| (#) Sujet: (M/LIBRE) JONATHAN RHYS MEYERS Lun 12 Mai - 11:45 | |
| Reyes p² MillerNous sommes tous brisés. Que ce soit à cause de quelqu’un ou juste de soi-même, nous sommes tous brisés, et la seule façon de se réparer, c’est de recoller les morceaux, petit-à-petit, en prenant son temps et en faisant une pause quand ça devient trop dur.PRÉNOM(S) ET NOM: Reyes p² Miller (négociable sauf premier prénom) ÂGE: de 28 à 30 ans. NATIONALITÉ: Canadienne. ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle. STATUT CIVIL: Célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: PDG d'une multinationale en pleine expansion dont le bureau se trouve à New York. Etudes au choix. SITUATION FINANCIÈRE: Riche. AVATAR: Jonathan Rhys Meyers (non-négociable). CRÉDIT: tumblr. ~ DESCRIPTION DU PERSONNAGE.
Reyes est quelqu'un de très difficile à cerner. Faire semblant, masquer ses émotions, cela fait partie de sa vie depuis toujours. Il aime jouer, séduire, être séduit, mais la plupart du temps ça ne va pas plus loin. Il est très possessif, envers tout ce qui lui appartient ou ce qu'il croit détenir, car la notion de propriété est très importante dans sa famille. Naturellement, la jalousie suit quand on a pas quelque chose que l'autre a. Très impulsif en-dehors du travail, Reyes ne prend pas garde aux conséquences et fonce souvent tête baissée. Il paraît égoïste et prétentieux mais quand on apprend à mieux le connaître (s'il nous laisse essayer), on se rend compte que ce ne sont que des apparences. Ce masque de mauvais garçon arrogant cache toutefois une grosse tendance à l'autodestruction. En effet, il ne connaît pas beaucoup d'autres choses que ça, ayant perdu ses parents alors qu'il n'était encore qu'un jeune enfant, toutefois assez âgé pour s'en être souvenu et en avoir souffert. Durant les longues années de son deuil, où il fut pris en charge par ses grand-parents, il n'était habité que par la colère et celle-ci se manifestait de façon très simple : il ne fallait pas provoquer cet adolescent solitaire qui se retenait de frapper tout ce qui se trouvait à sa portée. Les bagarres s'enchaînaient, défouloir à sa colère, et peu à peu celle-ci se calma. Dans sa vie, il n'eut qu'un seul et véritable ami, qu'il délaissa hélas en même temps que Victoria, la femme qu'il était parvenu à aimer. Reyes aurait pu éviter toutes ces erreurs, toute cette colère, si le travail n'était pas passé avant tout, même la famille, chez les Miller. En effet, il y avait peu de place, ou même pas du tout, pour l'affection et l'amour. C'était déjà ainsi avec son père, mais sa mère lui donnait tout son amour et sa tendresse. C'est elle qu'il pleure le plus. Hélas, il ne se rend pas compte qu'il a été influencé par cette obsession du travail et cette presque totale indifférence à tout le reste. Ce n'est pas que ses sentiments ne sont pas sincères ; ils le sont, c'est juste qu'il ne prend pas la peine de les entretenir. Un an avant son départ pour New York, il fit la rencontre de Victoria Beaufort, et contre toute attente, ils tombèrent amoureux. Au début, ce fut juste un jeu de séduction ; ils se tournaient autour sans jamais se toucher, mais l'attraction eut raison d'eux. Reyes peine encore à saisir la portée de ses sentiments envers la jeune femme, et comme son grand-père l'a fait avec sa grand-mère, il a fait passer la travail avant elle en croyant naïvement qu'elle l'attendrait alors qu'il gravissait les échelons de l'entreprise et consolidait ses positions pour pouvoir gérer la multinationale depuis White Oak Station. Sauf exceptions (dans des cas majeurs, un déplacement serait nécessaire), il pourrait y vivre. Victoria l'aurait certainement suivi à NYC si elle n'avait pas été retenue par l'Alzheimer de sa mère. Mais son départ aurait été une erreur car Reyes ne lui aurait pas accordé la moindre attention, trop obnubilé par un travail qu'il est trop riche pour en avoir réellement besoin. Certains dépendent de la cocaïne, de l'héroïne, Reyes a pour drogue son travail. Reyes est tant bien que mal parvenu à réparer quelque peu son cœur en miettes et à atténuer sa colère, grâce à Victoria et à son ami. Mais il lui reste énormément de chemin à faire ; tout d'abord, admettre qu'il a un problème (c'est quelqu'un de très têtu et fier qui déteste avoir tort) et tenter de le résoudre. Il lui faut abandonner son addiction pour le travail, et il a aussi beaucoup de choses à se faire pardonner. Mais il est difficile pour un homme en grand manque d'affection (seulement consolé par quelques femmes, et encore, à New York il n'en toucha pas une seule, obsédé par le travail) qui pour garder une relation stable et durable est comme un enfant essayant de se mettre debout. Aussi, il n'a pas complètement dépassé sa colère, qui le rend instable et imprévisible, autre obstacle aux relations saines. Il pense toujours à Victoria et sait qu'il l'aime, mais il ne retournera à White Oak Station qu'après avoir fait le nécessaire pour son entreprise. Il ignore que l’accueil ne sera pas du tout comme il le pense. ~ LIEN AVEC VICTORIA C. BEAUFORTVictoria est une personne qui a tendance à ne vouloir voir que le bien chez les autres ; c'est ce qui plait énormément à Reyes. Il n'ignore pas qu'il a plus de part d'ombre qu'autre chose, mais la jeune femme a réussi à le faire se rendre compte de ses qualités et à les mettre en valeur. C'est une personne qui accorde énormément d'attention aux sentiments d'autrui, et parfois elle en oublie les siens. Peut-être a-t-elle voulu avoir une relation quelque peu idyllique (car la vie est assez cruelle envers elle) et a ignoré ce qu'elle aurait dû voir. Les gros problèmes de Reyes n'ont pas pu être pris en charge à cause de ce désir incontrôlé de bonheur, de perfection et de facilité. Il est difficile pour deux personnes brisées de tenter de se réparer mutuellement, surtout si lesdites personnes sont plus bornées qu'un troupeau de mules. Reyes ne s'attendait pas à ressentir quoique ce soit pour la jeune femme, qui n'est pas son genre habituel, mais pourtant il a fait d'immenses efforts pour pouvoir préserver ce qu'ils avaient. Toutefois, quand il a entendu parler de devenir PDG d'une multinationale, tout a changé et il est retourné à ses vieilles habitudes. Reyes se doute maintenant qu'il a commis une erreur, car depuis son départ il n'a aucune nouvelle de Victoria. Mais il est déterminé à revenir auprès d'elle et à retrouver leur relation d'autrefois, qui lui paraissait la chose la plus saine qu'il ait jamais vécue. Néanmoins cela a changé ; Victoria lui nourrit énormément de rancune et le pire, c'est qu'il l'ignore. ~ LIEN AVEC JONATHAN (scénario)Reyes n'est pas doué pour se faire des amis, mais quand il s'agit du meilleur ami de la femme qu'il aime, il a tendance à se montrer plus que possessif. Il se doute que Jonathan ressent plus que de l'amitié envers Victoria, mais contrairement à Nikki et Jonathan, il ignore que celle-ci partage ces sentiments sans s'en rendre compte. Reyes a immédiatement été très jaloux de la relation qu'ont Victoria et Jonathan ; cette façon de communiquer sans même ouvrir la bouche, cette connivence et cette complicité, c'est une chose qu'il a toujours voulue sans réussir à se l'avouer. Autant dire que les relations entre les deux hommes n'étaient pas du tout amicales. Néanmoins, Reyes tenta de faire des efforts et de mettre sa jalousie et sa possessivité de côté ; autant dire que ce ne fut pas une mince affaire, et d'ailleurs ces efforts furent inutiles car la relation qu'il avait avec Victoria éloigna Jonathan de cette dernière. Reyes ne nie pas que cela l'a quelque peu réjoui, mais il aurait préféré souffrir de la présence constante du jeune homme plutôt que de voir ce manque et cette nostalgie dans les yeux de Victoria. ~ LIEN AVEC NIKKI DAWSON (scénario)Veronique, comme il se plaît à l'appeler simplement pour l'énerver, est tout-à-fait le genre de Reyes ; certes semblable à Victoria, mais bien plus explosive et sans retenue que celle-ci. Grande sœur adoptive de Victoria, Veronique ne vit que pour la fête et le sexe, même si cela cache une grande profondeur et une bonté d'âme inébranlables ainsi qu'une attitude aimante et protectrice envers Victoria. Ils auraient pu s'entendre car Reyes ne voit aucune menace dans la relation qu'ont des sœurs, adoptives ou non, mas cette fois c'est Veronique qui s'est montrée hargneuse. Pour une raison qu'il ignore, la jeune femme a tout de suite semblé détester Reyes. Il a l'impression qu'elle se doute de quelque chose à son sujet, mais n'arrive pas à mettre la main dessus. Veronique est une personne réaliste et voit tous les bons et mauvais côtés des gens ; elle flaire les mauvais de Reyes et cela l'effraie et l'intimide. Ainsi, les relations entre eux ne sont que pure politesse et distance, et cela leur convient parfaitement. Mais à présent qu'il a fait souffrir sa sœur adorée, Veronique risque de montrer les crocs la prochaine qu'ils se verront...
Dernière édition par Victoria C. Beaufort le Mer 14 Mai - 19:08, édité 3 fois |
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| (#) Sujet: Re: (M/LIBRE) JONATHAN RHYS MEYERS Lun 12 Mai - 11:46 | |
| Avoue que tu as envie de le prendre **C'est sûr que t'as envie Bonjour/bonsoir Tout d’abord, merci d’avoir lu mon scénario, en espérant qu’il te plaise à tel point que tu ne peux pas t'empêcher de le prendre . J’ai toutefois des exigences et il te faut savoir certaines choses à propos de ce cher Reyes. J’ai laissé des libertés pour ce personnage, mais pas partout ; L’avatar est non-négociable, parce que JRM quoi Mais i vous ne pouvez vraiment pas le supporter ( impossible !), je suis prête à faire quelques concessions Mais avouez que l'avatar correspond parfaitement au personnage, sous tous ses aspects Le pseudo est libre, mais Reyes ne change pas, ce sera toujours son prénom (ou son premier prénom si vous voulez en mettre d'autres). J'ai mis Miller parce que je ne suis pas douée en noms de famille et donc vous pouvez trouver autre-chose L’histoire est non négociable mais a des trous, alors vous pouvez les combler de la façon que vous souhaitez en restant cohérent. Les liens sont non négociables, c'est très important, mais si vous voyez matière à développer, ne vous gênez surtout pas Les RP & la présence… ha ! N’ayez pas peur ! Je demande juste un minimum d’une connexion par semaine, sauf exceptions, et au moins un post RP tous les dix jours. Vous voyez, je ne suis pas si exigeante que ça ? Je demande aussi une orthographe correcte (si vous faites aussi rarement de fautes que moi, alors là je vous aime déjà à en crever ! mais bon, personne n’est parfait alors je vous en voudrais pas si vous n’êtes pas l’incarnation de mes rêves les plus fous ), un minimum de maturité (comme partout, quoi). Et surtout, même si en prenant mon scénario ça me fait vous aimer à la folie, je vous aimerais beaucoup moins si vous décidez de déserter et de m’abandonner (naan maman, c’est pas des menaces ). Des questions ? Harcelez-moiii ! Je vous assure ça me dérange pas du tout Je me ferais un plaisir de vous aider. Et si vous prenez mon scéna, alors là... Je serais au septième ciel :mdr:Et comptez bien sur ma reconnaissance éternelle... Enfin, faudra aussi me supporter ! |
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