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| « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} | |
| Auteur | Message |
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| (#) Sujet: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Sam 11 Jan - 17:32 | |
| Maddox Knox Hammer.« Do you think I'm special ? Do you think I'm nice ? Am I bright enough to shine in your spaces ? Between the noise you hear and the sound you like, are we just sinking in an ocean of faces ? »PRÉNOM(S) ET NOM: Maddox Knox Hammer. SURNOMS: Mad’, Kneel, Knacki (par son frère). ÂGE: 21 ans. NATIONALITÉ: Anglaise. ORIENTATION SEXUELLE: Bisexuel. STATUT CIVIL: Célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: Etudiant en Arts + petits jobs changeant souvent pour ses propres dépenses. SITUATION FINANCIÈRE: Convenable. AVATAR: Jack Harries. CRÉDIT: Tumblr ; weheartit. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Elle était simple. Si simple, ta vie. Tu allais en cours, toujours en traînant des pieds, et en te faisant entraîner de force par ta grande-sœur. Tu y restais, toujours à moitié affalé sur la table, à lancer des petits regards par-ci par-là à tes copains, à ton frère. Un petit sourire, un petit regard en coin, et vous vous compreniez, et commenciez à communiquer avec des petits mots. Petits mots qui se transformaient bien vite en des presque-lettre, au vu de la longueur qui devenant de plus en plus présente. Bien sûr que vous vous faisiez attraper par les profs. Bien sûr que vous vous faisiez engueuler. Mais, bon dieu, ce que c’était bien. Retrouver ce petit groupe, tous devant le prof qui vous passait une sacrée engueulade. Tous dans cette salle d’heure de colle, où vous recommenciez toujours les mêmes conneries. Et vous rigoliez, vous rigoliez. Vous vous donniez une tape sur l’épaule, ils te donnaient un petit baiser sur le coin de lèvres, et vous étiez déjà reparti pour faire les imbéciles. Les résultats ? Oh, ces trucs là dont tu te fichais éperdument, que tu considérais juste comme une corvée, mais que tu faisais quand même par acquis de conscience ? Eh bien, ils étaient corrects. Pas toujours au dessus de la moyenne de classe, mais jamais en dessous de dix. Les gens de ta classe, ou de ton lycée en général, te considérait comme le petit branleur qui foutait rien –ce qui n’était pas tout à fait vrai soit dit en passant-, comme le petit bi’ de ce lycée où tes aventures avec les femmes et les hommes avaient commencées. Un véritable petit lover –ou coureur de jupons selon les points de vue-, et bien oui. Mais tu l’assumais. Tu le vivais bien. Et grâce à ça, certaines personnes de classes différentes venaient même te voir pour savoir si tu avais quelqu’un actuellement, ou s’il pouvait tenter sa chance avec toi. Et toi, ça te faisait bien marrer, et t’en étais presque flatté, tiens. Pauvre idiot. Le lycée, c’était des putains d’années de libertés qui n’appartenaient qu’à toi. Et à tes potes. Et tu pensais que personne n’avait le droit de te les prendre, ces putains d’années. Tu te trompais. Le temps les avait repris avec lui.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Si on te posait la question du bonheur, tu dirais catégoriquement que non, tu n’es pas heureux. Comment pourrais-tu être heureux, avec tes années de libertés foutu en l’air, avec ton cœur qui s’amuse bien à te jouer des tours versions sentiments ? Tch. Putain de vie, tu penses. Si tu n’avais pas découvert cet putain d’amour à son égard, à lui, à celui qui partage ton sang, tu sais parfaitement que tu serais bien plus heureux. Cet amour te ronge, te tue. Et tu ne peux rien y faire, c’est ça le pire. Alors tu sors, tu couches, tu bois. Comme un pauvre adolescent perdu dans sa vie. Tu te fais pitié. Tu te fais honte. Tu aimerais retourner en arrière, rencontrer quelqu’un que tu aimerais autant que ton frère, mais qui t’aimerait en retour. Qui ne te ferait pas souffrir. Ou alors qui te ferait souffrir, mais que tu pourrais oublier. Que tu ne serais pas obligé de voir tous les jours. Déjà, ce serait certainement bien plus facile pour oublier, pour ne plus se souvenir, pour que le cœur guérisse et se reconstruise. Mais en sachant que c’est lui, que c’est Noweell, tu sais que c’est fini. Game over d’avance. C’est horrible, réellement. Où es-tu, toi, le petit gars que l’on traitait de lover au lycée, le petit gars qui susurrait des mots d’amours aux filles et aux garçons, pensant que c’était réellement de l’amour ? Alors qu’il ne s’agissait que de quelque chose de passager ? Ah, tu ne sais pas, tu l’as perdu quelque part entre ton cœur et tes souvenirs. Qu’est-ce que tu ne donnerais pas pour retrouver ta petite bande de potos, et vous refaire des fêtes comme lorsque vous étiez plus jeune ? Juste avant qu’il ne faille prendre les billets pour l’avenir ? Beaucoup de chose. Trop de choses, peut être. Mais tu continues de sourire. A faire comme si tout allait bien, pour n’alerter personne. Tu ne veux surtout pas leur paraître inférieur, lorsque tu les vois tous si heureux d’avoir quitté le lycée, de devenir de plus en plus des adultes. Mais toi tu ne veux pas. Tu veux rester dans ton petit monde de Peter Pan encore un peu plus. Et puis fallait bien que toi et ton frère appreniez la vie. C’est lui qui a demandé à partir, à devenir libre, à apprendre à devenir adulte. Toi tu ne voulais pas, tu t’en foutais, tu disais non. Mais les parents s’en sont mêlés ; ton frère avait le droit de partir, de vivre librement, uniquement si tu venais avec lui, uniquement si vous appreniez la vie ensemble. Puis, bien sûr, ta sœur s’était ramenée. Donnant raison à ton frère, pour une fois. C’était un peu comme si tu avais été contraint et forcé, mais tout ce que tu avais en tête lorsque tu avais accepté cette requête, était que tu voulais le bonheur de ton frère. Alors tu es parti, avec lui. Et vos parents versent toujours des sous pour le loyer, et lorsqu’ils vous demandent si vous allez bien, si votre nouvelle vie vous convient, tu te contente d’hocher la tête. Tu souris, juste comme ça, tout simplement, en disant que tout va bien. Et tu sais que si l’on te posait la question du bonheur, tu mettrais peut être un peu de temps à répondre, mais tu dirais faussement en riant que oui, tu l’es.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Tu ne sais pas comment sera ta vie dans dix ans. Déjà que tu as du mal à imaginer dans à peine une année ou deux, alors dix ans… Même pas la peine d’essayer. Quoi que, peut-être que tu pourrais tenter, tout de même. Ouais, allez. Tu te verrais bien… Peut être peintre. Dans ton petit studio qui serait ton atelier rien qu’à toi, avec des trucs partout et n’importe où. Tu pourrais dessiner où tu veux, quand tu veux. Peut être que tu gagnerais pas vraiment bien ta vie, alors tu serais bien obligé de faire comme maintenant ; des petits boulots que tu enchaînerais. Mais tu es sûr que cette vie te plairait un peu plus. Pas de beaucoup, mais ce serait déjà pas mal. Peut être que tu vivrais encore à ton frère… T’en sais rien. Tu ne veux pas trop y réfléchir à ça. Tu préfèrerais encore repenser aux années passées où tout allait bien entre vous. Et qui vont toujours bien d’ailleurs. Il n’y a que toi qui as changé. Peut être en bien, peut être mal pour lui. Tu ignores tout, et tu préfères continuer à ignorer. De toute façon, quoi que tu apprennes, cela ne pourra que te faire souffrir, tu penses. Alors autant faire comme si de rien n’était, rester « « frères » comme tous les autres frères, et pas plus. Pas moins. Comme avant. Juste, exactement comme avant, c’est tout. Si ton cœur arrive à lâcher celui de Nowell, alors peut être que tu serais effectivement avec quelqu’un… Un homme. Une femme… Non, un homme. Quoi que tu aimerais bien avoir un enfant, peut être… Une femme alors ? Tss, rien à faire, tu espères quand même avoir quelqu’un d’autre à aimer d’ici dix ans. Même si tu ne te vois absolument pas aimer quelqu’un d’autre que ton propre frère, mais qui sait, beaucoup de choses peuvent changer en autant de temps. Il n’y avait qu’à jeter un coup d’œil entre le fossé qui te sépare désormais des années lycées. Tout à changé. Absolument tout. Pour le meilleur ? Ou pour le pire ? Tu n’as pas vraiment d’avis entre les deux, tu voudrais juste revenir quelques années en arrière, au lieu de devoir penser aux futurs, à cette chose qui va de nouveau t’enlever ces années de fac que tu aimeras peut être. La vie est injuste, le temps encore plus. Le temps passe trop vite, et tu as l’impression que tu n’as pas le temps d’en profiter assez. Ou, au contraire, tu es profites trop, et c’est justement là le problème ? Tu n’en as pas la moindre idée. Tu espères que non, que ce n’est pas ça. Sinon tu ne regretterais pas autant, si ça se trouve… Mais tu te refuses à cette idée. C’que tu peux être borné parfois.
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff, il est possible de revoir cette décision ensemble. Pour indiquez votre réponse, il suffit de la mettre en italique ou de barrer celles qui ne correspondent pas. - Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: laytonesque, ou jellyfish. ÂGE: 17 ans. PAYS: France. PRÉSENCE: En moyenne, 4/7. Maximum ; 7/7, minimum ; 1/7. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Via une amie qui voudrait s'inscrire. PERSONNAGE INVENTÉ OU SCÉNARIO? Inventé. AUTRE CHOSE À AJOUTER? Nooope.
Dernière édition par Maddox K. Hammer le Sam 18 Jan - 2:12, édité 2 fois |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Sam 11 Jan - 17:33 | |
| ce soir une fée dans un pays hanté, ce soir.« Once I was real, once I had something to lose, once I could peal, once I was harder to bruise, once I was here, once I was willing to bend. Once I appear, I will be real once again.»Des rires se font entendre à l’étage. On entend nettement les éclats de voix de deux personnes. Des bruits, comme si des choses se cassaient, tombaient. Ta mère soupire, alors qu’elle va chercher un peu d’alcool pour ses amis qui sont venus lui rendre visite. Ils lui disent que vous êtes des enfants en très bonne forme, énergique. C’est une bonne chose. Oui, sûrement. Très certainement. Ta mère et ton père acquiescent, même s’ils ajoutent que vous êtes parfois dur à vivre. Mais heureusement, Easter est souvent là pour calmer le jeu, quand elle y arrive. Quelle bonne grande sœur elle fait, tout de même. Vos parents rigolent avec leurs amis, et tout d’un coup, les rires qui existaient en haut se taisent, pour laisser place à un silence des plus étranges. Ta mère se lève avec précipitation, renversant son verre. Elle court jusqu’à la chambre, et ouvre la porte de votre chambre. Elle ne sait pas comment réagir devant ce qu’elle voit. Elle avait peur. Elle était apeurée. Elle espérait que rien de grave ne s’était passé. Mais ce qu’elle voyait était pire que tout ce à quoi elle aurait pu penser. Alors elle se met à rire, toujours et encore plus, et c’est finalement un fou-rire qui prend possession d’elle. Ton père est interloqué par ce qu’il entend, forcément, alors il se lève pour aller voir lui aussi. Mais lui, il rigole juste un peu, et garde un énorme sourire sur le visage, en soupirant. Il vous dit que vous êtes vraiment impossibles. Tu regardes ton frère, qui te regarde en retour. Vous ne comprenez pas. C’est censé être une situation de crise là ! Vous êtes tous les deux bloqués dans un des pulls de Nowell. Ta tête dépasse à moitié, on ne voit qu’un de tes yeux, ainsi que la moitié de ton nez. Ce n’est pas vraiment mieux du coté de ton jumeau, mais on lui voit déjà plus le visage que toi. Faut dire que c’était le pull qu’il portait à l’origine, alors bon… Mais voir vos parents rirent comme ça alors que ce n’est vraiment, mais alors vraiment pas drôle, tu trouves ça ignobles de leurs parts ! C’est décidé, au dîner de ce soir , tu ne parleras pas. Ce sera leur punition. Na.
première toile. « Au bord du monde aux bornes du ciel, arrive un pays aux merveilles. »
Les couleurs sont vives, chaudes. Lumineuses. On voit bien que c’est joyeux, qu’il y a de la vie sur ce tableau. Tableau qui représente une famille, unie. Il y a ton père. Qui sourit tendrement, un bras passé sur les épaules de votre mère. Mère qui semble rire, et qui a posé une main de chaque coté d’une de vos épaules. Vous, vous êtes au milieu. Vous avez aussi l’air de rire, tous en vous regardant l’un et l’autre. Tu es assis sur le tabouret, un petit sourire triste sur ton visage. Sur cette toile, vous deviez avoir quoi… sept, huit ans ? Oui, quelque chose comme ça. Tu l’avais repeint à partir d’une photo de famille que tu avais trouvée chez ta tante quand tu y étais allé. Et tu avais trouvé cette photo belle, plaisante, elle te rappelait des souvenirs. Alors tu avais décidé de la peindre. Et tu l’as fait. Lorsque tu l’as faite, tu étais au lycée. Ce n’était pas ta première peinture, mais ta première sur une véritable toile, faite pour n’importe quelle peinture. Tu t’étais éclaté dessus. Tu y avais passé du temps, mais tu trouvais que cela en valait le coup. Puis, c’était à l’époque du primaire.
« Ça suffit vous deux, venez vous habiller ! » Votre mère venait de hurler, encore une fois. A chaque fois qu’il était l’heure d’aller à l’école, c’était la même chose. Alors tu allais te cacher, ton frère faisant de même. Tu sentais qu’elle allait bientôt finir par s’arracher les cheveux, et quand elle arrivait à cette limite là, vous capituliez. Vous l’aimiez à votre maman, alors vous ne vouliez pas lui faire de mal. Même si vous poussiez un peu trop loin certaine blague. Surtout toi. Enfin… Ce n’était pas tout à fait vrai. A vrai dire ton frère faisait pareil, c’juste que tu savais pas pourquoi, mais il faisait son putain de ninja souvent. Du coup c’toi qui prenait tout. Rah, c’était tellement injuste… Mais tu t’en fichais un peu en réalité. Ce n’était pas un des plus gros problèmes. Non, le pire restait certainement l’école. A l’endroit où tous vos ennemis étaient dissimulés. Une fois que vous y entriez, c’était un véritable terrain de guerre. La cour de l’école primaire devenait un terrain de chasse. Les duels y étaient tout le temps présents. Et bien sûr, on vous défiait, vous aussi. Parce que vous n’étiez pas les plus fort. Parce que l’on tirait parti de votre faiblesse. Ou de votre force, selon les clans qui étaient formés. Vous changiez de clans souvent, parce que c’était cool d’être un traître, d’être un espion. Parfois, vous étiez chacun dans un clan différent, mais travailliez pour le même. Ah, quel plan machiavélique vous aviez monté ces jours là ! Vous y aviez mis du temps, mais vous aviez réussi votre mission. La classe de CM2 qui se la pétait tout le temps faisait beaucoup moins sa maligne lorsque vous aviez gagné le seul Dracaufeu PV 120 qu’elle avait. Oh, quelle choix vous aviez ressenti, à ce moment là ! Et, bien sûr, les élèves de votre clan vous l’avez offert en cadeau pour votre service si dévoué. C’était votre trophée. Jamais vous n’aviez vécu meilleure bataille de cartes pokémons qu’avec la classe la plus haute dans la hiérarchie de l’école. Lorsque vous étiez rentré de l’école, vous aviez demandé à votre père de vous la plastifiez, et l’aviez caché dans votre coffre à trésor. C’était quelque chose d’inestimable que vous aviez là. Et vous comptiez bien le chérir.
« Ouais, t’as trop raison Baloo ! Il en faut peu pour être heureux ! » « Pff, trop pas ! Hey Yzma, j’ai trop la pêche ! » Tu tournes la tête vers lui. Et fais la moue. Yzma ? Il était sérieux ton twin ? ‘Fin bon, il pensait peut être la même chose de toi, alors tu ne pouvais rien dire… « Alors… Si toi t’es Yzma… Moi je suis Kronk ! Et tu sais pourquoi ? Parce que je t’aime ! Et comme Kronk il aime Yzma, bah c’marche bien comme ça ! » Un petit rire se fit entendre derrière. Votre mère se tenait dans l’encadrement d la porte, en vous regardant de ses yeux bienfaiteur. Elle s’approcha, éteignant la télé, alors que vous ralliez en même temps. Elle répliqua que c’était l’heure d’aller au lit. Même si vous n’étiez pas fatigués, même si vous vouliez encore regarder la télé, vous n’aviez pas le choix. La dictature maternelle se mettait en place à une certaine heure de la soirée. Et lorsque cela arrivait, vous n’aviez d’autre choix que de plier, au lieu de faire une révolution. Vous vous leviez tous les deux, direction votre chambre, et surtout vos lits. Ta mère alla embrasser Nowell en lui souhaitant bonne nuit, et ce fut ensuite à ton tour. « Bonne nuit mon chéri. Et, tu sais, tu n’es pas Kronk si ton frère est Yzma. » « … Pourquoi, maman ? » « Parce que l’amour qu’il y a entre vous n’est pas le même que celui que Kronk éprouve pour Yzma. C’est le même que celui entre papa et maman, mais pas entre Maddox et Nowell. » Tu la regardais comme si elle était un extraterrestre. Elle était où, la nuance ? La différence ? Tu ne comprenais pas. Mais ton cerveau et ton esprit étaient bien trop fatigués pour avoir envie de réfléchir à tout ça. Tu lançais alors juste un petit « bonne nuit m’am » et fermais les yeux, pendant qu’elle déposait ses lèvres sur ton front, en signe de baiser de nuit.
seconde toile. « Nos vies reposent sur des casques en métal, je m'endors dans l'asphyxie générale. »
On ne voit que deux silhouettes floues sur le tissu. Elles sont sombres, pas très exacte. Les couleurs autour d’elle sont plutôt lumineuses, dans des tons de roses et de jaune. Jaune pour l’une des silhouettes, rose pour l’autre, et les deux couleurs se mélangent au milieu du tableau. Tu le regardes d’un œil nostalgique. A cette époque, tout n’était pas des plus faciles, mais tu t’étais débrouillé comme tu le pouvais, sans ton frère. Le jaune représente le soleil. Ton frère. Le rose, l’amour. Le début. Les premières fois. Toi. Tu soupires doucement en passant un doigt sur la peinture, sur la silhouette de ton frère. Il est toujours la même chose pour toi. Depuis toujours. Ton soleil. Malgré le fait que ce soit toi l’ainé, ce n’est l’impression que tu ressens dans votre relation. Mais ce n’est pas pour te déplaire.
Au collège, tout a dérapé. La chose la plus importante était que vous n’étiez plus en classe à partir de la 5ème. Et… Tu ne sais pas comment ton frère a vécu ça, mais toi, tu sais que tu l’as mal, très mal vécu. Tu n’aurais pas cru que ce serait aussi difficile de te retrouver séparé de lui. Au début tu pensais que tout allait bien, qu’il n’y aurait pas tant de problème que ça. Mais ce fut tout le contraire. La première semaine te parut longue. Longue et ennuyante. Tu ne connaissais personne, tu te sentais seul et légèrement abandonné. Tu ne pouvais parler avec personne, envoyais des mots à personne. Tu te disais que ça aller passer avec le temps, mais… Si, ça a changé. Pas forcément comme tu le voulais, mais ça a changé. Quand tu allais voir ton frère, et qu’il était avec des personnes que tu ne connaissais pas. Il te les présentait comme ses amis, et toi tu te sentais un peu con, là, tout seul, sans pouvoir présenter à ton tour des gens de ta classe que tu pouvais considérer comme amis. Tu aurais au moins pensé que vous auriez peut être continué comme à l’école primaire. Que ça aurait été toi et lui, contre la face du monde. Mais non. Il avait trouvé un petit groupe, sans toi apparemment. Alors tu te contentais de sourire, de lui dire que tu le retrouvais à la pause d’après, pour manger. Tu te sentais juste un peu seul dans ces moments là. Ils parlaient de choses que tu n’avais pas forcément vues en cours encore, ou des choses dont tu n’étais pas au courant. Tu avais finis par dire à ton frère que tu mangerais avec ton groupe, finalement. Groupe qui s’est créé quelques mois après que tu lui ais dit ça. Ce groupe était bien simple. Il était composé de Adel, celui qui deviendrait par la suite ton meilleur ami. De deux autres garçons qui étaient les plus calmes, et puis d’une fille, Alicia, absolument adorable, mais aussi tarée que toi.
Ce groupe tu avais essayé de le garder durant tout le long du collège. Mais les deux garçons avaient changés de classe en cours de route, et vous ne vous étiez retrouvé que trois. Jusqu’à la troisième, où une autre jeune fille se rajouta au groupe. Mais celle-ci ne resta pas très longtemps, car elle était intéressée par toi. Elle t’avait confessé ses sentiments quelques semaines après qu’elle se soit incrustée dans votre groupe, et t’avait demandé si tu étais d’accord pour sortir avec elle. Tu étais dans la fleur de l’âge, où on aime découvrir les choses de la vie, alors tu avais accepté, même si tu n’avais pas plus d’affinité que ça avec elle. Elle était mignonne, n’avait pas l’air trop chiante, alors oui, pourquoi pas. Pourquoi ne pas essayer ? Alors tu as essayé. Vous êtes sortis ensemble pendant à peu près trois mois. Tout a très vite dérapé avec elle. Elle te demandait plus d’attention, plus d’amour. Et toi tu ne comprenais pas pourquoi elle était aussi exigeante. Elle t’en voulait parce que tu faisais passer ton frère en premier, toujours. Même quand vous aviez rendez-vous, tu annulais immédiatement quand ton frère te proposait que vous fassiez un truc ensemble. Fallait dire que c’était devenu rare de vous retrouver comme ça, rien que tout les deux, hors de la maison. Et toi, tu adorais ça. Tu aimais tellement ça que tu t’en foutais d’elle, dans ces moments là. C’était ton frère, tout ce que tu avais de plus précieux au monde. Le reste, tu t’en foutais. Mais complètement. Puis vint la première fois. Elle t’avait invité chez elle en te disant qu’elle te pardonnerait tout si tu acceptais. Tu avais trouvé ça bizarre qu’il n’y ait pas ses parents, mais quand elle avait commencé à enlever son t-shirt, tu avais tout de suite mieux compris pourquoi. Et tu avais expérimenté le sexe avec elle. Tu avais trouvé ça… Bien. Pas mal. Puis tu avais recommencé une seconde fois. Tu avais trouvé ça libérateur. Tu y avais pris goût, en à peine deux fois. Puis elle avait rompu. Parce qu’au lit, ce n’était pas ça. Tu étais trop gentil avec elle. Elle aurait préféré que tu montres un peu plus ta passion, ton amour pour elle. En essayant de la prendre de force, en étant un peu plus sauvage au lit. Alors elle avait tout arrêté. Et tu pensais qu’effectivement, c’était mieux pour toi. Tu avais repris tes activités avec tes amis, ton frère, que tu voyais de plus en plus souvent, au fur et à mesure que la fin du collège arrivée. Tu faisais la fête avec Alicia et Adel. Parfois tu étais dans des petites fêtes d’amis, où tu finissais par sortir avec une fille. Mais ce n’était que des aventures d’un soir. Et tu venais de découvrir le plaisir des relations uniquement charnelles.
troisième toile. « C'est son corps contre mon corps, c'est nos corps qui s'enchaînent. »
Tu souffles sur la dernière toile que tu viens de retrouver, chassant les dernières poussières. Celle-ci est la plus récente. Dessus, il y a ton frère. Il te regarde en souriant. En riant, vu l’énorme sourire et les yeux rieurs qu’il semble arborer. Et toi, tu souris comme un idiot à cet vision. Tu caresses doucement la joue droite sur la toile, pendant qu’un sourire mélancolique prend de plus en plus place sur ton visage. Les couleurs sont un mélange de tristesse et de joie. Tout en Nowell rayonne, tandis que les contours, l’arrière plan, ressemble plus à des nuages semblant prêt à laisser éclater l’orage. Sûrement cela te représente-t-il ? Enfin, non, cela représente bien plus tes sentiments que toi-même. Ton cœur et ton corps qui ont du mal à résister, à se retenir. Sans t’en rendre compte, tu sers un peu le tissu de ta peinture, et tu déglutis. Tu dois vraiment trouver une solution.
Tu étais devenu un putain de play-boy. Qui s’amusait avec les filles, autant qu’avec les garçons, désormais. Ta première expérience avait été avec ton désormais meilleur ami, Adel. Tu ne te souvenais plus trop comment c’était arrivé. Il te semblait que vous aviez bu, un peu, du genre des bières, une, deux, trois… Une quatrième. Puis il t’avait poussé sur son lit, ou sur le canapé de son salon. Là non-plus, tu ne savais pas trop où vous l’aviez fait. Mais tu avais été en dessous. Tu t’en souviens, la douleur t’avait réveillé d’un coup. Tu avais dessaoulé très vite après ça. Tu ne lui en avais pas voulu, après tout vous étiez tous les deux dans des états lamentables, et puis, tu n’avais pas non-plus détesté, fallait dire. A partir de là, tu avais des relations avec hommes ou femmes. Jusqu’au jour où tu es vraiment tombé amoureux. Elle était belle. Vraiment. Une petite brune avec des mèches bleues, des joues rondes et un visage enfantin. Elle avait les yeux bleus clairs, très clairs. Ils étaient magnifiques. Et son caractère aussi était magnifique, pour toi. Elle ressemblait à ton frère, dans un sens. Quand on te demandait ce que tu aimais chez elle, que tu expliquais, on te répondait toujours « on dirait ton frère au féminin ». Et toi tu riais, sans te rendre-compte de l’importance de ses paroles. C’était toi qui avais fait le premier pas. Elle avait été surprise, hésitante au vu de ta réputation, mais avait accepté une semaine après, finalement. Et vous filiez le premier amour, pendant plus de 8 mois. Mi-seconde à mi-première. Et elle te quitta. Elle était tombée amoureuse de quelqu’un d’autre. Quelqu’un de moins gamin. Quelqu’un de plus vieux. Quelqu’un qui savait prendre des responsabilités. Quelqu’un qui était presque tout l’opposé de toi, en fin de compte. Quand elle t’avait dit ça, tu avais juste hoché la tête, en disant que tu comprenais parfaitement. Alors que ce n’était pas du tout le cas. Ce jour-là tu étais rentré chez toi en faisant une tête d’enterrement. Ton frère était venu te voir en s’installant à coté de toi, dans ton lit, comme il le faisait toujours quand tu n’allais pas bien. C’était devenu une sorte de rituel. Mais tu ne savais pas quoi, ou pourquoi, mais ce jour-là était différent. Il t’avait réconforté comme à son habitude. Mais toi, tu ne sais pas, tu fixais ses lèvres. Et tu repensais à ce que disaient tes amis. Qu’elle ressemblait à Nowell. Qu’elle était lui en fille. Tu essayais de voir si c’était vraiment le cas. Et pendant que tu réfléchissais, que les larmes se laissaient couler le long de tes joues, ton corps avait déjà bougé de lui-même. Tu avais posé tes lèvres sur les siennes. Un effleurement, d’abord. Puis tu les avais déposées plus franchement. Et tu t’étais un peu reculer, tu l’avais regardé dans les yeux. Et tu avais réitéré ce geste. Une fois. Deux fois. Jusqu’à ce que tu ais accentué le baiser, poussant lentement mais sûrement le corps de ton frère pour le faire s’allonger sur le lit. Tu l’avais déshabillé. Il n’avait pas vraiment protesté. Tu trouvais ça bizarre, qu’il ne dise rien. Mais tu n’avais rien demandé, tu avais juste continué ce que tu faisais. Et vous aviez goûté au fruit défendu. Un péché impardonnable. L’inceste.
Mais ce fut la seule et unique fois. Déjà parce que tu ne comprenais pas vraiment ton comportement, et ensuite parce que tu ne comprenais pas non-plus celui de Nowell. Pourquoi s’était laissé t-il faire ? Et toi, pourquoi l’avais-tu embrassé ? C’était compliqué à expliquer. Ca t’embrouillait la tête. T’en avais marre. Tu réfléchissais trop. Alors tu sortais avec des amis. Tu couchais à droite à gauche. C’était pire qu’avant. D’ailleurs, depuis ce moment là tu couchais plus avec des mecs, en étant au dessus ou au dessous, peut t’importer. Tu couchais pas mal avec Adel, qui ne semblait pas s’en soucier ou se posait trop de question par rapport à ça. Il restait ton meilleur ami malgré la relation charnelle que vous aviez de temps en temps. Mais tant que cela ne changeait rien entre vous, tu ne voulais pas y mettre un terme. En plus, putain, mais qu’est-ce que tu trouvais qu’il était bon au lit. Enfin, ce n’était qu’un détail parmi tant d’autres. La dernière année de lycée se passa sans encombre, si l’on exclue le fait que tu avais enfin réussi à expliquer ton comportement envers ton frère lorsqu’il était venu te réconforter. Tu en avais un peu parlé à Alicia, la bonne amie du collège avec laquelle tu étais toujours en contact. Tu lui avais raconté que tu n’avais pas compris ton comportement avec cette personne –en omettant volontairement que cette personne était un homme, mais surtout ton frère. Et elle, avec tout le naturel du monde, t’avait gentiment expliqué que c’était l’amour. Et certainement un amour qui remontait à loin, vu que tu connaissais la personne depuis ta plus tendre enfance. Et ça… Tu n’en avais pas cru tes oreilles. Alors, déjà, au collège, quand tu te trouvais seul, et que tu étais jaloux, c’était pour ça ? Juste à cause de ça ? Une fois que tu avais trouvé la réponse, tu t’étais dit qu’ainsi, ce serait beaucoup plus facile. Mais tu t’étais très vite rendu compte que ce n’était pas le cas, loin de là. C’était ton propre frère. Ton jumeau. Un homme. Et tout ça faisait que c’était interdit. Mais surtout l’inceste. C’était la chose la plus importante, la plus grave, le péché que tu ne cessais d’avoir envie d’accomplir. Mais tu te retenais. Parce que Nowell ne semblait pas avoir ce genre de sentiments à ton égard. Et tu ne voulais pas lui en parler directement, lui dire ce que tu ressentais pour lui. Alors tu souffrais en silence. Durant cette année, ce fut extrêmement dur de vivre dans la même chambre que lui. De le voir à moitié à poil en sortant de la douche, de le voir vivre tranquillement à tes cotés sans qu’il ne se doute de rien. Et souvent tu t’absentais. Tu allais chez Adel, chez Alicia, chez des mecs ou des nanas qui t’avaient demandé des petites rencards chez eux, sachant pertinemment ce qui aller arriver. Tes parents étaient d’accord, tant que tu prévenais à l’avance, et que tu ne faisais pas trop de bêtises, que ce soit chez tes amis ou au lycée. Tu respectais évidemment ça. C’était tellement dur pour toi de te retenir. Alors quand tu avais appris qu’il voulait partir pour ses études, tu avais été à moitié ravi, à moitié triste. Tu étais triste qu’il parte, mais d’un autre coté tes tourments partiraient peut être en même temps que lui. Mais voilà, tes parents. Tes foutus parents avaient dit qu’ils accepteraient uniquement si tu partais avec lui. A ce moment là, tu les avais détestés, du plus profond de ton être. De même que ta sœur. De même que Nowell. Parce que tu l’aimais trop, et que cet amour faisait que tu ne voulais que son bonheur. Quitte à te faire souffrir. Tu avais cependant mis une condition à ça. Vous deviez avoir chacun votre chambre. Car tu savais que si tu n’avais pas ça, tu n’allais tout simplement pas pouvoir tenir, et tu ne tenais pas à faire du mal à ton frère comme ça.
ce soir une fée d’une voix enchantée, ce soir. « Comme je vais bientôt partir, c'est à toi de me lire. Une lettre écrite de moi, en souvenir. »
La porte se referme doucement. On n’entend que le simple bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Tu enlèves ton manteau, que tu accroches au porte-manteau, et tu te diriges doucement vers ta chambre. Mais avant d’y entrer, tu te stoppes. Tu hésites. Tu passes une main dans tes cheveux, las. Tu ouvres très lentement la porte de la chambre de ton frère, et tu y entres discrètement. Tu t’accroupis devant son lit, remettant une de ses mèches derrière l’oreille. Il remue un peu et entre-ouvre un œil, te regardant. Il ne semble pas comprendre. Alors toi tu souris tristement. Tu te lèves un peu, l’embrasse sur le front. Tu lui souffles un tendre « bonne nuit » à l’oreille. Et tu tournes les talons. Tu refermes la porte comme si tu n’étais jamais entré dans cette pièce que tu t’étais interdit de franchir au début de la colocation, et lorsqu’il est réveillé. Tu rentres dans ta propre chambre, et pars directement t’allongé en mode grosse larve. Tu regardes le plafond, admirant le magnifique poster de cinéma de Loki qui a réussi à dégoter au cinéma de la ville. Ah, qu’est-ce que tu étais fier d’avoir pu l’avoir… Ton twin n’avait pas eu cette chance là. Mais tu le laisses toujours rentrer dans ta chambre pour qu’il puisse le voir quand l’envie lui en prend. Et tu te fermes les yeux petit à petit en continuer de le fixer. Et tu espères qu’il t’accompagnera dans tes rêves, à la place de ton twin.
Dernière édition par Maddox K. Hammer le Sam 18 Jan - 2:22, édité 16 fois |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Sam 11 Jan - 21:44 | |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Sam 11 Jan - 22:31 | |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Sam 11 Jan - 23:37 | |
| Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche !
Les jumeaux sont super ! Le deuxieme twins va arriver? |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Sam 11 Jan - 23:40 | |
| Merciiii ! Yup ! Il est même déjà là, c'est juste qu'il n'a pas encore posté sa fiche. x) |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Dim 12 Jan - 11:08 | |
| bienvenue parmi nous. c'est cool que vous veniez par deux, puis je ne connais que de nom les frères harries mais ils sont canons. bref, bon courage pour ta fiche, et si tu as la moindre question le staff est là. |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Dim 12 Jan - 11:49 | |
| Merci beaucouuup ! Ah, nous on ne connaissait même pas de noms, on les a découverts sur tumblr en cherchant des images des jumeaux Entin, que l'on était censé prendre au début, mais... Quand on a trouvé les Harries, ça a changé. |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Dim 12 Jan - 19:50 | |
| bienvenue parmi nous. c'est vrai qu'ils sont sexy ces jumeaux, même si je ne les connais à peu près que de nom moi aussi (ne comptez pas sur moi pour arriver à les différencier ) bref, bon courage pour ta fiche & j'espère que tu vas te plaire sur flt. |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Dim 12 Jan - 20:13 | |
| Merciiii² ! Ah bah en fait c'est assez facile pour les différencier, une fois qu'on sait qui est qui. xD Je te donnerai les indices pour les différencier if u want. (Et non, c'est pas vrai du tout qu'on a galéré avant de savoir vraiment les différencier... *tousse*) |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Dim 12 Jan - 20:40 | |
| Bienvenu parmi nous |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Dim 12 Jan - 20:55 | |
| Merci. Oh mais tu es copine étudiant en art. *^* |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Lun 13 Jan - 18:56 | |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Lun 13 Jan - 19:53 | |
| Ohoh, merci beaucoup ! |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Jeu 16 Jan - 20:00 | |
| bienvenuuuue. j'espère que tu te plairas parmi nous. |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Jeu 16 Jan - 20:20 | |
| Merci beaucoup ! |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Lun 20 Jan - 1:58 | |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} Lun 20 Jan - 18:08 | |
| Merci beaucouuup ! Ah, tu titilles ma curiosité. A quoi t'attendais-tu ? |
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| (#) Sujet: Re: « Storm tries to come and wreck my world, no I won't let it. Stumbled escape, through anchored drapes. » | Maddox. {100%} | |
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