réponses de son rival de toujours.
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Ven 5 Déc - 10:51 | |
| Arrogant, cet homme se trouvait être l’un des hommes les plus arrogants qu’il n’ait jamais croisés. Bien qu’il faille avouer que dans le milieu dans lequel ils évoluaient, l’éducation de chaque faisait en sorte que chacun d’entre eux le soit. Mais, il n’y avait sans aucun doute personne qui n’égalait Scott tant il avait trouvé ces mots particulièrement arrogants. Une pensée qui ne put s’accentuer alors qu’il pouvait admirer son sourire. Celui-ci vint lui indiquer qu’il n’avait pas eu de raison d’envoyer des messages puisqu’il avait la preuve qu’il n’était même pas descendu prendre un verre pour se choisir une autre conquête. Il pouvait avouer qu’il voulait qu’il vienne. Baltazar ne sut nullement quoi répondre à ces propos, si ce n’était d’avoir la sensation d’être particulièrement fébrile tant Scott avait raison. Il voulait le voir et ne pouvait certainement pas le nier.
Lorsqu’il avait porté son verre à ses lèvres, il n’avait pu que laisser parler sa jalousie lui demandant ce qu’il avait fait de la soirée, bien qu’il n’ait résolument pas à lui répondre. Scott sembla se saisir de l’occasion pour le taquiner, lançant dans une voix mesquine qu’il penserait qu’il serait curieux de connaitre ses raisons. Chacun de ses mots se trouvaient résolument audacieux alors qu’il venait l’observer s’assoir sur ce canapé. La situation était résolument étrange tant la dernière fois qu’ils s’étaient retrouvés en ces lieux, leur relation avait dégénéré et leur avait fait découvrir une nouvelle direction en ce qui concerne la nature de leur relation. Ce dernier vint ajouter que pour répondre à sa question et afin qu’il ne pense qu’il l’ignore, il s’était installé dans un fauteuil du hall de l’hôtel en se demandant s’il allait abandonner. Scott se moquait de lui, Baltazar ne pouvait qu’en être persuadé tant il trouvait cette explication rocambolesque. Scott avait-il vraiment attendu pendant des heures qu’il s’en aille ? Cela était possible pensait-il, mais il trouvait l’explication bien trop simple pour l’homme qu’il était. Il devait y avoir une autre explication tant Scott se trouvait plus perfide. Son sourire narquois ne lui permettait nullement de croire qu’il s’était contenté de cela tant ce dernier pouvait mentir aisément.
Une pensée qui ne put que s’accentuer alors qu’il lui indiquait qu’il était persuadé qu’une telle réponse ne le satisfaiserait pas, donc autant avoué qu’il était de façon fort agréable penché au dessus de lèvres somptueusement pulpeuses, qui n’aurait sans doute pas refusé de passer la nuit à ses côtés. Scott se contentait alors de venir lui sourire de manière arrogante, lui indiquant qu’il voyait ce qu’il voulait dire. Il avait été sur le point de monter dans sa suite, mais il s’était rappelé qu’il voulait lui parler. Ainsi, dans son bon cœur il n’avait pas souhaité l’empêcher de dormir et s’était excusé auprès de cette déesse le temps de venir ici, mais s’il préférait râler sur sa façon d’être, il pouvait tout autant aller la rejoindre. Cette menace ne put que donner envie à Baltazar de garder auprès de lui Scott tant il n’avait nullement envie qu’une femme ne toucher à ce dernier, nourrissant un sentiment de jalousie qu’il ne pouvait nullement réussir à cacher, l’intensité de son regard était là pour le prouver. Comme s’il était prêt à partir, ce dernier était venu poser son verre vide sur la table d’un ait détaché. Il lui avouait qu’il était persuadé que la jeune femme saurait parfaitement le consoler et lui rappeler ô combien les courbes féminines d’une femme pouvaient faire fantasmer un homme. Elle était très belle pour une hispanique et elle serait à son gout s’il avait le droit de coucher avec une autre femme que la sienne.
Chacun de ces mots ne put que l’irriter au plus haut point tant l’idée de voir Scott dans les bras d’une femme lui déplaisait. Comment pouvait-il seulement lui dire ses mots alors qu’au fond de lui il mourrait d’envie d’embrasser cet homme, qu’il avait cruellement envie de lui. Il cherchait vraiment à le faire sortir de ces gonds, ne cessait-il de penser alors que limite il venait fantasmer sur cette femme ? Cette femme était-elle si séduisante au point qu’il la préfère à lui ? N’était-il qu’un amant comme les autres pour lui ? Cette pensée ne pouvait que l’irriter véritablement. Chacune de ces pensées ne put que s’accentuer alors que ce dernier venait lui dire que s’il n’avait rien à lui dire, il s’excusait, mais il avait à bénir de ses bienfaits une déesse. Le jeune homme crut défaillir à ses mots tant une jalousie venait prendre possession de son corps tant il n’avait nullement envie que cette femme profite du corps de cet homme. Cruellement jaloux, ces yeux ne purent que briller malgré lui, tant qu’il ne put s’empêcher de vouloir empêcher Scott de partir de cette chambre. C’est pourquoi, à peine eut-il eu le temps de se relever quelque peu que Baltazar vint se rapprocher de lui, venant l’observer avec un regard résolument brillant.
L’alcool venant guider ses actes, Baltazar ne laissa nullement Scott se relever plus longtemps. Il vint quelque peu s’imposer à lui, venant se mettre debout à ses côtés, attrapant entre ses mains le visage de Scott, venant plaquer ses lèvres contre les siennes. Il ne lui laissa nullement le temps de réagir, venant prendre ses lèvres dans un baiser résolument passionné. Il n’avait plus aucune envie de se retenir, souhaitant bien faire oublier cette femme qui avait occupé ces pensées lorsqu’il s’était retrouvé seul. Il ne savait pas vraiment quelle version il devait croire, mais à présent qu’il avait l’opportunité d’embrasser ces lèvres, il ne souhaitait pour rien au monde les abandonner. Le contact de ses lèvres était résolument trop délicieux pour qu’il les abandonne. Il laissa l’une de ses mains se glisser contre la chair de Scott, sur cette chemise blanche qui laissait deviner ces muscles qu’il avait déjà eu l’occasion de caresser par le passé. Il s’attendait résolument à une attaque cinglante de la part de cet homme qui risquait de lui annoncer qu’il était bien moins réticent qu’au début de la discussion, mais cela ne l’importait que peu tant depuis de nombreuses heures il mourrait d’envie d’embrasser cet homme, bien qu’il ne l’avait nullement avoué clairement. Scott se trouvait assez orgueilleux sans qu’il n’ait à lui dire. Baltazar ne laissa nullement à Scott la possibilité de lui refuser ce baiser, bien qu’il ne semblait y mettre aucune opposition. Scott se trouvait cruellement séduisant, tout particulièrement avec ce pantalon qui avait le mérite de mouler parfaitement son fessier si tentateur. Sur ces pensées, le jeune homme vint glisser ses mains sur ses fesses, dans un doux sourire alors qu’il venait l’embrasser avec encore plus de passion, se rappelant du délicieux moment qu’ils avaient passé ensemble dans cette chambre. Seulement, quelque peu ivre, ces pensées dépassèrent sa bonne conscience et il vint murmurer, stoppant son baiser, laissant sa main caresser son dos avec envie : « Ne suis-je pas plus intéressant que de simples courbes féminines ? ». Il termina ses mots déposant l’une de ses mains sur les cuisses de cet homme, les caressant, les malaxant avec sensualité.
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Sam 6 Déc - 1:10 | |
| Il le provoquait. C’était une évidence ! Baltazar devait bel et bien en être conscient tant Adam utilisait tout son savoir-faire pour irriter cet homme pour le faire sortir de ses gongs. C’était l’objectif de l’Asiatique. Il voulait le frustrer, l’acculer dans une jalousie telle qu’il abandonnerait cette posture stoïque pour le tenter, le séduire, le contraindre à coucher avec lui pour satisfaire ce désir qu’il savait tant invoquer en son être. Cette image était plaisante, luxuriante pour l’Asiatique qui prenait un malin plaisir à lui transmettre ces paroles ô combien fâcheuses, qui sauraient titiller l’orgueil et l’égo de l’Hispanique. Il le voyait dans son regard. Il jubilait face à l’intensité de ce regard que le bel Hispanique lui renvoyait de façon si naturellement. Il y laissait cette jalousie, cette frustration de ne pas être l’objet de ces actuels fantasmes, ceux qu’il avait exprimé au sujet de cette femme – qui n’était que le fruit de son imagination, un moyen comme un autre d’obtenir ce qu’il désirait de cet homme. Il bluffait totalement, en ajoutant tellement que toute personne sensée aurait eu des doutes sur la véracité de ses dires et aurait peut-être cru à sa première version. Ce n’était résolument pas le cas de Baltazar. Ses émotions surpassaient sa raison et Adam en avait résolument conscience. C’était ce qu’il cherchait. Il désirait faire exploser cette fougue, ce désir qu’il retenait, qu’il lui offre le plaisir de le voir tout aussi passionné et ambitieux que lors de leur première fois en ses lieux ou dans les toilettes de cette compagnie. Tout ceci n’était qu’une vile manipulation de sa part. Il en maitrisait le moindre geste pour capturer l’attention de l’Hispanique et le faire réagir. Il fit mine de partir, s’attendant déjà à une réaction de sa part. Il ne pourrait pas le laisser partir ainsi, pas alors qu’il avait passé toute sa soirée à attendre sa venue, qu’il vienne à sa rencontre pour lui permettre de revivre ce plaisir charnel auquel il était accro. Une dépendance cruellement partagée par l’Asiatique, qui se plaisait néanmoins à résister. Il voulait soumettre son rival de toujours, qu’il assume son désir d’être sien, qu’il le prenne passionnément dans cette chambre d’hôtel pour lui faire connaitre cette plénitude si addictive. Il pouvait pleinement lire dans ses prunelles cet émoi, piqué à vif par tout ce qu’il venait de dire. Il le vit se lever précipitamment pour venir vers lui. Sans un mot, il venait s’imposer à lui, se mettre face à lui en attrapant entre ses mains son visage pour l’embrasser. Il sentit les lèvres de Baltazar se fendre sur ses lèvres avec passion, les dévorant avec une fougue non dissimulée. Cela ne pouvait que lui faire d’autant plaisir, qu’il sentait cet homme se lâcher, oubliant toute contenue pour s’imposer à lui, s’approprier son attention. Adam se laissait faire, satisfait, souriant narquoisement à ce baiser auquel il se pliait avec plaisir. Il savourait le contact brulant et alcoolisé de ses commissures contre les siennes.
Il ne fit aucun geste, laissant l’Hispanique mener la danse. Il le savait cruellement avide et impatient, l’une de ses mains glissant sur le tissu de sa chemise pour caresser son torse. Il semblait désireux de le toucher et cela ne pouvait que le glorifier davantage alors qu’il se laissait faire sans dire mot, ni la moindre action. L’envie ne lui manquait pas, bien évident, mais ça serait beaucoup plus plaisant de l’entendre lui réclamer qu’il voudrait qu’il le touche. N’était-ce pas plus jubilatoire de cette façon ? Adam le pensait résolument et se laisser faire face aux attaques ambitieuses de l’Hispanique, qui avait déjà perdu cette bataille avec lui. Il pouvait le sentir si désireux, ses doigts s’échouant contre ses fesses, si tentés par la forme exquise de son fessier qui lui plaisir particulièrement. Ne lui avait-il pas avoué par le passé, qu’il mourrait d’envie de le posséder un jour ? Un doux fantasme qui saurait alimenter les nuits coquines de son rival, car il était hors de question qu’il se soumette un jour à cet homme. Ce n’était absolument pas dans ses ambitions, étant un dominant, pervers et narcissique et résolument pas un homme soumis à un autre.
Pourtant, il laissait Baltazar mener la danse, le trouvant particulièrement entreprenant et sexy à cet instant. Cela lui donnait l’envie de le pousser un plus loin dans cette provocation et c’est tout naturellement qu’il était venu répondre dans une voix ô ténébreuse et provocatrice. « Je ne saurai le dire… A toi de me le prouver puisque tu sembles vouloir m’en convaincre, Morales… Qu’en dis-tu ? » Il avait murmuré cela en le fixant de son regard pénétrant. Ces prunelles se voulaient sombres et mesquines alors qu’il venait le détailler avec intérêt, ajoutant. « Après tout, c’est toi qui voulait me voir, non ? J’espère que tu es à la hauteur de ta vantardise ! » Son sourire mesquin se figea sur ses lèvres alors qu’il le dévisageait avec amusement, le regard brillant et curieux de la réaction de son rival. Allait-il poursuivre ou non ?
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Sam 13 Déc - 13:16 | |
| Faible, Baltazar se demandait comment se faisait-il qu’il se trouvait encore si fébrile face à cet homme qui avait le mérite de le faire sortir de ses gons si rapidement. Il n’avait fallu que peu de temps avant qu’il ne vienne céder à cet homme, il avait seulement dû s’amuser à le taquiner, à lui avouer qu’il avait prévu de passer une grande partie de sa nuit aux côtés d’une belle femme hispanique pour qu’il en vienne à craquer. Quel homme faisait-il ne cessait-il de penser alors qu’il pouvait enfin gouter les lèvres si délicieuses de Scott, ces lèvres qui l’avait fait rêver pendant tant de minutes. Il les embrassait avec passion, laissant ses mains caresser ce corps qui lui faisait résolument envie, glissant ces mains sur le tissu de cette chemise. Baltazar avait cruellement envie de lui, la lueur fébrile dans ses yeux n’était là que pour le prouver alors qu’il avait ces mains qui caressaient la forme bombée de ses fesses. Le pantalon qu’il portait n’avait de cesse de mettre en avant ces si belles formes, attisant son désir et sa secrète envie d’un jour de le posséder. Il aurait été tellement ravi de pouvoir le faire, mais lorsqu’il observait le caractère de Scott, il se rendait compte que cela était bien trop compliqué tant son caractère dominant ne le permettrait nullement. Mais, un jour peut-être que cela arriverait, cette relation qu’ils partageaient étant nouvelle.
Baltazar était résolument cupide et jaloux en particulier de cette femme qui avait su attirer de cet homme. Un sentiment qui ne put que se développer lorsque Scott vint le provoquer à nouveau lui avouant qu’il ne saurait dire s’il se trouvait mieux que de simples formes féminines, c’était à lui de l’en convaincre. Il avait murmuré ces mots en le fixant de son regard pénétrant, ces prunelles se voulaient sombres et mesquines alors qu’il le détaillait avec intérêt. Après tout, c’était lui qui voulait le voir, alors il espérait qu’il était à la hauteur de sa vantardise. Des mots qu’il avait terminés dans un sourire mesquin, le dévisageant avec amusement, le regard brillant. Chacun de ces mots eut le mérite de déstabiliser Baltazar quelques minutes, ne sachant nullement comment réagir. Bien que la réponse semble évidente dans son esprit, il se devait de prouver à cet homme qu’il se trouvait plus intéressant que n’importe quelle femme. Ce n’était nullement parce qu’elle se trouvait hispanique qu’elle méritait son intérêt. Lui, Baltazar se trouvait bien plus intéressant que n’importe quelle femme de ce monde ! Le jeune homme en était persuadé alors qu’il lançait à Scott un regard particulièrement conquérant, brillant alors qu’il venait murmurer : « Bien sûr que je vais te le prouver, que je suis bien plus intéressante que cette… fille ! ».
Baltazar comptait bien lui prouver ! Ce fut d’ailleurs à ce moment-là qu’il vint embrasser avec encore plus de passion cet homme, venant mordiller ces lèvres pour lui faire partager un baiser ô combien langoureux et possessif. Ces mains se trouvaient tout autant taquines, venant détacher chacun des boutons de cette chemise avec sensualité, l’embrassant de manière plus possessive. Baltazar vint alors lui enlever cette chemise, laissant son torse nu sous ses yeux. Un torse résolument plaisant à caresser tant il se trouvait finement musclé, le toucher se trouvait résolument plaisant. L’alcool aidant chacun de ces gestes à être bien moins réservé, il n’eut aucun mal à laisser ses envies prendre le dessus. C’est pourquoi il vint tout simplement pousser progressivement ce dernier vers son grand lit jusqu’à le faire tomber. Scott l’avait poussé à bout et il verrait bien de quoi il était capable ! Ainsi, il vint tout simplement le surplomber, laissant ces jambes entourer son corps alors que ces lèvres avaient abandonné leurs compères pour s’attaquer sa nuque, la mordillant, l’embrassant. Particulièrement gourmand, il était venu enlever son propre haut quelques instants, laissant alors à la vue de Scott son torse nu. Il reprit ses activités, venant détacher la ceinture de son amant, ouvrant son pantalon pour y glisser sa main sur l’aine à travers le tissu du son boxer. Au même instant il était venu poser ses lèvres contre les boutons de chair de son amant, s’amusant à les taquiner avec sa langue, sa main venant au même instant insister sur l’aine de son amant. Est-ce que cette femme serait capable d’être aussi passionnée ? Bien sûr que non, les femmes n’étaient pas capables d’être comme lui, si cupide, si désireux de vouloir dévorer sa chair. C’est pourquoi il ne put s’empêcher de venir susurrer : « Ne suis-je pas mieux ? Franchement… tu aurais perdu ton temps avec elle ! »
Jaloux, Baltazar était si jaloux de cette femme ! Dire qu’il avait failli partir avec elle ! Il ne manquerait plus qu’une femme soit plus intéressant que lui. Pour prouver ces dires, il vint abandonner quelques secondes le boxer de son amant pour laisser ces mains caresser ces cuisses avec envie. Sa langue s’amusait à taquiner le bouton de chair à son plus grand plaisir, bien qu’il vienne les quitter pour venir embrasser les pectoraux de son amant avec lenteur et sensualité. Baltazar mourrait d’envie de dévorer cet homme qui se trouvait bien trop beau pour son bien, pourquoi avait-il des fesses et un corps à damner ? La vie était résolument faite pour le troubler ne cessait-il de penser alors que ses lèvres venaient descendre progressivement jusqu’à atteindre ces abdominaux. Ces baisers se faisaient plus longs, mais pas pour autant moins passionnés. Ainsi, sans crier gare il vint avec l’une de ses mains abaisser le pantalon de Scott pour admirer cette aine qu’il avait résolument envie de dévorer, il comptait bien lui prouver qu’il ne trouverait nullement meilleur amant ! : « Alors ? » murmura-t-il dans une voix grave ? |
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Dim 14 Déc - 0:54 | |
| C’était un véritable jeu pour lui. Pourquoi ne le serait-il pas ? Après tout, il menait la danse, dominait cette relation étrange et complexe qu’il avait avec l’Hispanique. C’était une posture qui lui convenait, l’amusait grandement. C’était si plaisant de le savoir sensible, désireux de connaitre ce bienêtre aphrodisiaque à ses côtés. Cela flattait son égo, le rendait d’autant plus vaniteux, confiant dans cette relation qu’il entretenait avec lui. Il s’enthousiasmait de ses réactions toutes plus prévisibles les unes que les autres. Il s’en glorifiait intérieurement et profitait simplement du fruit de ses actions cocasses et mesquines lorsqu’il arrivait à le faire sortir de ses gonds. À cet instant, Baltazar n’avait rien de commun avec l’homme qui l’avait accueilli précédemment dans cette suite. Bien au contraire, la passion de ce baiser lui indiquait qu’il voulait le garder dans ses draps et passer sa nuit en sa compagnie. Pourtant, il s’amusait encore à le taquiner, le pousser à agir d’autant plus de façon possessive avec lui pour le retenir. Un moyen subtil de l’obliger à reconnaitre qu’il avait envie de lui, qu’il lui fasse l’amour comme cette nuit où il l’avait fait rêver dans cette suite.
Sa remarque déstabilisa l’Hispanique dont le regard brillant le dévisageait avec émoi, jalousie. Il était terriblement sexy. Du moins, il le pensait sincèrement alors qu’il souriait en coin, attendant sa réaction qui ne manqua nullement de se faire connaitre. Les prunelles de cet homme se firent plus brillantes, plus conquérantes alors qu’il lui susurrait qu’il allait le lui prouver qu’il était bien plus intéressant que cette fille. Il y avait de l’animosité dans sa voix, une jalousie peu maitrisée au sujet de cette femme, imaginaire soit dit en passant, qu’il qualifiait de fille. C’était mignon, intrigant et envoutant à la fois. Cela le fit sourire en coin alors qu’il sentait les lèvres brulantes d’appétit de cet homme s’abattre sur les siennes avec fougue. Une étreinte qu’il apprécia à sa juste valeur. Il se laissait dominer, dévorer de la sorte. Les phalanges avides de l’Hispanique glissaient sur son torse pour le défaire de l’emprise de sa chemise. Il laissait ses commissures être la proie de celles de cet homme qui s’activait pour lui retirer sa chemise, caresser son torse. Il semblait appréciait la texture, le gout que ses lèvres avaient, devenant de plus en plus gourmand. À tel point qu’il le poussait vers le lit, avide et désireux de prolonger cette rencontre charnelle. Adam ne voyait aucun inconvénient en cela, se pliait obligeamment à cette directive muette.
Il vint donc se choir sur le lit, à moitié allongé alors que cet homme venait le surplomber. Il adorait le côté passionné et presque bestial de cet homme. C’était si agréable de le voir quitter sa raison pour satisfaire ce besoin cuisant qu’il avait de le chauffer, le contraindre à le toucher à son tour. Adam n’agissait pas, se laissant dévorer par ces lèvres chaudes qui parsemaient sa nuque, la mordillant avec ambition. Adam se laissait faire, profiter de ces baisers, y trouvant un plaisir certain, quand bien même le camouflait-il. Ce bien-être se fit plus certain lorsqu’il fit Baltazar retirer son haut avec impatience, sans doute chaud et désireux d’être en contact indirect. Cela était très jouissif et son sourire ne masquait nullement l’état d’esprit dans lequel il se trouvait. Il le détaillait avec intensité, le regard sombre et perçant. Il était si brulant de désir que cela l’émoustillait délicatement. Comment ne pas l’être tandis que cet homme détachait de façon empressée sa ceinture et son pantalon pour venir à la rencontre de la fierté de tout homme ? Un contact coquin qui ne pouvait le laisser insensible. Il souriait, se mordant délicatement la lèvre à cette action qui éveillait bien quelque chose en lui. D’autant plus qu’il sentait les lèvres de Baltazar glisser sur sa clavicule, rejoindre ses boutons tandis qu’il sentait cette main se presser plus intimement à son intimité.
L’Hispanique savait bien s’y prendre. Il devait le reconnaitre et il n’en avait jamais douté. La remarque vaniteuse de cet homme le fit rire naturellement, d’un ton franc et amusé. « Ça, c’est encore à prouver, mais tu m’as l’air sur la bonne voie. » Il le taquinait, le confrontait de nouveau sans aucune gêne. Sa virilité se formait délicatement sous la pression de ses doigts. L’Hispanique ne pouvait ignorer le bien-être qu’il initiait dans ses reins, mais Adam n’ignorait pas l’effet qu’il avait sur cet homme. Il le voyait clairement en contre-plongée et se satisfaisait d’y voir cette forme légèrement bombée. Ces paroles ne semblèrent nullement calmer les ardeurs de cet homme qui n’avait de cesse de dévorer sa chair, glissant ses lèvres sur ses pectoraux avec lenteur et sensualité. Sa langue laissait des traces humides de son passage. Il avait l’impression d’être une sucrerie addictive de cet homme et cette idée n’était pas déplaisante. Ce petit côté bestial, bien différent lorsqu’il était sous les traits de l’inconnu, envoutait et enthousiasmait le côté pervers de l’Asiatique. Il sentait la respiration chaude de Baltazar frôler sa chair qui prenait également des couleurs face aux prémices du feu qu’il initiait dans ses entrailles. Adam se mordillait la lèvre et l’observait, en homme parfaitement soumis, du moins en apparence.
Les commissures de Baltazar embrassaient longuement sa chair, y déposant de légers suçons comme pour tenter d’accroitre son envie. Cela marchait assez bien, il devait bien le reconnaitre. Il sentit la main de l’Hispanique glisser contre une de ses aines pour faire glisser son pantalon sous ses fesses. Il arrêta ses actions pour observer son boxer. Sa fierté était légèrement tendue, démontrant le plaisir que son corps savourait à cet instant. Il voyait clairement l’ambition de son rival dans les yeux. Il mourrait d’envie d’y déposer ses lèvres. Sa voix grave ne pouvait qu’approfondir cette impression alors qu’il lui demandait de nouveau son avis. Adam sourit narquoisement à cette dernière. Tout en mordillant sa lèvre, il l’observa avec grand intérêt de son regard perçant. « Je ne saurais dire… encore… mais je suis très curieux de savoir ce que tu sais faire de tes lèvres… » Susurra-t-il dans une voix tentatrice alors qu’il baissait son regard vers son intimité pour l’inviter insidieusement à céder pour le rendre d’autant plus excité, ferme par sa faute. Après tout, n’était-ce pas l’ambition de cet homme ? Il souriait narquoisement avant de répondre simplement dans un ton franc et moqueur. « Cela pourrait m’assurer de tes talents d’amants. C’est très intéressant de te voir excité juste par l’idée de savoir que tu m’excites. Après c’est toi qui dit que tu n’as pas envie de moi. Tu en meurs d’envie Morales, reconnais-le ! »
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Mar 23 Déc - 13:51 | |
| Conquérant, gourmand du corps qu’il voyait sous ses yeux. La lueur qu’on pouvait lire dans ses yeux était là pour le démontrer, tout comme ces baisers et ses caresses fougueuses. La jalousie et le désir dominaient chacun de ces actes tant il n’avait nullement supporté d’entendre et de voir Scott parlait de cette femme comme une potentielle amante. Scott n’avait-il eu pas assez de preuves qu’il était bien plus intéressant qu’une seule femme ? À croire que non ne cessait de penser Baltazar alors qu’il venait s’occuper de ce corps avec fougue et envie. Voir Scott à moitié allongé sur son lit était résolument grisant, tout comme ce sourire vantard qui était figé sur son visage depuis plusieurs minutes. L’Asiatique le manipulait, il ne pouvait que s’en rendre compte, mais il était bien incapable de lui résister à son plus grand malheur et Scott devait bien s’en rendre compte lorsqu’on l’observait. Baltazar mourrait d’envie de sentir les mains de son futur amant sur son corps, mais celui-ci ne semblait nullement le vouloir s’amusant de le voir si frustré et si envieux. Scott se trouvait toujours si coquin envers sa personne. Ces lèvres étaient venues embrasser sa peau, tout comme sa main qui était venue presser sa main contre l’aine de Scott, se ventant quelque peu qu’il était bien plus intéressant de cet homme. Le rire de son amant ne le dérangea nullement, le trouvant au contraire particulièrement doux à l’oreille alors que ce dernier lui avouait qu’il avait encore à prouver, bien qu’il lui paraisse sur la bonne voie. Des mots qui n’avaient pu que raviver son désir pour sa personne, venant l’embrasser avec plus de sensualité, plus d’ardeur.
Ces lèvres étaient venues déposer de légers suçons comme pour tenter d’accroitre son envie, lui prouvait qu’il se trouvait bien plus intéressant qu’une femme. Les femmes ne pouvaient résolument pas être ainsi, bien trop douces et pas assez passionnées. Lui était bien plus intéressant et il comptait bien lui prouver. Il serait passionné fou de ce corps qui se trouvait sous ses yeux, l’amenant à connaitre de si agréables sensations que n’importe quel amant ou amante ne pourrait le rendre si fébrile. Le jeune homme avait fait glisser son pantalon sur ses lèvres, découvrant alors la vue si intéressante de ce boxer. Baltazar mourrait d’envie d’embrasser son aine qui commençait à prendre forme, un fait qui ne pouvait que l’intéresser et attiser son envie pour ce corps si tentateur. Il n’avait pu que lui réitérer sa demande et la réaction de Scott ne se fit nullement attendre alors qu’il lui avouait à nouveau qu’il ne saurait dire encore, mais il était bien curieux de savoir ce qu’il savait faire de ses lèvres. Une invitation qu’il ne refusa nullement tant il appréciait cette voix suave et ce regard perçant. Scott se rendait-il compte qu’il était véritablement sensuel et attirant ? Le regard qu’il lui adressait était particulièrement attirant lorsqu’il baissait son regard sur son intimité déjà légèrement excitée. Son amant lui avoua que cela serait un moyen pour s’assurer de ces talents d’amants. Cela était très intéressant de le voir excité juste par l’idée de savoir qu’il l’excitait. Après tout, c’était lui qui avait envie de lui, il en mourrait d’envie, il n’avait qu’à le reconnaitre.
Baltazar ne prit nullement la peine de répondre à ces propos tant il savait qu’il n’avait nullement à se justifier d’une quelconque manière tant chacun de ces baisers, de ces gestes trahissaient ces envies. Il avait voulu paraitre froid, ne pas céder, mais il avait été bien incapable de résister bien longtemps au jeune homme. L’Hispanique était faible, il ne pouvait que le reconnaitre. Cependant, l’avouer à voix haute ferait bien trop plaisir à Scott, c’est pourquoi particulièrement gourmand, il se contenta de venir caresser les fesses de son amant et de venir éloigner ses lèvres de cette peau si tentatrice. Le jeune homme vint sourire doucement à la vision si dépravée de cet homme, semi-allongé sur ce lit, le torse nu, le pantalon abaissé et ce boxer qui n’attendait plus que lui. Il n’y avait aucun doute que s’il s’amusait à venir prendre une photo de Scott ainsi, il aurait de quoi de fantasmer en secret. Cette idée ravirait sans aucun doute Scott et son égo, c’était pour cela qu’il ne venait nullement le réaliser.
Ainsi, résolument coquin, il vint s’accroupir au niveau des jambes de son amant, alors semi-allongé. Ces jambes posées sur le sol, Baltazar vint laisser ces lèvres se poser enfin sur le tissu du boxer de l’Asiatique, laissant sa langue taquiner son aine au travers du tissu. Gourmand, il vint s’amuser à passer sa main sur les pans de son jean pour le lui enlever et le laisser tomber sur le sol. Ainsi, quasi et uniquement vêtu de ce boxer il se trouvait particulièrement irrésistible. L’Hispanique s’en trouvait ravi alors que sa langue continuer de taquiner son aine. Sa main vint se balader sur sa cuisse, la caressant, la griffant légèrement alors qu’il venait enfin descendre ce boxer, bien impatient. La vision de cette aine légèrement tendu ne put que l’exciter, ravivant cette lueur de désir qui avait pris place dans son regard depuis de nombreuses minutes. L’une de ces mains vint se poser son aine, effectuant des caresses frustrantes, douces et fuguasses alors qu’au même instant il déposait ces lèvres dans des baisers furtifs. Il avait bien l’intention de frustrer Scott, s’amusant à rendre plus ferme cette aine avec ambition. Scott n’était pas du genre à gémir, mais son corps trahissait le bienfait qu’il ressentait et cela le rendait particulièrement heureux et fier. Cette aine prenait forme sous ses yeux et il ne pouvait qu’en être ravi, songeant qu’aucune femme ne pourrait l’égaler. Baltazar vint alors murmurer dans une voix suave : « Alors… que penses-tu de ce début ? Ton corps a l’air d’apprécier cet avant-gout… ». Baltazar ne put que sourire à ces mots, venant embrasser d’autant plus cette partie qui lui donnait résolument envie.
Le jeune homme vint agir ainsi de nombreuses secondes, plusieurs minutes, le taquinant volontairement jusqu’à qu’il voit cette dernière prendre résolument forme. Un fait qui ne pouvait que le ravir alors qu’il venait enfin répondre à son désir le plus cuisant, prenant véritablement entre ces lèvres l’extrémité de l’aine de son amant. Il vint le taquiner de nombreuses secondes, l’abandonnant au bout de quelques instants avant d’effectuer véritablement des mouvements de va-et-vient. Des mouvements qui se voulaient langoureux dans le seul souhait de rendre fou cet homme qui le rendait résolument fébrile. Il avait tant envie de cet homme, les sensations qu’il ressentait au côté de cet amant étaient résolument bénéfiques, le rendant dépendant malgré lui. Ces mouvements furent alors bien plus langoureux, bien plus passionnés et il fut ravi de voir cette aine prendre de plus en plus forme. Il voulait le faire jouir juste avec ces lèvres, juste avec ces dernières pour l’entendre murmurer qu’il était bien mieux que ces femmes. Il vint laisser l’une de ses mains griffer l’une de ses cuisses, s’amusant à le taquiner. |
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Jeu 25 Déc - 1:47 | |
| Le côté dominant d’Adam n’avait point d’égal à son orgueil. C’était un fait qu’il ne niait nullement. Il avait pleinement conscience que cet aspect de sa personne pouvait exaspérer comme obtenir l’admiration de certains. Cela faisait partie de sa personnalité et pour rien au monde, il ne changerait. Il savait ce qu’il valait et comme tout un chacun : il avait des qualités et des défauts. Certains pouvaient plaire, comme énerver. Dans le cas présent, il savait que cette facette de sa personne exaspérée comme envoutée son rival de toujours. Il le voyait dans ses prunelles. Il était pris au piège et cette pensée le glorifiait cruellement. Il aimait le pouvoir qu’il avait sur cet homme sans que ce dernier n’en ait pris réellement conscience. Cela ne pouvait qu’être envoutant et amusant à la fois. Il pouvait donc que prendre plaisir à le taquiner, accroitre la fébrilité et l’appétence de cet homme en déclarant tout haut, ce que ce dernier devait penser tout bas. Il était clairement excité. Morales ne pouvait le cacher, son regard brillant le trahissait tout comme cette fougue avec laquelle il l’avait couvert pour éveiller son désir.
Il poussait la provocation encore plus loin en venant l’inviter insidieusement à poursuivre ses actions en venant utiliser ses lèvres pour éveiller cette partie si sensible de son anatomie. Il avait parfaitement compris son désir et c’est sans doute pour cela que le regard de l’Hispanique s’était troublé d’autant plus, devenant plus sombre et brillant à la fois. Adam lisait clairement en lui et le manipulait d’une main de maître ! Cela ne pouvait que glorifiait d'autant plus l'Asiatique, qui prenait un réel plaisir à se montrer si maitre de lui-même alors qu'il était évident qu'il avait tout autant envie de l'Hispanique, que celui-ci pouvait avoir envie de lui. C'était amusant en soi ! Adam ne s'en plaignait pas, savourant cette position qu'était sienne. D'ailleurs, Morales n'était nullement déterminé à lui offrir l'opportunité de le mettre à nu, même si c'était résolument le cas. Il préféra agir, venant caresser ses fesses tout en éloignant son visage de ses abdominaux. Adam souriait, laissant une vision dépravée de sa personne, sans nulle gêne. Il pouvait se rincer l'oeil sur lui autant de temps qu'il le souhaitait, quand bien même à ces yeux, cette position n'était pas la plus excitante qu'il pouvait avoir. Après tout, un corps n'était-il pas somptueusement érotique après la jouissance ?
Adam ne disait mot, regardant cet homme le fixer, voyant clairement dans son regard que cela provoquait quelque chose en lui. Sans doute le rendait-il fou ? L'Asiatique n'en doutait point et son sourire narquois, finement en coin ne pouvait qu'appuyer cette pensée. Allez Morales, laisse-toi tenter, tu en meurs d'envie ! Songeait-il alors qu'il le voyait enfin s'abaisser face à lui. Une position particulièrement intéressante s'offrait à ses yeux. En position semi-allongée près du bord d'un lit, Adam offrait une position parfaite à l'Hispanique pour qu'il puisse lui offrir cette sucrerie qu'il lui avait sournoisement recommandé de lui faire gouté. Après tout, il était celui qui voulait convaincre l'Asiatique qu'il était plus doué et sexy qu'une femme. C'était une évidence à ses yeux, mais la jalousie de l'Hispanique était amusante et soyons honnête, Adam n'était pas du genre à refuser de recevoir la fougue de cet homme, tant qu'il conservait sa place de dominant ! Ce qu'il faisait à cet instant alors qu'il sentait les lèvres de l'Hispanique se déposer sur son boxer, lapant le tissu sous lequel se trouvait sa fierté. Une vision plaisante et érotique, qui le fit sourire. Son regard se fit plus sombre et intéressé que jamais. Son côté narquois s'affichait effrontément alors qu'il sentait cette langue humidifiait le tissu de son sous-vêtement. La femme de l'Hispanique serait verte si elle voyait à cet instant.
Il profitait quoi qu'il en soit de cette vision et des bienfaits qu'il lui procurait. En parfait maitre, il maitrisait sa respiration, la fébrilité que ces commissures et cette langue provoquaient en son être. Il sentait l'Hispanique de plus en plus gourmand. Il vint lui retirer son pantalon pour le faire glisser au sol avant de s'attaquer à son sous-vêtement. Il n'eut pas à attendre bien longtemps pour être libéré de son boxer et offrir son intimité à la vue et à la merci du bel Hispanique. Ce dernier semblait s'en satisfaire, ravi de la voir légèrement tendue, venant trahir son détachement et son désintérêt à ses actions. Il le voyait clairement dans son regard et le sourire qu'il lui tendit en venant déposer une de ses mains sur sa fierté. Une caresse qui la fit naturellement réagir favorablement, quand bien même Adam conservait cette lueur taquine et mesquine dans le regard. Il ne pouvait pas nier que le feu d'excitation s'éveillait délicatement dans ses entrailles. Seulement, il était tellement habitué aux plaisirs charnels qu'il était en mesure de faire durer son excitation, la laisser grandir de façon graduelle sans se précipiter. C'était tellement plus excitant de voir l'ambition de son partenaire s'accroitre pour le rendre fou. Bien sûr, il lui arrivait parfois de ne pas être patient et d'avoir envie de quelque chose de plus franc, direct, bestial. C'était sans doute cela qui devait déstabiliser l'Hispanique. Il l'avait habitué à du sexe sauvage et ce soir, il se la jouait indifférent, plus détaché que jamais.
Il savoura les caresses qu'il lui prodiguait sans pour autant exprimer le moindre son. Il laissa sa langue taquiner le bout de ses lèvres lorsqu'il sentit les lèvres de l'Hispanique se déposer sur sa fierté quelque peu malmenée par les phalanges de cet homme. Les baisers se faisaient furtifs, enclins à le frustrer. Il devait reconnaitre que cela fonctionnait quelque peu. Cela lui donnait envie de redécouvrir la saveur de ses lèvres autour de sa virilité. Il se rappelait sans trop de mal le plaisir qu'il lui avait prodigué et avait hâte de redécouvrir tout cela, même s'il n'en disait mot. Toujours en appui sur ses coudes, il observait l'expression, les actions de son rival qui semblait s'amuser dans son exercice. Il semblait ravi de sentir son intimité s'affermir contre ses lèvres, se tendant sous son regard comme le témoin muet du plaisir qu'il lui prodiguait. Ses paroles trahissaient cette pensée alors qu'il lui demandait de nouveau dans une voix suave et grave, ce qu'il pensait de ce début. « C'est un bon début... En effet, j'attends de voir la suite pour m'en assurer », lança-t-il dans un ton mesquin alors qu'il sentait les lèvres de Morales appuyer leurs présences sur l'extrémité de sa fierté.
Adam glissait sa langue sur le bord intérieur de ses lèvres, sentant ce plaisir pervers s'installait dans ses entrailles, grandir peu à peu face aux baisers, caresses et coup de langue de cet homme contre sa fierté. Celle-ci ne boudait terriblement pas son plaisir. Bien au contraire, elle se montrait de plus en plus fière, droite, tendue, indicateur incorrigible du bien-être qui s'initiait dans ses veines. Une excitation qui ne put que se renforcer lorsqu'il sentit enfin les lèvres de cet homme envelopper sa partie intime, la dévorant de ces lèvres. Une action résolument dévorante qui mit le feu à ses entrailles, faisant remonter un petit grognement de plaisir qu'il vint contenir, taire en parfait maitre de son corps. Il se contenta de déglutir en s'humidifiant les lèvres, laissant sa langue glisser contre elle. C'était délicieux, il ne pouvait le nier. La vision que Morales lui offrait lui donnait cruellement faim, envie de profiter de ses attentions pour ensuite le prendre de nouveau. Oh oui ! Il allait le posséder de nouveau, le faire geindre comme jamais, le rendre encore plus dépendant de ces coups de reins. Il sentait son ambition grimper en force dans ses entrailles, éveillant son esprit pervers comme jamais. il aimait tellement le dominer de la sorte et il savait que Morales n'attendait que cela. N'était-ce pas pour cela qu'il cherchait tellement à le chauffer ?
Les lèvres et mouvements de vas et-vient de l'Hispanique se firent de plus en plus langoureux, passionnés. Il désirait le rendre fou et il y parvenait même si Adam contenait ces gémissements au creux de sa gorge. Il n'avait de cesse de se mordiller la lèvre, sentant de merveilleux picotements taquinait son bas-ventre. Il avait délicatement chaud, la température de son corps se faisant bien vive. Il ne faisait aucun commentaire, laissant son regard sombre et brillant observer cet homme appliqué à sa tâche, qui semblait adorer, être absorbé par sa mission. Allait-il poursuivre jusqu'au bout ? Cela semblait être le cas, puisqu'il le sentait de plus en plus fougueux et endiablé dans chacun des mouvements qu'il amorçait. Il levait le regard vers lui, cherchant dans son regard, un signe de sa faiblesse. Cela faisait sourire l'Asiatique qui se léchait les lèvres en les mordillant. Levant les yeux au ciel par moment lorsqu'il sentait un frison de plaisir traversait son échine, il avait de plus en plus de mal à réguler son désir, son plaisir. Il n'avait aucune notion du temps qui s'était découlé, mais il sentait Morales de plus en plus déterminé et excité par l'idée de le faire fondre entre ses lèvres. Il l'entrevoyait clairement aux mouvements de ses mains contre ses cuisses, qu'il griffait tout en continuant ces caresses avec sa langue, ses lèvres. Il le sentit d'autant plus gourmand lorsqu'un gémissement vint finalement franchir ses lèvres. Il devait reconnaitre que ça le rendait dingue, il touchait ce point d'excitation profond qu'il ne pouvait plus camoufler. Sa fierté était si ferme, si tendue et fébrile entre ces lèvres.
« J'avoue que c'est très appréciable, Morales. Tu n'es pas mauvais dans cet exercice... Aussi doué qu'une femme. Voyons voir si tu arrives à me faire jouir aussi bien qu'elles... et m'exciter de nouveau pour que je vienne satisfaire tes cupides desseins. Tu m'as l'air particulièrement brulant et gourmand Morales. Je suis persuadé que tu dois être dur et désireux d'être caresser, je me trompe. Si tu arrives à me convaincre. Peut-être te ferais-je le plaisir de te prendre fougueusement, comme tu sembles tellement adorer ? » Il avait susurré cela d'une voix suave et grave, provocatrice également alors qu'il lui offrait un sourire mesquin et taquin. Il sentit un grognement s'extirper de ses lèvres au passage alors qu'il venait inspirer profondément en se mordant la lèvre. « Tu m'as l'air très fougueux pour un homme qui n'avait pas envie de moi cet après-midi. » Une nouvelle pique taquine qu'il vint clore dans un nouveau grognement. C'était terriblement envoutant, il sentait ses entrailles sur le point d'éclater. Morales pourrait être fier, quand bien même Adam escomptait le faire geindre encore plus fortement lorsqu'il viendrait prendre fougueusement son corps. Après tout, c'était ce qu'il voulait, non ?
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Mar 6 Jan - 14:56 | |
| Il n’y avait bien qu’en compagnie d’Adam que Baltazar se trouvait si fougueux, souhaitant rendre totalement fou son amant. Peut-être que ces réactions étaient très particulières, mais Baltazar ne pouvait nullement laisser une femme accaparer l’attention d’Adam, surtout pas alors qu’ils avaient l’intention de se voir en ce jour. Baltazar avait attendu impatiemment l’arrivée de cet homme et il comptait profiter de chacun de ces instants à ces côtés, lui prouvant qu’il était bien plus sensuel que n’importe quelle femme de ce monde. Chacune de ces actions allait dans ce sens, souhaitant rendre particulièrement faible cet homme et le voir geindre son nom. Une tâche particulièrement difficile lorsqu’on connaissait Scott, mais qui n’était pas impossible s’il venait continuer ses actions. Ces baisers et ses caresses se trouvaient à chaque instant plus sensuels, plus langoureux et passionnés. Son seul souhait était de le rendre fou, ne souhaitant nullement qu’il contienne ne serait-ce qu’un gémissement.
Baltazar le sentait entre plus ferme entre ses lèvres, la peau de son corps s’échauffant. Un fait qui ne pouvait que lui plaire, le rendant toujours plus gourmand de ce corps qu’il trouvait bien trop appétissant pour l’homme qu’il était. Comment était-il supposé ne pas lui résister alors qu’il avait la possibilité de le dévorer ? Le contraire aurait été impossible pour le jeune homme, s’amusant à être de plus en plus fougueux, l’observant un instant pour voir ne serait-ce qu’un instant de faiblesse dans le regard de cet amant. Le sourire de Scott ne pouvait que le ravir, tout comme de le voir se lécher ses lèvres. Son désir pour cet homme ne pouvait que s’accroitre à chaque seconde, se sentant bien trop à l’étroit dans ce pantalon qui serrait son intimité qu’il devinait en partie ferme tant il avait l’impression d’avoir chaud. L’Hispanique accentuer ces baisers, griffant ses cuisses avec délice souhaitant tant entendre les gémissements de cet homme. Un gémissement qui vint finalement franchir ses lèvres à son plus grand ravissement, aimant tant les entendre sachant que Scott n’était nullement très expressif. Son égo ne pouvait alors que s’accentuer, se plaire à son gémissement, ne pouvant que l’emmener à accentuer chacune de ces actions pour entendre à nouveau ces derniers, sa qualité d’amant appréciant tant d’entendre ces gémissements.
Scott susurra alors qu’il avouait que c’était très appréciable. Il n’était pas mauvais dans cet exercice, aussi doué qu’une femme. Cependant, ils allaient voir s’il arrivait à le faire jouir aussi bien que ces femmes et l’exciter de nouveau pour qu’il vienne satisfaire ces cupides desseins. Il lui paraissait particulièrement brulant et gourmand, il était persuadé qu’il devait être dur et désireux d’être caressé, se demandant s’il se trompait. S’il arrivait à le convaincre, peut-être lui ferait-il plaisir à le prendre fougueusement, comme il semblait tellement l’adorer. Baltazar se trouvait bien incapable de lui affirmer le contraire tant il mourrait d’envie de ressentir à nouveau ces sensations qui lui faisait résolument du bien, l’emmener à n’être plus qu’une simple masse gémissante. Le grognement de Scott ne put que lui plaire alors qu’il l’entendait inspirer profondément, preuve qu’il était bien plus doué que n’importe quelle autre femme. Scott lui avait l’air très fougueux pour un homme qui n’avait pas envie de lui cet après-midi. Le nouveau grognement de son amant ne put que l’informer sur le fait qu’il était sur le point d’atteindre ce point de non-retour. Un fait qui ne pouvait résolument que le ravir alors qu’il se trouvait bien plus fougueux, laissant l’une de ces mains se promener sur son aine pour effectuer des caresses de va-et-vient. Des gestes qui se voulaient particulièrement coquins et fougueux pour rendre d’autant plus dépendant cet homme de ces baisers et de ces caresses. S’il se trouvait quelque peu dépendant de Scott, son corps venant réclamer cet homme et sa fougue, il voulait le rendre ainsi d’autant plus. Cela se trouvait résolument étrange, mais le jeune homme n’arrivait pas à se sortir cette pensée de son esprit. C’est pourquoi il ne put s’empêcher de susurrer dans une voix sensuelle : « Ne t’avais-je pas signifié que j’étais bien sensuel que n’importe quelle autre femme ? Tu vois… j’avais raison et je compte bien te prouver que ma fougue est d’autant plus forte… ».
Terminant ses propos, le jeune homme vint appliquer ces pensées rendant ses baisers d’autant plus fougueux, s’amusant à venir taquiner cet homme. Sa main vint continuer de griffer légèrement la cuisse de son amant, s’amusant à le voir frissonner sous ses doigts et ses baisers. Le jeune hispanique ne pouvait qu’en être particulièrement ravi, s’appliquant à effectuer des caresses, susurrant le nom de Scott dans une voix suave. Il voulait le faire fondre, le faire atteindre ce plaisir juste au moyen de ses lèvres et de ses caresses, un objectif tout à fait délicieux et appréciable pour lui et Scott. Il le persuaderait qu’il était le meilleur de ses amants, il y arriverait ne cessait-il de penser alors qu’il sentait son intimité devenir de plus en plus ferme. Un fait qui ne pouvait que l’intéresser alors qu’il l’embrassait avec plus de ferveur pendant de longues minutes, si bien qu’il ne put que frémir alors qu’il sentait son amant rendre les armes, venir recueillir et avaler sans honte le fruit de cette luxure. Baltazar ne put qu’afficher un magnifique sourire, venant éloigner ses lèvres de cette aine, le regard particulièrement fébrile.
Baltazar n’attendit guère longtemps avant de réagir, venant se redresser et se déshabiller simplement avec sensualité jusqu’à qu’à ne se retrouver plus qu’en boxer sous les yeux de Scott. Une vue qui semblait résolument lui plaire en vue de son sourire et de son regard, sans doute que cela se trouvait être plaisant de voir son amant déjà si fougueux et demandeur d’attention. Baltazar vint tout simplement pousser quelque peu Scott sur le lit pour l’allonger complètement avant de venir coller leurs corps, ravis de sentir son aine si ferme contre celle de son amant, un contact coquin qui ne permettait nullement d’attiser sa fougue. L’Hispanique lança un regard coquin à son amant alors qu’il venait prendre entre ces lèvres celles de son amant dans un baiser fougueux, souhaitant lui transmettre toute la passion qui possédait son âme. Baltazar avait terriblement envie de lui et ces mains qui venaient s’égarer sur son corps, caressant ses reins et son torse particulièrement tentateur. Baltazar était fou de ce corps, ne cessait-il de penser alors qu’il avait la chance de pouvoir le caresser, de l’embrasser et de profiter de ce magnifique corps. L’Hispanique avait cruellement envie de lui, envie de sentir ses lèvres sur son corps, comme de sentir ses reins venir le posséder. Il avait bien trop chaud pour songer à autre chose et Scott devait résolument s’en rendre compte. Baltazar comptait éveiller cet amant à nouveau, sa main coquine se posant sur ces cuisses, les griffant. Il vint alors prononcer entre deux baisers fougueux dans une voix suave : « Scott… que penses-tu de profiter un peu plus de mon corps en cette nuit ? Ne suis-je pas plus fougueux que les autres ? »
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Sam 31 Jan - 13:34 | |
| Ses entrailles étaient dévorées par un puissant embrasement qu’il ne pouvait maitriser. Il était résolument difficile de rester insensible à de telles actions coquines et ambitieuses. Cela conférait à son bourreau une expression particulièrement érotique qui venait animer son ambition. Dire qu’il y a quelques heures, cet homme à l’allure si sage s’était défendu d’être frustré, jaloux qu’il ne lui porte d’attention et ne cherche pas à le tenter. Cela ne faisait que flatter son égo, le rendant particulièrement glorieux d’être en mesure de rendre l’Hispanique si cupide et passionné. Il y avait fort à parier que la femme de cet homme ne l’avait jamais vu ainsi, tout comme toutes ses autres amantes, pas même l’inconnu avait eu le plaisir de l’avoir si gourmand et sauvage, coquin dans ses paroles. Il savourait donc ces frisons qui parcouraient son échine, rendait son excitation si puissante au creux de ses lèvres si brûlantes et bienfaitrices. Il avait de plus en plus de mal à contenir son émoi, le plaisir particulièrement puissant qui grondait dans ses reins. Il s’était trahi à plusieurs reprises et cela semblait d’autant plus intensifier l’appétit de cet homme. Les paroles de l’Hispanique allaient en ce sens, lui soufflant dans une voix particulièrement suave et coquine qu’il lui avait bien indiqué qu’il serait bien plus sensuel que n’importe quelle autre femme. Il pouvait voir qu’il avait raison et il comptait bien lui prouver que sa fougue était d’autant plus forte.
Adam resta silencieux à ses propos, se contentant de sourire de façon narquoise et provocatrice. Il vit son rival intensifier ses actions, les rendant d’autant plus fougueuses dans le seul but de le taquiner. C’était délicieux, terriblement bon ! Il ne pouvait le nier et sentait sa fierté, ce valeureux soldat devenait de plus en plus fort, tâchant de résister à l’assaut de ses assaillantes. Il avait de plus en plus à le faire, se mordant les lèvres avec force pour contenir ses grognements de plaisir qui finirent par s’extirper sans qu’il ne puisse avoir une quelconque incidence sur eux. Il se laissait tout simplement dévorer et observer la fougue de cet homme avait un impact particulièrement puissant sur son esprit. Il trouvait cela particulièrement grisant et terriblement addictif. Il adorait cette facette de cet homme, le voir se faire dévorer par son désir, le plaisir primaire d’obtenir ce qu’il désirait sans aucune honte, si ce n’est de répondre à ses propres desseins. Il était particulièrement fier d’être celui qui le décoinçait de la sorte, le rendait particulièrement cupide et dépendant de son corps. Il finit par rendre les armes dans un énième mouvement de son amant, son soldat déclarant défait face au plaisir monstre et au feu incommensurable qu’il avait initié en sa chair. Le grognement qui s’extirpa de ses lèvres à cet instant de non-retour fut particulièrement rauque, masculin et érotique. Il l’entendit et savoura avec un plaisir particulièrement grisant, l’effet que son exaltation personnelle avait provoqué en cet homme.
Le regard de Morales se trouvait particulièrement fébrile et Adam souriait glorieux, satisfait de le voir se relever pour retirer ses vêtements. Il voyait ô combien il avait chaud, ô combien il était excité. Dire qu’il ne l’avait pas caressé… Cela rendait la suite des évènements particulièrement amusants pour l’Asiatique. Adam l’observait donc de son regard mesquin et fier. Il était sexy, son boxer laissant clairement entrevoir l’excitation dans lequel se trouvait son corps. Il se laissa mener par l’Hispanique, venant s’allonger sur le lit pour le laisser prendre au-dessus de lui. Il sentit les lèvres de Morales prendre possession des siennes, venant l’embrasser fougueusement et passionnément. Il l’entendit gémir contre ses lèvres au contact de leurs deux chairs nues l’une contre l’autre. Morales était désireux, brûlant d’un désir immuable tant il le caressait impatient et cruellement enchanté par ce contact. Cela amusait l’Asiatique qui souriait contre ses lèvres, le laissant agir, amoindrir son ambition en venant se frôler contre lui. Comment ne pas trouver cette scène particulièrement plaisante ? Adam ne pouvait qu’en être ravi et attendait que l’Hispanique lui demande de venir s’occuper de lui. Chose qui ne manqua pas de se produire lorsqu’entre deux baisers, Morales lui demanda s’il voulait profiter un peu plus de son corps durant cette nuit, après tout n’était pas plus fougueux que les autres ? Adam vint rire naturellement, particulièrement amusé et mesquin. « Je pense que tu serais particulièrement frustré si je ne m’occupais pas de toi, n’est-ce pas Morales ? »
Il avait soufflé cela dans une voix ô suave en venant poser sa main contre la bosse du sous-vêtement de son amant. Il empoigna cette bosse pour l’entendre gémir, le rendre d’autant plus fébrile. Ce qui ne manqua pas de se produire et Adam savouraient ce merveilleux son qui s’extirpait des lèvres de son amant. « Ça serait dommage… Après tout, tu t’es bien occupé de moi… » Il souriait glorieux contre ses lèvres en venant le renverser sur le lit pour le surplomber, le regarder de son regard avide et profond. Il appuya sur son intimité pour réaliser des frôlements de la paume de sa main, venant de l’autre descendre le dernier rempart du vêtement, le laisser nu face à lui. « Tu es tout excité pour un homme qui n’avait pas envie de moi… Du moins à ce qu’il parait. Allez, Morales ! Avoue que tu as envie que je m’occupe de toi…» Il souriait contre ses lèvres en le fixant avec profondeur. « Si tu l’avoues… je te promets de te faire grimper au rideau, peut-être plus fougueusement que nos précédentes fois… Je suis sûr que tu en meurs d’envie. » Il n’avait pas besoin qu’il l’avoue, il en avait parfaitement conscience, mais l’entendre le dire avait un pouvoir particulièrement excitant pour l’Asiatique qui laissa son visage se porter contre l’oreille de l’Hispanique pour la mordiller, ajoutant dans un murmure : « Tourne-toi, je te prendrais aussi fougueusement que ton regard me supplie de le faire… » Pervers ? Sans aucun doute, il ne le niait pas, n’avait nulle raison de le faire et il savait cette facette particulièrement troublée l’hispanique qu’il sentit frémir et gémir sous son action coquine qui consista à empoigner plus fougueusement cette fierté. Après tout, il était dans un état plus avancé que lui l’était. Il n’avait pas encore atteint ce septième ciel ! |
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Jeu 12 Fév - 11:35 | |
| Baltazar savait qu’il était particulièrement faible face au corps qu’il avait sous ses yeux, ne pouvant pas s’empêcher de le trouver chaque seconde un peu plus séduisant et attirant. L’asiatique avait quelque chose en lui qui le rendait attractif pour le jeune homme qui ne se retenait nullement, laissant son désir guidait chacun de ces gestes. Entre deux baisers particulièrement gourmands, il était venu lui demander s’il voulait profiter un peu plus de son corps durant cette nuit, jugeant qu’il était bien plus fougueux que les autres amants qu’il aurait pu avoir. Des mots qui avaient amusé son amant qui avait laissé échapper un magnifique sourire tandis qu’il lui avouait qu’il pensait qu’il serait particulièrement frustrant s’il ne s’occupait pas de lui. Baltazar ne pouvait nullement le contredire à ce propos tant son corps réclamait la présence du corps d’Adam, de ses mains pour venir caresser ces pectoraux ou chacune parcelle de son corps. C’est pourquoi au contact de cette main sur cette bosse formée, le jeune homme laissa échapper un doux gémissement s’échapper de ses lèvres. Un gémissement qui ne sembla nullement déplaire à son amant qui gardait cet éternel sourire arrogant sur les lèvres alors qu’il venait susurrer que cela serait dommage qu’il ne s’occupe pas de lui, après tout il s’était bien occupé de lui.
Une remarque qui ne put que le faire sourire alors qu’il se laissait faire, laissant son amant le surplomber avec son regard avide et profond. Un regard ô combien avide et profond qui le faisait frissonner. Scott vint appuyer sur son intimité pour réaliser des frôlements de sa paume pour venir descendre le dernier rempart de vêtement, offrant une vision sans aucun doute très appréciable à son amant. Son amant vint confirmer cette pensée alors qu’il l’entendait murmurait qu’il était tout excité pour un homme qui n’avait pas envie de lui, du moins à ce qu’il paraissait. Scott lui demandait d’avouer qu’il avait envie qu’il s’occupe de lui alors qu’il souriait contre ses lèvres. S’il lui avouait, il lui promettait de le faire grimper au rideau, peut-être plus fougueusement que leurs précédentes fois. Il était sûr qu’il en mourrait d’envie. Baltazar avait-il vraiment besoin de lui dire ? N’était-il pas évident qu’il pourrait d’envie d’atteindre cet état de béatitude ? Son comportement fougueux ne suffisait-il pas ? Ponctuant ces mots il était venu mordiller son oreille, ajoutant simplement qu’il se tourne, il le prendrait aussi fougueusement que son regard le suppliait de le faire. Chacun des mots prononcés par l’Asiatique ne purent que l’emmener à frissonner tant il trouvait ces mots résolument sensuels. Tout esprit de domination disparaissait aux côtés de cet homme. Pour lui qui aimait tant recevoir l’attention de cet homme, malgré le fait qu’il avait un peu de mal à l’avouer tant il savait que l’égo d’Adam ne pourrait que se développer et s’accentuer. Comment était-il censé résister à cet homme alors qu’il faisait tout pour qu’il cède en venant empoigner plus fougueusement sa fierté de manière si forte.
Baltazar fut bien incapable de résister et ce fut sans aucune résistance qu’il vint se retourner pour offrir une vue particulièrement plaisante à son amant, une attitude dominée qui semblait ravir Adam. Baltazar s’en rendait bien compte, mais que pouvait-il faire face à lui ? L’asiatique n’avait pas qu’à être aussi séduisant songeait-il. Il n’y avait bien que cet homme qui pouvait le rendre ainsi, si dépendant et si fébrile en seulement quelques minutes. Ainsi, Baltazar vint alors murmurer dans une voix particulièrement sensuelle ces mots : « Il me semblait que cela était évident… non ? N’ai-je pas été suffisamment claire quelques minutes auparavant ? J’ai envie de toi… je croyais avoir été assez explicite… »
Baltazar vint laisser échapper un doux gémissement au même moment où il sentit son amant se coller à lui, devinant son sourire. L’Hispanique vint se relever quelque peu pour faire rencontrer son dos et son torse dans un geste résolument plaisant, s’amusant de la situation alors qu’il sentait tout contre lui son amant tout aussi fébrile que lui-même. Si le jeune homme était fébrile son amant, il devinait Scott l’être tout autant. Ne lui laissant le temps de réagir Baltazar vint prendre dans l’une de ses mains la fierté de son amant, effectuant quelques mouvements de va-et-vient pour attiser son désir. S’amusant résolument de cette situation, résolument cupide et souhaitant connaitre ses prochaines actions il vint lui offrir à nouveau des paroles glorifiantes : « Tu ne voudrais pas faire attendre trop longtemps ton amant n’est-ce pas ? Il ne faudrait pas que mon excitation retombe… n’est-ce pas ? ».
Il était persuadé que son amant ne pourrait qu’être ravi d’entendre de tels mots tant il le savait pervers et dominateur. Scott ne l’avait jamais déçu lorsqu’il s’était trouvé fougueux et il ne l’imaginait pas le décevoir, pas après avoir prononcé de tels mots. Baltazar vint caresser la colonne de chair de son amant dans des mouvements sensuels, l’emmenant à murmurer dans une voix sensuelle : « Tu ne m’as jamais déçu d’ailleurs jusqu’à présent, il ne faudrait pas que cela arrive, je suppose… ta réputation d’amant serait remis en cause. » . Baltazar savait bien entendu qu’il n’y avait que peu de chance que Scott ne soit pas un merveilleux amant. Pour attiser le désir de cet homme, Baltazar vint volontairement reculer ses fesses tout contre sa fierté alors même qu’il s’abaissant un instant pour attraper dans le tiroir un préservatif, particulièrement gourmand et impatient, sans aucun doute que Scott devait trouver cette situation particulièrement amusante. Revenant de nouveau à sa hauteur, gardant toujours cette position de dominée il lui murmura : « Je crois que mon corps n’attend plus que toi à présent… » |
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Jeu 12 Fév - 22:18 | |
| Adam était particulièrement mesquin à cet instant. Il en avait particulièrement conscient, s’amusant de la situation qui se trouvait à son avantage. C’était tellement tentant ! Il ne pouvait refuser une telle occasion de taquiner l’esprit et le corps de cet homme. Il était le premier à nier qu’il avait envie de lui. Pourtant, il lui avait sauté dessus, offert cette gâterie avec tant de fougue, d’ambition. C’était tellement contradictoire ! Il ne pouvait donc que profiter de cette vue luxuriante et passionnée que lui offrait son amant. Il était si excité, si endiablé et désireux par ce qu’il venait de lui faire. Il voulait lui faire perdre la tête, avait une addiction toute particulière pour l’attitude érotique et dépravée de l’Hispanique, qui lui avait offert un instant bien plaisant. Il ne pouvait nier que cela était excitant. Il se plaisait à le taquiner de ses doigts, de ses lèvres, de ses mots. Il le sentait si fébrile, son corps terriblement envouté et désireux d’être frôlé. Cela éveillait ses sombres desseins, son côté dominateur qui n’avait de cesse de croitre face à cet homme. Il le voyait abandonner la bataille, se pliant à ses cupides fantasmes, ses attaques mesquines. C’était bien sûr glorifiant ! Cela provoquait un véritable flux de bien-être au creux de son être, lui donnant d’autant plus envie de le taquiner d’autant plus, de lui faire perdre la tête. Il avait envie de lui.
Malgré l’extase qu’il venait de vivre, il sentait son soldat reprendre forme, s’érigeant de nouveau avec tant de fierté. L’état avancé du corps de Morales n’était pas étranger à cela. Il était le responsable de son appétit, son besoin masculin de le posséder, lui faire connaitre cette extase comme il aimait tant l’atteindre à ses côtés. N’était-ce pas ce qu’il lui suppliait à cet instant, sans réellement le faire ? Adam était déterminé à entendre ses mots d’abandon s’extirper des lèvres gonflées de l’Hispanique. Il le provoquait, s’amusant profondément des frissons qui parsemaient ce corps sous le sien qui s’était retourné, le regard brillant pour répondre favorablement à son ordre. Il profitait de la vue, souriant le regard vainqueur tout en dévorant ce fessier avec intérêt. Il se mordillait la lèvre, laissant la paume de sa main cajoler avec envie ce soldat si fier contre ses doigts. Il voulait le faire abdiquer et il y parvenait sans trop de mal, entendant cette voix suave et sensuelle lui souffler qu’il lui semblait évident ce qu’il voulait. Il lui demanda s’il n’avait pas été suffisamment clair quelques minutes auparavant ? Plus ou moins, avait-il eu envie de répondre dans un ton espiègle et ténébreux, même s’il n’en fit rien. D’autant plus que Morales venait lui avouer son désir : il avait envie de lui. « Là, c’est assez explicite en effet… » Souffla-t-il avec amusement contre cette oreille qu’il venait mordiller en collant son basin au sien.
Il l’entendait gémir de plaisir, son bassin venant se coller au sien avec sensualité, envie. Adam se mordilla la lèvre, souriant particulièrement enchanté de le sentir si désireux. Il sentit l’une des menottes de son amant s’immiscer entre ses fesses, venant capturer son soldat avec envie pour le titiller, le sentir de nouveau entre ses doigts. Sans doute devait-il se trouvait satisfait de le sentir déjà si éveillé, si réactif à l’idée de partir de nouveau à la conquête, se battre vaillamment. Il lui susurrait des paroles coquines, l’amusant cruellement alors qu’il venait poursuivre ses mordillements contre le lobe de son oreille. « Bien au contraire, elle me semble de plus en plus forte. Tu es si tendu… » Souffla-t-il dans une voix suave en venant taquiner de ses doigts l’extrémité de celle-ci pour lui montrait qu’il avait raison, l’entendant gémir plus fermement. « Tu es tout brûlant, prêt à exploser. » Tout ceci l’excitait également, son soldat reprenant vie entre les doigts de son amant. Celui-ci lui soufflait qu’il ne l’ait jamais déçu jusqu’à présent et qu’il ne faille pas que cela arrive. Du moins, il le supposait comme sa réputation serait remise en question. Morales le mettait au défi et cela était plutôt amusant, il devait bien le reconnaitre. Il se mordit les lèvres plus fortement, sentant le fessier de l’Hispanique remplacer la poigne de ses doigts ô taquins. Il mouvait son bassin pour se relever, attraper dans le tiroir une protection qui ne demandait qu’à être utilisée par lui. Cette impatience était délicieuse à observer et la suite de ses paroles ne put que lui plaire. Il lui demandait d’abréger sa frustration, de répondre à son ambition de le prendre, le faire grimper au septième ciel.
Comment résister à une demande, d’autant plus soufflée avec tant d’envie, de frustration dans la voix. Il prit la protection entre ses doigts, s’éloignant de son amant pour venir revêtir sa fierté de cette dernière. Il lui offrait un regard coquin et mesquin, venant caresser ce soldat pour l’affermir d’autant plus face à la vision érotique de ce corps étendu sous les doigts. Il n’avait nullement envie de le préparer, Morales semblait bien trop brûlant pour attendre plus longtemps. Il sentit ce corps frémir au contact de ses doigts entre les deux formes bombées de ses fesses. Allongé sur le lit, cette position de dominé l’excitait particulièrement alors qu’il venait soulever ses reins pour lui permettre un meilleur angle de vue et d’exploration. Il laissa sa fierté glisser entre ses fesses musclées pour jouer avec son envie quelques secondes de plus. D’un glissement de ses mains sur ses hanches, il invita Morales à se mettre à genoux sur le lit pour coller son dos à son torse, ses lèvres venant taquiner son oreille. Il caressa son torse, une de ses mains libres venant toucher ses pectoraux avec sensualité, son autre menotte se mouvant contre son soldat si fébrile. Il le recouvrit de sa paume, sentant un gémissement s’extirper des lèvres de Morales avec sensualité. « Prépare-toi au grand voyage. Tu vas découvrir les étoiles très bientôt ! » Des paroles présomptueuses qu’il vint taire dans un petit soupir masculin.
Ses reins qui ondulaient contre ceux de l’Hispanique vinrent rompre cette fine frontière, pénétrant cette partie si étroite et luxuriante de son corps. Il le sentit se cambrer délicatement de douleur, son corps encore peu habitué à sa présence. Il ne s’arrêta pas pour autant, venant le posséder comme il l’avait demandé très doucement en venant caresser sa fierté. Celle-ci ne semblait pas perdre de vigueur, bien au contraire. Il pouvait sentir le torse de Morales se soulever avec force alors qu’il n’avait de cesse de mordiller son oreille, sa nuque, son omoplate avec sensualité. Son autre main titillait un de ses bouts de chair alors qu’il venait enserrer plus fermement le soldat de son amant. Il ne bougeait pas, attendant gentiment que Morales s’habitue à ce contact, le désir d’autant plus fortement. Il mentirait s’il n’avouait pas que l’idée de le voir se déhancher pour obtenir sa récompense ne le titillait pas. Après tout, il était cruellement pervers. Un aspect de sa personnalité qui semblait particulièrement plaire à l’Hispanique à l’occurrence.
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Sam 21 Fév - 17:02 | |
| Le plaisir de la chair était résolument un des plaisirs qui l’avait toujours rendu faible, tout particulièrement lorsque ces amants ou amantes se trouvaient particulièrement séduisantes. En compagnie de Scott, ce plaisir était devenu très rapidement une addiction sans qu’il ne puisse réussir à la contrôler. Baltazar était faible face aux talents de son amant, n’ayant plus besoin de personne pour lui confirmer à quel point il était un amant particulièrement doué. Le jeune homme n’avait qu’à se rappeler des fabuleux moments qu’il avait passés à ses côtés pour s’en rappeler. C’est pourquoi il n’était nullement venu résister à son amant d’une quelconque manière, étant bien le premier à attraper un préservatif dans le tiroir pour arriver à leur fin, celle d’atteindre le plaisir de la chair à ses côtés. La timidité ayant disparu depuis longtemps aux côtés de cet homme il lui avait indiqué qu’il n’attendait plus que lui à présent, prêt à connaitre ce bienêtre à ses côtés sans jamais n’être intimidé.
Baltazar ne pouvait qu’être impatient malgré lui de recevoir la fierté de son amant en son sein, tout particulièrement alors qu’il entendait ce dernier prendre cette protection pour revêtir sa fierté. Un acte qui avait le mérite d’attiser son désir pour sa personne à chaque instant. Avoir une position de dominé ne le dérangeait nullement, lui plaisant alors qu’il sentait les doigts de son amant venir caresser ces fesses. Baltazar ne pouvait que trouver cette scène résolument amusante et excitante à la fois, accompagnant son amant pour soulever ses reins pour lui permettre d’avoir un meilleur angle. Le contact de cette aine tout contre ses fesses était résolument agréable pour l’Hispanique, impatient qu’il était. Il suivit les ordres silencieux de son amant, se mettant à genoux sur le lit pour faire rencontrer son dos à son torse musclé et fort appétissant. Scott savait comment le faire fondre songeait-il alors qu’il soufflait doucement tandis que son amant taquiner son oreille. Ces mains n’étaient pas pour autant immobiles, elles caressaient ces pectoraux avec sensualité et sa fierté si excité après tant de minutes, gémissant à ce contact. Son amant vint lui annoncer de se préparer au grand voyage, qu’il allait découvrir les étoiles très bientôt. Baltazar ne doutait nullement de ce fait tant il savait ô combien cet homme était doué.
Il ne fallut que quelques secondes de plus avant que Baltazar ne sente son amant céder à cette tentation, venant enfin le pénétrer après tant de minutes d’attentes. Malgré sa volonté de ne ressentir que des sensations de bienêtre, la douleur fut la seule sensation qu’il ressentit. Son amant n’en tenu nullement cas, venant le posséder entièrement comme il lui avait intimé de le faire. Baltazar connaissait bien trop ces moments de luxure pour savoir que cette douleur n’était qu’un petit sacrifice avant de sentir son corps brulé de plaisir à chacun des mouvements de reins de cet homme. Scott semblait vouloir la même chose, caressant sa fierté pour qu’elle garde sa vigueur, ces lèvres étant au même instant partout sur le haut de son corps : son oreille, sa nuque et son omoplate. Son amant voulait le voir gémir et il semblait impossible que le contraire soit réalisable tant à présent il connaissait bon nombre de ces points faibles.
Lorsque son corps commença à s’habituer à la présence de son amant, Baltazar vint simplement prononcer à son amant ces mots : « Continue… peu importe la douleur… ». Il ne pouvait certainement pas mentir à ce propos, mais peut-être était-il un peu masochiste pour aimer souffrir et ressentir des sensations ô combien agréables quelques minutes plus tard. Néanmoins, il ne put qu’être frustré de voir son amant immobile, ne cherchant nullement à l’écouter. L’Asiatique cherchait vraiment à le rendre fébrile à croire, bien qu’il ne doutait nullement de ce fait tant il en avait l’habitude avec lui après tant de nuits à ses côtés. Connaissant ce dernier, il était persuadé qu’il ne viendrait nullement réagir avant de longues minutes à moins de venir cherche lui-même ce qu’il demandait. C’est pourquoi sans aucune retenue il était venu de lui-même retirer son corps de cette pénétration, un geste résolument complexe et coquin.
N’y tenant pas plus l’Hispanique vint simplement rapprocher leurs corps suffisamment pour à nouveau ressentir cette aine venir le pénétrer, une sensation ô combien étrange et douloureuse, mais qui fut moins difficile que la précédente. Sans aucun doute que Scott devait s’amuser de la situation de voir Baltazar si dépendant de ces coups de reins tant la situation pouvait être cocasse. Il n’y avait bien qu’avec Scott qu’il pouvait se comporter ainsi, ne cessait-il pas de penser alors qu’il venait soupirer simplement alors qu’il sentait la main de son amant venir se poser sur sa fierté dans des mouvements très appréciables. Baltazar vint simplement murmurer dans une voix fébrile : « T’es vraiment… sadique et pervers Scott. ». Des mots qui devaient le faire rire tant il devait déjà connaitre cette vérité à son propos. Mais, il ne pouvait certainement pas se mentir à soi-même tant il aimait ce côté de la personnalité de Scott. Le jeune hispanique vint à nouveau s’éloigner de cette fierté pour à nouveau se faire posséder par sa fierté, le jeune homme ne put que laisser échapper un râle malgré lui, sentant son corps se détendre chaque seconde un peu plus. Le jeune homme vint laisser échapper un gémissement : « Scott… sois pas si sadique ! »
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Dim 22 Fév - 1:25 | |
| Il avait une addiction toute particulière pour ses reins. Un fait qu’il devait bien reconnaitre, quand bien même il ne le ferait jamais à haute voix. Il faudrait résolument le tuer pour qu’il avoue qu’il prenait son pied en venant osciller son bassin contre celui de l’Hispanique. Après tout, cela faisait des années que ces fesses hantaient certains de ses fantasmes et il était plus que ravi de pouvoir les réaliser, savourer les caresses étroites de ce bassin contre son fier soldat. Le contraire aurait été bien dommage, d’autant plus que Morales semblait être dépendant de son corps. Lui aussi le nier, mais l’évidence était là. Il mourrait d’envie qui le possède, lui faire atteindre ce point de paradis terrestre qu’il découvrait si fougueusement en sa compagnie. Cette vérité était d’autant plus cuisante puisque Morales était celui qui l’avait réclamé de la sorte, brûlant à l’idée de prendre ce chemin merveilleux en sa compagnie. Il s’était donc plié obligeamment à sa demande, ayant bien évidemment la même ambition qui l’étreignait. Il lui promettait d’atteindre les étoiles et Adam n’était pas du genre à manquer à sa parole. Il s’appliquait donc à sa tâche, laissant son soldat s’immiscer dans ce champ de bataille, prêt à l’assaut. Pourtant, il savait son amant nullement préparé à ce contact. C’est pour cela qu’il se contentait de s’immiscer en son sein, attendant son feu vert pour poursuivre. Bien sûr, il comptait se montrer frustrant, assez pour que Morales vienne mouvoir son bassin de lui-même. Une idée résolument perverse, mais qui ne le faisait nullement rougir. Après tout, il était celui qui le réclamait si ardemment…
Morales semblait s’habituer à sa présence, son souffle se faisant moins difficile, sensible à ses caresses qu’il lui prodiguait pour tenter de maintenir son excitation, l’exacerber même. Morales lui suppliait de continuer, peu importe la douleur. Des paroles ô plaisantes qui ne pouvaient qu’éveiller son intérêt quand bien même il ne bougea pas. Il souriait contre son omoplate, le sentant particulièrement frustré face à son inaction. C’était particulièrement mesquin de sa part, il devait bien le reconnaitre. La tentation était terriblement plaisante qu’il ne pouvait y résister. Il poursuivait ses caresses et Morales sembla prendre conscience qu’il ne comptait pas satisfaire sa demande, quand bien même son soldat était prêt à l’attaque, tout comme celui de son amant. Morales sembla le comprendre et vint naturellement mouvoir son bassin contre le sien. Une action particulièrement délicieuse pour l’Asiatique qui vint sourire contre sa peau, avant d’observer ce bassin osciller contre le sien, lui prodiguant un certain plaisir. Il se mordilla la lèvre en observant cette vue décadente, cette envie qu’il avait de le sentir en lui. Il était résolument difficile de rester de marbre face à cela. Morales se déhanchait délicatement contre son bassin, venant prendre ce qu’il voulait avec sensualité, le temps de s’habituer à ce contact qu’il semblait tant apprécier. La vue était excitante et ses caresses se firent plus intenses sur sa chair. Il sentait Morales frémir sous son toucher, sa voix suave lui murmurant qu’il était vraiment sadique et pervers. Ces mots le firent sourire contre son oreille qu’il vint mordiller avec sensualité.
« Tu n’as pas idée, Morales… mais il me semble que tu adores cette facette de ma personne. Tu t’en n’es jamais plaint, que je sache ? » Il vint rire contre son oreille alors qu’il venait se pincer les lèvres, sentant le bassin de Morales honorer de nouveau son soldat. C’était un contact délicieux qui savait éveiller son désir et cette voix plaintive, quémandeuse qui s’exprimait avec décadence savait particulièrement attirer son attention. Il sentait Morales se détendre, tant et si bien qu’il savoura avec plaisir le râle qui s’exprimant malgré lui des lèvres de son amant. Il gémissait délicieusement, lui suppliant de ne pas être si sadique. Il avait envie qu’il le possède fougueusement, qu’il lui fasse atteindre ce paradis qu’il n’avait pas connu encore en cette soirée. Des paroles qui le firent sourire alors qu’il glisser sa main libre contre sa hanche, son rein. Sans un mot, il vint répondre positivement à la demande de son hôte. Il laissa ses reins amorcer un mouvement de bassin, venant profondément s’immiscer dans ceux de son amant. Il le sentit gémir de plaisir, son corps se tendant légèrement de bien-être alors qu’il réalisait les mêmes mouvements sur son soldat bien enserré entre ses phalanges. Il se mouvait avec sensualité, lenteur. Il savourait les caresses que lui prodiguaient ses reins, en silence, si ce n’est pour mordiller l’oreille de Morales qui semblait dépendant de ses actions. Il ne pouvait qu’en être ravi, sachant parfaitement accroitre son désir, le rendre dingue et le frustrer par la même occasion.
Il venait accélérer la cadence de ses reins, venant opérer des mouvements profonds et vigoureux de ses mains, de son bassin. Il sentait son excitation s’intensifier, devenir plus forte tout comme celle de l’Hispanique. Il le possédait sans s’arrêter, jouant de ses actions pour frustrer et satisfaire son amant. Il le sentait de plus en plus dépendant, brûlant, prêt à exploser. Lui tenait la cadence, la mesure de leur union, sachant parfaitement gérer la graduation de son excitation. Pourtant, il devait reconnaitre qu’il se sentait de plus en plus sensible à l’émoi de Morales. Ses gémissements éveillaient son appétit, le rendait plus fort, la fébrilité de sa fierté titillait la sienne. Il sentait son souffle devenir plus court, plus fort tandis que les minutes s’évadaient. Il conduisait l’Hispanique sur la voie de ce paradis terrestre, se montrant de plus en plus fougueux dans ses actions pour lui permettre d’y accéder, de pousser ses portes. Adam était sensible à ses râles de plus en plus fort, bien qu’il s’amusait cruellement à le frustrer, lui empêcher d’atteindre cet apogée sans lui. C’était bien vil et sadique de sa part, mais inconsciemment, Morales semblait adorer cela. Il le sentit être à ce point de rupture, si sensible et excité que son soldat semblait être sur le point de rendre les armes. Il le poussa un peu plus et ce point de rupture, d’extase fut atteint.
Il le sentit se cambrer avec force contre son torse, sa voix se perdant dans les méandres du plaisir. Adam venait mordre sa nuque avec appétit, sentant son corps profiter de cette jouissance si merveilleuse. Il laissa un râle s’exprimer d’entre ses lèvres, son corps résolument excité par cette vue si damnée que lui montrait cet homme. Il n’avait pas pour autant ce point ultime à son tour, mais il le sentait proche. C’est donc tout naturellement qu’il avait relâché le soldat de son amant pour venir glisser sa main moite contre la hanche de Morales pour poursuivre ses mouvements de bassin de plus en plus fougueusement. Il le prenait avec force et appétit, déterminé à atteindre ce point spécifique. Morales était victime de ses lèvres, de ses doigts qui glissaient sur ses abdominaux et ses pectoraux. Ses râles masculins se firent plus nombreux et il finit par atteindre ce paroxysme à son tour. Il se laissa aller, son soldat rendant les armes dans ce champ si brûlant et étourdissant. Il vint décroitre la vigueur de ses oscillations, laissant son bassin calmer ses ardeurs.
Le souffle court, il venait reprendre sa respiration en venant embrasser son omoplate avec douceur – seul geste qui pouvait trahir cette attirance plus que physique pour cet homme. Une action qu’il vint camoufler par un doux rire alors qu’il venait se retirer de lui, enlevant sa protection pour observer ce corps qu’il venait de prendre avec fougue. « Ais-je tenu ma parole, Morales ? Il me semble que tu as bien pris ton pied pour un homme qui ne voulait pas de moi. Dans tous les cas, je n’ai rien perdu au change. Finalement, tu sais bien m’allumer. N’hésite pas à m’appeler quand tu en auras envie… Enfin si tu arrêtes de faire ta tête de mule… » Sa voix s’était faite taquine et mesquine dans un rire naturel. Il était venu s’éloigner de lui pour rejoindre le bord du lit, s’apprêtant à prendre la poudre d’escampette… « Il serait dommage que tu te prives d’un tel plaisir, non ? Je sais que mes coups de reins te font planer. » Il ne pouvait s’en empêcher, c’était plus fort que lui et il ne pouvait pas se refaire. D’autant plus que Morales craquait pour cela. Il serait dommage de changer une recette qui gagne, non ?
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott Lun 9 Mar - 0:15 | |
| Baltazar n’avait certainement aucun mal à s’avouer que Scott se trouvait un excellent amant, aussi pervers était-il. Il fallait dire après tout qu’il s’agissait de l'un des côtés qui l'attirait particulièrement, ne profitant sans aucun doute pas autant de ces instants s'il avait été différent. Il n'aurait été nullement en train de venir réclamer lui-même cette colonne de chair en son sein d'une manière particulièrement coquine si Scott avait été différent. Son addiction pour cette folie ne semblait pas avoir de secret puisque ce dernier avouait qu'il n'avait pas d'idée à quel point il était pervers, il lui semblait cependant qu'il adorait cette facette de sa personne. Ce dernier ne s'en étant jamais plaint. Baltazar ne pouvait certainement pas le contredire à ce propos tant ce côté pervers l'attirait malgré lui, se plaisant à être la victime de cet amant pervers. Tant qu'il ne pouvait que gémir au contact de cet amant en son sein, appréciant ô combien cette pénétration qui venait l'emmener à connaitre de si délicieuses sensations. Il voulait être possédé encore plus fougueusement afin qu'il puisse atteindre ce doux paradis terrestre à ces côtés. Il lui avait alors demandé de ne pas être trop sadique et venir le posséder entièrement, sans aucune retenue, sans s'amuser à le voir si dépendant de ses coups de rein. Un fait qu'il avait particulièrement du mal à comprendre en vue de son comportement et de son sourire qu'il devinait malsain.
Seulement, à son plus grand plaisir, l'asiatique vint répondre à son ambition première, laissant ses reins amorcer un mouvement de bassin, venant profondément s'immiscer au sein de ce corps. Un acte résolument plaisant et tout aussi excitant alors que sa main effectuait les mêmes mouvements venant l'emmener à se sentir d'autant plus désireux. Baltazar était brulant, ayant l'impression de bruler de l'intérieur alors qu'il sentait son corps frémir à chaque instant. Son excitation ne cessait pas de s'accentuer, l'amenant à gémir dans une voix particulièrement fébrile. Son amant ne lui laissait nullement le temps de se satisfaire pleinement, ce dernier jouant et venant ne le posséder quelques instants au contact de sa prostate. Une zone érogène de son corps qui l'amenait à connaitre ce bien-être d'être un dominé à côté d'un amant aussi séduisant et tentant. Scott faisait si bien l'amour qu'il lui était impossible de résister, venant réclamer lui-même sa présence alors qu'il s'éloignait pour le posséder avec autant de fougue et de passion. Tant qu'il ne put que difficilement retenir ces gémissements, ne devenant qu'une simple masse gémissante, soupirant et communiquant son bien-être à tout instant.
L'hispanique mourrait presque de désir à chaque allée et venue, son amant venant toucher à chaque pénétration cette zone sensible qui l'emmenait à se sentir si près du point de rupture, le désir étant à chaque instant tout aussi fort. Il ne sut quand exactement il atteint le chemin pour atteindre ce point, mais lors d'un énième mouvement de rein, il se sentir partir, tout son corps défaillir et lâchant un gémissement, se cambrant contre son torse. Baltazar se sentait à présent particulièrement fébrile, son souffle presque coupé alors que son amant continuait ses mouvements de reins, mordant sa nuque avec appétit. Si Baltazar avait atteint ce point de non-retour, son amant, lui, l’atteint qu'après plusieurs mouvements de bassin, sa main taquine venant jouer avec hanches et ses reins. L'extase avait certes été présente, mais cela ne l'empêchait certainement pas de frémir alors que son amant venait à la rencontre de sa prostate à nouveau. Il avait alors atteint ce stade de non-retour quelques instants plus tard, au plus grand plaisir de Baltazar qui était ravi de savoir que tant son corps que lui attirait cet homme, l'amenant à connaitre cette jouissance.
L'hispanique perdu dans les méandres de plaisir, ne fit nullement attention aux baisers de son amant, son ouïe écoutant ce doux rire. Frémissant malgré lui alors qu'il sentait son amant se retirer de lui, lui ôtant une si délicieuse sensation. Scott venait lui demander s'il avait tenu parole, il lui semblait qu'il avait bien pris son pied pour un homme qui ne voulait pas de lui. Dans tous cas, il n'avait rien perdu au change. Finalement, il savait bien l'allumer, lui indiquant de ne pas hésiter à l'appeler s'il en aurait envie, s'il arrêtait de faire sa tête de mule. A la fin de ses mots, il était venu s'éloigner de lui pour rejoindre le bord du lit, s'apprêtant sans doute à partir. Ce dernier lui avouait qu'il serait dommage qu'il se prive d'un tel plaisir, sachant que ses coups de rein le faisaient planer. Le jeune homme ne pouvait résolument pas mentir à ce propos, venant se redresser pour affronter le corps de son amant, un corps nu particulièrement attirant qui le fit sourire doucement, ne se dérangeant nullement du regard alors qu'il s'adressait à lui : « Je mentirais si je ne t'avouais pas que j'avais pris mon pied, mon corps m'a suffisamment trahi à ce propos...» vint-il lui indiquer dans un doux sourire.
D'humeur particulièrement coquine, n'étant nullement capable de refuser en quelque sorte un second round en compagnie de cet amant qui arrivait si aisément à attiser son désir, Baltazar vint décider de tenter à nouveau son amant venant placer sa main sur la sienne, le dévorant tout autant de ses yeux. Il vint lui indiquer dans une voix suave : « Et si je t'avouais que j'en avais encore envie, que dirais-tu de passer un peu plus de temps avec moi ? Il me semble que toi aussi tu as bien pris ton pied, ne boudant résolument pas ton plaisir Scott lorsque tu venais posséder mes reins... ». Il n'y avait bien que cet homme avec qui il était capable de parler ainsi... ! Il ne lui semblait pas avoir parlé ainsi avec quiconque jusqu'alors et encore moins ses amants, Scott était une exception pour le jeune homme. La réponse de Scott se fut d'autant plus coquine, amusant l'hispanique, le voyant accepter son offre. Baltazar profita aisément de ces instants, devenant malgré lui si dépendant de cet homme.
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| (#) Sujet: Re: (hot) Eres una quimera | PV Adam Scott | |
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