"I should bought you flowers." - Cocaïne

   ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE?
Elle est définitivement heureuse que cette période soit terminée. Cocaïne détestait les cours, le lycée, les gens qui y étaient et la mentalité des pauvres petites pom-pom girl qui se pavanaient dans les couloirs. Elle avait toujours tendance à se bagarrer, à rester avec les garçons, mais pas les footballeurs, non euh, étaient juste des petits chiens suivant leur maître : leurs copines. Non, Blondie restait avec les grands, les gens qui redoublaient, qui séchaient les cours, qui fumaient, buvaient, provoquaient les professeurs et j'en passe. Elle était chez les rebelles et donc forcément on la voyait d'un mauvais œil, la petite trouble-fête, la petite hermite, la nul, la moche. Après, c'est sûr que si on l'insultait on se prenait une bonne tarte à la figure. Souvent c'était elle et ses amies qui commençaient les batailles de nourritures dans la cantine où qui lançaient des boules de papier sur les professeurs. En gros, les losers populaires du lycée l'exaspérait au plus haut point, mais elle en a profité de ses années dolescentes auprès de supers bons potes.. A l'époque, elle est sa mère s'entendait encore à peu près bien. Cocaïne n'avait pas encore compris qu'elle était la progéniture de deux pourritures et qu'elle devait s'occuper seule, d'elle-même sans aide des autres. A part ça, elle avait des notes.. plutôt mauvaise, c'était une cancre et elle aimait bien crier haut et fort que les études la faisaient littéralement chi*r, de totue façon pour gagner de l'argent, vaut mieux ne pas faire quelque chose de réglo, dit-elle si souvent.

   ~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT?
Cocaïne ne sait pas vraiment ce qu'est le bonheur, elle a toujours vécut avec des boulets, alors lorsqu'elle s'en ait débarassé bien sûr qu'elle se sentait mieux... Elle n'a jmais pleuré son malheur sachant qu'il y avait toujours pire qu'elle, donc au fond elle le vivait le bonheur et elle était heureuse à sa façon. Faire des conneries, rire, s'amuser, c'était un peu son truc à elle, alors obligatoirement il n'y avait rien de malheureux dans sa vie d'avant et ni de maintenant d'ailleurs. Elle est serveuse dans un bar, elle a juste ce qu'il lui faut, un petit studio, un frigo presque pas remplit, un skate, un piano et l'affaire est dans le sac. Présentement elle a toujours des nouvelles de ses anciens amis, qui sont d'ailleurs toujours sa bande actuelle, ils seront toujours là pour s'entraider et c'est là que l'on voit que les gamins de quartiers difficiles sont solidaires. Blondie, n'a plus aucune nouvelles de sa mère, elle aurait pu faire une overdose que sa fille ne le saurait pas. Elle s'est disputée avec elle à la fin de sa terminale et depuis c'est la fin. Cocaïne ne veut plus rien à voir avec la femme qui lui ordonnait de l'appeller maman. La blonde la déteste, elle hait aussi son père, elle ne le connait pas, mais rien que d'y penser lui donne la chair de poule. Quels connards. En gros, elle est heureuse en étant malheureuse. Sans réels parents, mais avec des amis fidèles on peut survivre après tout. Bon, après après amitié, il y a amour, mais ça c'est une autre .. histoire.

   ~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS?
Cocaïne rêve de devenir mannequin. Elle a beau dire que la mode est superficielle, mais ce travail lui plairait réellement, elle se verrait bien travailler avec la pression, de grands stylistes et un boulot qui lui rapporte vraiment des sous. Elle ne se verrait pas à la tête d'un grand magazine, mais aurait bien voulut débuter dans le boulot, mais elle ne sait pas vraiment commen s'y prendre et c'est sûrement aps de le bar où elle travaille que quelqu'un la remarquera. M'enfin bon, du côté cœur comment elle se verrait ? Avec le garçon qu'elle aime déjà depuis toujours, peut-être pas dans une grande maison, mais juste qu'ils vivent ensemble ; pour de vrai, l'amour fou, passionel à jamais. Elle est naïve pour ça, pour lui, pour leur histoire, qui part toujours en cacahuète aux moindres remarques de l'autre. Puis peut-on appeler ça une relation ou un couple ? Non pas vraiment. Mais Blondie aime rêver, surtout de lui, alors à quoi bon savoir s'ils sont ensembles ou pas ? En tout cas, la seule chose dont elle est sûre, c'est que dans dix ans, elle ne sera sûrement pas enceibnte ou n'aura pas d'enfants. Elle a eu une enfance, désolé de la vulgarité, vraiment merdique. Des parents irresponsables, toxicos, enfin tout ce qu'il ne faut pas, et Cocaïne a souffert de ça, elle a beaucoup pleuré et elle ne veut jamais faire de peine à un enfant à nouveau, jamais devoir faire subir ça à son propre enfant. Alors pour le moment niet.

PRÉNOM ET/OU PSEUDO: lolipopette. ÂGE: 16 ans LOCALISATION: France. PRÉSENCE: 5/7 COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Top site AUTRE CHOSE À AJOUTER? c'est mon premier forum city, alors soiyez gentil *-*

Yeux dans les yeux. Mains dans les mains, ils s'en allèrent vers la plage où ils allaient faire la pire erreur de leur vie. Procréer. Un couple sans réel avenir, deux hippies, perdus au milieu de nul part, défoncés, croyant être fous amoureux alors qu'au fond aucun des deux n'osent voir la réalité en face : ils vivent pauvrement, sans amour, sans rien, ils ont besoin l'un de l'autre pour se détruire, se pourir la vie et faire quelque chose d'horrible. Voilà. Portrait parfait. La naissance de Cocaïne, la misérable vie de ses deux parents, vivant au gré du vent, sans un sous en poche et pourtant il gardèrent l'enfant, trouvant ça magnique d'avoir fait quelque chose, d'avoir donner naissance à un nouvel humain. Idiotie, hypocrisie. Et pourtant, leur fierté de garcer cet enfant perdura, jusqu'à ce que lui, l'homme, celui qui est censé porter la ceinture du courage s'en aille, laissant là la femme. Seule, perdue, triste le cœur brisé elle s'en alla vers sa ville où elle vivait lorsqu'elle était encore qu'une enfant : White Oak Station. Petite ville au Canada, endroit qu'elle n'avait longtemps plus vu, l'endroit où elle avait quitté ses parents. A cause de la drogue elle avait tout perdu, tout, l'amour, ses parents, ses amies, sa ville, sa maison, sa dignité et surtout sa liberté. Il était trop tard pour laisser avorter l'enfant. La jeune femme décida donc de toquer à la porte de ses parents, les larmes aux yeux, se rendant compte de toutes ses erreurs.. Ils l'accueillirent mort de trouille, mais au fond rien n'était comme avant. Ils lui trouvèrent un petit apartement, de quoi nourrir et élever le bébé et le tour était joué, il était temps que l'enfant sorte de là, qu'il montre à quel point il avait été créé sur un coup de tête et non par de l'amour pur et simple de parents aimant, donnant tout pour leur bébé, leur progéniture. Non, là c'était tout le contraire. Quelques jours plus tard. Blonde, yeux presque fermés, elle sortit de l'hopital. La petite créature, encore inconsciente, jeune , naïve, calme. C'était une fille. La jeune femme qui se valait être la mère dit à haute voix « Je la nomme Cocaïne. Et Roan. Le prénom de son père. » Quel début. Prénom mélangé à la drogue et à un sale type qui a abandonné sa famille. Vive la vie.

Yeux dans les yeux. Mains dans les mains, ils s'en allèrent vers la plage où ils allaient faire la pire erreur de leur vie. Procréer. Un couple sans réel avenir, deux hippies, perdus au milieu de nul part, défoncés, croyant être fous amoureux alors qu'au fond aucun des deux n'osent voir la réalité en face : ils vivent pauvrement, sans amour, sans rien, ils ont besoin l'un de l'autre pour se détruire, se pourir la vie et faire quelque chose d'horrible. Voilà. Portrait parfait. La naissance de Cocaïne, la misérable vie de ses deux parents, vivant au gré du vent, sans un sous en poche et pourtant il gardèrent l'enfant, trouvant ça magnique d'avoir fait quelque chose, d'avoir donner naissance à un nouvel humain. Idiotie, hypocrisie. Et pourtant, leur fierté de garcer cet enfant perdura, jusqu'à ce que lui, l'homme, celui qui est censé porter la ceinture du courage s'en aille, laissant là la femme. Seule, perdue, triste le cœur brisé elle s'en alla vers sa ville où elle vivait lorsqu'elle était encore qu'une enfant : White Oak Station. Petite ville au Canada, endroit qu'elle n'avait longtemps plus vu, l'endroit où elle avait quitté ses parents. A cause de la drogue elle avait tout perdu, tout, l'amour, ses parents, ses amies, sa ville, sa maison, sa dignité et surtout sa liberté. Il était trop tard pour laisser avorter l'enfant. La jeune femme décida donc de toquer à la porte de ses parents, les larmes aux yeux, se rendant compte de toutes ses erreurs.. Ils l'accueillirent mort de trouille, mais au fond rien n'était comme avant. Ils lui trouvèrent un petit apartement, de quoi nourrir et élever le bébé et le tour était joué, il était temps que l'enfant sorte de là, qu'il montre à quel point il avait été créé sur un coup de tête et non par de l'amour pur et simple de parents aimant, donnant tout pour leur bébé, leur progéniture. Non, là c'était tout le contraire. Quelques jours plus tard. Blonde, yeux presque fermés, elle sortit de l'hopital. La petite créature, encore inconsciente, jeune , naïve, calme. C'était une fille. La jeune femme qui se valait être la mère dit à haute voix « Je la nomme Cocaïne. Et Roan. Le prénom de son père. » Quel début. Prénom mélangé à la drogue et à un sale type qui a abandonné sa famille. Vive la vie.

Yeux dans les yeux. Mains dans les mains, ils s'en allèrent vers la plage où ils allaient faire la pire erreur de leur vie. Procréer. Un couple sans réel avenir, deux hippies, perdus au milieu de nul part, défoncés, croyant être fous amoureux alors qu'au fond aucun des deux n'osent voir la réalité en face : ils vivent pauvrement, sans amour, sans rien, ils ont besoin l'un de l'autre pour se détruire, se pourir la vie et faire quelque chose d'horrible. Voilà. Portrait parfait. La naissance de Cocaïne, la misérable vie de ses deux parents, vivant au gré du vent, sans un sous en poche et pourtant il gardèrent l'enfant, trouvant ça magnique d'avoir fait quelque chose, d'avoir donner naissance à un nouvel humain. Idiotie, hypocrisie. Et pourtant, leur fierté de garcer cet enfant perdura, jusqu'à ce que lui, l'homme, celui qui est censé porter la ceinture du courage s'en aille, laissant là la femme. Seule, perdue, triste le cœur brisé elle s'en alla vers sa ville où elle vivait lorsqu'elle était encore qu'une enfant : White Oak Station. Petite ville au Canada, endroit qu'elle n'avait longtemps plus vu, l'endroit où elle avait quitté ses parents. A cause de la drogue elle avait tout perdu, tout, l'amour, ses parents, ses amies, sa ville, sa maison, sa dignité et surtout sa liberté. Il était trop tard pour laisser avorter l'enfant. La jeune femme décida donc de toquer à la porte de ses parents, les larmes aux yeux, se rendant compte de toutes ses erreurs.. Ils l'accueillirent mort de trouille, mais au fond rien n'était comme avant. Ils lui trouvèrent un petit apartement, de quoi nourrir et élever le bébé et le tour était joué, il était temps que l'enfant sorte de là, qu'il montre à quel point il avait été créé sur un coup de tête et non par de l'amour pur et simple de parents aimant, donnant tout pour leur bébé, leur progéniture. Non, là c'était tout le contraire. Quelques jours plus tard. Blonde, yeux presque fermés, elle sortit de l'hopital. La petite créature, encore inconsciente, jeune , naïve, calme. C'était une fille. La jeune femme qui se valait être la mère dit à haute voix « Je la nomme Cocaïne. Et Roan. Le prénom de son père. » Quel début. Prénom mélangé à la drogue et à un sale type qui a abandonné sa famille. Vive la vie.

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