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| c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin | |
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| (#) Sujet: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 13:51 | |
| leon augustin mooreit's strange what desire will make foolish people doPRÉNOM(S) ET NOM: Augustin. Ca choque parfois la première fois qu'on l'entend, parce que bien évidemment, c'est le seul môme du coin à avoir un prénom aussi atypique. On remercie donc maman et sa passion assez étrange pour tout ce qui touche au français, allant même jusqu'à lui donner un prénom à la sonorité assez étrange pour les gens d'ici. Heureusement qu'il peut compter sur son deuxième prénom, Leon, pour rattraper la situation. Quand à Moore, ce nom de famille est heureusement assez répandu pour faire oublier tout l'exotisme de son prénom. SURNOMS: En général, on se contente de l'appeler 'Moore', mais lorsque l'un des officiers se sent d'humeur taquine, le deuxième prénom du jeune homme passe de 'Leon' à 'Lion', ce qui a pour habitude de faire doucement sourire le jeune homme. ÂGE: Vingt-trois ans.NATIONALITÉ: Canadien. ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuel. STATUT CIVIL: Célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: Soldat dans l'armée de terre. SITUATION FINANCIÈRE: Pas vraiment l'occasion de regarder souvent sa fiche de paye, mais il y a à boire et à manger tout les jours. AVATAR: Max Irons CRÉDIT: TUMBLR. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? C’était la belle époque. Celle ou l’hiver avait des goûts de chocolat chaud et l’été de limonade fraîche. J’étais un garçon pas encore tellement différent des autres, peut-être un peu trop grand et un peu trop échaudé pour pouvoir plaire au fille de mon âge. Les travaux à la ferme de mes grands-parents avaient rendu mon teint couleur miel depuis maintenant des années et la peau de mes mains étaient devenues rugueuses sous les lourds outils, mes épaules s’étaient élargies à force de porter les lourdes poutres de bois. Je devenais un homme un peu tout les jours, sans véritablement m’en rendre compte. Et tant pis si je n’étais pas ce garçon bien en vue, que je me rendais encore en cours dans cet espèce de camionnette ou le chauffage n’était même pas fichu de fonctionner en hiver. J’avais eu mon permis dès que l’âge m’en avait permis. L’école était à une poignée de kilomètre de chez moi, alors vous pensez-bien qu’un quatre roue à définitivement changé ma vie. Ca me permettait de perdre moins de temps dans les trajets et de passer plus de temps à m’appliquer à mes cours ; j’étais pas trop mauvais, sans être pour autant le meilleur. J’ai toujours eu cette faculté de comprendre vite les choses, mais d’être trop distrait et dissipé pour pouvoir les reconnaître. Je savais bien que mes parents avaient pas assez d’argent pour m’envoyer dans une université bien comme il faut, alors je bossais quand même sur mon dossier, au cas ou. Au cas ou j’aurais voulu faire quelque chose de bien de ma vie. J’étais pas un gamin intéressé par beaucoup de choses, ça faisait souvent sourire Azel d’ailleurs. Elle rentrait souvent avec moi, en tapant toujours ses godasses sur le tableau de bord. J’ai beau lui rabâcher les oreilles dans toutes les langues et sur tout les tons, elle m’écoute pas. Ou alors, elle fait semblant de pas m’écouter, j’ai jamais vraiment réussi à trouver la réponse. Il m’arrivait souvent en été de m’arrêter sur le bord des champs ou on allait courir en étant gamin, parce qu’il y a toujours une odeur particulière qui s’en dégage. Le chant des criquets, la chaleur qui monte, le bruit du vent qui souffle, c’est la mélodie de notre enfance, de nos vieilles bicyclettes rouillées dans un coin du jardin, de nos godasses pétées d’avoir trop couru, de nos coeur trop fragiles. On était que des mômes, qu’est-ce qu’on y connaissait à la vie ? J’en savais encore rien que dans quelques mois à peine, je verrais des hommes tomber devant moi ; des frères, des amis, des gens qui m’arrachent un bout de moi-même, pendant que quelque part, je sombre aussi. Azel est même plus là pour le voir. Elle se serait bien foutu de moi, avec son espèce de demi-sourire. Ouais, je la connaîs. J’ai vu son visage grandir, ses traits de poupées se transformer en ceux d’une femme. C’est un peu avec elle que je suis devenu un homme. C’est une part des senteurs de bonheur de ma petite enfance.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? J’aimerais bien être heureux. J’ai jamais été le genre de personne à me poser beaucoup de question, même si je sais que de temps en temps ça pourrait m’aider dans la vie d’adopter un tel comportement. Faut pas chercher, dès que j’ai le choix entre deux choses, je prends systématiquement la mauvaise solution. Celle qui me fera souffrir, ou alors celle qui fera souffrir des gens que j’aime. Il suffit de voir ou est ma plus belle réussite ; l’armée. J’en ressors plus amoché et abîmé tout les jours. Je deviens sarcastiques. J’ai du mal à manger et à fermer l’oeil la nuit, parce que j’ai encore le tir des balles dans les oreilles et la poussière du sable dans la gorge. Je sais que ma place est pas ici, au calme dans mon pays ; pas maintenant que j’ai vu que l’autre moitié du monde se tire des obus à la gueule. J’ai attrapé la maladie du siècle, le problème de conscience qui ne se guérit pas. Et y retourner ne me rendra certainement pas plus calme. Parce que maintenant j’ai du mal à me reconnaître, à me construire ou même à me retrouver. J’ose croire que me trouver au contact des gens que j’aime, et qui me connaissent réellement, ça va me faire comme une claque et me remettre sur les rails. J’ai pas fait psycho, c’est qu’un diagnostic de petit soldat en bois, mais j’espère que ça va marcher quand même. J’ai jamais dis combien de temps je partais, j’ai juste dit que je reviendrais peut-être pas. Personne sait si je suis en vie ou pas ; je me suis souvent dis d’ailleurs qu’il y avait peut-être une jolie petite pierre tombale, avec mon nom dessus. Et bizarrement, ce truc, cette constatation à deux balles, elle me fait sourire. J’imagine déjà les fleurs que quelques personnes seront venues poser. J’imagine qu’il y aura bien des oeufs ou une motte de beurre, il n’y a que ma grand-mère pour venir poser des trucs aussi farfelus sur les tombes des gens. Aujourd’hui, je suis sur le point de revenir. J’ai la boule au ventre, parce que c’est la première fois que je reviens. J’ai des cicatrices, des pas belles à voir, et puis d’autres qui ne se voient pas. J’ai pas de médaille à aborder fièrement sur ma poitrine, même si je me suis battu comme un lion pour mon pays. J’arrive plus à reconnaître les rues quand l’avion survole la ville. Il y a des champs de blé au loin, alors je penche la tête sur le hublot. J’ai des restes de bonheur dans un coin de la tête, des gens qui m’attendent peut-être encore aujourd’hui, et qui pourquoi pas, arrivent encore à croire en moi. J’ai les nuits courtes et agitées, même dans l’avion j’ai pas réussi à fermer l’oeil. J’arrive plus à me laisser aller, ou bien à me laisser penser. Je préférai quand j’étais un gamin con, qui ne connaissait rien de la vie. Parce que j’étais peut-être con comme un balais, mais je m’émerveillais devant rien, et putain, qu’est-ce que j’étais heureux. Mais ça, c’était avant.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Dans dix ans, j’aurais un fils, mais ça j’en sais encore rien. Je sais pas si il aura mes yeux, ma bouche, mon sens de l’humour débile ou ma fâcheuse habitude de tout foirer avec les filles. J’lui souhaite au moins de ne pas s’engager dans l’armée comme moi, de ne pas faire pleurer celle qui pourrait devenir sa future femme en la faisant attendre la moitié de l’année à la maison sans savoir si il est vivant ou pas. Azel c’est pas ma femme, même si maintenant nous sommes liés par le sang. J’ai pas envie de m’aventurer sur ce terrain, parler de mon avenir c’est aussi incertain que de tirer au taro. J’peux me faire choper par une balle, alors je préfère ne pas laisser des projets que je ne pourrai pas terminer derrière moi. Même si j’ai pas mal foiré avec Azel, je suis pas non plus un cas désespéré ; je veux quand même être un bon père, comme le miens l’a été pour moi. Que ce soit une fille ou un garçon, c’est pas mon problème. Tant que ce môme devient quelqu’un de bien, quelqu’un qui passera pas sa vie à faire n’importe quoi. Je ne le sais pas encore, mais j’ai une bonne raison de rentrer au pays en un seul morceau. Je sais pas encore comment je pourrais gérer la chose, et si quelque part, voir la chaire de ma chaire ça va pas me faire éclater en morceaux et me rendre plus vulnérable que je ne le suis déjà. Je gère assez mal mes émotions, ça aussi c’est quelque chose que j’aimerai arriver à faire dans dix ans. Je serai pas encore un vieux, un type bête, qui passe la journée dans ses pantoufles. J’aurais encore la force de les emmener, elles toutes les deux, faire le tour du monde, comme j’avais l’habitude de le faire avant. J’aurais peut-être une plus jolies caisse et de plus belles fringues. Je retournerai dans les paysages de mon enfance, piocher dans les bons souvenirs. L’avenir, ça me fou quand même le cafard. Je préfère le passé, parce que je sais comment les choses se passent, et surtout, je sais que je ne peux plus rien modifier.
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff, il est possible de revoir cette décision ensemble. Pour indiquez votre réponse, il suffit de la mettre en italique ou de barrer celles qui ne correspondent pas. - Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: maestro aka izzy. ÂGE: 20 ans dans deux jours (a) PAYS: sur l'île aux enfants c'est tout les jours le printemps PRÉSENCE: le plus souvent possible COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? parce que j'y étais inscrite PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? scénario AUTRE CHOSE À AJOUTER?JEVOUSLOVETROP
Dernière édition par L. Augustin Moore le Mar 18 Fév - 20:04, édité 1 fois |
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| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 13:51 | |
| t'es seul comme un marinmais un marin sans femme au port, y a rien qui le retienne à bordC’est peut-être la dernière fois que j’écris.
Remarque, c’est aussi la première. J’ai jamais été très fan du papier et des stylo, et puis de toute façon je ne sais jamais trouver mes mots. D’ailleurs, me retrouver seul face à une page blanche, ça me coupe quand même l’inspiration. Je sais que tu m’en veux, j’arrive à le deviner, et parfois quand je ferme les yeux je t’imagine en train de m’engueuler. Ca me fait rire, énormément. Je crois même que le mec qui dors dans la couchette à côté de la mienne vient de se retourner. On crève tous de froid ici. Moi j’étais persuadé que dans le désert on crèverait de chaud, mais la nuit c’est à peine si j’arrive à dormir tellement j’ai froid. Bon, il y a ça et les tirs qui tombent parfois pas loin. Ca ne me fait plus peur. J’imagine que c’est un orage, que ça va passer, et puis je fini par m’endormir. Tu verrais le ciel, je suis sûre que t’aimerais. J’ai pas le droit de faire de photo et je suis trop nul en dessin pour faire un truc bien ; j’peux essayer de te le décrire. C’est bleu, un peu comme le bleu du tablier trop grand du boulanger, mais sans les traînées de farines. Un beau bleu qui te tombe sur la gueule quand tu sors de ta tente. Et t’as des étoiles par million, par millier. J’imaginais pas qu’il puisse en exister autant. Ca me donne même envie d’aller faire du camping. Quoique. J’en fais ici tout les jours et j’en ai ma claque. Même la paille de ferme c’est plus confortable que ces fichues caillasses qu’ils osent nous donner. Mais ça tu t’en fiches pas mal, hein ? Oui, là j’essaye de gagner du temps, pour essayer de te faire un peu rire, mais surtout essayer de te faire oublier que j’ai du te faire du mal. Je suis parti, et j’ai rien dit. Tu m’en veux encore, je sais. Et même si t’essaye de faire genre, n’importe quelle personne normalement constituées aurait envie de me fracasser la tête après ça. Je sais pas si je peux m’excuser ; je sais pas si un comportement comme le miens, ça s’excuse, mais on ne sait jamais. J’me lance quand même, parce que j’aurais l’air bien con si jamais je reviens pas, et que t’attends tout le temps d’une vie des mots de ma part. J’te connais, t’inventerais de la merde. Un scénario digne d’un film à l’eau de rose, le genre de film qui le flanquait automatiquement la nausée, mais que j’allais quand même voir au cinéma avec toi, parce que tu me soudoyais avec du pop-corn. Putain, rien que d’y penser ça me fait tout drôle. Tu me manque quand même un peu.
Mais c’était une erreur, et je m’en rends compte seulement maintenant. T’étais ma meilleur amie, et j’espère aujourd’hui que tu l’es encore. Je voulais pas te faire ça. Bien sûr, je t’aime et je t’aimerais toujours, mais je peux pas le faire de cette façon. J’avais la trouille, je crois. J’avais peur de me faire descendre avant d’avoir connu les bras d’une femme. C’était pas très malin d’avoir choisi les tiens, même si t’es une belle femme. Une très belle femme, j’suis sûre qu’il y aura même un type qui saura apprivoiser ton corps, un peu comme j’ai essayer de le faire. Je cherche pas à te retenir, j’espère juste que tu t’es pas accroché trop fort à moi. C’était qu’une nuit avec deux gamins, deux adolescents immatures qui pensaient n’avoir qu’une seule chance. Mais la vie, c’est plus grand, c’est plus loin que tout ça, et je trouve pas mes mots pour te le dire. J’aurais jamais dû faire ça. J’aurais jamais dû te faire ça, et pourtant, quand j’écris ces mots, j’arrive toujours pas à la regretter. Parce que dans le fond, c’était bien. Je sais qu’on aurait du avoir cette discussion dès le lendemain, mais t’as bien vu, j’me suis tiré comme un voleur, en oubliant la moitié de mes fringues. C’est pas classe, mais de toute façon tu le savais depuis longtemps que j’avais rien d’un prince charmant. J’avais peur de partir, et je crois que d’une certaine façon, ça m’a aidé. Maintenant, je ne suis pas mieux ici. Je suis coincé, tu vois. Si je reviens, je sais pas ce que je vais te dire. Si je reste ici, je sais que d’une façon ou d’une autre, j’vais y passer. Je crois que je vais rester coincé dans l’avion, dans le terminal, dans un endroit ou personne ne pourra venir me chercher. J’ai pas envie que tu viennes me chercher à l’aéroport. J’ai même pas envie que tu puisses voir l’expression sur mon visage. Ca va être de la déception. J’ai plus cet air à moitié ébahit d’une nuit de volupté. J’ai du recul maintenant, et j’aurais du y réfléchir avant. J’espère que tu même quand même encore un peu ; je peux pas supporter que tu me déteste, t’es la première personne à avoir compté, et maintenant, d’une façon ou d’une autre, tu compteras toujours dans ma vie sentimentale. Maintenant, je le sais, c’est pas de l’amour. C’est pas ce que tu crois. Ca a jamais été ce que tu crois, j’étais juste trop con pour m’en rendre compte. J’espère prendre une balle dans le bras, le ventre, la tête, partout.
J’ai pas encore appris le courage, et je ne sais pas si c’est en train d’arriver. Mais j’avoue qu’écrire, ça a du bon. Je suis en train de remettre les choses plus ou moins en place, mais ça veut pas dire pour autant que tout va rentrer dans l’ordre. Je crois que cette lettre, elle ne va jamais partir d’ici. Je vais la brûler, la garder avec moi, la déchirer en morceau. Dans cette lettre, c’est tout ce que je dois te dire, mais j’ai pas encore envie de te faire plus de mal que ce que je n’ai déjà fait. Je veux pas te donner de l’espoir et te briser le coeur en même temps. Je donne pas de pain aux assoiffés, je préfère les laisser crever de soif. J’espère que même si cette lettre n’arrivera jamais, tu pourra me pardonner d’être un crétin. D’être un gamin. D’avoir foiré. De ne pas être resté.
Crépitement au coin du feu. Il jette le bout de papier dans les flammes, parce que maintenant sa vie est ici. Entre la poussière et les tirs. Il n’a pas le droit de l’emmener ici, avec lui. Elle avait déjà assez souffert comme ça, et peut-être qu’avec un peu de chance, elle serait déjà partie à son retour. Il l’espérait pour elle. Qu’elle se soit tirée loin, sans l’attendre. Même si lui, ça allait lui faire du mal. Il le savait.
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| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 14:00 | |
| Re-bienvenue parmis nous apparement ! J'adore ta fiche |
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| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 14:14 | |
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lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 14:24 | |
| PUTAAAAIN, mais cette fiche, c'est une tuerie. rolala j'y crois toujours pas, mon bel augustin qui est pris, par toi, avec une fiche tellement belle, c'est trop le bonheur. il faut juste que je te mpotte par rapport à un mini truc, mais alors rien d'important, juste pour information. parce que, waw, c'est brillant. en tout cas, je te souhaite la bienvenue officiellement huhu, il faut bien. enfin, la rebienvenue bien sûr, je suis vraiment contente que tu soies resté, même si on avait pas trop eu l'occasion (voire pas du tout) de se parler quand tu étais JR, je suis contente que tu n'aies pas quitté flt, et encore plus que tu aies choisi mon petit augustin. j'adore vraiment ce que tu as fais de lui, c'est juste parfait. bref, je vais arrêter de parler là, je te mpotte et tout un peu plus tard, il faut encore que j'aille m'embrouiller avec l'agence immobilière avant d'aller en cours. |
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› inscription : 03/01/2014 › pseudo : tchouky (marion) › avatar : josephine skriver › autres comptes : non à la schizophrénie › statut civil : célibataire › quartier : #9, standford alley › vit en colocation avec sa cousine et milly, la fille de cette dernière › occupation : travaille dans l'humanitaire › hôtesse d'accueil de la salle de sport
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lost souls in revelry
› inscription : 24/06/2013 › pseudo : vercors. (chloé) › autres comptes : biddy la jolie. › crédit : ultraviolences, the vamps.
› statut civil : célibataire, mais son cœur bat de plus en plus fort pour son premier amour. › quartier : fairmount district. › occupation : couturière à hazelnut.
| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 19:40 | |
| (je viens juste de remarquer que tu n'as pas rempli le petit encart "irl" enfin, c'est pas bien gênant d'autant plus que tu l'as déjà rempli sur l'ancienne fiche, mais bon, c'est toujours mieux si tout est rempli ) Félicitations, tu es officiellement validé(e)! asdfghjkl. voilà mon message, je crois que tu sais déjà tout ce que je pense de ta fiche, de la façon dont tu as cerné le personnage que j'aime beaucoup, tout ça tout ça. Selon le questionnaire, tu te retrouves à la fois dans le groupe Seize the day et Memories don't go, mais je pense que ce dernier correspondrait mieux. Tu en penses quoi ? Tu peux désormais te rendre dans la catégorie Gestion du personnage, où tu pourras faire toutes les demandes nécessaires et créer ta fiche de liens. Ensuite, tu peux aussi aller créer un ou plusieurs scénarios ici.
Bref, tout le staff te souhaite la bienvenue sur Feels Like Tonight! |
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kill em with kindness
› inscription : 21/08/2013 › pseudo : shiver./sarah. › crédit : spleen ocean/tumblr.
› statut civil : célibataire. › occupation : serveuse au madison grill & mannequin à ses heures perdues.
| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 20:23 | |
| re-bienvenue. |
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| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mar 18 Fév - 21:38 | |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin Mer 19 Fév - 4:03 | |
| c'était du rapide ça! rebienvenue parmi nous, excelleeeeent choix de scénario vraiment, j'ai trop hâte de voir comment va évoluer la relation entre azel & augustin & je dois lire ta fiche au plus vite parce qu'elle a l'air parfaite. en attendant, bon jeu! |
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| (#) Sujet: Re: c'est le bon dieu qui nous fait, c'est le bon dieu qui nous brise ✘ augustin | |
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