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| ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. | |
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| (#) Sujet: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 4:40 | |
| Cale TurnerAu génocide qu'on nous vend, à nos consciences les tremblements, tu sais tout ça ne m'émeus guère,e t puis le destin de la terre, il peut mourir, moi je m'en fous.PRÉNOM(S) ET NOM: Cale Turner. Mais Cale ça veut rien dire, et Turner c'est tellement commun. Tellement partout, bien nulle-part. Pas sur toi en tout cas. T'as pas la tête du client. D'ailleurs t'es rien d'autre qu'un bâtard, ça c't'inscrit sur ton front. Qu'est-ce que tu veux faire avec un nom pareil ? Toi t'as rien fais. Tu t'es contenté de grandir, t'as juste attendu que ça passe. Quoi exactement ? tu sais pas. Faut pas poser ce genre de question. T'attends c'est tout. T'attends de plus être un gosse effrayé par le monstre dessous ton lit. Un gosse, un mioche, une saloperie de bâtard. Tu vas pouvoir attendre longtemps, qu'ils te disaient. Tu vas pouvoir encore attendre longtemps. Ils avaient raison, tous, parce que toi c'que tu voulais c'était changer d'peau. SURNOMS: Le p'tit, l'emmerdeur, l'enfoiré. C'était autant d'mots pour remplacer ton nom, parce qu'ils semblaient l'avoir oublié, ton nom. Cale, inutile et sans substance. Un truc un peu comme toi. ÂGE: VingtVingt-deux ans que tu traînes ta putain de carcasse. Vingt-deux ans de bagne. de galères sans nom. De souvenirs crasses. Cale a l'vague à l'âme, et l'corps recouvert de tatouages, encre noire entachant tes ailes. Parcequ'il faudrait pas oublier; faudrait qu'ça reste à jamais; faudrait pas qu'ça déserte ta tête, Cale. Il veut pas oublier l'petit, il vit dans le passé, l'petit; et avant t'avais dis que, mais pourquoi t'as fais ça, aller reviens là, j'me souviens d'un temps, et alors chez maman, le connard d'à côté, j'étais presque heureux, avant. Avant, dans l'ventre de ta mère, et après en Angleterre, c'est toujours avant, est-ce que l'Angleterre te manque ? C'était avant qu'tu grandisses, qu'tu scotches cette putain d'clope au creux d'tes lèvres défoncées. Vingt-deux ans, mais t'es né pour mourir, t'es d'jà inscrit sur la liste du cancer des poumons, crachats noirs, caillot d'sang, tu fais miroiter ton futur dans un verre de binouze. Parce que Cale, tu l'sais, la mort viendra, elle s’appellera cancer. Cancer. Il frappera pas avant d'entrer dans ta vie, il défoncera la porte tu pourras pas t'enfuir. Il viendra, et il te plumera comme une oie, pour t'empêcher de voler, il te brûlera de l'intérieur pour te clouer au sol, il sera ton dieu, ta tumeur, tu seras mort. Mais ça t'fais rigoler doucement. NATIONALITÉ: T’es qu’un british qui a oublié comme il avait attéri là. Un p’tit con d’étranger ; mais t'appartiens tellement pas à leur monde. Tu serais zoulou ou andalou, quelle différence à leurs yeux ? T'en dégueulerais tellement t'en peux plus d'l'entendre cette putain de question. ORIENTATION SEXUELLE: Encore une question imbécile. Tentative avortée de te mettre dans une boîte. Cette question là tu te l'es pas posée. T'as mis l'doigt dans un engrenage puissant qui fait que vendre ton cul est devenu monnaie courante. Est-ce que t'aime ça pour autant ? C'est un travail et personne aime travailler. C’est une issue, une façon de faire un pied d’nez au manque. D’le repousser du bout du pied. Crainte mêlée de joie, parce que t’as juste gagné du temps Cale. Que d’ici peu, faudra remettre ça. T’en as rien à branler, tu jubiles. Quand t’étales la poudre blanche sur le morceau de miroir. Ouais, t’en a plus rien à foutre de rien à c’moment là. T’as oublié que cet après midi, faudra sûrement r’partir en quête d’une âme charitable qui voudra bien qu’tu lui suces la bite. STATUT CIVIL: Androgyne androgyne, tu cris pour rien, comme un nourrisson, pour te prouver qu'tu respires, tu hurles, toujours. Tu pleurs aussi, des larmes de folie, détritus de ton corps, tu trembles comme une feuille, une d'ces putains d'feuilles qu'l'vent emportera pas. La drogue que tu vends, que tu prends, qui te prends, te fous plus bas qu'terre, tu tombes du ciel où tu volais paisiblement, paisible, oui, l'sourire aux lèvres, cigarette au bec, et les yeux noirs, ronds et brillant comme deux billes. Des yeux de mort quand tu planais tout la haut, loin, dans ton monde. redescente redescente, où es tu mon amour, tu l'appelles ta drogue, ta beauté ton âme, lui ordonne de revenir, rien n'se passe tu tombes, toujours plus vite, tu exploses sur le sol en un milliers d'étoiles, poussières de fée, bouquet de nerf, confettis de toi, ça te fait rire, loque humaine, comme d'habitude tu te relèves pour recommencer le même manège. Pauvre Cale, p'tit revendeur de rien. La pute prête à tout pour sa dose de poudre. EMPLOI/ÉTUDES: Suceur agréé. Dealeur de drogues en tout genre. SITUATION FINANCIÈRE: Inexistante. AVATAR: avec la gueule de Cole Mohr. CRÉDIT: écrire ici. ~ À QUOI RESSEMBLAIT TA VIE AU LYCÉE? Tu respires mal Cale. Tu peux pas répondre Cale. Tes yeux s'troublent. Pas de larme cette fois. Juste une sale hargne venue te défigurer, et tes mains restent fermes. La force qu'il t'aurait fallut pour lui tirer une balle en travers d'la gueule. T'avais pas dix-sept ans, t'étais déjà camé jusqu'à l'os. La tête pleine de brouillard. La respiration calme, posée. Tu trippais bien, hein Cale ? ça pour sûr. Coupé du monde. Coupé des autres. T'errais dans les couloirs à la recherche d'on sait pas trop quoi. Et ça chuchotait sur ton passage. On parlait d'la pédale d'Amen. l'avantage c'est qu'avec ça, personne venait plus te casser la gueule. T'étais un pd assumé, protégé par un type respecté. Le dealos de la moitié du lycée. Toi tu l'adulais. Il faisait de toi exactement ce qu'il voulait, t'étais bon qu'à dire merci. Une loque avant l'âge. faut dire que t'es tellement influençable. tellement petit. Tellement rien Cale, mais tu l'sais ça. Suffit d'chercher dans tes yeux. Y'a comme une chose étrange. Des débris de verre plein tes prunelles océan. On s'y noierait dans cette fragilité. Faut pas s'y tromper pourtant. T'as parfois d'ces sursauts vengeurs. Quand tu t'met à hurler, que tu menaces du couteau. Et si c'est pas sa gorge, ce sera la tienne. Clamser jusque là, ça t'avais jamais fais peur. Jusqu'à ce que tu le retrouves bleu et froid. Saloperie d'héroïne, ça vous change un homme en plomb. Cadavre exquis.
~ ES-TU HEUREUX PRÉSENTEMENT? Encore un sourire tout en crocs aiguisés. cette fois Cale, les larmes dansent dans ton regard. Parce qu'il est mort c'est bien vrai. Et tu frappes les murs d'ta chambre d'hotel miteuse avec rage. Rage d'être encore en vie. T'as pas la clientèle d'Amen. Ni ses relations. Tu sais rien faire de tes dix doigts. L'appart où tu vivais comme un roi, il a bien fallut l'vendre. Pourtant, tu voulais pas en sortir de cet appart'. Tu t'y accrochais comme une tique. Les gens ont pas trouvé ça emmerdant. Quand il a fallut t'mettre à la porte, ils t'ont endormi avec un coton et un peu d'alcool avant d'te cramer la gueule. Comme on fait avec les tiques. Alors dis-moi Cale, est-ce que t'es heureux dans ta pièce dégueulasse où les seringues usagées font office de tapis d'sol ? Où la tapisserie pourrie est striée de coup de griffes parce que quand le manque te prends, que les souvenirs t'affolent, tu cèdes à la folie. Il est mort cet enfoiré. Tu l'aimais, est-ce que tu réalises un peu Cale ? Non sûrement pas. Tout c'que tu vois c'est le mal qu'il t'a fait quand il est parti les pieds devant en apportant dans son cercueil, toutes les promesses qu'il t'avait faites. Tu te dis que t'aurais dû le tuer le jour où il a croisé ton regard. ça aurait fait de toi un meurtrier qui aurait prit perpét' ouais. Mais un meurtrier vierge d'amour, d'esprit libre. Pas un torturé de junkie, qu'oublie juste le temps d'appuyer sur l'piston.
~ OÙ TE VOIS-TU DANS DIX ANS? Tu te donnes pas dix ans pour clamser Cale. Tu manqueras à personne de toute manière. Et puis faut dire aussi que t'attends que ça. T'es simplement trop lâche, pour t'achever toi même. Autrement, y'a belle lurette que tu l'aurais rejoint dans la tombe. Dans dix ans, tu te seras pas remis. De toute manière tu l'sais, t'as fais assez de jaunisses comme ça. C'est simple. Si tu arrêtes pas d'te piquer, tu décèderas dans l'année à venir. Ton corps est pourri. Malade de came. Et probablement qu'arrêter d'te shouter après deux ans de régime intensif à l'héro, ça te tuerais aussi facilement qu'une balle dans l'crâne. T'es foutu, le doc a été assez clair comme ça. Dans dix ans ? la perspective est inenvisageable.
Pour la répartition des groupes
Ce questionnaire servira à déterminer à quel groupe vous appartiendrez. Vos réponses aux questions à développement influenceront également la décision, mais si vous croyez que le groupe choisi ne correspond pas à votre personnage, n'hésitez pas à le signaler au staff, il est possible de revoir cette décision ensemble. Pour indiquez votre réponse, il suffit de la mettre en italique ou de barrer celles qui ne correspondent pas. - Spoiler:
Le matin, quand il est l’heure de se lever : › J'insulte le réveil et l’écrase d’un coup de poing. › Je profite des derniers instants sous la couette. › Je me lève d’un bond et file directement sous la douche.
Un métier qui conviendrait bien à mon caractère : › Chef d’entreprise entreprenant d’une multinationale. › Fonctionnaire d’une petite entreprise familiale. › Marchand de glaces itinérant.
Je croise au hasard une amie de l’école primaire, je lui dis : › « Il faut absolument qu’on se revoie ! » › « Ça m’a fait plaisir de te revoir ! » › « C’était le bon temps ! »
En vacances, je: › Pars à l’aventure dans un pays lointain, dépaysement total. › Vais toujours au même endroit depuis des années. › Fais un voyage organisé, pour avoir à ne me soucier de rien.
En ville, je préfère me promener: › Dans le parc de mon enfance pour faire le point. › Dans un square tranquille pour me relaxer. › En plein centre, là où la vie fourmille, afin de m’ouvrir sur de nouveaux horizons.
Ce qui me permet d’avancer dans la vie... › Les marques d'affection. › L'ambition. › La curiosité.
Avec les amis, j'adore: › Parler du bon vieux temps et se dire que c'était mieux avant! › Faire des plans sur la comète et refaire le monde! › Ne même pas avoir à parler pour se comprendre. Un sourire ou un regard suffit.
L'élément qui m'attire le plus: › L'air. › Le feu. › L'eau.
Un défaut que je me reconnais volontiers... › Je suis un peu rancunier/rancunière. › Je suis plutôt anxieux/anxieuse. › Je prends des décisions sans réfléchir.
PRÉNOM ET/OU PSEUDO: Lead. ÂGE: dix-huit dans trois mois. PAYS: France. PRÉSENCE: variable. COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM? Bazzart j'crois. AUTRE CHOSE À AJOUTER? .
Dernière édition par Cale Turner le Lun 5 Aoû - 18:03, édité 8 fois |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 4:40 | |
| Tu te demandes si t'es une bête féroce ou bien un saint. Mais tu es l'un, et l'autre.C'est seulement lorsqu'on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut.T’es né un jour d’grisaille. Un jour humide de pluie. Comme il en est tant à Londres. A une dâte qu’à pas marqué les esprits bien longtemps. C’était en mars. Tu t’souviens d’ton enfance. Surtout par le biais des photos que ta mère avait pris de toi. Un môme avec une fossette au menton, des cheveux bruns, et des yeux magnifiques. Des yeux qui seraient parfaitement assorties aux bleus dont ton corps serait bientôt recouvert. Mais ça Cale, t’en as pas la moindre idée.
Tu pleures toutes les larmes de ton corps. Tu hurles comme un dément dans la bagnole amochée. T’as six ans et des éclats de verres plantés dans tout le bras droit, des lacération plein ta gueule d'ange, après que le pare-brise ait explosé. Griller une priorité, ça ne pardonne pas. Un poids lourd lancé à 120 sur la mini de ta mère, y’a pas à tortiller. Ça fait des miettes. Des miettes de plastique ; des miettes de ta vie. A côté de toi, le corps maternel, la nuque tordue dans un drôle d’angle. Anormal. Du sang plein son visage de poupée. Et le volant encastré dans la poitrine. Tu hurles comme si tes cris pouvaient la réveiller, éponger tout ce rouge, renvoyer le camion d'où il vient. Tes cordes vocales vont péter d'un instant à l'autre, te plonger dans un silence aussi éternel que le sien. Elle est morte. Tu le sens jusqu'au fond de tes tripes sans même le comprendre. Elle est morte.
Il grogne. C’est à toi qu’il s’adresse Cale. Mais tu comprends plus sa langue. Il n’est plus de ta race. Il est devenu ton ennemi ce fameux jour d’accident. Il a sombré, ton père. Il est tombé dans l’abus. Il sait plus ton père. S’il est vivant ou mort. Y’a d’ces soirs, tu l’entends marmonner, en tête à tête avec sa pinte. Y’a d’ces soirs où tu t’demandes vraiment, s’il va pas s’foutre en l’air. T’as que douze ans, mais t’es bien renseigné, le môme. Du coin de l’œil, tu zieutes la boîte de médoc posé sur le pack de bière. C’est assurément pas le bon mélange. T’as peur un peu. T’irais où toi si papa venait à disparaître aussi ? Enfoiré de papa qui se glisse dans ta chambre après ton couché. Qui allume en grand la lumière, à des heures impossibles. Soleil artificiel pour éclairer de sa lumière répugnante les restes squelettiques d’une vie que tu ne contrôles plus. Il titube, et son visage rougeâtre engloutit ses yeux noirs. Son regard est animal. Tu voudrais disparaître sous la couette. T’enfoncer dans un labyrinthe de draps où il ne pourra plus te toucher. Il trébuche vers toi, Cale. Arrache la couverture. Cri après le désordre qui règne dans cette pièce. Renverse le bureau d’un coup de pied rageur. Fracassant le meuble du même coup. T’ordonne de ranger immédiatement. Tu as cinq minutes pour rendre impeccable, ton repère vandalisé. Tu trembles, tu connais la suite. Tu t’affoles, t’acharnes à obéir. Les cinq minutes réglementaires sont écoulées. Tu n’as pas terminé ta besogne Cale. Ton père se lève alors et te châties. Les coups pleuvent sur ton corps décharnés. Et entre ces coups de tonnerres effroyables, tu perçois les reproches. Eternelle rengaine, serinée depuis tant d’année. Celui qui grogne et cogne affirme qu’il aurait mieux valut que tu meurs ce fameux jour d’accident. Qu’il aurait pu se suicider tranquille. Qu’au lieu de cela, il était responsable de toi. Un môme inutile. Dont il ne voulait plus. Il hurle cette fois. Tu aurais dû mourir à la place de ta mère. Tu n’es qu’une sous-merde pour ne l’avoir pas fait. Tu serres les dents, le laisse frapper. Qu’est-ce que tu pourrais faire d’autre, Cale ? Tu pleures en silence, expies tes pêchés par les larmes et le sang. Et du bout des lèvres Cale, des mots que l’on devine à peine. Que tu caches, que t’étouffes et renies aussitôt franchie, la barrière de tes lèvres. Pardon.
Cale, incapable d'être stable. Incapable d'être solide, toujours à t'effondrer sans prévenir, à hurler à pleurer. Excessivité, caprice et mal-être. y'a qu't'es perdu, pris par des sentiments qui te bouffent, qui suceront jusqu'à la moelle de tes os. Foutaises. Pauvres os. Tu es tellement fragile. Tu t'laisses aller, tu ne nages pas. Tu coules, te laissant porter par l'courant, quitte à te heurter à quelques rochers, à finir amoché. tu acceptes de boire la tasse, et c'est sûr que tu te noierais, si des bras plus fort que les tiens n'venaient pas te tirer d'là. Tu penses à lui, évidement. Amen. ton havre de paix. paradis factice. Mais t'aime ça toi, crépiter dans les flammes de l'enfer. Et puis ça t'aide à éloigner les coups de poings au lycée. Fait pas bon vivre être une "tapette" par ici. En revanche se faire baiser par un caïde, c'est tout d'suite plus commode. C'est comme un jeu d'échec. De simple piont t'es passé au statue de reine. Et ça te plaît. D'être comme ça, important pour quelqu'un. Et quand ton père, s'approche de la porte le soir en titubant, t'as le temps Cale, de sauter par la fenêtre. Courir jusque chez lui. Dont tu ne sais même pas le prénom, dîtes Amen, "j'execute ma volontée divine". Anesthésiant leurs sens à coup de cocaïne. Et toi Cale, tu l'aimes cette poudre. La drogue est devenu un facteur important de votre équation, en fait elle est partout, pilier essentiel de votre vie, de la sienne comme la tienne, Cale. T'es une loque, une vraie loque, un junkie qui crise et s'agite lorsqu'il n'a pas sa dose. Mais un junkie heureux parcequ'il est amoureux. Il parle d'avenir. Et toi tu l'écoutes t'es comme un gamin à l'approche de noel, les yeux brillants. Un gamin de seize ans. Qui veut bien croire que les miracles existent, que la vie est un conte de fée, il veut bien le môme. Il est daccord. Suffit d'le dire avec la foi. T'as eu dix-neuf ans. Il t'as dit on s'en va. On fout l'camps. Et t'en rêvais. T'as tout lâché British. T'es parti British; sans un regard derrière toi. Mais Cale tu savais pas, que nouvel horizon rime avec poison. T'as assisté à l'abaissement de l'homme que t'aimais sans pouvoir freiner sa putain de chute. Taper dans l'héroïne a jamais fait d'bien à personne. Surtout pas à Amen.
Dans le lit c't'un corps. Et dans c'corps. L'coeur aimé. Sur tes joues, les larmes. Elles glissent. Elles tombent. Emportent tout ton bonheur. Il est mort l'coeur aimé. Il est mort. Et toi tu chiales.
T'as de nouveau six ans. la mort à recommencé son va et vient. Elle est venu elle a vaincu. Cette fois tu sais que tu n'pourras pas encaisser. Que tu n'pourras jamais recommencer à vivre. Tu vas errer. Fantome décharné. Et l'ombre meurtrie se fera meurtrière. T'as plus rien à perdre. Beaucoup d'blé à faire; des besoins importants. l'héroïne, c'est tout c'qu'il t'a légué l'enfoiré. L'enfoiré adoré qui a remballé ses promesses. Qui t'as laissé seul dans l'obscurité d'un monde qui n'est pas le tiens. T'as plus rien à perdre.
Dernière édition par Cale Turner le Mar 6 Aoû - 15:10, édité 7 fois |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 4:47 | |
| Comme je te l'ai dit sur la CB, bienvenido! |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 4:59 | |
| Merci Aubree Victor toi j'vais venir violer ta fiche de lien dès que j'serais validé. C'pas possible autrement. |
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down by the river
› inscription : 22/01/2012 › pseudo : sarah (twisted lips) › avatar : sasha pieterse. › autres comptes : micah. › statut civil : célibataire. › quartier : fairmount district. › occupation : étudiante en architecture et design intérieur.
| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 15:16 | |
| bienvenuuuue. j'adore le titre. bref, j'espère que tu vas te plaire parmi nous et bon courage pour ta fiche! je te réserve cole. |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 15:18 | |
| pas touche à mon victor toi (a) BIENVENUE ** |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 15:28 | |
| Raow merci Ellie j'en ais à la pelle des titres pourris comme ça xD et j'vais m'intégrer au mieux ahah Arse aaah mais moi je le touche pas hein et merci |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 15:38 | |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 18:20 | |
| Tiago : Mraow j'te garde une place au chaud si tu veux - Spoiler:
Vic : tseuh, ça te va bien de tomber évanoui devant mes écris, j'ai faillis faire un infarctus tellement j'ai kiffé te lire ! Mais merci quand même |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 18:31 | |
| COLE MOHR pozjfzipohjfeoihtj Bienvenue sexy boy ! |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Lun 5 Aoû - 18:39 | |
| Merci Orchid |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Mar 6 Aoû - 17:45 | |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Mar 6 Aoû - 17:59 | |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Mer 7 Aoû - 9:24 | |
| Merci c'est gentil, et oui je plussoie, Memories don't go convient très bien ^^
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Mer 7 Aoû - 18:17 | |
| Merci ^^ tu pourrais m'ajouter mon rang aussi ? /PAN |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. Mer 7 Aoû - 19:17 | |
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| (#) Sujet: Re: ∞ j'fais genre j'vais bien et tout, mais en vrai j'ai raté Bob l'éponge ce matin. | |
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