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  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales

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Message(#) Sujet: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:27


Adam n’avait pu résister à la tentation de contacter le bel Hispanique. Le souvenir de leur dernière rencontre occupait encore son esprit et il ne pouvait s’empêcher de le désirer. Il appréciait résolument lui faire l’amour. Un fait qui le rendait quelque peu fébrile, conscient qu’il n’était pas aussi hétérosexuel qu’il l’avait toujours voulut le croire. Même à ce jour, il ne pouvait comprendre ce qu’il se passait en son être. Pourquoi sa chair était si réceptive face à son rival ? Pourquoi mourrait-il toujours cruellement d’envie de lui faire l’amour, atteindre ce moment paradisiaque de la luxure contre lui. Il avait toujours été pervers. Un fait dont il avait parfaitement conscience et qu’il ne cherchait pas à corriger. Cela plaisait résolument à ses amantes, qui appréciaient cet aspect cocasse de sa personnalité. Il était loin d’être un gentleman, mais n’était pas un mauvais garçon. Il avait juste une addiction pour le sexe et lorsqu’il prenait son pied, il appréciait consommer de nouveau l’acte charnel avec cette personne. Avec le fils Morales, c’était quelque peu différent. Pour une raison inconsciente, il désirait le rendre accro. Il l’avait approché sous les traits d’un bel inconnu par une curiosité maladive. Il s’était toujours intéressé au fils Morales, ce garçon qu’on lui avait inculqué de détester alors qu’ils auraient pu être amis. Leurs échanges par SMS n’avaient pu que le conforter dans cette idée et la découverte de sa bisexualité n’avait pu que l’inciter à le séduire. À cette époque, il était loin d’imaginer qu’il pourrait assouvir son fantasme dans une suite d’hôtel à Paris, sous ses véritables traits.

Cette double identité lui offrait l’occasion de perturber cet homme. Un homme qui l’envoûtait l’attirait cruellement. Il avait envie de lui. Avoir goûté à ce plaisir charnel avec lui n’avait fait qu’affermir cette ambition qu’il avait depuis des années. Pourtant, il ne pouvait aller contre son naturel. Il avait toujours besoin de le dominer, se montrer particulièrement pervers et mesquin. Il ne pouvait faire autrement sous les traits d’Adam. Cette façon d’être découlait directement de ce qu’avait toujours été sa relation avec cet homme. Un homme qui lui résistait pour mieux se soumettre à lui. Il trouvait ça amusant, additif. Il en devenait gourmand et attendait avec impatience de le croiser de nouveau. Il voulait le faire tomber dans ses filets, le rendre tout aussi fou qu’il n’avait pu le faire avec lui durant ces années où il l’avait désiré. En même temps, il n’était pas satisfait de sa fougue envers lui. Il avait envie d’être autrement, mais son orgueil et sa vanité prenaient toujours le dessus. En tant qu’inconnu, il pouvait le séduire autrement, de façon plus sensuelle et envoûtante, bien loin de cette passion sauvage avec laquelle il l’étreignait sous son identité. De plus cette double identité, lui permettait de succomber plus aisément à ses pulsions, ses désirs. Il n’avait pas à les assumer, puisqu’il prenait les traits d’un autre homme et Morales, ne semblait avoir aucun soupçon à son sujet. Il lui avait donc demandé de rejoindre ce lac où il était venu le rejoindre. Du haut du ponton qui menait à lui, il pouvait le voir longer le bord de mer, quelque peu anxieux.

Cette vision le fit sourire alors qu’il venait agripper son téléphone pour lui envoyer un SMS comme convenu. Il l’observa l’ouvrir et se rapprocher du point de rendez-vous. Bien dissimulé, il s’assura qu’il jouait bien le jeu, même si la pénombre de cette nuit sans lune, le préservait de toute tentative de son rival de découvrir son identité. Il vint donc attraper un panier qu’il avait concocté pour cette soirée. Un des meilleurs vins qui saurait résolument plaire à son compagnon. Un vin de la cuvée qu’ils avaient dégusté ensemble lors de cette nuit à Paris. Une sorte de clin d’œil malicieux, il avait envie que cette pensée le trouble, s’il y faisait attention. Il descendit donc les marches du ponton pour le rejoindre, venant glisser le tissu opaque autour des yeux de Baltazar alors qu’il venait lui murmure au creux de l’oreille dans une voix plus grave que la sienne.

« Bonsoir Baltazar… Tu es magnifique ce soir. Comme toujours. J’avais hâte de te revoir. Cela m’a manqué de pouvoir te sentir contre moi. Je n’arrête pas de repenser à notre première rencontre. J’aime l’idée de tenter et te faire sombrer dans cette douce effusion dont nous avons parlé. » Il vint rire délicatement déposant ses lèvres contre son oreille qu’il embrassa alors qu’il venait glisser sa main libre autour de sa taille pour le coller à lui, laissant sa bouche descendre au creux de sa nuque pour y ajouter.

« J’ai apporté de quoi boire afin de te déraidir. Tu n’as aucune raison de stresser. Je ne veux que te faire passer du bon temps. »

Il vint délicatement glisser sa main contre sa hanche, rejoindre une de ses cuisses, se glissant avec sensualité. Sa bouche quant à elle, embrasser le creux de sa nuque, remontant à sa mâchoire, l’obligeant à se retourner vers lui alors qu’il venait voler ses lèvres. Baltazar n’omettait aucune résistance et cela lui plaisait. Il sentait les doigts de Baltazar glisser sur sa chemise, remarquant aisément que de nombreux boutons étaient déjà défaits. On était en été et le temps était particulièrement agréable. Il le sentit sourire contre ses lèvres, un sourire qu’il lui rendit alors qu’il venait se détacher de lui pour l’entraîner vers le lac, dans un coin assez reculé où ils pourraient passer inaperçus.

Il vint naturellement l’aider à s’asseoir sur la couverture qu’il avait apportée, plus confortable alors qu’il venait lui donner un verre qu’il remplit de ce vin succulent, ajoutant. « À la nôtre ! Tu verras, il s’agit d’un vin particulièrement exquis, tout aussi délicieux que ta chair, quoi que je vais devoir m’assurer de tout cela pour pouvoir le certifier. » Il vint rire, laissant son verre tinter contre celui de Baltazar, venant le porter finalement à ses lèvres pour le boire tout en le dévorant du regard, escomptant y voir une réaction au souvenir de ce goût si prononcé et particulier de ce vin.

Tenue


Dernière édition par Adam Y.D Scott le Mer 12 Nov - 20:55, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:31



Sur place depuis plusieurs minutes, ce fut le message de son inconnu qui vint le réveiller en quelque sorte. Celui-ci lui indiqua qu’il venait d’arriver en ces lieux et de le rejoindre au point de rendez-vous. Fermant les yeux, il sentit et attendit alors les pas d’un homme qui descendait les marches d’un escalier. Un homme qui vint glisser le tissu opaque autour de ses yeux.  Les murmures de son amant le fit doucement frissonner, son ouïe étant bien plus sensible depuis que sa vue n’avait plus à fonctionner. Son doux inconnu lui murmura qu’il était magnifique ce soir, comme toujours.  Il avait eu hâte de le revoir. Cela lui avait manqué de pouvoir le sentir contre lui. Il n’avait nullement arrêté de repenser à leur rencontre. Il aimait l’idée de le tenter et le faire sombrer dans cette douce effusion dont ils avaient parlé par message. Le doux rire de son amant ne put que le faire frissonner alors qu’il sentait ses lèvres embrasser son oreille. Celui-ci vint glisser sa main libre autour de sa taille pour le coller à lui, sa bouche descendant au creux de sa nuque. Comme pour le calmer, celui-ci lui avoua qu’il avait apporté de quoi boire pour le déraidir. Il n’avait aucune raison de stresser, il ne pouvait que lui faire passer du bon temps. Des mots qu’il supposait véridique tant il savait que celui-ci ne lui voulait pas de mal.

Ainsi, le jeune homme n’opposa aucune résistance à son inconnu, appréciant le contact de cette main sur sa hanche et sa cuisse. Il sourit doucement alors qu’il sentait sa bouche se poser au creux de sa nuque, l’obligeant alors à se retourner contre lui.  Baltazar répondit positivement au baiser de l’inconnu, laissant ses doigts glisser sur sa chemise, découvrant avec joie que cette chemise se trouvait déjà en partie ouverte. La chaleur de l’été en étant sans doute la cause. Ainsi, le jeune homme ne put que sourire alors qu’il profitait de sa peau douce et découverte. Celle-ci se trouvait très appétissante au vue de son toucher, un fait auquel il ne doutait pas en ce jour, après avoir déjà profité de ce corps auparavant.  La fin de ce baiser fut résolument frustrante pour le jeune homme qui se laissa guider non loin de là en vue des pas qu’il faisait ensemble. Son inconnu lui indiqua alors s’il y avait des obstacles sur la route jusqu’à arriver à un endroit où celui-ci semblait poser une couverture.  

Se posant alors sur le sol à l’aide de son inconnu sur la couverture, se saisissant alors du verre qu’il lui donnait, remplissant le vin succulent qu’il lui tendait. Celui-ci précisa qu’il s‘agissait d’un vin exquis, tout aussi délicieux de sa chair, bien qu’il devait s’assurer de cela pour pouvoir le certifier. Des mots qui le firent rire doucement à son tour alors que leurs deux verres tintèrent.  Baltazar vint alors porter à ces lèvres le verre, inhalant quelques instants l’odeur du vin, y trouvant une agréable odeur, lui donnant l’impression d’y avoir déjà goûté ou senti auparavant. Il porta à ses lèvres le verre dans un doux sourire, fermant les yeux au délicieux goût de celui-ci. Il en but une gorgée alors qu’il essayait de se rappeler où il avait pu goûter à celui-ci. Mais, il fut bien incapable de s’en rappeler bien que son palais arrivait à identifier plus ou moins son origine, en amateur de vin. Ainsi, il vint lui indiquer dans une voix quelque peu intrigante : «  Je suppose que ce vin est aussi délicieux que celui-ci que tu as porté. Il s’agit d’un vin de bordeaux... du berlot en cépage, je ne me trompe pas ? Il me semble en avoir bu il n’y a pas si longtemps mais, je n’arrive pas à en me rappeler. Sans aucun doute pendant un de mes voyages à Paris. » C’était sans aucun doute pendant un voyage qu’il avait dû en boire, mais il n’arrivait plus à se rappeler où exactement tant il lui arrivait de boire du bon vin dans des restaurants chics à Paris. Mais, allez savoir pourquoi, ce vin l’intriguait suffisamment pour l’emmener à y songer. Un autre jour il s’en rappellerait, Baltazar en était persuadé.  

Ainsi, buvant à nouveau une gorgée, il ne put s’empêcher de venir lui murmurer : « Dans tous les cas, je tenais à te dire que tu as très bon goût pour le vin. Un atout qui ne peut que me plaire tant j’aime boire de délicieux vins en compagnie d’une charmante compagnie. » Termina-t-il dans un doux sourire alors qu’il regardait dans la direction de son amant, ou du moins il l’espérait, au risque de paraitre ridicule. Il vint poser sa main sur la serviette, rapprochant leurs mains, jusqu’à les faire se rencontrer et de caresser avec douceur cette main.  Il continua ses propos : « Tu arrives parfaitement à me déraidir au travers de tes gestes et tes mots, tu es résolument quelqu’un d’intéressant… mon inconnu. Moi qui ai toujours préféré les règles et la conformité. Par contre, je m’excuse mais… je n’ai pas porté de boissons a contrario, mais je suppose que j’aurais d’autres moyens de me faire pardonner. » Baltazar sourit à ses mots, se rendant compte qu’il ne cherchait nullement en la compagnie de cet homme à paraitre tel l’homme parfait qu’il était la plupart du temps.  S’amusant certainement de la situation, il vint porter à ces lèvres la main de son inconnu pour l’embrasser un instant,  en homme galant qu’il était. Quitte à rentrer dans un jeu avec son inconnu, autant que ça soit lui commence, sans aucun doute. Il sourit contre cette main, murmurant : « Alors... ?»

Tenue de Baltazar
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:33

Adam était curieux, attentif à la moindre réaction que pourrait avoir l’Hispanique à la dégustation de ce vin. Un vin français qu’il avait particulièrement choisi, similaire à celui qu’ils avaient pu goûter dans cette suite luxueuse en plein cœur de Paris. À cette époque, Adam était loin de s’imaginer qu’il pourrait goûter à cette ambition de le faire sien sous les traits du rival, qu’il avait toujours été pour cet homme. Pourtant, par trois fois, il avait pu le faire succomber à ses charmes, répondant à ce besoin insatiable qu’il avait de posséder les formes si érotique et sensuelle de cet homme. Adam était résolument un homme dont la luxure était son péché originel. Ses parents avaient bien choisi son prénom et il lui faisait honneur. Du moins, le pensait-il. Accro à la luxure, à l’érotisme de deux corps qui s’enflamme au contact de l’autre : Baltazar avait été ce fantasme inaccessible. Un fantasme qui n’en était plus un. Il était devenu une réalité. Une réalité qui lui donnait cruellement faim et n’avait de cesse de s’intensifier.

Cependant, une part de lui, inconsciente, désirait envouter cet homme. Il voulait qu’il soit complètement accro à son corps, qu’il se soumette à lui entièrement. Un désir malsain, inavouable et pourtant si intense. Il n’en était pas moins sincère. C’était la première fois qu’il éprouvait ce désir de se dévoiler devant quelqu’un. Il le séduisait, mais ne lui mentait pas. Il avait juste envie qu’il découvre l’homme qui se cachait derrière le Adam qu’il connaissait, qu’il lui montrait. Il le savait réceptif à sa personnalité cachée, le voyait au travers de ses lignes et cela n’avait de cesse de lui donner envie de le séduire. Il ne réfléchissait nullement aux raisons d’une telle ambition de sa part. Ce n’était pas son genre et il profitait du présent, sans se préoccuper du futur et des conséquences que ce petit jeu malsain pourrait avoir sur sa vie. Baltazar semblait être intrigué par le vin. Il le vit froncer légèrement des sourcils, ce qui ne put que le faire sourire, malicieux, tandis que l’Hispanique lui informait qu’il semblait reconnaitre qu’il s’agissait d’un vin français, un berlot en cépage. Il lui semblait en avoir déjà bu, il n’y avait pas si longtemps, mais il ne se souvenait pas quand. Sans doute durant un de ses voyages à Paris.

Adam souriait ravi, remarquant aisément que Baltazar semblait assez intrigué par cela. Dans tous les cas, l’Hispanique lui avoua qu’il trouvait qu’il avait très bon goût pour le vin. Un atout qui ne pouvait que lui plaire tant il aimait boire de délicieux vins en compagnie d’une charmante compagnie. « Je t’en ferai donc découvrir… » Murmura-t-il en venant boire une gorgée de son propre vin, ajoutant simplement. « Bien que cette cuvée est résolument la meilleure à mes yeux. » Il détaillait Baltazar avec attention, sentant les doigts de ce dernier frôler les siens pour les caresser. Il trouvait cela amusant et à la fois plaisant. Il lui murmurait qu’il arrivait parfaitement à le déraidir au travers de ses gestes, de ses paroles et qu’il était quelqu’un de particulièrement intéressant. Des paroles qui ne pouvaient qu’intensifier son sourire tandis qu’il continuait ses confessions. Il n’avait peut-être pas ramené quelque chose pour leur soirée, mais il supposait qu’il aurait d’autres moyens de se faire pardonner. Et comment !? Songea-t-il dans un fin sourire tandis qu’il sentait son compagnon porter sa main à ses lèvres pour l’embrasser. Un geste particulièrement évocateur de son attirance pour sa personne, l’inconnu qu’il était. Cela l’amusait grandement et les dernières paroles de son compagnon, ne purent qu’accroitre cet état de fait. Il lui annonçait indirectement qu’il pouvait initier toute action envers sa personne.

« Je pense qu’on peut en effet s’arranger à ce sujet. » Vint-il murmurer au creux de son oreille après avoir déposé son verre vide sur le sable, venant également celui de Baltazar de ses doigts. « Je suis persuadé que tu sauras parfaitement te faire pardonner. » Il vint laisser sa bouche embrasser délicatement l’oreille de son futur amant, laissant ses dents mordiller celle-ci. Il le sentait réceptif et cela l’enchantait. « Je suis persuadé que tu es aussi savoureux que dans mes souvenirs… bien que je pense qu’il est facile de s’en assurer. » C’est donc dans un fin rire qu’il vint délicatement laisser sa bouche retrouver le dessous de son oreille, contre sa nuque. Une nuque que ses lèvres vinrent goûter avec sensualité et lenteur afin d’éveiller délicatement les sens de son compagnon. Ce qui semblait parfaitement réussir, sentant Baltazar pencher la tête pour profiter de ses baisers, du frôlement sensuel de sa peau avec la sienne. Il lui dévorait ainsi la nuque avec intérêt, comme un homme prévoyant et incroyablement sensuel. Il sentait la peau du bel Hispanique s’enflammer délicatement à ce contact. Il souriait, laissant ses lèvres glisser de l’autre côté de son visage, une de ses mains frôlant sa hanche pour rejoindre le tissu de la couverture qu’il avait apportée, pour prendre appui, son autre main toujours captive de celle de l’espagnol vint conduire celle-ci sur son épaule pour souffler au creux de son oreille. « Bien sûr, tu as également le droit de voir si la marchandise te convient également, Baltazar. » Susurrant son prénom avec sensualité alors qu’il relâchait sa main pour l’inviter à le caresser, ajoutant au creux de son oreille : « Bien que je meurs d’envie de sentir ta peau devenir folle juste par le contact de mes lèvres. Tu as déjà connu cette sensation d’être dévoré entièrement par un homme ? » Il laissa son souffle s’échouer au creux de son oreille, qu’il mordillait de nouveau avec satisfaction.
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:35

Il avait beau essayer de se rappeler d'un homme qui agirait si naturellement avec lui, Baltazar avait bien du mal à identifier cette dernière. Le petit jeu qu'ils avaient fomenté devait l'amener à retrouver son identité, mais il n'y arrivait pas. Peut-être était-ce lui-même qui ne souhaitait pas le réaliser ayant peur d'assumer les conséquences de ces moments en sa compagnie. L'Hispanique se rendait bien compte qu'il s'attachait à cet homme et qu'il appréciait chacun des moments passés avec lui. Un sentiment qu'il n'avait que rarement vécu avec d'autres personnes et qui l'inquiétait, ne sachant comment l'interpréter tant celui-ci n'avait sans doute pas de place dans sa vie actuelle. Il se devait d'être un homme insensible, un homme qui ne songeait qu'à son travail et à rien d'autre. Seulement, cet homme le troublait, tout comme un autre homme dont il ne voulait pas penser. Un fait résolument étrange pour lui qui avait toujours eu une vie parfaitement organisé par ses parents jusqu'à ce jour. Cet inconnu avait un effet particulier sur sa personne, l'amenant à ressentir des sensations qu'il n'avait jamais connues jusqu'alors.  Le fait de boire un vin qu'il lui semblait déjà connu le troublait tout autant, n'arrivant nullement à savoir où il l'avait bu, un fait troublant pour lui se rappelait de la plupart des vins qu'il buvait.

Son bel inconnu lui indiqua alors qu'il lui en ferait découvrir d'autres bien que cette cuvée se trouvait bien meilleure que les autres.  Il semblait que le jeune homme voulait lui faire comprendre une information, mais à l'heure actuelle il ne comprenait pas laquelle. Peut-être qu'un jour il la comprendrait se disait-il.  Ainsi, le jeune homme n'avait pas pu s'empêcher de le taquiner, lui informant qu'il aurait d'autres moyens de se faire pardonne, après avoir omis de porter quelque chose. Un fait qu'il regrettait, l'amenant à penser que celui-ci lui faisait perdre ses habitudes de gentleman. Bien qu'il n'avait pas su s'empêcher de venir embrasser cette main avec délicatesse, lui avouant alors au travers de ce geste qu'il était résolument attiré par sa personne.  Un fait qui sembla plaire à celui-ci alors qu'il lui murmurait au creux de son oreille qu'il pensait qu'en effet ils pouvaient s'arranger à ce sujet. Il sentit alors le verre dont il avait la main disparaître alors que son amant venait embrasser délicatement son oreille, la mordillant, l'amenait à fermer les yeux et apprécier ce contact quelque peu coquin. Comme pour venir attiser ces sensations, celui-ci lui avoua qu'il était persuadé qu'il était tout aussi savoureux que dans ses souvenirs, souhaitant s'en assurer. Des mots qui le fit rire doucement à son tour alors qu'il laissait échapper un doux soupir alors que celui-ci venait embrasser à nouveau son oreille, le dévorant de baisers jusqu'à atteindre sa nuque. Un contact particulièrement doux, éveillant délicatement ses sens. Baltazar se laissait aller, fermant les yeux et profitant de ces baisers particulièrement agréable et doux.  Le jeune hispanique se trouvait particulièrement sensible face à chacun de ces gestes, bien plus qu'il l'avait été avec aucun de ses amants ou amantes. Un fait quelque peu surprenant, mais auquel il ne portait pas attention sachant que son esprit se trouvait déjà embrouillé par ses rencontres. Baltazar se contentait se contentait seulement d'être la douce victime de cet amant taquin.  

Son amant s'amusait à lui faire connaître de si agréables sensations, savourant ces instants alors qu'il le sentait se mouvoir, ses lèvres glissantes de l'autre côté de son visage, l'une de ses mains frôlant sa hanche pour rejoindre le tissu de la couverture pour prendre appui. Néanmoins, celui-ci ne voulait pas être le seul à profiter et devenir lui aussi la proie de toutes ses attentions. Sa main détenant encore son compère, il sentit celle-ci être posée sur l'épaule de son amant qui s'amusa à souffler au creux de son oreille qu'il avait le droit de voir si l marchandise lui convenait également, susurrant son nom de manière si sensuelle. Une voix résolument plaisante à l'oreille alors qu'il lui indiquait qu'il mourrait d'envie de sentir sa peau devenir folle par le contact de ses lèvres, lui demandant s'il avait déjà connu cette sensation d'être dévoré entièrement par un homme, laissant son souffle chaud s'échouer au creux de son oreille alors qu'il la mordillait de nouveau avec satisfaction.  Baltazar vint lui offrir alors un sourire quelque peu amusé alors qu'il lui répondait dans une voix sensuelle : « À vrai dire, jamais aucun homme ne m'a permis de connaître ces sensations jusqu'à aujourd'hui. Il me semble que tu peux prendre cette place sans aucun problème, j'en serai même ravi à vrai dire. Tu es bien le seul homme qui m'a permis de découvrir ces si agréables sensations... » .  Il sourit à ces mots sachant que l'égo de cet homme risquait d'en être ravi.

Suivant alors les conseils du jeune homme, il vint laisser l'une de ses mains se perdre sur son épaule, laissant sa main descendre sur son tors et eut la bonne surprise de sentir cette chemise déjà ouverte. Ainsi, coquin, il ne chercha nullement à résister d'une quelconque manière à cette tentation et vint caresser cette chair délicieuse, retraçant les formes musclées qu'il avait déjà eu l'occasion d'observer et de détailler sur les photos de son téléphone portable.  Un corps particulièrement plaisant qu'il avait déjà eu l'occasion de dévorer de regard à de nombreuses occasions, sans que personne ne le sache.  Souriant à cette pensée alors qu'il savourait au même instant ces baisers sensuels contre sa chair, il fit glisser sa main contre la chair dévoilée de ce torse avec attention. Baltazar appréciait résolument celle-ci ne pouvait-il pas s'empêcher de penser alors que son autre main venait se poser contre sa hanche, la caressant avec douceur et envie.  Il se sentait progressivement attiré par lui, son coeur s'échauffant particulièrement alors qu'il lui indiquait dans une voix quelque peu suave :  « Du peu que je touchais, il me semble que la marchandise semble de bonne qualité, mais sans doute faut-il la testait plus longtemps pour s'en assurer. » souriant, le jeune homme vint détacher un peu difficilement la chemise de son amant, à l'aveugle jusqu'à qu'elle se retrouve à présent totalement détaché.  Baltazar en profita alors pour laisser ces doigts se perdre contre son torse, caressant son corps musclé jusqu'à atteindre la ligne de ses abdominaux, retraçant chacun de ces muscles pour attiser cet homme qu'il sentait lui aussi fébrile contre lui. Le jeune homme prononça alors ses mots :  « Mmm... la marchandise me semble très intéressante, j'aimerais bien en profiter encore quelques heures. Et toi, que penses-tu de la marchandise que tu as sous tes yeux ?  » dit-il alors que l'une de ses mains caressait sa hanche avec envie et attention. Baltazar avait envie de cet homme, il ne pouvait résolument pas le nier alors qu'il souriait. Résolument coquin, il en vint même avec cette de pousser par un peu hasard cette veste, accompagnée de sa chemise de quelques centimètres pour dévoiler ses épaules.  Il murmura alors :   « Je crois que suis maladroit... tu me pardonnes ? »
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:38

Il jouait avec lui, ses sens, ses pulsions sexuelles. Tout cela était particulièrement grisant et Adam prenait un plaisir mesquin à accroitre cette fébrilité en l’échine de sa victime. Cette dernière semblait demander l’être, se laissant totalement faire, à sa merci. Il souriait contre sa peau, la mordillant avec satisfaction alors qu’il sentait cet homme profitait de ses bienfaits. Il appréciait cela, s’en délectait et s’en glorifiait sans aucune honte. C’était tellement intéressant à voir. Baltazar s’offrait à lui si facilement lorsqu’il se trouvait sous les traits de son inconnu, alors qu’il résistait tellement lorsqu’il se trouvait face à lui en tant qu’Adam. Les deux aspects l’amusaient grandement et il prenait un malin plaisir à le charmer, le tenter, profiter de son corps. Il pouvait se laisser dévorer par la luxure sans aucune gêne, se montrant bien plus doux qu’il ne l’aurait été sous les traits d’Adam. Il ne savait pas quel aspect de leur relation l’attirait le plus. Il appréciait les deux facettes de sa personnalité : la passion avec laquelle il le possédait sous ses traits ou cette sensualité érotique qu’il avait à cet instant. Les deux l’attiraient particulièrement et il ne manquait aucune occasion pour profiter du corps nu de son compagnon, qui savait tant éveiller ses sens. Il le sentait réceptif à ses actions, son souffle se faisant plus court, plus chaud contre la peau de son oreille.

La voix de Baltazar se fit sensuelle alors qu’il lui répondait qu’aucun homme ne lui avait permis de connaitre ces sensations jusqu’à aujourd’hui. Un aveu qui plaisait résolument à Adam, qui vint continuer de mordiller sensuellement cette oreille de sa bouche, le sourire narquois. Il pouvait donc prendre cette place vacante, cette idée le ravissant même à vrai dire. Très intéressant. Adam vint porter son regard amusé sur Baltazar avec intensité. Il savait résolument flatter l’ego de son partenaire, dommage qu’il n’en faisait pas de même lorsqu’ils se trouvaient face à lui. Il lui disait qu’il était bien le seul homme à lui avoir permis de découvrir de si agréables sensations. Il savait qu’il mentait, il était en effet le seul homme à y être parvenu, mais celui-ci avait pris son pied avec lui, s’abandonnant toute une nuit dans ses bras comme jamais et bien plus encore. C’était amusant de le voir se voiler la face de la sorte, mais il n’en fit pas mention, quand bien même la tentation était là. Pas de façon franche, mais l’idée de le titiller par rapport à son autre amant qui l’avait dominé était là, bien trop attirante. « J’en suis ravi alors, Baltazar. L’idée d’être bien mieux que cet autre homme m’enchante grandement. » Il souffla cela contre son oreille dans une voix suave alors qu’il sentait les doigts de son amant descendre sur son torse qu’il vint caresser avec délice. Adam le laissait faire, le sourire aux lèvres, savourant le contact chaud de ses phalanges contre sa chair.

Il poursuivait quant à lui ses actions avec attention, laissant ses commissures glisser sa nuque, sa mâchoire avec sensualité et lenteur, ses doigts glissant sur cette chemise entrouverte pour l’ouvrir à la même cadence que celle de son partenaire. Sa paume vint glisser sur la douceur et la fermeté de ses pectoraux, un instant avant de retrouver le tissu de ce vêtement. Il savait ô combien les formes de Baltazar l’attrayaient et avait hâte de l’avoir nu pour le dévorer de sa bouche jusqu’à l’orgasme et qu’il le supplie de lui faire l’amour, qu’il accroit son excitation jusqu’au bout comme un aliéné, un homme dépendant au corps de son amant. Il sentait la poitrine de Baltazar se relevait plus fortement, sans doute attiré et exalté par ses actions et les siennes, une de ses mains sagement loties contre sa hanche. La marchant lui semblait de bonne qualité. Du moins pour le peu qu’il touchait, mais il devait la testait plus longtemps pour s’en assurer. Des paroles qui le firent sourire, masqua un fin rire de se faire connaitre alors qu’il sentait Baltazar lui retirait entièrement sa chemise, ses doigts s’immisçant contre sa chair avec ambition, retraçant le moindre de ses muscles. Adam souriait glorieux, conscient que son corps attirait cet homme qu’il soit sous les traits de son inconnu ou d’Adam. Sa peau réagissait favorablement à ses actions, s’échauffant délicatement alors qu’il sentait cet homme lui susurrait qu’il trouvait la marchandise très intéressante et souhaitait en profiter encore quelques heures. Que pensait-il de sa marchandise qu’il lui offrait. « Très intéressant à première vue, mais je serai plus à m’exprime lorsque j’y aurais goûté. J’aime me donner des avant-goûts. »

Il sourit à ses mots qu’il avait susurré dans une voix suave alors qu’il sentait cet homme plus ambitieux, résolument échauffé et désireux de poursuivre. Il le laissa agir, lui retirer entièrement son gilet et sa chemise. Il vint rire à sa remarque dans une voix suave. « Mm… à condition que tu me laisses te gouter. Ça semble être un bon deal, ne penses-tu pas ? » Il ne lui laissa pas le temps de répondre, il l’embrassa avec sensualité dans des actions coquines, ses dents mordillant ses lèvres. Il laissa ses doigts quant à eux, ouvrir entièrement la chemise de cet homme pour avoir une vue imprenable sur son torse, qu’il ne vint nullement caresser, coquin et résolument avide de commencer la réalisation de ce fantasme qu’il lui avait promis. Il laissa ses mains retrouver son jean, venant desserrer sa ceinture avec lenteur pour la lui retirer, ouvrir celui-ci. Il ne fallut que quelques secondes de plus pour que Baltazar finisse simplement en boxer, sur cette couverture qu’il avait apportée. Il vint rompre ce sensuel baiser pour se relever sur ses bras en le dominant de tout cela, admirant ce corps pratiquement nu qui se tendait sous ses lèvres. Il se mordit les lèvres, laissant son regard pénétrant parcourir la ligne de ses pectoraux, de ses abdominaux jusqu’à son ventre. Des muscles finement sculptés, attirants qu’il avait hâte de gouter de ses lèvres, désireux de rendre fou cet homme.

Un homme dont la respiration se fit plus forte, résolument intrigué et impatient de ce qu’il allait se passer. Cela l’amusait grandement et c’est dans une voix sombre et suave qu’il murmura. « Et si je venais te gouter, Baltazar. Tu sembles demander cela. Je ne voudrai pas te décevoir. Après tout, je t’ai promis de te faire vivre de merveilleuses sensations. » Adam souriait glorieux et mesquin alors qu’il laissait sa bouche retrouver la nuque de cet homme pour l’embrasser, laisser sa langue titiller sa peau avec sensualité et lenteur. Il laissa son visage se nicher contre cette partie de sa nuque pour humer son odeur masculine et moite, avoir un aperçu du trouble qu’il apportait à son échine. Il laissa ses commissures glisser sur sa clavicule très lentement, suivant la ligne jusqu’au creux de ses pectoraux, sa langue lapant cette peau délicieuse. En appui au-dessus de lui, il y avait que son visage en contact avec le corps de son amant. Il le sentait réceptif à son action, sa respiration s’accélérant alors qu’il laissait sa langue se mouvoir près d’un de ses boutons de chair, le contournant, jouant avec lui sans pour autant le gouter entièrement. Coquin et résolument taquin, il l’abandonnant sans le toucher pour rejoindre son comparse pour réaliser le même chemin.

Cela rendait Baltazar particulièrement agité, impatient et il s’amusait longuement à exercer ce manège. Il fit de nombreuses fois sans répondre à sa demande muette, venant même glisser sur son ventre pour rejoindre ses abdominaux, les goutant avec délectation jusqu’à rejoindre la bordure du boxer de cet homme, sans la toucher également. Joueur, il refit le chemin inverse dans un sourire narquois, impatient d’entendre cet homme lui suppliait de le taquiner de sa bouche sur ses points sensibles. La respiration de Baltazar était tellement forte. Il était évident qu’il en mourrait d’envie. Il souriait à cela, tant et si bien qu’il susurra contre son oreille. « Cet avant-gout me plait résolument. Tu es fort appétissant. Tu es une très bonne marchandise et celle-ci m’a l’air particulièrement ravi d’être victime de ma gourmandise. Je me trompe ? » Il laissa sa phrase en suspens, résolument déterminé à le taquiner jusqu’au bout, sa nature reprenant légèrement le dessus malgré qu’il se montrait particulièrement attentif à son amant.
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:40

Il était bien difficile pour l'Hispanique de pouvoir comparer cet inconnu à Adam. ll n'avait jamais eu cette position de dominé jusqu'à rencontrer ces deux hommes, deux hommes certes différents, mais qui avaient réussi à le charmer d'une manière ou d'une autre. L'Hispanique ne savait pas vraiment quoi penser de ce fait, si ce n'était de seulement profiter des instants qu'il partageait avec eux. Il ne devait nullement songer à tout cela, il devait seulement profiter de la présence de cet amant particulièrement gourmand qui souhaitait uniquement le rendre fou en ce jour. C'était sans aucun doute qui intéressait le jeune homme : être la douce victime d'un amant sensuel qui lui avait promis de la ravir juste avec son corps et ses lèvres. Pour cela, il n'avait pas hésité à complimenter sa personne et lui indiquait qu'aucun homme ne lui avait permis de découvrir de si agréables sensations. Cela n'était nullement un mensonge après tout, la relation qu'il avait partagée avec Adam ne ressemblait pas à cette dernière, Adam n'était pas aussi sensuel. Mais, à ses côtés ce n'était nullement qui l'intéressait tant le côté presque sauvage d'Adam le satisfaisait. Sans aucun doute que le jeune homme que celui-ci ne pouvait qu'en être ravi, celui-ci lui avouant qu'il était enchanté de savoir qu'il était bien mieux que l'autre homme.

Se laissant guider par ces pulsions, le jeune homme ne cherchait pas vraiment à se retenir et vint ouvrir assez rapidement la belle chemise de son amant pour découvrir la chair de ce torse qui était résolument plaisant à caresser. Son amant en profitait tout autant que lui alors qu'il sentant ses doigts se perdre sur la chair de ses pectoraux. Un contact qui ravissait résolument Baltazar, sa poitrine se relevant plus fortement, son rythme cardiaque s'accélérant progressivement alors qu'il sentait cette main se poser sur sa chair avec douceur. Baltazar caressait sa chair sans vergogne, s'amusant même à redécouvrir les formes de ce torse qu'il avait particulièrement apprécié la dernière fois qu'il avait pu le caresser. Il n'avait pas pu alors lui indiquait que la marchandise se trouvait particulièrement intéressante, souhaitant en profiter quelques heures. Venant lui répondre, celui-ci vint lui susurrer qu'il trouvait la marchandise très intéressante à première vue, mais il en saurait bien plus lorsqu'il aurait pu y goûter, aimant se donner des avant-goûts.

Il ne lui avait fallu que peu de temps avant qu'il ne cède à nouveau à cette chair, venant retirer son gilet et sa chemise par erreur, maladroit qu'il était. Une réflexion qui avait fait rire le jeune homme qui lui indiqua qu'il ne lui pardonnait qu'à la condition qu'il le laisse goûter sa chair, lui demandant s'il s'agissait d'un bon deal. Le jeune homme ne pouvait résolument qu'acquiescer, bien qu'il n'eut nullement le temps de le faire véritablement, ses lèvres étant capturées par celle de son amant dans un baiser ô combien sensuel. Il n'omit aucune résistance lorsque son amant vint détacher les boutons de sa chemise pour lui enlever, bien qu'il se trouvait quelque peu frustré de ne pas sentir ces mains contre sa chair. Celles-ci plus coquin préféraient alors jusqu'à son jean pour lui enlever sa ceinture, ouvrant son pantalon et particulièrement pressé il se retrouva alors en simple boxer devant des yeux qu'il imaginait avides. Baltazar ne put s'empêcher d'avoir quelque peu froid, sentant sa chair frissonner alors que son amant s'éloignait bien trop vite de ses lèvres. Il sentit celui-ci se déplaçait légèrement, venant le surplomber alors qu'il se laissait faire, s'allongeant sur le tissu. Néanmoins, la sensation d'être dévoré par le regard de cet amant était tout aussi grisante, sentant son coeur s'accélérait, si impatient d'être la proie de cet amant. Celui-ci d'ailleurs vint lui proposer de le goûter, Baltazar donnant l'impression de demander cela. Il ne voulait pas le décevoir alors qu'il lui avait promis de vivre de merveilleuses sensations. Ce dernier ne lui laissa que guère de temps avant qu'il ne vienne déposer sa bouche contre sa nuque, l'embrassant, sentant cette langue titiller sa peau avec sensualité. Pour Baltazar il s'agissait de la première fois qu'un homme agissait ainsi avec sa personne et autant qu'il l'appréciait, souhaitant véritablement sentir un bien-être ô combien puissant à ses côtés.

Baltazar fermait les yeux alors, se concentrant sur le contact de ses lèvres qui venaient embrasser sa clavicule, suivant la ligne jusqu'au creux de ses pectoraux, sa langue lapant cette dernière. Un contact coquin qui ne pouvait que le faire languir, tout particulièrement alors qu'il sentait celle-ci se rapprocher de ses boutons de chair pour ne jamais vraiment les embrasser. Son inconnu semblait s'en amuser alors qu'il soulevait quelque peu son torse pour ressentir encore plus de sensations, impatient qu'il était. Baltazat tout aussi impatient vint simplement laisser échapper un soupir alors qu'il faisait mine de s'attaquer à son autre pectoral, autant dire ce geste ne pouvait que le frustrer, particulièrement alors qu'il ne souhaitait qu'une chose, qu'il pose enfin ses lèvres contre ces boutons de chairs. Une demande que son amant ne souhaitait résolument pas prendre en compte alors qu'il sentait ses lèvres descendre progressivement jusqu'à ses abdominaux. Il ne put que déglutir lorsqu'il sentit ses dernières lèvres à la bordure de son boxer. Cet homme se plaisait à le taquiner, le rendre fébrile, Baltazar en était convaincue bien qu'il faille affirmer qu'il adorait tout cela. Ainsi, lorsqu'il vit celui-ci remonter sur ses pectoraux, il émit un léger râle de mécontentement alors qu'il sentait ses lèvres se feindre dans un sourire. Son inconnu vint alors abandonner sa chair à son plus grand désespoir pour venir susurrer contre son oreille que cet avant-goût lui plaisait résolument. Il était fort appétissant, étant une bonne marchant. Celui-ci lui paraissait d'ailleurs particulièrement ravi d'être sa victime. Un fait véridique alors qu'il lui offrir un doux sourire avant de lui susurrer dans une voix suave « Je ne peux résolument pas te mentir à ce propos mon cher inconnu. Je suis ravi d'être la victime de tes baisers et je peux t'annoncer qu'il me tarde que tu poses enfin tes lèvres sur ces zones que tu sembles vouloir absolument dévier pervers. »

Un fait qui ne put que le faire sourire alors qu'il sentait celui-ci mordiller son oreille, émettant un léger sourire venant apposer ses lèvres ces lèvres contre sa nuque. Son amant ne semblait pas vouloir répondre directement à sa demande, à son plus grand désarroi. Il se contentait de mordiller la chair de sa nuque, descendant ses baisers jusqu'à ses pectoraux, évitant à nouveau ses boutons de chairs qui n'attendait au final qu'à recevoir l'attention de cet homme. Celui-ci semblait vouloir l'amener à prononcer des mots d'abandon, le jeune homme ne pouvait qu'en être persuadé alors qu'il le sentait bien plus taquin qu'auparavant. Un fait qui lui rappelait un autre homme auquel il ne voulait nullement songer tant il se devait de profiter de cet inconnu qui le rendait véritablement fou. Ainsi, lorsque celui-ci vint à frôler à nouveau ses bouts de chairs, il ne put s'empêcher de murmurer suavement, avec l'intention qu'il réponde enfin à sa demande :  « Je suis très pressé même... tu ne voudrais pas frustrer ton amant n'est-ce pas ? ».  

Ces mots ne semblèrent pas rendre son amant moins taquin, laissant ses lèvres venir dévorer ses abdominaux de ses lèvres et se rapprocher du bord de son boxer qui ne cachait nullement les émois qu'il vivait en cet instant. Son amant devait en être d'ailleurs ravi alors que son aine prenait une légère forme dans son boxer. Son inconnu lui faisait ressentir de sensations ô combien agréables qu'ils ne pouvaient que reconnaître. Ainsi, pour enfin sentir celles-ci contre sa chair dans ces endroits si sensibles, il murmura simplement un : « S'il te plaît...» dans une plainte, son corps étant si sensible et fébrile face à luI. Il voulait qu'il lui permette de sentir ses lèvres contre ses boutons de chairs, comme cette aine qui ne demandait qu'à être victime de se sensualité. Ainsi, Baltazar ne put qu'être particulièrement ravi lorsqu'il sentit son corps se soulever et qu'enfin il laissait ses lèvres le dévorer de toute part. Baltazar gémi alors véritablement, soupirant son bien-être alors que cette langue venait taquiner ses boutons de chair dans des caresses sensuelles. Le jeune homme laissait son corps s'exprimer, soupirant alors que son amant avait laissé sa main rejoindre l'autre bout de chair qui n'attendait qu'à recevoir un délicieux traitement de sa part.  À ses côtés se trouvait un amant résolument coquin, il ne pouvait que le confirmer alors qu'il le sentait déjà abandonner ces derniers boutons de chairs pour descendre sur ses abdominaux, se rapprochant de son aîne qui avait bien plus de formes qu'auparavant. Ainsi, Baltazar ne chercha nullement à retenir une plainte de presque supplication de continuer. Baltazar avait depuis longtemps oublié qu'il se trouvait sur le lac, un endroit où on risquait de les surprendre. Néanmoins, il n'y avait que peu de chance que cela arrive, pensait-il. À vrai dire, l'Hispanique s'en fichait bien, tant que son amant réaliserait sa demande, tout lui convenait.
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:44

Adam aimait résolument taquiner Baltazar. Cela était tellement amusant de le tourmenter de la sorte. Cela animait quelque chose en lui, un sentiment qu’il ne pouvait identifier, mais qui glorifiait son côté pervers. Il aimait, savourait le pouvoir qu’il pouvait avoir sur le corps de cet homme. Il se trouvait si sensible à sa chair, ses baisers. Qu’il soit sous les traits d’Adam ou de cet inconnu dont il avait pris l’identité, Baltazar succombait à ses désirs et cela lui plaisait cruellement. Il avait l’ambition de le séduire, de le rendre cruellement dépendant de sa chair pour en faire sa douce victime. Une pensée résolument lubrique qui ne le dérangeait nullement. Il n’en avait nullement honte, étant par nature un homme pervers. Ce qui n’était pas une nouveauté pour le jeune homme qui lui faisait face et qui pourtant ignoré son identité. Toute cette mise en scène, ce mystère éveillait les sens cupides de cet homme qui se livrait corps et âme à un parfait étranger qui le séduisait. À l’occurrence : lui. Bien sûr, il mentirait s’il disait qu’il n’était pas sincère dans ses agissements, mais il préférait plutôt mourir que de l’admettre. Du moins, sous les traits d’Adam Scott. Sous les traits du bel inconnu, il s’offrait une liberté totale dans ses gestes et paroles, se montrant particulièrement doux et sensuel avec cet homme.

Un fait qui n’était nullement anodin de sa part, même s’il refusait de l’admettre. Il profitait donc des instants de luxure à ses côtés, ravi de pouvoir rendre folle l’échine de l’homme qui se trouvait à sa merci. Un prisonnier qui savourait sa pénitence, appréciant résolument être victime de ses frisons de bien-être que sa langue cupide provoquait sur sa chair. Il le sentait souffler fortement, sa poitrine se relevant avec force. C’était particulièrement grisant de le voir ainsi si sensible à ses actions, si quémandeur. Sa peau n’avait de cesse de se parsemer de frissons, devenant de plus en plus cupide et gourmande face à la frustration qu’il instaurait dans ses reins. Cela amusait grandement Adam, qui prenait un malin plaisir à accroitre cette chaleur en le torturant d’une curieuse façon. Il sentait Baltazar à sa merci et il ne s’était nullement retenu de le taquiner de vive voix, dans un ton cruellement coquin et érotique. Baltazar lui souriait, charmé et résolument fébrile. Il lui avouait qu’il ne pouvait pas lui mentir. Il était ravi d’être la victime de ses baisers et il lui tardait qu’il pose enfin ses lèvres sur ces zones qu’il aimait tellement éviter. Il le traitait de pervers et cela amusa grandement l’Asiatique. Il n’avait pas idée ô combien il pouvait l’être. Ce n’était que le commencement, bien que l’Hispanique avait un très bel aperçu de ce dont il était capable. Il laissa un fin rire frôler ses lèvres alors qu’il venait mordiller son oreille avec taquinerie, laissant sa bouche retrouver sa gorge si masculine.

Il laissa ses commissures dévorer sa chair, la mordillant avec amusement et entrain, cupides d’accroitre la chaleur qui s’initiait dans les entrailles de son compagnon. Il descendait sa bouche sur ses pectoraux, évitant de nouveau ses boutons de chair tant il prenait plaisir à le taquiner de la sorte. C’était grisant et il sentait cette frustration accroitre l’émoi que sa bouche pouvait provoquer sur cette chair brûlante. Elle était délicieuse sous ses lèvres, sa langue. Il savourait sa saveur avec ambition, ce qu’il ne pouvait se permettre en tant qu’Adam, souvent enfermé dans sa position de dominateur pervers, seule posture qu’il pouvait avoir avec lui. En tant qu’inconnu, il pouvait adopter une posture plus conventionnelle, moins dominatrice et c’était appréciable, d’autant plus que Baltazar se laissait totalement aller à ses côtés. Cela lui plaisait énormément. Il s’amusa à frôler de ses lèvres ses boutons de chairs dans un passage furtif qui enchanta grandement son compagnon. Il soupira suavement qu’il était très pressé qu’il le fasse. Il pensait qu’il ne voulait pas frustrer son amant. Il était loin du compte, se lança-t-il intérieurement en déposant ses lèvres de nouveau sur ses abdominaux. Il lapait cette peau de sa langue, la trouvant succulente et désirable. Des muscles où son regard s’était tant échoué par le passé qu’il appréciait résolument pour leurs finesses et fermetés.

Adam souriait ravi de sentir son intimité s’affermir non loin de ses lèvres. Cela conférait un air très sexy à son compagnon qui totalement soumit qui lui suppliait délicieusement dans une plainte d’abréger sa frustration. L’Asiatique n’en avait nulle envie, le trouvant particulièrement érotique ainsi longé sur cette serviette de plage, pratiquement nu, et irrésistiblement à sa merci. Une véritable sucrerie qu’il dévorait patiemment, désirant la consommer petit à petit. Il allait passer des minutes à le rendre fou. Il n’en avait pas fini avec lui et son ambition de le tourmenter, le rendre fou, n’avait de cesse de s’accroitre. Il finit cependant par accéder à sa demande. Ses commissures gourmandes et brûlantes vinrent se déposer sur un de ses boutons de chair pour le taquiner de sa peau, de sa langue. Il sourit amusé, glorifié par le gémissement qui vint frôler son oreille. Il laissa sa langue titiller sa victime et ne put résister à l’envie de glisser une de ses paumes contre son comparse. Il le sentait légèrement tendu sous la pointe de ses phalanges, terriblement tenté et désireux. Le corps de l’Hispanique semblait apprécier ce traitement et il profita pour mordiller délicatement son prisonnier avant de l’abandonner. Il n’avait de cesse de sourire, sentant la poitrine de son compagnon se soulever fortement, électrisé. Il laissa ses commissures retrouver la chair de ses abdominaux pour les dévorer, les savourer avec taquinerie et ambition. En appui sur ses bras, il laissait son menton barbu effleurer la chair de ses muscles.

Baltazar était si sensible, cela était terriblement grisant. Il l’entendait le suppliait de continuer. Il trouvait cela envoutant et terriblement érotique. « Tu es très érotique ainsi, Baltazar. Tu me donnes cruellement envie de te faire geindre plus fortement. Après tout, ne t’ai-je pas promis de te faire découvrir des sensations merveilleuses ? On a toute la nuit pour nous et un lac entièrement vide à nos côtés. Profitons-en totalement, ne penses-tu pas ? » Il avait susurré cela contre le tissu de son boxer, souriant terriblement charmé par l’excitation de cette intimité éveillée et terriblement avide qui se dressait contre le vêtement. Il laissa sa langue la lapait de tout son long dans un mouvement fort lent et langoureux. Le râle qui s’extirpa des lèvres de l’Hispanique l’excitait cruellement. Il se sentait ferme dans son jean, terriblement tenté par ce corps si désirable sous ses yeux. Mais ce n’était pas encore son tour, ses commissures avaient une tout autre ambition. Elles voulaient le rendre fou et elles y parvenaient totalement. Il continuait de léchouiller cette partie intime de son amant au travers du tissu. Il était fou sous ce contact et cela le grisait totalement. Il vint même la mordiller à travers le tissu, sentant Baltazar gémir plus fortement son plaisir. Il semblait lui réclamer de continuer, de lui retirer ce vêtement bien trop encombrant. Il avait seulement fallu deux petits coups de langue pour rendre cette intimité si ferme et gonflée sous le vêtement.

C’était une vue terriblement érotique et c’est tout naturellement qu’il vint lui retirer son sous-vêtement dans un fin rire : « Je crois que tu as chaud, Baltazar… Tu m’as l’air prêt à être dévoré. Cela m’excite… même si je n’ai pas fini de te rendre dingue. À vrai dire… ce n’est que le commencement. » Des paroles soufflées contre l’extrémité de son intimité dressée près de ses lèvres. Elle était toute gonflée de désir, sensible, fébrile. Il la taquinait de son souffle, laissant le bout de sa langue la titiller. Il l’entendit gémir de nouveau dans une supplique, mais il ne comptait pas le dévorer si aisément. Il laissa sa langue glisser le long de sa colonne de chair pour la rendre terriblement réceptive à sa présence et il obtint toute l’attention de son amant. Il laissait son regard se poser sur son corps en contre plongée alors qu’il opérait le chemin averse. Baltazar était brûlant, le souffle chaud, le corps en feu. Une magnifique vue pour l’Asiatique qui continua de le titiller de la sorte avant de l’embrasser. Ses gestes se faisaient lents et langoureux, terriblement frustrants. Il le gouterait entièrement que lorsqu’il le supplierait de le faire. Il aimait tellement l’entendre lui susurrer de le dévorer. C’était terriblement grisant, il adorait sa voix dans ses instants et il pouvait être certain qu’il ferait tout pour le satisfaire.
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 22 Oct - 20:46

Etre à la merci de son inconnu était résolument un plaisir pour le jeune homme, tant le fait de ne plus commander quoi que ce soit et n’être que la victime d’un amant fougueux et désirable, était envoûtant. Il n’avait nullement la chance en ce jour de pouvoir profiter de la vue de ce corps , à son plus grand désarroi, mais il espérait un jour pouvoir l'admirer véritablement. Un jour qu’il espérait proche et loin à la fois tant le fait de ne pas connaître l’identité de son inconnu était un phénomène grisant et à la fois très intéressant. Il s'était posé la question de nombreuses fois en ce qui concerne l'identité de cet homme, mais il n'arrivait toujours pas à rapprocher ce dernier à un visage connu. Les quelques personnes qu'il avait cru identifier comme son potentiel amant était bien trop différent pour correspondre à cet homme. Les semaines avançaient et il se trouvait en même temps très curieux de connaître son identité. Le jour où il le découvrirait, il ne saurait nullement où cette relation l'emmènerait tant il avait permis à un homme de le connaître bien plus que n'importe qui.  Un fait résolument étrange pour lui qui avait toujours gardé un certain masque autour de son entourage. Il n'y avait pas que ça qui l'intriguait, il y avait ces sensations agréables qui possédaient son corps sans qu'il n'arrive à les contrôler. Ces anciens amants ne lui avaient jamais permis de connaître toutes ses sensations et autant dire qu'il craignait en quelque sorte de devenir bien trop dépendant à ces dernières. Il avait toujours voulu que sa vie ne soit pas d'écart, qu'il ne s'attache pas trop aux personnes, mais la présence de cet inconnu l'intriguait, tout comme celle d'un homme dont il n'arrivait pas véritablement à définir la relation.  Tout était si étrange pour lui et il savait qu'il ne devrait pas se poser toutes ses questions, se devant seulement de profiter de ce qu'il vivait et ressentait à chaque instant.

Tout comme de ses lèvres qui venaient se déposer sur son corps, dans de nombreuses taquineries qui l'amenaient à gémir le bien-être qu'il ressentait. Il n'y avait personne autour d'eux qui pouvaient les entendre ou les voir, ce qui le rassurait en quelque sorte et l'amenait à se sentir véritablement à sa merci. Ainsi, lorsque ce dernier vint enfin répondre à sa demande, il ne put qu'en être ravi, sentir ses lèvres sur ses boutons de chairs était grisant.  Il n'omit aucune résistance, ses doigts venant se poser sur la chevelure de son amant alors qu'il sentait son corps frissonner, si ravi d'être la proie de cet amant si sensuel.  Ce dernier cherchait à le rendre fou, il n'en doutait pas alors qu'il sentait ses lèvres abandonner trop facilement ces derniers pour atteindre ses abdominaux. Le contact avec cette barbe naissante en était tout bénéfique tant qu'il était venu le supplier de continuer et terminer ce supplice. Ce comportement semblait plaire à son amant qui lui avait susurré qu'il était très érotique, lui donnant cruellement envie de le faire geindre plus fortement. Il s'agissait de sa promesse après tout, celle de lui faire découvrir des sensations merveilleuses. Ils avaient toute la nuit pour eux et une lac entière vide, ils pouvaient de ce fait en profiter totalement.

Baltazar ne put qu'acquiescer à ces mots, son aine devenant un peu plus ferme au contact de ses lèvres sur son boxer, tout comme de ses mots qui étaient prometteurs de bien-être en cette nuit. Le fait d'arriver le lendemain au travail après une longue nuit blanche ne le dérangeait nullement tant il savait qu'il passerait une très bonne nuit en sa compagnie. Baltazar ne pouvait nullement en douter alors qu'il sentait son amant lapait son aine au travers du tissu.  Il n'avait qu'une seule envie en cet instant que ce dernier lui enlève son sous-vêtement pour le dévorer. Une action qui se fit attendre, mais qui arriva à temps, l'amenant à soupirer alors qu'il sentait enfin le tissu de son sous-vêtement être retiré pour laissé son aine désormais à la vue de cet amant si coquin. Une vue qui sembla lui plaire alors qu'il lui murmurait qu'il pensait qu'il avait cruellement chaud, paraissant prêt à être dévoré.  Cela l'excitait, même s'il n'avait pas fini de le rendre dingue.  A vrai dire, il ne s'agissait que du commencement.

Des mots qui ne pouvaient que lui plaire alors qu'il sentait le souffle chaud de son amant se posaient contre l'extrémité de son intimité.  Un contact cocasse qui ne pouvait que le laisser particulièrement désireux de cet homme, ce dernier s’amusant à laisser sa langue caresser son intimité. Un contact bien trop léger pour venir répondre à ses desseins intérieurs. Néanmoins, ce dernier ne put que laisser échapper un soupir tant il se trouvait impatient, n’arrivant tout simplement pas à se contenter de ces agissements. Ce dernier vint y répondre en partie, laissant sa langue glisser le long de sa colonne de chair.  Baltazar ne put qu’être ravi, bien qu’il lui paraisse que celui-ci n’en fasse pas assez, souhaitant qu’il le prenne véritablement entre ses lèvres et lui fasse découvrir ce plaisir d’être pris. Son amant semblait se plaire à le taquiner alors qu’il se contentait de venir l’embrasser dans des gestes lents et langoureux. Des gestes qui l’emmenèrent à venir geindre et presque appeler son amant s’il avait pu connaître son prénom : « C’est si agréable… tant agréable. S’il te plait, arrête de me faire languir, je n’entends plus que tes lèvres sur mon aine… toutes les sensations qui tu me fais ressentir sont si agréables…  »

Le jeune homme ne mentait nullement dans ses propos, mais ces derniers ne semblèrent convaincre son amant qui vint le taquiner encore plus fortement, venant embrasser son extrémité de manière presque féline. Un fait qui ne pouvait que le rendre encore plus fébrile alors qu’il laissait sa main tirer sur sa chevelure, lui intimant silencieusement de le prendre véritablement entre ces lèvres. Comme pour l’inciter à céder Baltazar vint gémir une dernière supplication : « Je t’en prie…  j’ai envie...». Une demande qui sembla enfin porter ses fruits alors qu’après avoir entendu le beau rire de son amant, ce dernier vint enfin l’embrasser et prendre son aine entre ses lèvres. Un contact qui eut le mérite de le faire gémir tant ce dernier semblait savoir comment le rendre fou. Il effectuait des mouvements sensuels et particulièrement langoureux, tout ce qu’il avait souhaité et le rendait presque fou en cet instant. Baltazar ne se retenait nullement pour exprimer chacune des sensations qu’il ressentait, soufflant alors qu’il sentait son amant encore plus coquin, ce dernier laissant l’une de ses mains se perdre sur ses fesses musclées pour les caresser. Un contact résolument plaisant qui ne pouvait que l’amener à avoir envie de prolonger le contact entre leurs deux corps. Baltazar laissa échapper un doux soupir s’échapper de ses lèvres, se sentant de plus en plus brûlant au creux de ces dernières. Il n’y avait aucun doute à ce propos, l’Hispanique aimait résolument être la victime de cet homme qui le ravissait à présent. Se laisser seulement guider par ces émotions était vraiment quelque chose pour Baltazar qui n’avait jamais cédé de cette manière lorsqu’il avait déjà pu rencontrer des hommes.   Il se savait faible et son amant semblait bien l’avoir compris alors qu’il se retrouvait encore plus coquin. Les secondes et les minutes s’écoulèrent ainsi, le jeune hispanique savourant ces caresses. Il n’y avait personne à part eux dans ces lieux atypique et autant dire qu’il s ‘agissait d’un fait nouveau pour l’homme qu’il était qui aimait rester dans le moule. Seulement, cet inconnu arrivait à lui faire faire des choses qu’il n’avait certainement pas prévu de faire avec quiconque. C’est pourquoi même s’il paraissait un peu gêné, il n’en était moins qu’il souhaitait prolonger de longues heurs sa rencontre avec ce dernier.  Baltazar de ce fait, ne chercha nullement à arrêter ces gémissements alors qu’il susurrait presque : «  … continue…..» tandis que son amant effectuait des mouvements de va-et-vient encore plus langoureux, forçant presque Baltazar a tiré sur sa chevelure. Baltazar avait terriblement chaud en cet instant, la température de son corps lui paraissait si haute. Rendre les armes au creux de ses lèvres l’enchanterait à vrai dire tant qu’il n’intima nullement à son amant de quitter son aine. Il sentait son entrejambe de plus en plus ferme et se rapprochant progressivement de cette fin qui l’amènerait à gémir et découvrir ce plaisir.
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMar 28 Oct - 17:29

Adam était un pervers. C’était une vérité qu’il ne niait nullement tant il avait conscience que son appétence et sa manière de vivre renvoyaient cette image. Il était loin d’être un enfant de chœur et avait une tendance perfide à dominer les gens. Cette façon d’être était due à son éducation, son enfance. En tant que fils unique d’un grand patron d’entreprise, asiatique notamment, il avait été éduqué pour contrôler et manipuler les personnes qui l’entouraient pour aboutir à ses fins. De ce fait, cette façon d’être faisait partie intégrale de sa psychologie et Adam l’assumait totalement. Même sous les traits de ce bel inconnu, il ne pouvait empêcher ses sombres desseins de s’exprimer. Il aimait la luxure, étant un maitre en la matière. Aucune de ses amantes ne s’était plainte d’une nuit passée dans ses draps et à l’occurrence, il en était de même pour le bel Hispanique, qu’il se plaisait à dévorer de sa bouche, de sa langue. Il le savait. Baltazar ne pouvait le camoufler tant sa chair se trouvait attirée par ses actions. Elle n’avait de cesse de frissonner, de chercher le contact avec ses commissures et sa virilité exprimait l’émoi dans lequel il se trouvait. C’était envoutant et désirable. Adam savourait l’état de fébrilité dans laquelle se trouvait son amant, le dévorant du regard tant il le trouvait particulièrement érotique. Cette vue l’excitait, il le savait, le sentait tant ses vêtements lui semblaient encombrant. Ce pouvoir qu’il avait sur ce corps était grisant et il profitait de la moindre expression, réaction de ce corps qui s’étendait sous ses yeux.

Il avait cruellement envie de le rendre fou. Il avait conscience du pouvoir que la luxure pouvait avoir sur les hommes, leurs esprits. Il envoutait le bel Hispanique en agissant de la sorte. Il avait bien remarqué que celui-ci semblait particulièrement sensible aux comportements dominateurs et il lui montrait parfaitement en se laissant aller de la sorte avec un parfait inconnu. Cela était d’autant plus intéressant pour l’Asiatique, qui prenait un profond plaisir à le soumettre à ses cupides desseins. La contenance de leur première rencontre n’était plus. Il ne cachait plus l’envie qu’il décuplait dans ses entrailles, en se montrant si réceptif à ses actions. Cela semblait particulièrement faire fondre cet homme qu’il sentait d’autant plus impatient et réclamé ses baisers, ses gâteries. Il le goutait avec lenteur et gourmandise. Il laissait sa langue parcourir cette colonne de chair pour entendre ce son mélodieux et érotique frôler ses oreilles. Il gémissait de plus en plus fort à chacun de ses passages furtifs, mais cuisants sur sa chair. Ce n’était plus qu’une question de secondes avant qu’il ne vienne le supplier de le prendre en bouche. Il se délectait d’avance de ceux-ci, vil pervers qu’il était. Cela l’amusait, un sourire narquois vint se figer sur ses lèvres alors que Baltazar lui avouait que c’était particulièrement agréable. Il le priait d’arrêter de le faire languir tant il n’attendait plus que ses lèvres sur son intimité. Que cette voix était érotique ! se lança-t-il à lui-même alors qu’il venait se mordiller la lèvre en le fixant, le regard lubrique.

Il adorait l’entendre s’abandonner de la sorte, qu’importe qu’il soit sous les traits de cet inconnu ou de sa réelle identité. À vrai dire, c’était encore plus grisant lorsqu’il était face à lui en tant qu’Adam Scott, quand bien même il était fort à parier qu’il ne lui ferait jamais une telle gâterie sous ses traits. Il adorait le dominer. C’était tellement exaltant d’avoir ce pouvoir lubrique sur cet homme qu’il s’était tant plu à se confronter durant des années. Inconsciemment, il le rendait fou pour gagner, se valoriser d’être celui qui lui fait perdre littéralement la tête et fasse ressortir sa réelle nature. Il voulait qu’il soit à sa merci et soit dépendant de son corps, comme s’il était une addition en face de laquelle il ne pouvait résister. Un cupide dessein qu’il avait pour ambition de réaliser alors qu’il venait embrasser de façon féline l’extrémité de cette intimité si fièrement érigée. Il sentait les doigts de l’Hispanique se mêler dans sa chevelure pour la tirer, l’intimer silencieusement de le prendre enfin. Il sentait ce désir cuisant dans l’échine de son compagnon de luxure et ses paroles vinrent appuyer ses pensées. Adam souriait glorieux et particulièrement pervers à cela, venant enfin répondre au désir de son amant. Il laissa ses commissures découvrir la saveur de cette intimité du bout de sa langue, l’enveloppant de sa sensualité et de sa passion. Il sentit cette virilité s’affermir à ce contact, victime d’un sursaut de plaisir qui s’exprima au travers du gémissement ô pénétrant de l’Hispanique. Il le sentait fondre littéralement à ce contact alors que ses phalanges venaient glisser sur ses cuisses pour rejoindre ses fesses, les malmener ambitieusement tout en continuant ses caresses coquines.

Il le dévorait entièrement et en merveilleuse victime, Baltazar se laissait consumer par cette chaleur sans cacher son plaisir. Une façon d’être bien différente de celle qu’il adoptait lorsqu’il le rendait fou sous les traits d’Adam, mais cela ne le dérangeait pas. Adam finirait un jour par avoir à sa merci cet homme dans cet état puissant de dépendance à ses lèvres et à son corps. Ce n’était juste qu’une question de temps. Baltazar s’exprimait sans gêne sur le plaisir qu’il lui donnait et il sentait cette intimité devenir plus ferme et fébrile sous ses lèvres. Il le pria de poursuivre, ses doigts s’agrippant dans sa chevelure pour l’obliger à le faire. Adam souriait endiablé, ravi de cet effet qu’il avait, mais il n’avait nulle envie de lui offrir cette plénitude si rapidement alors qu’il se trouvait lui-même cruellement à l’étroit dans son pantalon. De façon frustrante, il quitta son aine pour revenir à ses lèvres. Il l’embrassa sauvagement et passionnément pour faire taire le râle de frustration et de mécontentement de son amant. Ses lèvres dévorèrent celles de cet homme sans nulle gêne, laissant sa langue s’immiscer dans l’antre de ses comparses pour s’y mêler avec fougue. Un baiser résolument bestial qui saurait sans aucun doute faire revivre des sensations particulières à son compagnon.

De sa main libre, il vint se saisir de celle de Baltazar pour la conduire à son pantalon, l’invitant à découvrir la forme bombée de son intimité contre le tissu. Il sentait ses phalanges trembler à ce contact. Cela devait sans doute enivrer l’Hispanique, le glorifier également. Après tout, il était dans cet état à cause des actions qu’il menait à son attention. Il laissa cette main le découvrir, tandis qu’il venait s’éloigner de ses lèvres pour les porter contre sa joue, sa mâchoire, son oreille. Il la mordilla de nouveau, laissant son souffle brulant et humide éveiller les sens du bel Hispanique. Il le savait réceptif, parfaitement envouté par la forme qui se dessinait sous ses doigts. « Il serait dommage que tu sois le seul à profiter de tout cela, ne penses-tu pas, Baltazar ? J’avoue que tu me donnes particulièrement chaud. Tu es si érotique… » Il laissa sa langue taquiner le lobe de son oreille alors qu’il laissait sa main libre rejoindre sa nuque, glissant sur son bras jusqu’à son épaule dans un geste lent et sensuel. « Et si tu me montrais ce que tu sais faire, Baltazar ? » Susurra-t-il dans son oreille dans une voix ténébreuse et coquine alors qu’il ajoutait « J’ai bien envie de voir comment tu t’y prends… peut être que me caresser et me dévorer de tes lèvres, suffira à te faire atteindre l’extase ? » Une petite pique taquine alors qu’il venait glisser son autre menotte contre le membre de son amant. Celui-ci était si ferme et fébrile sous ses doigts qu’il n’avait aucun doute sur l’effet que ses mots auraient sur lui. Il vint rire malicieusement contre son oreille alors qu’il l’invitait à le dévêtir à son tour et à le dévorer de ses lèvres. Il ne réclamait rien, lui soumettait cette idée comme une avancée possible pour la suite. Il en avait bien d’autres en tête, mais il devait reconnaitre qu’être bénéficiaire de ses caresses n’était pas déplaisant. Bien au contraire.

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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyVen 7 Nov - 18:11

Baltazar savait bien évidemment qu’il n’aurait sans doute pas dû se laisser aller au contact de cet inconnu, tant sa position de futur directeur de l’entreprise familiale n’aurait jamais dû le laisser rentrer dans un tel engrenage. Il ignorait quelles seraient les conséquences d’une telle relation si un jour elle venait à être découverte. Sa famille avait pris soin d’organiser toute une cérémonie, une stratégie de marketing presque pour faire croire à leur milieu que Baltazar aimait résolument cette jeune femme qui était devenue son épouse. Sans aucun doute que cet inconnu pourrait se servir de Baltazar tant il se trouvait dans des positions très particulières lorsqu’ils se voyaient. Il pourrait même le faire chanter ! Mais, il ne lui semblait jamais avoir entendu le bruit d’une seule caméra à son plus grand soulagement. Cet homme cherchait juste à le connaître différemment, tels avaient été ses mots lorsqu’ils avaient commencé à faire connaissance via leurs messages. Cette relation avait rapidement dévié sur quelque chose de plus pervers pouvons-nous dire. Mais, cela ne dérangeait guère l’Hispanique qui se plaisait résolument dans cette relation, lui permettant de sortir de l’ordinaire, de chaque jour qu’il passait aux côtés de sa femme. Ils ne voyaient pas régulièrement à vrai dire, mais cela n’empêchait qu’il se voyait au moins une fois par semaine lors des repas de famille. Il lui arrivait bien évidemment d’avoir d’autres amants ou amantes, mais c’était cet inconnu qui avait réussi à gagner en quelque sorte son attention. Il savait que son plus grand défaut était en train de se développer au contact de cet homme tant dès lorsqu’il aimait une sensation, il en devenait rapidement accro. Un fait dont son inconnu ne devait pas se rendre compte, bien que les gémissements qu’il laissait échapper de ses lèvres fussent bien là pour le prouver. Son amant ne semblait pas se plaindre alors qu’il embrassait sa virilité avec attention, cette dernière s’affermissant à leur contact. Baltazar se laissait guider par chacune de ses sensations, appréciant les caresses sur ses fesses et ses cuisses. Baltazar était fébrile, il ne pouvait nullement essayer de le cacher d’une quelconque façon. Baltazar s’exprimait d’ailleurs à ce propos, lui intimant de poursuivre ses attentions, ses doigts se posant sur sa chevelure.

C'est pourquoi Baltazar ne put que laisser échapper un gémissement de frustration lorsqu’il quitta cette dernière pour venir rejoindre ces lèvres. Il ne put que raller, se sentant particulièrement frustré, envieux de ses lèvres plus bas. Néanmoins, cela ne l’empêcha nullement de répondre au baiser fougueux de son amant avec passion, laissant sa langue caresser avec envie celle de son amant. Un baiser presque bestial qui attisait ses sensations de bien-être. Un baiser qui lui rappelait quelque peu les baisers d’un autre amant, mais dont il préférait ne pas penser tant celui qu’il avait auprès de lui était un amant aussi doué. Il se laissa totalement faire lorsque ce dernier vint se saisir de sa main pour la conduire jusqu’à son pantalon, l’invitant à découvrir cette forme bombée de son intimité. Un fait qui ne pouvait que le faire sourire, ravi de pouvoir sentir que son amant été tout autant cupide que lui. Sa main se fit d’humeur particulièrement taquine, n’hésitait pas à venir à le caresser à plusieurs reprises dans de mouvements de cercles pour attiser l’envie de son amant qui se trouvait déjà importante. Son amant ne restait pas non plus inactif, abandonnant ses lèvres désormais orphelines pour venir embrasser sa joue, sa mâchoire et son oreille qu’il mordilla, son souffle brûlant éveillait ces sens. Son amant lui avoua dans une voix sensuelle qu’il pensait qu’il serait dommage qu’il soit le seul à profiter de tout cela, avouant qu’il lui donnait particulièrement chaud, le trouvant si érotique. Des mots qui ne purent que le ravir véritablement alors qu’il laissait échapper un doux soupir sentant son amant laisser sa langue taquiner le lobe de son oreille. Sa main s’était glissée sur son bras jusqu’à atteindre son épaule. Sa voix se trouvait tout aussi sensuelle alors qu’il lui demandait de lui montrer ce qu’il savait faire, ayant envie de voir comment il s’y prenait, peut-être que le caresser et le dévorer de ses lèvres lui suffiraient à lui faire atteindre l’extase.

Une proposition que le jeune homme ne déclina nullement alors qu’il fermait les yeux, sentant son amant venir caresser cette aine qu’il avait délaissée quelques minutes auparavant. Ce geste vint accroitre sa sensibilité de l’amant frustré qu’il était, s’étant senti particulièrement abandonne alors qu’il avait été si proche de ressentir ces sensations de bien-être au paroxysme. Cela n’empêchait le jeune homme se sentait agréablement bien ainsi contre son corps. Le rire de son inconnu se trouvait particulièrement agréable à l’ouïe, sentant son corps réagir à chacun des mots qu’il lui murmurait. Il ne lui imposait nullement la suite des actions, il lui proposait seulement des avancées possibles. Des avancées qui étaient résolument plaisantes pour chacun d’entre eux. Ce fut alors avec un peu de maladresse qu’il vint inverser leur position, réussissant à faire tomber son amant sur le dos contre la serviette. Une situation quelque peu cocasse alors qu’il venait surplomber le corps de son amant qui se trouvait toujours plus grand que lui. Il laissa sa main tracer les muscles du torse de son amant avant de les remplacer simplement par ses lèvres dans des mouvements légers et sensuels. Il mourrait d’envie de voir ce corps sous ses yeux, ne cessant de se rapporter aux photos qu’il avait reçu sur son téléphone. Il s’agissait d’un contact résolument plaisant alors qu’il descendait ses lèvres sur ses boutons de chairs. Des boutons de chairs qu’il s’amusa à taquiner autant qu’avait pu le faire ce dernier plusieurs minutes auparavant. Baltazar s’en amusait certainement, susurrant d’une voix suave : « Tu as un corps tout à fait désirable. Il est bien dommage que je ne puisse pas l’observer en ce jour…», se trouvant impatient de découvrir qui il était pour être la victime de ce corps.

À la fin de ses mots, il avait laissé sa langue taquiner le bouton de chair de son amant avec amusement, souhaitant entendre chacun des gémissements, lui fait découvrir toutes les sensations qui lui étaient bénéfiques. Au même instant il était venu de lui-même détacher la ceinture de son amant, s’amusant à laisser glisser contre sa chair ses doigts quelque peu coquins. Des doigts qui s’amusèrent à venir se glisser sous son boxer pour venir caresser ces si belles fesses tentatrices qui ne demandaient qu’à être cajolé ou bien dévoré par sa chair, bien que cela n’était pas exactement au programme. Cela ne l’empêcha pas de vouloir griffer quelque peu ces dernières fesses, alors qu’il venait embrasser avec plus de passion ses boutons de chair, avec plus de ferveur afin de lui transmettre sa passion. Pouvoir goûter de ses lèvres cet amant se trouvait résolument délicieux, ne cessant d’accentuer son désir pour sa personne. Il ne mit que peu de temps avant de venir ouvrir la braguette de son pantalon, venant faire glisser son pantalon aussi rapidement. Baltazar n’avait guère autant de patience que son amant, préférant aisément répondre à son désir de caresser ce corps nu qui l’attirait tant. L’air frais de l’été se faisait quelque peu sentir, mais cela n’était pas un problème, son corps se trouvait toujours chaud et si frustré de n’être plus la victime des attentions de son amant. À présent seulement vêtu d’un boxer, Baltazar vint glisser ses lèvres sur ses abdominaux, descendant progressivement jusqu’à atteindre son boxer qui ne devait nullement cacher le désir de son amant. Particulièrement gourmand, le jeune homme mourrait d’envie de laisser sa langue caresser cette zone si hétérogène de tout homme.

C’est pourquoi, pour venir taquiner son amant, sans prononcer une seule parole, il vint déposer ses lèvres sur son intimité à travers le tissu du boxer. Si son inconnu l’avait taquiné, Baltazar comptait évidemment faire de même, ne souhaitant pas être la seule victime de cette passion en ce jour. Ses mains vinrent s’immiscer sur les cuisses de son amant, s’amusant à les caresser, les cajoler alors qu’il continuait de l’embrasser. Entendre les doux gémissements de son inconnu était réellement agréable ! Cependant, il vint céder au fur et à mesure des minutes, venant descendre le boxer de son amant avec attention. Il laissa sa main venir caresser l’aine de son amant qu’il trouvait déjà si ferme entre ses doigts. Il effectua de légères caresses alors qu’il venait répondre à son plus grand dessein, laisser ses lèvres découvrir cette aine qui semblait déjà si ferme, si attisé par chacun des instants qu’ils passaient ensemble. Le gémissement de son amant ne put que confirmer son idée et son envie de le dévorer, sentant son cœur s’échauffer, se trouvant tout autant excité que son amant, son aine n’ayant pas perdu de sa rigueur, ni du désir qu’il éprouvait pour sa personne. Baltazar vint alors murmurer dans une voix suave, tout contre cette colonne de chair « Mm… est-ce que cela te convient ou il faudrait que je m’applique encore plus ?». Pour continuer à le taquiner avec gourmandise, il laissa sa langue venir caresser cette dernière, lapant le base de son aine jusqu’à atteindre le haut avec un ravissement certain. Il effectua à plusieurs reprises ces caresses buccales, laissant l’une de ses mains venir caresser l’intérieur de ses cuisses. Il comptait bien échauffer son inconnu en ce jour. Néanmoins, particulièrement curieux et intéressé, il vint enfin prendre entre ses lèvres la colonne de chair de son amant, s’amusant à effectuer des mouvements de va-et-vient, appréciant la texture de cette dernière, ayant envie de la dévorer et lui donner envie de poursuivre ces ébats de manière plus approfondie quelques minutes plus tard. Mais pour l’instant, il se contentait d’effectuer de délicieux mouvement de va et vient, susurrant d’une voix suave qu’il se retrouvait résolument ferme entre ces lèvres. Plusieurs minutes s’écoulèrent ainsi, Baltazar venant continuer son doux manège alors que ses mains caressait avec envie ce corps, ses cuisses, ces fesses, ses reins, tout ce qui lui était à portée et qui n’attisait que son bien-être. Il mourrait d’envie de ce corps, bien qu’il savait que ce n’était nullement en ce jour qu’il risquait d’avoir une quelconque position de dominant à ces côtés. Le souffle de son amant se faisait plus court, son corps exprimant en quelque sorte le fait qu’il était particulièrement en émoi, tout comme lui l’était. Il se rapprochait du paroxysme du plaisir à son plus grand enchantement.
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyDim 9 Nov - 22:10

Adam trouvait bien regrettable que Baltazar soit le seul à profiter de toute cette luxure. Après tout, il savait pertinemment que l’Hispanique appréciait résolument le caresser. Même si cette pensée n’était pas vérifiable pour sa personne en étant le bel inconnu de son rival, il pouvait l’appliquer pour Adam. Morales appréciait particulièrement le tenter pour le faire céder à ses pulsions, le désir qu’il provoquait en lui au travers de ses actions. Il avait envie de le voir en action, qu’il le tente et le séduise comme il savait si bien le faire en accoutumé. Il lui proposait qu’il lui montre ce qu’il savait faire, car il avait bien envie – du moins son inconnu – de voir comment il s’y prenait pour éveiller le désir de ses amants, en supposant que le caresser et le dévorer de ses lèvres suffirait à lui faire attendre l’extase. Il trouverait cela particulièrement grisant tant cela lui conférait un pouvoir très intéressant sur lui et non négligeable. Il riait doucement contre son oreille avec malice, curieux et impatient de connaitre sa réaction. Celle-ci ne tarda pas à se faire connaitre. Il semblait apprécier sa proposition, n’hésitant pas un instant à s’y soumettre alors qu’il le laissait prendre le contrôle. Du moins autant que ce bandage lui permettait de le faire. Dans un sourire vainqueur et résolument satisfait de le sentir impatient de lui rendre la pareille. Il vint donc prendre place à son tour sur la serviette, Baltazar venant se placer au-dessus de lui avec sensualité. Il était érotique à souhait tant et si bien qu’il se mordillait la lèvre inférieure en admirant cette vue en contre-plongée qu’il lui offrait. Son intimité était merveilleusement érigée par les caresses et baisers qu’il lui avait apportés. Cela était particulièrement excitant et son regard le perçait de son regard conquérant.  

« Tu es très érotique dans cette position. Tu me donnes cruellement envie de toi. Tu le sais ? » Un aveu soufflé dans une voix suave alors qu’il sentait la main de l’Hispanique glisser contre ses pectoraux avant de laisser ses lèvres prendre sa place. Dans cette action, Adam était venu placer ses mains derrière les cuisses de cet homme pour taquiner l’intérieur de ses cuisses. Il sentait sa chair brûlante, résolument troublé et enchanté par son contact. Ses lèvres étaient ambitieuses, embrassant sensuellement sa peau alors qu’il venait taquiner un de ses boutons de chair, son autre main s’occupa de son comparse. Adam souriait, résolument charmé et amusé par son action, la gourmandise avec laquelle il prenait soin de lui. C’était appréciable et délicieux et sa voix était enchanteresse comme les mots qu’il prononçait. Il le complimentait, lui signifiant qu’il était bien dommage qu’il ne puisse pas l’observer en ce jour. Riant doucement à cette phrase, il laissa sa poigne se renforcer sur l’arrière de ses cuisses pour rejoindre son fessier, le taquinant. « Si tu veux, je peux prendre une photo de mon corps après ton traitement et te l’envoyer… Je suis persuadé que cela saura éveiller tes sens à la suite de cette soirée… » Il avait susurré cela dans un ton suave, ajoutant dans un ton complice et résolument taquin. « Ainsi, je pourrais m’assurer que tu auras envie de me revoir… Bien que je n’en doute pas en vue du plaisir que tu prends en cet instant… » Il se mordillait la lèvre de nouveau, laissant sa langue glisser sur celle-ci pour étancher sa soif. Ses baisers brulaient sa chair, rendaient son souffle plus chaud. Loin d’être des gémissements, n’étant nullement très expressif sauf lorsqu’il était sur le point d’atteindre l’orgasme, il se plaisait néanmoins à laisser échapper des soupirs de plaisir. Cela semblait particulièrement enthousiasmer et émoustiller son compagnon de luxure.

Baltazar en poursuivant ses actions vint déboutonner sa ceinture, pour glisser ses mains à l’intérieur. Légèrement en appui sur ses bras, ses mains ayant arrêté leurs bienfaits, il l’observait faire, se délectant de cette ambition dont il faisait preuve. Il semblait tout aussi envouté de ses fesses qu’il ne l’était de celles-ci sous les traits d’Adam. Cela l’amusait grandement alors qu’il souriait sournoisement, néanmoins réceptif à cette appétence. Il le sentait de plus en plus gourmand et impatient. Il griffait ses cuisses et ses baisers se faisaient plus insistants sur ses boutons de chair. Il laissa une de ses mains glisser dans la chevelure de l’Hispanique, lui soufflant dans une voix sans doute érotique et sensuelle. « Tu m’excites, tu es doué… ça me plait. » Il le complimentait à son tour, conscient que cela allait résolument émoustiller son compagnon. Il le savait brulant de désir, son intimité ne manquant pas de lui rappeler au moindre regard qu’il lançait à cette dernière. Elle était si désirable, il le trouvait particulièrement exaltant. Il soupira plus fortement lorsqu’il sentit une des mains de l’Hispanique glisser contre son intimité en venant lui retirer son pantalon. Il se retrouva rapidement en boxer sous le regard aveugle de son compagnon qui ne pouvait admirer la vue qu’il lui offrait. Adam souriait, remarquant l’impatience du jeune homme à son égard. Les lèvres de Baltazar avaient abandonné ses pectoraux pour rejoindre ses abdominaux. Elles se faisaient plus gourmandes, plus pressantes encore tandis qu’il atteignait son boxer. D’humeur taquine et sans doute pour l’exciter, il sentit les commissures de cet homme s’abattre contre son intimité au travers du tissu. En position semi-assise, Adam le regardait faire particulièrement sensible et exalté par cette vision. Qu’il était désirable et excitant dans cette position ! Il se mordit les lèvres même si un soupir plus fort se fit connaitre malgré lui. Il faut dire que lui-même devenait cruellement gourmand. Il lui donnait chaud et cruellement envie de le prendre. Il souriait à cette pensée, sa langue s’abreuvant de l’humidité de ses propres commissures.

C’était délicieux et il savourait le contact de ses lèvres contre son intimité gourmande et impatiente. Il laissait ses doigts glisser dans sa chevelure avec sensualité, l’invitant muettement à poursuivre. Il sentait ce bien-être s’immiscer dans ses veines, brûler ses entrailles. Il soupirait simplement en murmurant le prénom de son camarade, conscient que cela l’excitait d’autant plus. Dans cette position, il lui était impossible d’apercevoir l’intimité de son amant, mais il pouvait sentir le souffle chaud et saccadé de celui-ci baigner le tissu de son sous-vêtement. Il joua de ses soupirs pour le tenter d’aller plus loin et obtint gain de cause puisqu’il le vit céder à son ambition, venant descendre son boxer pour libérer son intimité qui n’attendait que cela. Celle-ci se présenter fièrement au visage de son amant, sentant la main de ce dernier caresser sa forme comme pour s’assurer de l’effet qu’il provoquer en lui. Il ne put contenir un gémissement à cette vision tout comme au souffle brulant qui taquinait sa fierté. Il lui demandait si cela lui convenait ou il devait s’appliquer encore plus. Cette demande taquine le fit sourire avant que son corps ne soit traversé par un frisson exquis et perturbant qui enflammait le feu en lui. L’Hispanique avait laissé sa langue caresser sa fierté, lapant son intimité de bas en haut avec ambition. Il le sentait cruellement gourmand, terriblement érotique alors qu’il le dévorait de ses lèvres. Une action résolument cocasse et envoutante qu’il avait déjà expérimentée avec lui par le passé. Il se laissait faire envouté et captif à ses actions. Il n’essayait nullement de s’en dégager, profitant de ces commissures qui éveillaient ses sens, son désir.

« Tu es érotique, Baltazar… Tu me donnes chaud… » Susurra-t-il dans une voix suave alors qu’il venait agripper ses cheveux comme pour lui signifiait qu’il appréciait ses taquineries. Il se mordillait la lèvre, le souffle court, gémissant parfois par inadvertance. C’était délicieux et l’excitation de son compagnon n’avait de cesse de le rendre terriblement aguichant. Il avait envie de lui faire l’amour, le prendre sur cette plage pour lui faire atteindre l’extase. Seulement, il lui avait promis de lui faire connaitre cela par ses lèvres, ses doigts. C’est pour cela qu’il lui demanda d’arrêter, l’intimant à se relever, l’embrasser. Il laissa ses lèvres retrouver celle de son compagnon avec passion. Il l’embrassa avec sensualité tandis que ses mains glisser sur les fesses de cet homme avec ambition. Il les malaxa avec ambition, mais douceur. Ses lèvres quant à elles glissèrent contre sa joue, son oreille. « Je t’ai promis de te faire jouir par mes lèvres et mes caresses. Je suis un homme de parole alors laisse-toi faire, laisse-toi aller, tu es magnifique excité de la sorte. » Que de louanges qu’il pensait alors qu’il laissait sa bouche glisser sur sa nuque, suivre la ligne de sa clavicule, ses pectoraux, ses abdominaux. À califourchon au-dessus de lui, il laissa sa bouche retrouver sa fierté si tendue pour l’embrasser, la taquiner avec ambition. Il voulait jouer avec elle du bout de sa langue avant de l’emprisonner pour de bon, ses mains jouer avec son autre partie sensible pour la tourmenter, l’embrasait profondément. Tout cela n’avait qu’une seule ambition : lui faire atteindre ce moment de plénitude totale qu’il prenait grâce à lui et qui lui donnait cruellement chaud tant il était érotique. Cela saurait satisfaire son appétence. Il mourrait d’impatience d’y parvenir !
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Message(#) Sujet: Re: (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales  (fini+hot) tonight, I'll be your extasy | PV Baltazar Morales EmptyMer 12 Nov - 20:30

Baltazar se trouvait résolument coquin en ces instants, attiré et très gourmand du corps qui se trouvait sous le sien. Il n’avait nullement la chance de pouvoir l’observer, le dévorer du regard à son plus grand damne. Un fait qui ne pouvait attirer sa curiosité et son envie de découvrir l’identité de cet homme magnifique. Les minutes qui s’étaient écoulées depuis leur rencontre s’étaient toutes trouvées particulièrement délicieuses pour l’amant qu’il était, cet homme réussissant à le captiver malgré lui si aisément. Cela était résolument étrange pour lui qui découvrait aux côtés de cet homme une addiction particulière, alors que cela ne faisait que la deuxième fois qu’ils se rencontraient. Il lui semblait que son principal défaut apparaissait bien trop rapidement, l’emmenant à désirer ressentir bien plus de sensations à ces côtés.

Les mots prononcés par ce dernier ne lui permettaient nullement d’atténuer cette envie alors que ce dernier lui avouait qu’il était très érotique, lui donnant cruellement envie de lui. Chacun des mots qu’il prononçait n’arrivait qu’attiser ces envies, tout particulièrement alors que ce dernier s’amusait à laisser ces mains derrière ces cuisses, le taquinant. Baltazar n’avait pas pu s’empêcher de lui indiquer qu’il était dommage qu’il ne puisse pas le voir ainsi. Les mots de son amant ne l’avaient pas non plus laissé insensible, lui indiquant que s’il souhaitait, il pouvait prendre une photo de son corps après son traitement et lui envoyer, il était persuadé que cela saurait éveiller ses sens à la suite de cette soirée. Le ton suave de son amant n’avait pu qu’attiser sa curiosité et son intérêt, sachant ô combien cette idée aussi perverse était-elle ne pouvait que le ravir. Il lui avouait qu’ainsi, qu’il puisse s’assurer qu’il aurait envie de le revoir, bien qu’il n’en ait aucun doute en vue du plaisir qu’il prenait actuellement. Chacun de ses mots ne pouvait résolument qu’émoustiller son être, tant qu’il ne put que répondre dans un ton suave : « Aussi perverse que cette idée puisse être, j’avoue qu’elle me plait… je crois que tu m’as résolument perverti bel inconnu…

Baltazar s’appliquait à rendre fou cet homme, souhaitant lui faire ressentir toutes ses sensations ô combien exaltantes. Il espérait que cela lui plaisait, y mêlant sensualité et passion. S’amusant quelque peu à caresser ces fesses qui l’attiraient, les sentant particulièrement ferme et attirante. Sans aucun doute que s’il avait pu l’observer, il n’aurait pas quitté du regard ces dernières en homme pervers qu’il était. Ces mains avaient alors lâchement abandonné ces dernières pour les griffer avec attention. Un fait qui avait semblait plaire alors à son amant, sentant ces mains se glisser dans sa chevelure au même moment où il devenait plus insistant sur ses boutons de chairs. Les compliments que lui avait adressés son amant n’avaient pu que lui plaire, favorisant son propre égo alors qu’il lui indiquait qu’il l’excitait, le trouvant particulièrement doué. Il n’y avait sans aucun doute aucun autre compliment qui pouvait plaire à notre amant que celui-là. Baltazar ne pouvait résolument que s’en féliciter alors qu’il était venu répondre à son plus grand souhait, celui d’enfin enlever ses vêtements et gouter à cette aine qu’il devinait particulièrement tendu tout contre lui. Ses lèvres étaient venues se déposer sur le boxer de son amant, s’amusant à la découvrir et la taquinait, l’embrassant avec sensualité.

 Le comportement de son amant ne put que lui permettre de vouloir continuer alors qu’il sentait ces doigts sur sa chevelure l’invitait muettement à poursuivre. Chacun des soupirs exprimés par son amant ne pouvait qu’attiser son désir, sa passion pour le corps de cet homme qu’il avait véritablement envie de dévorer de ses lèvres. Au fur et à mesure des minutes, Baltazar vint l’embrasser plus passionnément, laissant ses lèvres se posaient sur son sous-vêtement avec attention et sensualité, jusqu’à qu’il sente cette dernière devenir de plus en plus ferme. Baltazar sourit doucement alors qu’il venait enfin abaisser ce dernier et découvrait l’aine de son amant, souhaitant encore et toujours entendre les soupirs de cet homme. Avec amusement et envie, il était venir caresser sa forme dans un léger mouvement comme pour s’assurer de l’effet qu’il provoquait en lui. Le gémissement de son amant ne put que le ravir, l’ayant emmené à lui demander alors si le traitement qu’il effectuait lui plaisait ou non, lui demandant s’il devait s’appliquer encore plus.

L’Hispanique n’avait nullement laissé le temps à son amant de réagir, ni d’indiquer quoique ce soit que déjà il avait laissé sa langue caresser sa fierté, lapant son intimité de bas en haut avec ambition. Il s’agissait sans aucun doute de l’une des meilleures gourmandises de ce monde ne cessait-il de penser alors qu’il s’appliquait à vouloir le rendre fou, s’amusant à le taquiner et l’embrassant, lapant cette chair avec une envie non dissimulée. Il aurait tant voulu pouvoir ouvrir les yeux et admirer l’état de dépravation dans lequel il se trouvait, l’idée de cette photo ne s’échappant pas véritablement de ces pensées aussi perverse fût-elle. Son inconnu lui avoua qu’il le trouvait particulièrement érotique, lui donnant particulièrement chaud. Entendre son prénom prononcer par son amant se trouvait toujours aussi plaisant ne cessait-il de penser alors qu’il continuer ses taquineries avec envie. Si l’objectif de leur rencontre était qu’il vienne rendre les armes avec ses lèvres et ses doigts, cela ne l’empêchait nullement de le réaliser à son tour sur son amant. Baltazar l’aurait souhaité en tout cas, étant si désireux de ce corps qui se trouvait sous ses yeux.

C’est pourquoi, il ne put que laisser échapper un léger soupir de mécontentement lorsque son amant vint lui demander d’arrêter, l’intimant à se relever et l’embrasser. Un ordre qu’il ne refusa nullement à obéir alors qu’il venait tout simplement se relever, laissant leurs corps s’épouser dans un doux soupir alors qu’il venait embrasser ce dernier dans un baiser passionné. Un baiser qui se voulait en même temps très sensuel, soupirant alors qu’il sentait les mains de son amant glisser sur ses fesses, les malaxant avec ambition. Ses lèvres quittèrent bien trop rapidement les siennes selon lui, bien que les mots de son amant murmurés contre son oreille se trouvent tout aussi délicieux. Il lui avouait à nouveau qu’il lui avait promis de le faire jour par ses lèvres et par ses caresses, il était un homme de parole. Il lui intima alors de se laisser aller, le trouvant magnifique ainsi excité. Des mots qui ne pouvaient résolument que le ravir, attisant son désir. Il ne chercha nullement à résister tant il venait d’exprimer son plus grand fantasme, son plus grand souhait : celui de venir entre les lèvres de cet homme.  

Telle une simple poupée gémissante entre ses doigts, le jeune homme vint fermer les yeux, soupirant alors qu’il sentait ces lèvres s’échouer sur sa nuque, suivant la ligne de sa clavicule, ses pectoraux et ses abdominaux. La sensualité que dégageait le jeune homme se trouvait résolument plaisante, bien trop à ses yeux pour qu’il ne puisse que se sentir plus désireux de cet homme. Tout particulièrement alors qu’il savait que quelques instants plus tard, il trouverait son amant plus bas, à embrasser cette zone ô combien sensible de tout homme. Son aine ne pouvait qu’être plus désireuse de ces lèvres, tant qu’il ne put que laisser ses lèvres extirper un gémissement alors que ce dernier venait embrasser son entrejambe. Si Baltazar l’avait taquiné un peu plus tôt, son amant ne semblait pas non plus s’en lasser, venant le taquiner avec toujours plus d’ambition. Sa langue résolument taquine l’amenait à connaitre à nouveau ses sensations ô combien enchanteresses. La température de son corps ne cessait d’augmenter ne cessait-il de se rendre compte, frissonnant au contact de ces doigts qui venaient taquiner l’entrée de cette zone qui l’emmènerait à connaitre de ces si agréables sensations. Son amant connaissait l’un de ses points faibles, il ne pouvait que s’en rendre compte à chaque instant un peu plus. Il lui semblait mourir de bienêtre aux côtés de cet amant, ne pouvant que se sentir agréablement bien ainsi. Ces mains étaient venues s’agripper sur la chevelure de son amant, lui intimant alors de continuer son traitement, son aine si ravie de sentir cette langue l’embrasser et l’embraser plus qu’il ne l’était déjà. Il y avait quelques minutes, il avait cru atteindre ce plaisir l’atteindre, mais son amant l’avait en quelque sorte empêché. À présent qu’il avait enfin l’opportunité de sentir chacune de ses sensations, il ne pouvait résolument pas se plaindre, quémandant encore plus d’attention de sa part, souhaitant l’atteindre. C’est pourquoi il vint presque supplier son amant ainsi : «Ne t’arrêtes pas surtout pas… tu es véritablement… doué et si désirable. »

Il ne sut exactement pendant combien de minutes s’écoulèrent ainsi, pendant qu’il continuait d’exprimer les bienfaits qu’il ressentait avec une envie non dissimulée. Le seul élément qu’il pouvait vraiment comprendre, c’était que le feu dans ses reins ne cessait pas de s’accroitre. Il se sentait de plus en plus fébrile, particulièrement alors que son amant venait taquiner de plus en plus cette zone particulièrement sensible. En faible amant qu’il était, il ne cessait de lui demander d’augmenter sa cadence, mourant presque de plaisir. Tant qu’il défaillit naturellement au bout de plusieurs minutes, rendant les armes au bout d’un certain temps, se sentant particulièrement faible tout contre sa chair. Il avait émis un énième gémissement, se tendant tout contre la serviette. Une fin qui dut plaire particulièrement à son amant qui n’opposa aucune résistance lorsque celui-ci vint vouloir prolonger le contact de leur chair. Cruellement cupide, il fut sans doute le premier à réclamer son amant, souhaitant connaitre à nouveau le plaisir qu’il avait pu lui transmettre quelques semaines auparavant. Un amant qui ne bouda pas non plus son plaisir, lui laissant alors de merveilleux souvenirs qu’il ne pouvait résolument pas oublier avec le temps. Ces sensations se trouvaient bien trop bénéfique pour qu’il ne vienne ne serait-ce qu’un jour oublier ces dernières, attisant son désir de découvrir de nouvelles sensations aux côtés de cet amant, si curieux de découvrir un jour son identité. Un fait qui pourrait le troubler, mais qui ne pourrait qu’attiser son envie pour cet homme. Un jour il découvrirait son identité, il saurait qui est cet homme qui l’emmenait à sortir des sentiers battus, à être toujours plus pervers et cupide à ces côtés. Il découvrait une autre façade de sa personne qu’il ne connaissait pas encore, à sa plus grande surprise, bien loin de sa droiture habituelle.   Néanmoins, il ne s’en plaignait, se plaisant dans cette dernière.
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